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L'averse a donnée 2,7 mm et le soleil est de retour.

Pendant les années de guerre à Paris, les étés ont été chauds, marqués par de nombreuses canicules. Les printemps et les automnes se sont également fortement radoucis. Quant aux hivers, ils étaient fréquemment glaciaux, accompagnés de nombreux épisodes de neige abondante. À Paris, entre décembre 1938 et février 1948, il neigeait plusieurs fois par hiver, et une année sur deux, on relevait plus de 20 cm de neige, avec un pic notable début mars 1946, où 40 cm de neige ont été enregistrés. Chaque hiver, il y avait au moins 10 cm de neige à Paris. Les Français, et en particulier les Parisiens, devaient non seulement subir l’occupation allemande et les restrictions, mais aussi la rigueur des hivers et les canicules des étés.

Si l’on considère l’ensoleillement estival, je suis d’accord avec toi. Paris-Montsouris a perdu environ 40 heures d’ensoleillement sur la période estivale entre 1961-1990 et 1991-2020, ce qui donnait une impression de beau temps plus durable l’été. Il faudrait analyser les cartes historiques de plus près, mais il est possible que le beau temps, associé à des flux de nord/nord-ouest, ait été plus fréquent entre 1951 et 1988. Depuis 2015, l’ensoleillement est de nouveau en forte hausse, tout comme les températures

Il est toujours problématique de mesurer le temps qu'il faisait à une époque en se basant uniquement sur le ressenti. C'est pourquoi je préfère me référer aux statistiques. En ce qui me concerne, je me souviens bien des étés maussades entre 1977 et 1981. L'été 1976 m'avait particulièrement marqué, et je crois que le mois de juin détient toujours le record de la plus longue période consécutive de températures supérieures à 35 degrés à Paris. Il me semble que le nombre d'orages est resté relativement stable, avec peut-être un pic dans les années 1990 dans le Val-d'Oise.

Pourtant, les statistiques te contredisent avec de fréquentes périodes d'étés maussades entre 1951 et 1988. Les étés chauds étaient rares : la moyenne des températures estivales de 1951 à 1990 était d'environ 2 degrés plus fraîche que celle de 1991 à 2025. De nos jours, il est rare que la température max minimale de juin à août soit inférieure à 18 ou 19 degrés. Le nombre de journées avec des températures supérieures à 30 degrés a quasiment triplé, et depuis 2009, les 35 degrés sont atteints chaque année.

Le rattrapage est honnête avec 12,5 mm à l'instant au spiea.

Grosse averse orageuse en cours, le nord ouest cherche à se rattraper 😎

Averses plus ou moins fortes depuis 16h 6 mm au spiea Txx 23,6 degrés

Finalement des averses se forment et le bilan ne restera peut être pas à 0,5 mm. T.a 21 degrés.

La pluie n'est pas tombée, ou très peu, et les éclaircies reviennent. Les grincheux qui feront le bilan du mois de juillet ne retiendront que la période actuelle pour affirmer que le mois de juillet 2025 a été pourri 😆

Il faudrait analyser des statistiques sur 30 ans pour confirmer ou infirmer tes observations personnelles. Personnellement, je n’y crois pas. D’ailleurs, l’épisode de fortes pluies des 8 et 9 octobre 2024 a principalement touché le nord-ouest de l’Île-de-France, avec des cumuls de 70 à 100 mm. En ce qui concerne l'épisode en cours, 0,5 mm.

Depuis 6h30, les averses se succèdent, et je suis en plein axe des précipitations.La végétation commence à reprendre des couleurs, et les habitations deviennent enfin respirables. Attention, cependant ! Le mois d'août n'est pas encore passé, et des canicules peuvent survenir jusqu'à la mi-septembre, comme en 2023. Profitons de ces moments de fraîcheur !

Enfin la pluie et la fraicheur !!! 😍

Orage dantesque et greligene !!! rafale de vent.Grelons de 1 cm.. Sainte Claire (46)

GOURDON (46) est encerclée par les orages avec des coups de tonnerre, de plus en plus impressionnant.