liger Posté(e) 9 juillet 2010 Tours Partager Posté(e) 9 juillet 2010 Article du "Monde", mis en lien sur le site Météo-Paris de Guillaume Séchet: pourquoi les nuits en ville seront de plus en plus chaudes. http://www.lemonde.f...1&xtor=RSS-3208 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
zorglub71 Posté(e) 13 juillet 2010 Partager Posté(e) 13 juillet 2010 Ainsi, dans les zones urbaines, "au lieu d'être consommée par les plantes ou transportée par l'humidité du sol", résume le New York Times, "une grande partie de la chaleur du jour est absorbée par les surfaces dures et imperméables qui n'ont pas d'autre moyen pour libérer l'énergie thermique emmagasinée dans la journée que de la restituer la nuit". D'où cette drôle de sensation de bitume-radiateur en pleine nuit. C'était le cas dans Lille les nuits de la fin de la semaine dernière, quel rayonnement dans les rues Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
cumulus62 Posté(e) 13 juillet 2010 Wardrecques Partager Posté(e) 13 juillet 2010 j'avais déjà entendu que en ville le goudron, le béton est sec comparé a un sol en terre, herbe etc plus humide, donc en temps normal l'eau s'évapore du sol et la température baisse, mais en ville le sol est sec et même le goudron chauffe davantage. C'est pour ça peut-être qu'il y a beaucoup d'orage ou du moins de dégradations orageuse s'intensifiant sur Paris, Lille et le bassin minier etc...le soir on constate lors des grosses chaleurs que le mur de la maison ou la terrasse est chaude. Ce phénomène à l'air très prononcé en ville?! Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
TreizeVents Posté(e) 13 juillet 2010 Dax (40) Partager Posté(e) 13 juillet 2010 j'avais déjà entendu que en ville le goudron, le béton est sec comparé a un sol en terre, herbe etc plus humide, donc en temps normal l'eau s'évapore du sol et la température baisse, mais en ville le sol est sec et même le goudron chauffe davantage. Et c'est notamment pour cette raison que MF estime que les périodes de sécheresse au printemps et en début d'été peuvent être des facteurs aggravants à de potentielles canicules. Plus les sols vont être secs lors de la survenue de conditions propices à une vague de chaleur, moins le potentiel de rafraichissement par évaporation va être important. Ce qui ne signifie pas, pour autant (et contrairement à ce qui a été écrit dans certains médias ou par des membres du forum), que les sécheresses printanières et estivales sont des facteurs de canicule : elles ne les causent pas, elles ont seulement le potentiel d'aggraver celles qui se produisent. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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