manutarn Posté(e) 15 décembre 2008 Partager Posté(e) 15 décembre 2008 Bonjour, Je cherche à savoir quelle sont les conséquences d'un décalage entre les géopotentiels et la pression au sol, tant au niveau des hauts ou bas géopotentiels, que l'on constate parfois sur les différents modèles merci à celles et ceux qui voudront bien m'éclairer à ce sujet Manu dans le tarn profond Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
pinthotal Posté(e) 16 décembre 2008 Partager Posté(e) 16 décembre 2008 Bonjour, Je cherche à savoir quelle sont les conséquences d'un décalage entre les géopotentiels et la pression au sol, tant au niveau des hauts ou bas géopotentiels, que l'on constate parfois sur les différents modèles merci à celles et ceux qui voudront bien m'éclairer à ce sujet Manu dans le tarn profond Ta question ne veut pas dire grand chose. Tu parles des géopotentiels de quel niveau de pression ? Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Damien49 Posté(e) 16 décembre 2008 La-Chapelle-Saint-Florent - 49 (proche 44, bord Loire) Partager Posté(e) 16 décembre 2008 Je pense qu'il veut parler des géopotentiels à 500hpa. Mais j'ai pas compris la question pour autant... Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
manutarn Posté(e) 18 décembre 2008 Auteur Partager Posté(e) 18 décembre 2008 bonsoir, C'est en effet sur les cartes de géopotentiel Z500 et pression au sol habituellement les zones de haut géopot correspondent bien à des zones de pressions élevées au sol mais parfois il y a un décalage de 500 voir 1000 km . parfois la courbes de pression au sol coupent perpendiculairement celles des géopotentiels comme c'est le cas ce soir sur le run de gfs pour le 24 à 1h du mat. Je me demande juste si cela à des conséquences Merci Manu dans le tarn Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
pinthotal Posté(e) 18 décembre 2008 Partager Posté(e) 18 décembre 2008 bonsoir, C'est en effet sur les cartes de géopotentiel Z500 et pression au sol habituellement les zones de haut géopot correspondent bien à des zones de pressions élevées au sol mais parfois il y a un décalage de 500 voir 1000 km . parfois la courbes de pression au sol coupent perpendiculairement celles des géopotentiels comme c'est le cas ce soir sur le run de gfs pour le 24 à 1h du mat. Je me demande juste si cela à des conséquences Merci Manu dans le tarn En fait lorsque le minimum de pression au sol est en avance (plus à l'est si flux d'ouest) sur le minimum de pression en altitude, c'est favorable à un creusement de l'ensemble (cyclogénétique). Lorsque le minimum de pression est en retard (plus à l'ouest si flux d'ouest) par rapport au minimum d'altitude c'est favorable à un comblement (cyclolitique) Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
manutarn Posté(e) 19 décembre 2008 Auteur Partager Posté(e) 19 décembre 2008 Merci Pinthotal /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> C'est en effet en général ce que l'on remarque en regardant les modèles et pour les haut géopot et hautes pression c'est le contraire semble t il merci Manu Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Météofun Posté(e) 19 décembre 2008 Partager Posté(e) 19 décembre 2008 pour les haut géopot et hautes pression c'est le contraire semble t il Non, c'est la même chose : dans un flux général d'ouest, il faut aussi un décalage vers l'ouest en altitude des axes de tourbillon pour augmenter l'amplitude des ondes (quelles soient cycloniques ou anticyclonique). Les principes généraux de l'instabilité barocline qui sont associés à ces phénomènes marchent tout aussi bien dans les cas cycloniques et anticycloniques. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cotissois 31 Posté(e) 19 décembre 2008 Brest Partager Posté(e) 19 décembre 2008 Et lorsque les isohypses d'altitude croisent ceux de surface, c'est qu'on a une advection de température en basses-couches (voir équilibre du vent thermique). Ceci explique pourquoi un décalage des structures avec l'altitude favorise la cyclogénèse "barocline" car on a alors des advections, à l'origine de mouvements verticaux. Comme dit Météofun, les ondes s'intensifient alors mutellement (aussi bien en altitude qu'en surface). Suivant un modèle très simple où les ondes sont des sinusoïdes , la situation optimale pour un creusement barocline est un décalage de pi/4 (il faut que le creux de surface soit entre le creux et la crête d'altitude), c'est le fameux modèle d'Eady (années 1950, les américains avaient depuis longtemps abandonné l'instabilité du front polaire), ce qu'on vérifie bien dans la réalité où les dépressions se creusent sur la facade avant des thalwegs. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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