brandi Posté(e) 1 octobre 2008 Partager Posté(e) 1 octobre 2008 Cela fait plusieurs fois que je constaste que la force du vent change lorsqu'un nuage passe devant le soleil. Je ne vois pas pourquoi il y aurait un lien , avez vous une explication ? Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cirus Posté(e) 1 octobre 2008 Partager Posté(e) 1 octobre 2008 Quel genre de nuage? Cumulus, stratocumulus... Si se sont des cumulus, se doit être des cheminées d'ascendances qui engendrent un fraîchissement du vent, mais seulement si celui-ci est placé au-dessus de toi. Autrement, il y a d'autres facteurs qui agissent mais tout cela dépend du relief de ta région sans t'en rendre compte. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
brandi Posté(e) 1 octobre 2008 Auteur Partager Posté(e) 1 octobre 2008 du cumulus humilis , mais a-priori mon observation n'a rien à voir avec les ascendances du nuage. par exemple en bord de mer , un groupe de nuage type cumulus de météo passe devant le soleil (sur la mer et a quelque km de moi) et le vent chute clairement de 5 km/h. le nuage se dégage , fait apparaitre le soleil , et hop + 5km/h. au début je pensais que c'était un hasard , mais je l'ai constaté à plusieurs reprise, comme si le soleil agissait sur le vent. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
geoffrey Posté(e) 1 octobre 2008 Aubigny-sur-Nere (18) Partager Posté(e) 1 octobre 2008 du cumulus humilis , mais a-priori mon observation n'a rien à voir avec les ascendances du nuage. par exemple en bord de mer , un groupe de nuage type cumulus de météo passe devant le soleil (sur la mer et a quelque km de moi) et le vent chute clairement de 5 km/h. le nuage se dégage , fait apparaitre le soleil , et hop + 5km/h. au début je pensais que c'était un hasard , mais je l'ai constaté à plusieurs reprise, comme si le soleil agissait sur le vent. Exact brandi. J'ai constaté ce phénomène depuis très longtemps. La différence peut même être légèrement supérieur à 5 km/h. Comme simple explication, n'étant pas du tout calé en la matière, je me suis dit que l'air réchauffé par le soleil se déplace vers l'air plus froid à l'ombre des nuages. Mais ce n'est peut-être pas du tout ça... /emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20"> Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
sylvainmeteo Posté(e) 1 octobre 2008 Malemort du Comtat (84) - 212 m ; Carpentras (Serres) - 99 m boulot ; parfois Nélu (Aunay sous Auneau) (28) - 155 m Partager Posté(e) 1 octobre 2008 Cela fait plusieurs fois que je constaste que la force du vent change lorsqu'un nuage passe devant le soleil. Je ne vois pas pourquoi il y aurait un lien , avez vous une explication ? j'avais noté ça aussi, une fois, le vent était calme, un gros médiocris passe devant le soleil, j'ai eu droit a une bonne petite rafale qui m'a un peu surpris, depuis j'ai remarqué ça a plusieurs reprises, a ce que je vois ,ce n'est pas un hasard /emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20"> Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cotissois 31 Posté(e) 1 octobre 2008 Brest Partager Posté(e) 1 octobre 2008 On sait que le réchauffement par le bas favorise la convection (même sèche) et donc des rafales. Si un nuage passe devant le soleil, le sol n'est plus réchauffé, donc peut-être que ça a un effet immédiat...? Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
sebb Posté(e) 1 octobre 2008 Partager Posté(e) 1 octobre 2008 Exact brandi. J'ai constaté ce phénomène depuis très longtemps. La différence peut même être légèrement supérieur à 5 km/h. Comme simple explication, n'étant pas du tout calé en la matière, je me suis dit que l'air réchauffé par le soleil se déplace vers l'air plus froid à l'ombre des nuages. Mais ce n'est peut-être pas du tout ça... /emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20"> Oui, j'ai fait le même constat et je pense à la même explication, par temps calme et ensoleillé, une journée sans vent dominant qui serait lié à une évolution synoptique particulière, la brise de mer se forme et peu perdre en intensité dés lors qu'un nuage vient perturber le principe de son fonctionnement. Concernant un cumulus en plaine par exemple lors d'une journée aux conditions similaires (plutôt un Anticyclone qui dirige un courant d'est avec des écarts de pression espacés) , le phénomène d'asendance d'un beau congestus n'est pas l'élément qui compte. Si l'on prend un pauvre cumulus raplaplat qui n'espère pas grand chose en raison d'une situation qui ne permet pas son développement, je pense avoir déjà constaté(lors de journées de pêche...) plusieurs fois un changement du vent à cette occasion lorsque l'on se retrouve dans son ombre. Si cela n'est pas qu'une impression (impression de fraicheur qui accentue la sensibilité au vent), on peut supposer que la zone d'ombre fait descendre légèrement la température temporairement, créant ainsi une différence de température avec les zones toujours ensoleillées aux alentours. C'est alors un simple courant d'air. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
brandi Posté(e) 2 octobre 2008 Auteur Partager Posté(e) 2 octobre 2008 déjà on est d'accord sur le fait que ce n'est pas du hasard, il va falloir résoudre cette egnime. les deux cas se produisent, pendant la zone d'ombre , le vent diminue ou augmente (mesure à l'anemo). ma dernieèe observation etait un jour avec une faible activité thermique , un vent fort (30km) d'ouest , et au bord de mer (manche). par contre il y avait certainement un fort gradient de temperature entre l'air et celle ressentie, je dirais bien 8 degrée d'ecart au moment ou le nuage cache le soleil. Losrque je me pose une question sur le vent , je pense tout de suite à un gradient de pression. il y aurait-il un changement de pression dans la zone à l'ombre ? Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
geoffrey Posté(e) 2 octobre 2008 Aubigny-sur-Nere (18) Partager Posté(e) 2 octobre 2008 Si cela n'est pas qu'une impression (impression de fraicheur qui accentue la sensibilité au vent), on peut supposer que la zone d'ombre fait descendre légèrement la température temporairement, créant ainsi une différence de température avec les zones toujours ensoleillées aux alentours. C'est alors un simple courant d'air. D'accord avec ton explication. /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
brandi Posté(e) 2 octobre 2008 Auteur Partager Posté(e) 2 octobre 2008 Dans le cas du courant d'air , je suis d'accord mais je l'expliquerai par une bulle thermique qui se décroche grace à la présence d'une zone d'ombre à proximité qui sera la source de l'air de remplacement. dans le cas ou il n'y a pas d'activité thermique , voici une proposition de theorie. nous savons tous que l'air prend toujours le chemin le plus facile (il est faineant). dans la zone d'ombre , l'activité moléculaire diminue (moins de chaleur). du coup la masse d'air à l'ombre se trouve hetérogéne par rapport à celle au soleil, et comme l'activité thermique est plus faible elle est moins fluide. l'air à tendance à contourner cette zone . j'ai fait un dessin pour être plus claire. si c'est le cas , on devrait observer : à l'approche de l'ombre une faible variation de la direction du vent et un renforcement de celui-ci (effet venturi). dans la zone d'ombre retour à l'orientation météo du vent et diminution de sa force à la sortie de l'ombre de nouveau une variation en direction et vitesse, puis retour à la normale. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cotissois 31 Posté(e) 2 octobre 2008 Brest Partager Posté(e) 2 octobre 2008 Houlà ! Pas si vite gentlemen ! Ce que tu dis revient à mettre en cause la viscosité : l'air plus froid est plus visqueux que l'air plus chaud. Peut-être, mais en ordre de grandeur, on néglige la viscosité de l'air devant ses propriétés turbulentes. Les gradients de température...ça peut créer une circulation convective, avec une subsidence au niveau de l'air plus froid. Or la subsidence va ramener le vent d'altitude donc au contraire ça favorise des rafales dans la zone plus froide. Sauf qu'à cette échelle-là j'imagine très mal une circulation convective. L'air plus chaud qui va vers l'air plus froid non plus. L'explication de la bulle chaude me plaît davantage, mettant en évidence les échanges turbulents sur la verticale. J'ai juste quelques incertitudes sur la capacité de l'air à se stabiliser à la moindre ombre. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
sebb Posté(e) 2 octobre 2008 Partager Posté(e) 2 octobre 2008 Losrque je me pose une question sur le vent , je pense tout de suite à un gradient de pression. il y aurait-il un changement de pression dans la zone à l'ombre ? la pression n'évolue pas au passage d'un petit nuage de beau temps a un instant (t), même si la pression peut-être plus élevée la nuit qu'en milieu d'apres-midi, il y a la un souci d'échelle qui ne permet pas une augmentation de la force de la colonne d'air sur la surface sur une micro zone par appel d'air sans ascendances de grande ampleur, cela ne tient pas de debout.Dans le cas du courant d'air , je suis d'accord mais je l'expliquerai par une bulle thermique qui se décroche grace à la présence d'une zone d'ombre à proximité qui sera la source de l'air de remplacement. dans le cas ou il n'y a pas d'activité thermique , voici une proposition de theorie. nous savons tous que l'air prend toujours le chemin le plus facile (il est faineant). dans la zone d'ombre , l'activité moléculaire diminue (moins de chaleur). du coup la masse d'air à l'ombre se trouve hetérogéne par rapport à celle au soleil, et comme l'activité thermique est plus faible elle est moins fluide. l'air à tendance à contourner cette zone . j'ai fait un dessin pour être plus claire. si c'est le cas , on devrait observer : à l'approche de l'ombre une faible variation de la direction du vent et un renforcement de celui-ci (effet venturi). dans la zone d'ombre retour à l'orientation météo du vent et diminution de sa force à la sortie de l'ombre de nouveau une variation en direction et vitesse, puis retour à la normale. Le terme de "bulle thermique" à tendance à me déplaire puisqu'il fait référence à une notion de contour que je ne trouve pas tres appropriée dans notre cas, pour ce qui est de la viscosité, j'écoute Côtissois qui en connait quand même un rayon, pensant également que nous ne sommes pas à l'échelle d'une masse d'air. Houlà ! Pas si vite gentlemen ! Ce que tu dis revient à mettre en cause la viscosité : l'air plus froid est plus visqueux que l'air plus chaud. Peut-être, mais en ordre de grandeur, on néglige la viscosité de l'air devant ses propriétés turbulentes. Les gradients de température...ça peut créer une circulation convective, avec une subsidence au niveau de l'air plus froid. Or la subsidence va ramener le vent d'altitude donc au contraire ça favorise des rafales dans la zone plus froide. Sauf qu'à cette échelle-là j'imagine très mal une circulation convective. L'air plus chaud qui va vers l'air plus froid non plus. L'explication de la bulle chaude me plaît davantage, mettant en évidence les échanges turbulents sur la verticale. J'ai juste quelques incertitudes sur la capacité de l'air à se stabiliser à la moindre ombre. L'air est bien obligé de se stabiliser sinon lorsqu'un petit cumulus se reforme toujours à la même place sans un poil de vent ni même un faible flu imperceptible, la zone d'ombre qui lui correspond serait plus fraiche de plusieurs degrés.C'est l'histoire de l'échange entre 2 pièces, l'une étant plus chaude que l'autre, même si dans notre cas le volume d'air plus frais est infiniment plus faible que l'air plus chaud autour. l'air froid circule par le bas de la porte et l'air chaud par le haut de la porte. Je ne sais pas si c'est ce que tu veux dire lorsque tu parles de l'évidence des échanges turbulents sur la verticale. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
brandi Posté(e) 3 octobre 2008 Auteur Partager Posté(e) 3 octobre 2008 Houlà ! Pas si vite gentlemen ! Ce que tu dis revient à mettre en cause la viscosité : l'air plus froid est plus visqueux que l'air plus chaud. Peut-être, mais en ordre de grandeur, on néglige la viscosité de l'air devant ses propriétés turbulentes. je ne vois pas ou je remet en cause la viscosité, l'air plus froid est plus visqueux que l'air chaud donc un déplacement d'air plus difficile dans la zone froide, je parle bien d'une diminution de vent dand la zone froide.Les gradients de température...ça peut créer une circulation convective, avec une subsidence au niveau de l'air plus froid. Or la subsidence va ramener le vent d'altitude donc au contraire ça favorise des rafales dans la zone plus froide. Sauf qu'à cette échelle-là j'imagine très mal une circulation convective. L'air plus chaud qui va vers l'air plus froid non plus. je suis d'accord , à cette echelle et en si peu de temps , il n'y a pas de circulation convective, ni changement de pression Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Météofun Posté(e) 3 octobre 2008 Partager Posté(e) 3 octobre 2008 Déjà je reprends par le début … il faudrait absolument s’assurer que ce ne soit pas une observation simplement basée sur le ressenti où on ne retient que ce qu’on remarque … et comme on ne remarque que ce auquel on fait attention … ça joue parfois des tours. C’est parfois un facteur très important et responsable par exemple de la soit disant action des marées océaniques sur la météo. Ici par exemple on remarque le cas où le vent baisse mais combien de fois avons-nous vu passé un petit cumulus sans variation notable de la direction du vent (et qu’on n’a donc pas remarqué) ? Et pourquoi pas l’observation inverse ? Bon maintenant stipulons que l’observation est statistiquement significative. je suis d'accord , à cette echelle et en si peu de temps , il n'y a pas de circulation convective, ni changement de pression Si si à cette échelle il y a bien changement de pression et convection. Effectivement, les variations de force de vent (même à l’échelle des petites rafales et de la turbulence) sont créées par quoi ?? Bha par les forces de pression … C’est vrai qu’on n’y pense pas souvent mais c’est pourtant bien le cas. De même ces variations de vitesse de vent modifient à leur tour le champ de pression local. On est là dans des conditions absolument pas du tout hydrostatiques et ces variations de pressions sont bien entendues incapables d’être mesurées par les baromètres usuels.Par ailleurs on est là en plein dans un problème de convection avec notamment l’importance du gradient vertical de pression (instabilité convective). La convection c’est pas uniquement les gros Cumulonimbus … C’est aussi le petit humilis et même ce qu’on appelle la convection sèche qui n’est marquée par aucun nuages. Elle est parfois à une échelle bien plus petite. Remarque qui n’a rien à voire mais la convection n’est pas nécessairement instable : la brise de mer ou la circulation tropicale de grande échelle de Hadley sont des exemples de circulation convectives non instable, même si dans les deux cas l’instabilité convective peut y jouer un grand rôle. je ne vois pas ou je remet en cause la viscosité, l'air plus froid est plus visqueux que l'air chaud donc un déplacement d'air plus difficile dans la zone froide, je parle bien d'une diminution de vent dand la zone froide. Non Cotissois disais au contraire que tu faisais intervenir ("mettre en cause" et non "REmettre en cause") la viscosité moléculaire. Et je suis tout à fait d’accord avec lui, c’est totalement négligeable à notre échelle … Ce qui compte c’est la viscosité turbulente, c’est-à-dire la dynamique des petits tourbillons à l’échelle inférieur de notre domaine d’étude.Sinon j’ai aussi des doutes, comme Cotissois sur la capacité de l’air à se stabiliser à la moindre ombre en situation normale. Les surfaces ne se refroidissent pas immédiatement et pour que ça se communique aux couche proche du sol il faut encore un peu de temps et pour que ça se communique sur une épaisseur suffisante pour limiter l’instabilité de façon significative au point de faire baisser la vitesse du vent moyen au sol c’est encore plus long … Sur un nuage assez conséquent, je veux bien, mais pas un tout petit cumulus … Et surtout il faut regarder l’organisation de la convection associée à ces nuages. Un gros cumulus provoque des variations de vent parfois non négligeables au sol. Et un même un petit nuage s’inscrit dans un schéma convectif qui a des répercussions en surface. La réponse est plus à chercher de ce côté là je pense. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
brandi Posté(e) 4 octobre 2008 Auteur Partager Posté(e) 4 octobre 2008 j'ai travaillé sur le point faible de ma théorie, à savoir l'influence de soleil sur la température de l'air. nous savons que celui-ci a peu d'influence et c'est par conduction avec le sol puis convection que celui-ce se réchauffe. la viscosité de l'air est un élément déterminant dans le fait que le vent faiblit la nuit. les bases couches se refroidissent , le vent météo est toujours là , mais à faible altitude le vent est faible, la couche supérieur glisse sur une couche inférieur (gradient de viscosité plus frottement). j'ai constaté un jour de ciel clair , le vent passé de 40km/h à 5km/h en quelques minutes suite au couché du soleil. dans le haut des arbres on pouvait voir que ce même vent était beaucoup plus fort. il n'est peut être pas idiot de penser que l'ombre du nuage agit de la même manière. Dans l'ombre se crée une bulle d'air froid de quelque mètre d'épaisseur, le vent glisse sur cette bulle et fait baisser le vent. même avec une bulle de 2 mètres d'épaisseur, nous pourrions constater une baisse du vent. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cotissois 31 Posté(e) 4 octobre 2008 Brest Partager Posté(e) 4 octobre 2008 Désolé mais il faut que tu trouves autre chose que la viscosité. Météofun est d'accord avec moi, c'est dire /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> L'effet que tu décris est tout à fait vrai mais c'est une autre explication. Le vent au sol est forcé par le vent d'altitude grâce à des transferts verticaux. La nuit, ces transferts sont souvent ralentis par l'affirmation de la stabilité sur les terres, laquelle tend en plus à créer de l'anticyclonisme de très basses-couches qui relâche le gradient de pression. Tout pour rendre le vent faible en surface. Mais du coup le vent d'altitude (basses-couches) garde toute l'énergie pour lui et accélère souvent la nuit en des jets nocturnes. Mais par contre en mer, la stabilité n'est pas assurée et l'accélération nocturne du vent d'altitude favorise souvent des violentes rafales. C'est pourquoi les rafales sont souvent étrangement fortes la nuit en mer, au moins pour ce que je vois sur les caps bretons. (ça marche surtout avec un flux rapide à grande échelle pas très perturbé, anticyclonique par exemple) Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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