Suivi de l'épisode pluvio-orageux 17-18/09/2007

[jej42400]

Ici dans le Nord Isère , rien d'extraordinaire : 31 mm au Spiea ces dernieres 24 h !

Je pense que de toute façon on est tous d'accord pour finalement dire que la vigi orange de MF était parfaitement vue et justifiée. Mais il est vrai que si en Loire Sud, nous n'avions pas eu cet orage fortement grêligène de 17h30-18h, ça n'aurait pas été si extraordinaire que cela non plus... Ce qui c'est passé ensuite, de bons coup de tonnerre, de la flotte et de bonnes rafales de vent, quoi de plus normal pour un épisode orageux...

[Marc09]

Voila l'article de la Dépêche Du Midi sur cet épisode dans le Tarn:

INTEMPÉRIES. UNE VÉRITABLE TEMPÊTE A CAUSÉ DE SÉRIEUX DÉGÂTS À ALBI AINSI QUE SUR LE NORD ET L'OUEST, ENDOMMAGEANT MAISONS ET COMMERCES.

Soudain, l'ouragan s'est abattu

Un ciel de plus en plus noir, une visibilité quasi nulle. Il n'est que 17 heures passées de quelques minutes. Soudain, le ciel explose dans un grondement sourd. Hier, en quelques minutes, la ville puis sa partie nord et ouest ainsi que les communes de la grande périphérie ont connu un ouragan d'une violence inouïe. La grêle -des grêlons gros comme des prunes-puis des vents enregistrés par Météo France à 115 km/h et la pluie sont à l'origine d'importants dégâts. La tempête a duré entre 5 et 10 minutes selon les secteurs touchés. Certains quartiers d'Albi sont passés à travers. D'autres comme la Maladrerie, le Castelvieil, Canavières, Rayssac et Cantepau étaient recouverts d'une épaisse couche de grêlons blancs.

Les feuilles des arbres, hachées menues, ont recouvert la chaussée sur des centaines de mètres. Ci-et-là des dizaines de voitures cabossées par les impacts. On ne compte plus les pare-brise ou lunettes arrières explosés, les arbres arrachés, toitures éclatées et abris détruits.

Hier soir, les cellules de crise de la préfecture et de la mairie évaluaient les dommages. On y verra beaucoup plus clair aujourd'hui mais hier soir, le bilan était sombre. Très sombre.

APPELS DE DÉTRESSE

Cinquante sapeurs-pompiers, 20 policiers et gendarmes ont tenté de faire face aux urgences sur le terrain et aux appels de détresse de particuliers et d'entreprises touchées dans la zone de la Beaute au Séquestre : Leclerc, Sport 2000, Malin Plaisir, Reca etc. Puis en face au lycée Fonlabour et un peu plus loin dans la zone Albipole. Les toitures ont été soufflées, puis les vitres fracassées avant que l'eau ne s'engouffre et endommage l'intérieur des magasins et usines. Une ligne haute tension emportée par un arbre est à l'origine d'un énorme bouchon sur l'A68 dans le sens Toulouse-Albi. Les communes n'ont pas été épargnées par l'ouragan : Terssac, Marssac, Florentin, Lagrave, Saliés, Carlus, Rouffiac ont eu leur lot de désolation et de superbes chênes, deux ou trois fois centenaires, terrassés par les vents violents et bloquant les routes. Hier soir, c'était le système D et l'entraide qui primaient.

Patrice Scoccia

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« Tous les enfants seront accueillis dans les écoles »

Sur Albi, on recensait hier soir treize écoles endommagées par la grêle et les inondations. « Mais tous les enfants seront accueillis mardi matin », insistait le maire Philippe Bonnecarrère. Le service de cantine fonctionnera partout.

Seul souci, à l'école de la Curveillère pour le dortoir des petits qui a été inondé. Le couchage ne pourra être assuré dans des conditions normales.

Du côté des bus, trois sont hors d'usage, cabossés et vitres brisées. Hier soir tous les enfants ont été raccompagnés chez eux et ce matin le trafic sera normal.

Sur la voirie, les équipes seront à l'œuvre ce matin à 4 h 30 pour assurer le nettoyage dans les quartiers de la Maladrerie, Breuil, Rudel, Fonlabour, Cannavières, Castelviel.

Le ramassage des ordures ménagères sera assuré.

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INTEMPÉRIES. DANS LE NORD D'ALBI, ON NE COMPTE PLUS LES VOITURES CABOSSÉES, LES VOLETS ROULANTS BRISÉS. REPORTAGE DANS UNE AVENUE TRÈS AFFECTÉE.

Cantepau : la grêle hache tout à Hoche

Il vous tend un couvercle plein de grêlons « gros comme des œufs de poule. J'ai des glaçons pour l'apéro ! », dit Jean-Léo Raffanel. Ce retraité de 62 ans n'a pas perdu le sens de l'humour. Il aurait de quoi : « La carrosserie de la Laguna est flambée. Mon autre voiture a le rétroviseur et le pare-brise fêlés. J'ai appelé Car Glass. Ils sont débordés. » Les gouttières en PVC du toit sont transpercées. Déformé, son rideau électrique est hors service. Dans tout le nord d'Albi, la scène se répète. « La Dépêche du Midi » a remonté hier soir à Cantepau une rue parmi d'autres, l'avenue Hoche, où tout est plus ou moins haché. « La grêle n'a duré que 7 ou 8 minutes. Cela fait peur », dit Jean-Léo Raffanel, qui habite au numéro 5.

« Pour cabosser comme ça, ça a dû taper avec une force incroyable. On n'imagine pas les dégâts. Je n'en reviens pas », dit Alain Barthès, 59 ans. Outre la voiture abîmée, ce fonctionnaire qui réside au 10 a le vasistas avec double vitrage et la véranda pourtant en PVC alvéolé, très solide, traversés par cette glaciale mitraille. Il s'inquiète des réparations : « Et comment ça va se passer, avec les assurances ? Et les artisans, qui ne vont pas être disponibles, avec le froid qui arrive… » Au numéro 17, justement, ce sont les panneaux solaires qui ont éclaté, sur le toit de Louis Steffan, sans compter les volets et le pare-brise du Trafic. « Les enfants, terrifiés, pleuraient dans tous les sens, quand on a entendu tout péter. Il y a eu un drôle de souffle », témoigne sa belle-fille, Muriel Steffan. « Il y avait 10 cm de grêlons sur la chaussée », évalue Stéphanie Henry. Cette jeune femme d'Arthès âgée de 30 ans était garée avenue Hoche avec le véhicule de sa société, KS nettoyage. « Je suis venue nettoyer le canapé d'un particulier. Je repars. Je n'ai plus de voiture ! » Sa Saxo a le hayon arrière, les feux, les rétroviseurs, en morceaux. « Je ne peux plus ouvrir la malle. Il y a des morceaux de verre partout… Et est-ce que l'assurance remboursera aussi les impacts dans la carrosserie ? Je voulais faire reprendre la voiture l'an prochain. C'est fichu », se désole-t-elle.

« Le climat se détraque », en déduit Robert Maïto, qui est au 133. Son barbecue métallique a traversé le jardin et sa tonnelle en tissu est en lambeau. C'est aussi le cas chez son voisin Ahmed Abtoy, au 131. Lui aussi préfère manier l'humour. Ce musulman tend un plat en terre cuite, resté dehors et retrouvé brisé, plein de morceaux de glace : « Ce soir pour rompre le jeune du Ramadan, on mange la tajine aux grêlons ! »

Alain-Marc Delbouys

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Plusieurs personnes blessées

Sur la RN 88, dans un accident provoqué par un arbre couché sur la route. Deux personnes dont une femme enceinte ont été évacuées sur le centre hospitalier. Dans un bus, une jeune fille touché par l'explosion d'une vitre. Une autre jeune fille assomée devant le lycée Sainte-Dominique et deux autres personnes au centre Leclerc. Et de nombreuses ecchymoses pour des piétons ou des cyclomotoristes.

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Centre d'appels hors d'usage à l'UMT

Pas de blessés mais des dégâts matériels importants au siège de l'UMT, avenue de Pelissier.

Dans les bâtiments situés du c ôté de la voie ferrée, le centre d'appel des adhérents de cinq départements et des professions indépendants, pour Santé Vie, est hors d'usage, l'informatique ayant subi les infiltrations d'eau.

Sur les 200 m2 de toit plat du bâtiment, la grêle a bouché les évacuations.

Les eaux de pluie accumulées se sont infiltrées dans les isolations provoquant l'effondrement des faux plafonds sous le poids de la laine de verre. « On a fermé tous les volets. On avait vraiment l'impression que tous les carreaux allaient exploser. On guettait une éclaircie pour pouvoir rentrer chez nous… Avenue de Pelisier, j'ai vu une voiture avec le pare-brise cassé » explique une employée dont la voiture a été cabossée par « des grêlons énormes ».

« Les terminaux informatiques sont endommagés » relatait Christian Bru, le directeur de l'UMT. « Le personnel s'est mobilisé et a paré au plus pressé. Avec l'aide des pompiers, ils ont mis les ordinateurs au sec ». C.F.

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Le Séquestre: la zone commerciale touchée

La zone commerciale du Séquestre a été sévèrement touchée par l'orage de grêle qui s'est abattu vers hier après-midi. « Ce sont les verrières de magasins qui ont cédé », indiquait sur place vers 19 heures Jean-Charles Balardy, adjoint au maire du Séquestre chargé de l'environnement. Les dégâts les plus spectaculaires ont sans doute été provoqués dans le magasin Districenter. Le plafond s'est effondré sur une surface de 40 m2 au moins. Les 3 / 4 de l'établissement sont sous une pellicule d'eau de 2 à 5 centimètres par endroits. « En tombant sur le toit, les grêlons ont bouché les chéneaux et provoqué par infiltration l'effondrement du plafond » raconte Muriel Malaterre, responsable du magasin. Afin d'éviter les risques d'électrocution, l'établissement était définitivement plongé dans l'obscurité vers 19 h 30. Muriel Malaterre a dû appeler in extremis un vigile pour surveiller son établissement.

DÉCOR D'APOCALYPSE

« Il n'y a pas de blessé, c'est le plus important », tempère Muriel Malaterre. Les vendeuses ont eu le temps de faire évacuer le magasin avant que les plafonds ne cèdent totalement : « J'étais au fond du magasin avec un client et ma collègue est venue me chercher pour nous faire sortir », raconte une employée.

Les établissements voisins livrent eux aussi leurs scènes de désolation. Le magasin de décoration Bambou devra rester fermé aujourd'hui et probablement dans les prochains jours : « Les meubles en teck ont été touchés », déplore Christophe Anselme, gérant de la boutique. Lui et ses deux employées sont résignés à devoir attendre le passage des agents d'assurance : ironie du sort, le magasin vient de fêter ses un an d'activité il ya 3 mois.

De l'autre côté de la rue, le magasin « Arts et beaux arts » est sous les eaux. Aidée de ses proches, la gérante du magasin spécialisé dans les cadres et la papeterie, éponge l'eau du sol. « Des rideaux d'eau tombaient des arêtes du magasin », décrit sa nièce, « plusieurs carreaux de verre ont été brisés ». Les conséquences sont désastreuses pour le magasin : « nous vendons du papier, tout a été imbibé d'eau. C'est l'apocalypse depuis deux heures ». L'apocalypse, on n'en est pas loin aussi du côté de Mr bricolage. L'eau s'est infiltrée dan, s la climatisation et les fumidoms. Tout autour, les ruelles sont inondées : les bouches de canalisation n'ont pas résisté aux grêlons.

Emilie Delpeyrat

INTEMPÉRIES. LES COMMUNES AUX ALENTOURS D'ALBI N'ONT PAS ÉTÉ ÉPARGNÉES PAR L'OURAGAN QUI S'EST ABATTU HIER SOIR. IL Y A BEAUCOUP DE DÉGÂTS.

Spectacle de désolation

Même en connaissant les petites routes de campagne, hier, la situation des automobilistes piégés sur l'A68 ainsi que sur la double voie, ne s'est guère améliorée. Certains ont tenté la vieille route de Terssac, bloquée un temps par un arbre tombé sur une voiture. Mais la file d'attente s'est rapidement allongée à l'approche de Marssac. D'autres ont quitté l'A68, bloquée sur une voie dans le sens Toulouse-Albi par une ligne électrique emportée par un arbre à hauteur de Lagrave. La sortie de Marssac semblait providentielle mais les automobilistes se sont vite retrouvés coincés sur les petites routes bloquées à la suite de plusieurs chutes d'arbres. De superbes chênes terrassés par les vents du côté de Florentin, puis en direction de Rouffiac.

« On n'y voyait rien, c'était tout blanc, ça résonnait très fort dans la voiture. J'ai placé ma main sur le pare-brise pour qu'il n'éclate pas. Et puis la brume a commencé à se lever dans les champs. Il y avait une belle lumière lorsque la pluie et la grêle ont cessé », confie cet automobiliste coincé sur une petite route entre Marssac et Rouffiac. Il connaît bien le coin. Il s'est retrouvé piégé sur une route étroite par un arbre abattu. Il a pu faire demi-tour. Mais cette fois-ci, il est bloqué avec des dizaines d'autres voitures sur une autre route pour un bon moment. Des agriculteurs et des riverains travaillent d'arrache-pied pour débiter l'énorme chêne et libérer la route. L'ambiance est bonne sous la pluie.

Un peu plus loin, peu après les gravières de Marre, ce Rouffiacois fait le bilan. Les chênes sectionnés par le vent se sont abattus sur son garage. Ils ont épargné sa maison mais pas son fourgon et son ULM. Le garage est en mauvais état. Il n'y a pas eu de blessés, fort heureusement. Un peu plus loin, la route a été dégagée à la tronçonneuse. Des tonnes de feuilles broyées par la grêle rendent la chaussée glissante. Mais les accidents se sont surtout produits sur l'A68 et la rocade. Rien de bien méchant. P.S.

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Dans les communes autour d'Albi

L'orage de grêle et de pluie, les bourrasques de vent ont surtout touchés l'Albigeois coté Ouest et un peu vers le Nord.

Castelnau-de-Lévis. Pas de grêle, peu de pluie mais deux arbres arrachés par le vent devant l'église et à la cité de la Mouline.

Gaillac. Pas de grêle sur le vignole mais de la pluie. A la cave on s'inquiétait cependant pour les vignobles situés sur les côteaux.

Salvagnac. Beaucoup de pluie pas de grêle.

Mirandol-Bourgnounac. Beaucoup de pluie mais pas de dégâts.

Saint-Juéry. Vingt-deux sapeurs-pompiers ont été mobilisés pour des caves inondées, l'effondrement d'un mur, deux arbres déracinés et un accident de la circulation dû à une route inondée.

Valdériès. Pluie abondante pendant 15 minutes et des rafales de vent causant des dégâts aux vitres et fenêtres. Pas de grêle.

Valence-d'Albigeois. L'orage n'a pas fait de dégâts, seuls quelques petits ruisseaux ont débordé de leur lit.

Saint-Benoit de Carmaux. Beaucoup de pluie et de vent et plusieurs arbres arrachés.

Blaye-les-Mines. La toiture de de la maison de la Découverte à Cap'Découverte a été endommagée sur près de 300 mètres carrés.

Hier à 21 heures on comptait plus de 160 interventions des sapeurs-pompiers. Une centaine de gendarmes, policiers et sapeurs-pompiers ont été mobilisés.

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ZONE ALBI -TERSSAC.

Le lycée Fonlabour évacué

Le lycée Fonlabour, les dégâts sont tels que la direction a évacué tous ses élèves hier, ne gardant que les internes dont les parents n'avaient pu être joints.

À partir de demain et pour une durée encore indéterminée hier soir, l'établissement est fermé et les cours n'auront pas lieu.

« Nous préviendrons les familles individuellement lorsque les cours reprendront » précisait hier soir Pierre Gerwig, proviseur de Fonlabour.

« Nous avons eu deux épisodes, le premier avec 5 ou 6 minutes de grêle et le second avec 15 minutes de pluie et de vent » décrit-il.

C'est la partie ouest du lycée, du côté de la zone industrielle Albi Terssac qui est le plus touchée.

« De très nombreuses vitres sont cassées. Avec les infiltrations d'eau les plafonds se sont effondrés et les serres sont détruites », recensait hier le proviseur.

Seule consolation dans cet amoncellement de dégâts, l'établissement ne déplore aucune victime.

« On a eu des dégâts très importants mais pas de mouvement de panique » se félicite le proviseur.

« C'était très fort, les fenêtres des salles de cours ont claqué et beaucoup ont cassé. Le professeur nous a fait sortir pour éviter que l'on soit blessé par les éclats de verre. Dehors plusieurs arbres étaient touchés. Ensuite il a plus vraiment très fort » témoigné Casey Burke, 16 ans, interne à Fonlabour.

GROS DÉGÂTS À LA SAFRA

« La Safra est la plus touchée. Ils n'ont pas réactivé l'électricité parce que les machines ont pris l'eau » constatait hier Didier Gardinal, le président de la CCI Albi-Carmaux en faisant avec le maire d'Albi le tour des entreprises de la zone industrielle Albi-Terssac. Partout les mêmes dommages, bardages cassés, infiltrations d'eau à travers les plafonds, dégâts informatiques et nombreux dommages sur les voitures garées à l'extérieur. Chez Mécanumeric, aux Transports-Andrieux, Flavourin, Phodée ou encore Albi-Diffusion- Presse, les dégâts matériels sont très importants. «

ça fait mal au ventre de voir tous ces dégâts. Les gens veulent redémarrer le plus vite possible et tout le monde se relève les manches. Cette solidarité fait plaisir à voir. On espère que le temps va se calmer pour pouvoir bâcher » confiait Didier Gardinal, rassuré qu'aucune victime ne soit à déplorer. M.L.

[Paul1305]

Dit donc sa fait quand meme pas mal de degats et meme si il n'y a eu aucun blssé les medias n'en ont meme pas parlés....

[Enzo T.]

Ah bon? Même une édition spécial "Tempete" sur le JT de Midi-Pyrénées a 12h! Donc ca a été quand même très médiatisé, on n'a que ça depuis hier midi!

[Marc09]

Je réouvre ce sujet car le directeur du CDM 81 a reçu une photo d'un particulier. Cette photo a été prise pendant cet épisode à Albi . Il me la donc donnée car ce phénomène est monstrueux et très beau.

Cette photo est très impressionnante !