ovni57 Posté(e) 4 janvier 2007 Partager Posté(e) 4 janvier 2007 L'année qui débute pourrait être la plus chaude jamais enregistrée. Les météorologues du Hadley Centre, dépendant de l'agence météorologique britannique (Met Office), ont effectué leur prévision annuelle : le thermomètre pourrait afficher une hausse de 0,54 degrés Celsius par rapport à la température globale moyenne de 14°C. Le précédent record de chaleur avait été enregistré en 1998, avec une hausse de 0,52° C par rapport à la normale. La hausse prévue en 2007 tient pour partie aux émissions de gaz à effet de serre provoquées par les activités humaines. Auxquelles s'ajoute le retour, depuis septembre dernier, d'El Niño dans l'Océan Pacifique. Bien que modéré cette année, ce phénomène climatique (lire l'encadré ci-dessous) aura des répercussions sur le climat mondial. Les experts britanniques estiment qu'il y a 60% de chances que la hausse annoncée des températures se produise. Et ils rappellent que, depuis sept ans, leurs prévisions annuelles globales se sont avérées "remarquablement justes", avec une erreur ne dépassant pas les 0,06°C. Pour autant, Pascale Delecluse, directrice adjointe du Centre national de recherches météorologiques, n'est "pas complètement convaincue". "Défi intéressant" "Le phénomène El Niño en cours n'a rien à voir avec celui de 1998, qui a été le plus fort du siècle", explique-t-elle à LCI.fr. "Je ne sais pas si l'El Niño de cette année sera capable d'influencer le climat mondial", poursuit-elle. "Ce qui est certain, c'est que nous sommes dans une tendance lourde au réchauffement, pointe la spécialiste française. Mais ce n'est pas forcément linéaire. 2003 et 2006 ont été les deux dernières années les plus chaudes ; or, ni l'une, ni l'autre n'étaient des années El Niño." Pascale Delecluse rappelle par ailleurs que les prévisions à long terme aboutissent "encore à trop de divergences, en particulier sur les régions tempérées", d'un organisme météo à un autre. Et ce, au delà des différentes méthodes de calcul, employées de chaque côté de la Manche. Pour autant, la chercheuse admet que les météorologues britanniques "ont posé un défi" à la communauté scientifique internationale et que leurs homologues français vont devoir lancer leurs propres analyses. Et de souligner : "Le Met Office a pris des risques en rendant publiques ces prévisions mais c'est intéressant". El Niño, une anomalie du climat "C'est une anomalie du climat qui survient en moyenne tous les cinq ans dans l'océan Pacifique. En temps normal, les alizés y soufflent d'est en ouest. Les eaux chaudes s'accumulent dans l'ouest du Pacifique, où les précipitations sont importantes. Dans l'est, les eaux froides remontent des profondeurs. Lors d'un El Niño, les alizés faiblissent, voire s'inversent. Les eaux chaudes s'étendent alors petit à petit le long de l'équateur, bloquant la remontée d'eau froide et formant donc des nuages et de la pluie vers le centre et l'est de l'océan" (source : CNRS). sources :http://tf1.lci.fr/infos/sciences/environnement/0,,3377549,00-vers-record-chaleur-2007-.html si cet article a deja était posté, fermé ce topic; mdrr Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
dudule Posté(e) 4 janvier 2007 St Georges sur Loire (49), 15 km à l'ouest d'Angers. Partager Posté(e) 4 janvier 2007 C'est cool! On prévoit déjà ce qui n'est pas arrivé! C'est pas parce que on vit un RC que l'année qui arrive va être plus chaude que la précédente et etc... /emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20"> Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
chris68 Posté(e) 4 janvier 2007 Sainte-Croix-aux-Mines (68) - 340 m Partager Posté(e) 4 janvier 2007 C'est cool! On prévoit déjà ce qui n'est pas arrivé! C'est le but de toute prévision non? Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
logos Posté(e) 4 janvier 2007 Paris 14 Partager Posté(e) 4 janvier 2007 C'est le but de toute prévision non? C'est mieux de prévoir ce qui est arrivé comme ça cela fait 100% de fiabilité /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
florent76 Posté(e) 5 janvier 2007 Partager Posté(e) 5 janvier 2007 L'année qui débute pourrait être la plus chaude jamais enregistrée. Les météorologues du Hadley Centre, dépendant de l'agence météorologique britannique (Met Office), ont effectué leur prévision annuelle : le thermomètre pourrait afficher une hausse de 0,54 degrés Celsius par rapport à la température globale moyenne de 14°C. Je suis moi aussi inquiet de ce point de vue pour ce qui concerne l'Europe et pas seulement du fait des études du Met Office, mais parce les élements que je rassemble corroborent également tout à fait cette thèse./index.php?s=&showtopic=17267&view=findpost&p=381142'>http://forums.infoclimat.fr/index.php?s=&a...st&p=381142 Florent. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
florent76 Posté(e) 12 janvier 2007 Partager Posté(e) 12 janvier 2007 Un hiver 2007 printanier jeudi 11 janvier 2007 Après un automne anormalement doux, les records de douceur s'accumulent à Paris, New York ou aux Pays-Bas. Selon des experts, l'effet de serre et l'influence d'El Nino expliquent des changements climatiques qui devraient globalement se poursuivre dans les mois à venir. Bain de soleil à Nice ce mardi © Valéry Hache / AFP Des conséquences dans le monde entier A Paris, avec 11,2 degrés dans la nuit de mardi à mercredi, il faut remonter à 1922 pour trouver le précédent record, à 9,5 degrés ! Après un automne déjà particulièrement clément, il a fait notamment mardi après-midi 21,1 degrés sous abri à Nîmes, une température jamais atteinte sur les 50 dernières années en ce début janvier. Records battus également à Perpignan, à Strasbourg ou à Marseille. Interrogé par l'AFP, Frédéric Nathan, prévisionniste de Météo France, a précisé que, globalement, les températures actuelles sont d'environ 8 degrés au dessus des normales saisonnières. Selon lui, cette grande clémence est due à "une masse d'air très douce qui remonte du sud-ouest et à une couverture nuageuse importante qui empêche l'air doux de la journée de s'échapper la nuit". Après une année 2006 classée au 4e rang des plus chaudes de l'hémisphère nord par l'Organisation météorologique mondiale (OMM), les services météorologiques britanniques estiment déjà qu'il y a "60% de probabilité" pour que l'année 2007 batte des records de chaleur, avec une moyenne mondiale de 14,54°C, détrônant de peu l'année 1998. Dans l'hémisphère nord justement, Montréal a été privé de neige à Noël pour la première fois de mémoire d'homme, l'hibernation des ours bruns en Suède a été retardé de deux mois, tandis que les arbres qui bourgeonnent d'ordinaire en mars et avril fleurissent depuis décembre. Enfin, les Pays-Bas ont connu mardi un record de douceur avec une température moyenne de 12,9 degrés, la plus élevée depuis que les mesures ont commencé en 1901. L’influence d’El Nino et du changement climatique. Tous les trois ou sept ans - la dernière fois en 1998 -, ce phénomène climatique affole le mercure. Et selon Jean-Pierre Céron, directeur-adjoint de la climatologie à Météo France, cela devrait durer jusqu'à la fin du premier trimestre, car El Nino est installé sur le Pacifique est depuis la fin de l'été. Du coup, les eaux du centre et de l'est du Pacifique se réchauffent de façon importante, modifiant le cycle des échanges de chaleur et d'humidité entre l'océan et l'atmosphère. Conséquences parmi d’autres : des ours suédois insomniaques, des grues qui s'attardent en Allemagne et des épreuves de ski annulées faute de neige en Autriche ou en Italie. Mais il faut aussi compter avec le changement climatique selon certains experts. "Sur les 30 dernières années, les températures de l'hiver ont globalement augmenté d'une façon anormale par rapport au passé, sans qu'on puisse l'expliquer par les seuls phénomènes solaires ou volcaniques", a ainsi affirmé à l’AFP Jürg Luterbacher, climatologue de l'Université de Berne en Suisse qui a passé au crible le climat du demi-millénaire écoulé. Et l'actuel épisode de tiédeur hivernale est "cohérent avec les effets attendus des rejets de gaz à effet de serre et accrédite la thèse du réchauffement climatique", a également estimé Michel Schneider, ingénieur de Météo France. Même s'il ne peut lui être attribué directement compte tenu de la variabilité naturelle du climat". 22 degrés à Manhattan, cette température exceptionnelle enregistrée cette semaine à New York résume à elle seule le drôle de climat de ce début d'année 2007. Dérèglement climatique aux Etats-Unis, en France, mais aussi dans de nombreux pays. Petit tour du monde avec Renaud Bernard... La douceur s'est installée depuis plusieurs mois sur l'ouest de la france et la charente maritime notemment. A part une semaine aux alentours de Noël, où il a fait froid. Les températures semblent callées au dessus des moyennes saisonnières : il a fait jusqu'à 14°6 mardi à la Rochelle, soit 7° de plus que la moyenne (avec 11°6 pour les minimales). La durée de la période est exceptionnelle et entraîne des bouleversements du côté de la végétation. Les jardiniers en témoignent, que ce soit dans les serrres municipales, ou les jardins ouvriers de la ville. A la Rochelle, Marie-Laurence Dalle... Des prunus en fleurs dans les jardins publics de Reims. Pas de doute, le réchauffement climatique se confirme. Phénomène préoccupant qui nous inquiète tous, mais à très court terme, certains peuvent y trouver des avantages, comme dans le vignoble champenois, Monique Derrien... A quelle vitesse les glaces du Pôle Nord fondent-elles ? On aura la réponse grâce à l'explorateur Jean-Louis Etienne qui tient une conférence ce matin à Paris pour annoncer, qu'après 30 ans d'expéditions, il va se lancer dans une nouvelle aventure. Il va survoler le Pôle Nord en mars 2008 à bord d'un dirigeable pour mesurer l'épaisseur des glaces, une information impossible à obtenir aujourd'hui avec les satellites. Pour France Info, précisions de Bruno Rougier... Source : http://www.radiofrance.fr/reportage/laune/...0098&arch=1 Florent. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
florent76 Posté(e) 12 janvier 2007 Partager Posté(e) 12 janvier 2007 Records de douceur pour le début de l'hiver en France Edition du Mercredi, 10/01/2007 Plusieurs records de douceur ont été battus mardi en France, selon Météo France qui prévoit un début d'année plus doux que la normale, après un automne déjà particulièrement clément, sur fond de réchauffement climatique. Mardi à 14h00, il faisait 19,2 degrés à Perpignan, un record du jour, le précédent étant de 18,1 degrés le 9 janvier 1996, a indiqué à l'AFP Frédéric Nathan, prévisionniste de Météo France. Des records ont également été battus à Strasbourg avec 14,3 degrés contre 14,2 en 1992, à Lyon (16,2 degrés contre 14,8 en 1996), à Dijon (12,9 degrés contre 12,1 en 1998) et à Marseille-Marignane (18,7 degrés contre 17,1 en 1996). Globalement, les températures actuelles sont d'environ 8 degrés au dessus des normales saisonnières, a-t-il précisé, soulignant que »les neuf premiers jours de janvier ont été très doux». Des records de douceur ont également été battus la nuit dernière, avec 12 degrés à Bourges, 11,9 degrés à Tours, 8,8 degrés à Metz, a-t-il précisé. A Paris, la nuit a été très douce avec pas moins de 11,2 degrés, le précédent record datant de 1922 avec 9,5 degrés étant ainsi battu. Cette grande clémence est due à »une masse d'air très douce qui remonte du sud-ouest et à une couverture nuageuse importante qui empêche l'air doux de la journée de s'échapper la nuit», a expliqué le prévisionniste. D'une manière générale, »on bat beaucoup plus de records de chaleur que de froid, c'est la tendance au réchauffement climatique», a-t-il fait remarquer. L'année 2006 se place au troisième rang des années les plus chaudes depuis 1950, avec une moyenne supérieure de +1,1°C à la normale, a-t-il rappelé. Pour 2007, »les différents modèles prévoient un hiver assez doux, ce qui n'exclut pas des périodes de froid», a-t-il déclaré. Pour le trimestre janvier-février-mars 2007 pour la France métropolitaine, »Météo-France privilégie des températures moyennes supérieures aux normales saisonnières. En revanche, aucun scénario ne se dégage pour les cumuls de précipitations, dont la prévisibilité reste faible», selon le site internet de l'organisme de prévisions météo. »Le phénomène de type El Niño est arrivé à maturité et devrait s'atténuer dès le début du printemps. En France métropolitaine comme dans les DOM-TOM, les températures moyennes sur le trimestre s'annoncent plus élevées que la normale, sauf en Nouvelle-Calédonie où aucune tendance ne se dégage», indique Météo France. Dans les Alpes françaises, l'extrême douceur actuelle devrait se maintenir au cours des 10 prochains jours sur le nord du massif, voire même s'accentuer dans sa partie sud, selon Yann Giezendanner, prévisionniste à Météo France Chamonix. A l'échelle mondiale, la température moyenne pourrait atteindre un niveau record en 2007 pour se situer à 14,54 degrés celsius, détrônant ainsi l'année 1998, estiment de leur côté les services météorologiques britanniques. Source : http://www.tageblatt.lu/edition/article.asp?ArticleId=56748 (l'original a du bon : ils ont de l'humour au Luxembourg ! Vivement l'été ! ) Florent. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
ricos Posté(e) 12 janvier 2007 Chélieu 38 (554 m ) et hauteur de Mieussy/Thyez (965 m ) Partager Posté(e) 12 janvier 2007 C'est cool! On prévoit déjà ce qui n'est pas arrivé! C'est pas parce que on vit un RC que l'année qui arrive va être plus chaude que la précédente et etc... C'est clair , par rapport a l'hiver dernier , on est actuellement 5 a 6 °C au dessus dans le Centre Est , c'est ce qui est prévu dans le pire des cas comme hausse de température vers l'an 2100 , il est vraiment en avance le rechauffement dans ce cas là , en 1 année , on a sauté 93 ans ! Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
florent76 Posté(e) 12 janvier 2007 Partager Posté(e) 12 janvier 2007 Pourquoi l'hiver est-il si chaud ? Propos recueillis par Bruno D. Cot En ce mois de janvier, les records de températures ne cessent d’être battus. Une douceur anormale et quasi ininterrompue depuis le début de l’automne 2006. Faut-il, pour autant, y voir un signe indéniable du réchauffement climatique? L’explication de Jérôme Lecou, ingénieur prévisionniste à Météo-France L’Europe et la France connaissent une vague de douceur hivernale inédite, après un automne 2006 déjà considéré comme le plus chaud depuis… 1659. Quels sont les signes de ce réchauffement? Outre un petit épisode plus froid au début du mois de décembre lié à des masses d’air venues de l’est, force est de constater que depuis septembre, nous connaissons une période de douceur étonnamment continue. Une tendance que confirme ce début d’année où nous ne cessons de voir tomber les records: la moyenne des températures des premiers jours du mois de janvier se trouve supérieure de six, sept, voire huit degrés aux normales saisonnières. Le 9 janvier, nous avons battu des records de températures maximales dans l’après-midi avec près de + 20°C à Marseille et à Perpignan. Et ce 10 janvier, c’est au tour des minimales, avec 12°C à Abbeville ou encore 9°C à Strasbourg! Un dernier indicateur inédit est la douceur de ces températures hivernales durant la nuit. Y a-t-il une explication particulière à ce réchauffement? D’un point de vue général, l’Europe se trouve soumise à des différences de masses d’air très variées durant l’hiver: celles qui viennent des pôles, celles liées au Gulf Stream ou encore les flux qui remontent du sud-ouest. En cette période de l’année, ces derniers ont plutôt coutume de rester au niveau des tropiques. Ce qui n’est pas le cas en ce moment puisque ces masses d’air chaud balaient l’ensemble du Vieux continent. Elles apparaissent comme la raison première de la douceur que nous connaissons actuellement. Ensuite, il y a des explications plus ciblées: les records de températures de jour sont liés au rayonnement solaire alors que ceux de la nuit dépendent non seulement de la présence des masses d’air chaud, mais aussi de l’existence d’une couverture nuageuse compacte qui, au-dessus de nos têtes, ne bouge pas. Vous disposez de modèles numériques à long terme. Envisagent-ils une continuation durable à cette douceur hivernale? En effet, nos modèles laissent entrevoir la poursuite d’un hiver plus doux que la normale dans les trois prochains mois. Ce qui ne signifie pas qu’il ne fera pas froid. Comme au mois de décembre, nous devrions connaître de petits épisodes frisquets. Ce que nous vivons aujourd’hui peut-il être considéré comme un signe du réchauffement climatique ? Pas vraiment si l’on se cantonne aux records enregistrés ces jours-ci. Ils ne sont que des relevés ponctuels. Le 9 janvier dernier était la deuxième journée la plus chaude jamais enregistrée depuis 1950. La première remonte au 15 janvier 1975. On ne parlait pas alors de réchauffement climatique. En revanche, ce dernier se mesure plutôt à une échelle de la décennie: les années connues les plus chaudes remontent à 1994, 2003 et 2006. Un podium très contemporain, ce qui est inquiétant. Source : http://www.lexpress.fr/info/quotidien/actu.asp?id=8267 FLorent. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
charles.muller Posté(e) 12 janvier 2007 Partager Posté(e) 12 janvier 2007 Il est mesuré, ce Jérôme Lecou, cela fait plaisir à lire. En 1975, précédent record journalier hivernal, on était en plein... La Nina. Dur dur, la prévision. Par définition, l'ES anthropique est un phénomène continu : les X°C d'anomalies ne viennent pas soudain de lui, comme si le CO2 et le CH4 avaient décidé de se réveiller en septembre dernier. En revanche, cela pourrait en bonne partie venir de l'ES naturel : mesure-t-on les taux de vapeur d'eau atmosphérique lors des épisodes El Nino ? Cette vapeur d'eau dépend de l'évaporation à la base, mais elle est aussi conditionnée par les flux je crois. Il est dommage que lors de tels épisodes on ait des explications "simples" (masse d'air chaud du sud-ouest), mais pas d'explication plus poussée de l'anomalie du contenu de chaleur avec un point de vue radiatif / convectif (VE, nébulosité, etc.) et dynamique. Enfin, on les a peut-être, mais je ne sais pas où. PS : le même sujet existe aussi en évolution du climat. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
chris68 Posté(e) 12 janvier 2007 Sainte-Croix-aux-Mines (68) - 340 m Partager Posté(e) 12 janvier 2007 Par définition, l'ES anthropique est un phénomène continu : les X°C d'anomalies ne viennent pas soudain de lui, comme si le CO2 et le CH4 avaient décidé de se réveiller en septembre dernier. Sauf que ces anomalies ne sont pas apparues en Septembre dernier, il le dit bien: les années connues les plus chaudes remontent à 1994, 2003 et 2006. Un podium très contemporain, ce qui est inquiétant. C'est la succession de ces anomalies qu'il faut prendre en considération et on constate que celles-ci sont de plus en plus durables et intenses (trouvez moi une période Septembre-Janvier largement au dessus des normes pour l'Europe au cours du dernier siècle). Par contre, les records de froid ou les anomalies inférieures à la normales sont de plus plus rares et souvent peu intenses et brefs. L'anomalie chaude de 2007 est pour l'instant (mais il faudra faire le bilan en mars) supérieure à l'anomalie froide de l'hiver 2006). Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
charles.muller Posté(e) 12 janvier 2007 Partager Posté(e) 12 janvier 2007 Sauf que ces anomalies ne sont pas apparues en Septembre dernier, il le dit bien: C'est la succession de ces anomalies qu'il faut prendre en considération et on constate que celles-ci sont de plus en plus durables et intenses (trouvez moi une période Septembre-Janvier largement au dessus des normes pour l'Europe au cours du dernier siècle). Par contre, les records de froid ou les anomalies inférieures à la normales sont de plus plus rares et souvent peu intenses et brefs. L'anomalie chaude de 2007 est pour l'instant (mais il faudra faire le bilan en mars) supérieure à l'anomalie froide de l'hiver 2006). Bien sûr, pas de problème avec cela (la tendance au RC, donc les anomalies chaudes plus fréquentes que les anomalies froides sur le long terme). Pour le coup, et comme je suis ici en climato plus "court terme", c'est le côté dynamique de la signature ENSO qui m'intéresse, et aussi d'où vient précisément ce surcroît de chaleur qui fait pousser mes fleurs. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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