Stations météo

[dolo59200]

lolje me contenterais d'une dizaine de ligne je crois ^^

[dolo59200]

tu as raison ,j'ai un peu abusé ,le pire c'est que je me suis deja renseigné.Mais il est vrai que ca donne l'impression que c vous qui travaillez a ma place,merci pour le rappel a l'ordre^^

[Previ83D]

voila je recherche des informations sur la 1ere station meteo (je parle de la station sous abruit).

_ le nom de son inventeur

_ quelle année

_ qu'elle but avais cette station

_ etc

Merci d'avance

dans le forum /index.php?showtopic=16783&st=0&4#'>instrument, il a été donné cette image :

Le météore "pluie" dont il est question ne se mesure pas "sous abri".

On y voit que le vent n'est pas, non plus, mesuré "sous abri"

Attention, seuls les paramètres température et humidité se mesurent sous abri (en l'occurence la toile tendue ).

La tour St Jacques à Paris a servi à expérience de mise en évidence du poids de l'air par Pascal.

[cirrus007]

Je ne suis pas convaincu qu'il existe des capteurs permettant de savoir qu'il y a par exemple dans le ciel 3/8eme de cirrus fibratus, 1/8 d'altocumulus castellanus et 2/8 de stratocu. /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">

Quand je parle de nature des nuages, je ne parle pas de la hauteur de la base des cumulus.

Aucun capteur ne peut remplacer l'oeil humain pour ce genre d'observation.

Exactement JeromeR28 ce sont les seuls données météorologiques que les ordinateurs et les instruments ne peuvent décélés. Mais jusqu'a quand, quand on voit le progrès des machines en une dizaine d'année on peut se faire du sousis pour les météorologues. Par ailleur Météo-France parle de licenciment pour plusieurs centaines de postes !

[le-an]

Les TAF sont des prévisions aéronautiques et non des observations. Effectivement, les machines sont incapables de décrire le genre, l'espèce, la variété... des nuages présents dans le ciel, même si pour certains METAR automatiques, il existe des algorithmes qui tentent de déterminer la présence de Cb ou de Cu con par regroupement de données. Par contre, les télémètres sont bien pratiques et permettent de mesurer la hauteur de la base des nuages.

Les données observées de nuages ne sont pas des données numériques et n'entrent pas dans les modèles numériques. La hauteur et la nébulosité des différentes couches et le fait de savoir si les nuages sont stratiformes ou convectifs sont, en matière d'observation des nuages, les paramètres essentiels pour un prévisionniste et la description fine des nuages n'est plus nécessaire comme elle l'était à l'époque où les modèles numériques et l'imagerie sattellitaire n'était pas ce qu'ils sont de nos jours.

Par exemple, le code Ch=4 (Ci fib ou unc envahissant progressivement le ciel) du code ClCmCh du SYNOP permettait de connaître l'avancée de la perturbation. Avec les satellites, une telle observation n'a plus beaucoup d'utilité.

[Damien49]

Je pensais que les ordinateurs étaient capable de calculer au moins la nébulosité du ciel. C'est comme calculer une durée d'ensoleillement. C'est un peu le même principe il me semble non ?

Bientôt ils seront sans aucun doute capable de calculer le Genre du nuage où du moins déjà son altitude : nuages bas (3 genres), nuage de moyenne altitude (3 genres), de haute altitude (3 genre) ou a extension verticale (1 genre).

Ensuite pour trouver l'espèce, la variété, les particularités supplémentaires, nuages annexes et nuages-origines, c'est sûr qu'il n'y a que l'oeil humain qui pourra le trouver et ceci même dans 50 ans. /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">

[le-an]

Je pensais que les ordinateurs étaient capable de calculer au moins la nébulosité du ciel. C'est comme calculer une durée d'ensoleillement. C'est un peu le même principe il me semble non ?

Les modèles calculent l'humidité à différents niveaux, ce qui permet d'estimer la nébulosité.

Bientôt ils seront sans aucun doute capable de calculer le Genre du nuage où du moins déjà son altitude : nuages bas (3 genres), nuage de moyenne altitude (3 genres), de haute altitude (3 genre) ou a extension verticale (1 genre).

Ensuite pour trouver l'espèce, la variété, les particularités supplémentaires, nuages annexes et nuages-origines, c'est sûr qu'il n'y a que l'oeil humain qui pourra le trouver et ceci même dans 50 ans. /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">

Avec l'humidité et les radio-sondages prévus tu peux déterminer assez facilement le genre du nuage. Tu ne pourra pas vraiment distinguer le Cs du Ci, ni parfois le St du Sc... mais finalement celà n'a guère d'importance... quant à certaines variétés et particularités supplémentaires ce n'est pas prévisible et de toute façon çà n'a aucun intérêt. Mais pour l'instant seul l'humain est capable d'interpréter correctement les modèles, de les comparer entre eux, etc.

[Damien49]

Pour un prévisonniste en effet, cela n'a guère d'importance de connaitre tout ce qu'il y a en dessous du genre, sauf exception (le virga peut être intéréssant par ex).