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Pluviomètre Vantage pro 2


Pascal62
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Posté(e)
Goldbach-Altenbach (68) 705 m Versant Sud du Grand Ballon (1424 m)

Quand aux clôtures censées protéger les pluviomètres, tout d'abord je n'en ai jamais vu dans aucun des Centres de MF que j'ai visité en France depuis 40 ans. et s'il y en avait une quelque part ça ne serait (comme dans la majorité des pays africains) qu'afin de protéger l'instrument des rencontres brutales avec les animaux en liberté ...

Si tu veux parler des brise-vents dont j'ai parlé dans mon message précédent, ils existent bel et bien :

845778Pluviomtreavecbrisevent.jpg

Je cite, extrait de ce document http://documents.irevues.inist.fr/bitstream/handle/2042/36247/?sequence=1 :

"Il est aussi possible de limiter l’influence du vent en utilisant un brise-vent qui réduit la vitesse du vent au niveau du pluviomètre. Le déficit de mesure est alors réduit d’environ 50 %. L’utilisation de brise-vent est particulièrement recommandée pour les sites ventés et pour les sites avec des précipitations neigeuses. Mais cette pratique n’est pas répandue en France : Météo-France n’utilise pas (encore) de brise-vent. Leur introduction nécessiterait d'ailleurs de nombreux tests comparatifs pour en déterminer les conséquences sur les séries de mesures."

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Posté(e)
Montpellier (34), Montreuil (93) ou Ciran (37)

Quand aux clôtures censées protéger les pluviomètres, tout d'abord je n'en ai jamais vu dans aucun des Centres de MF que j'ai visité en France depuis 40 ans.

Et pour cause, la classe 1 pour la mesure de la pluie a évolué seulement l'année dernière.

Extrait note 35B, novembre 2014

2016-01-28-144857-mfgtobservernt035b.png

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Posté(e)
Gif sur Yvette (plateau, alt. 163 m). NO Essonne. 30 Km SO de Paris.

Si tu veux parler des brise-vents dont j'ai parlé dans mon message précédent, ils existent bel et bien :

845778Pluviomtreavecbrisevent.jpg

Je cite, extrait de ce document http://documents.irevues.inist.fr/bitstream/handle/2042/36247/?sequence=1 :

"Il est aussi possible de limiter l’influence du vent en utilisant un brise-vent qui réduit la vitesse du vent au niveau du pluviomètre. Le déficit de mesure est alors réduit d’environ 50 %. L’utilisation de brise-vent est particulièrement recommandée pour les sites ventés et pour les sites avec des précipitations neigeuses. Mais cette pratique n’est pas répandue en France : Météo-France n’utilise pas (encore) de brise-vent.

Leur introduction nécessiterait d'ailleurs de nombreux tests comparatifs pour en déterminer les conséquences sur les séries de mesures."

C'est surtout qu'il est très difficile de ralentir le vent sans créer de turbulences surtout dans une large gamme de vitesse.

Le passage de laminaire à turbulent est un phénomène très instable.

(voir écoulement des fluides, nombre de Reynolds, etc.).

L'étude (et l'efficacité!) du brise vent de ta photo doivent être regardés de près.

Mais faute de mieux (pour les lieux très ventés)….

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Posté(e)
16420 Brigueuil - 250 m

Bonsoir

Je souhaite vous faire part d'une expérience que j'ai mené sur la station concernant la pluviométrie.

J'ai installé un deuxième SPIEA a une vingtaine de m de l'enclos de la VP2 (voir photo jointe).

Les relevés de octobre 2014 a décembre 2015 (15 mois) montre un très faible écart entre eux (voir document joint).

Donc, a partir de ce constat, le SPIEA de l'enclos devient la référence et je corrige le pluvio de la VP2 sur celui-ci.

J'habite une région peu ventée et sur le secteur, une faible activitée orageuse en 2015.

Bonne nuit

/applications/core/interface/file/attachment.php?id=26216'>Comparaison SPIEA 1-2.pdf

post-23020-0-12003400-1454023084_thumb.jpg

Comparaison SPIEA 1-2.pdf

57794bc81b901_StationmtodeBrigueuil-vuev

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-

Excellent travail Neness.

2.5 % d'écart marque bien la régularité nébuleuse de ton coin.

Tu dois rarement avoir des ciels chaotiques.

Avec deux appareils identiques de surcroît, c'est le top.

Malheureusement ce n'est le cas partout en France !

-

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Posté(e)
Gif sur Yvette (plateau, alt. 163 m). NO Essonne. 30 Km SO de Paris.

Bonsoir

Je souhaite vous faire part d'une expérience que j'ai mené sur la station concernant la pluviométrie.

J'ai installé un deuxième SPIEA a une vingtaine de m de l'enclos de la VP2 (voir photo jointe).

Les relevés de octobre 2014 a décembre 2015 (15 mois) montre un très faible écart entre eux (voir document joint).

Donc, a partir de ce constat, le SPIEA de l'enclos devient la référence et je corrige le pluvio de la VP2 sur celui-ci.

J'habite une région peu ventée et sur le secteur, une faible activitée orageuse en 2015.

Bonne nuit

attachicon.gif/index.php?app=core&module=attach&section=attach&attach_rel_module=post&attach_id=26216'>Comparaison SPIEA 1-2.pdf

attachicon.gif/index.php?app=core&module=attach&section=attach&attach_rel_module=post&attach_id=26218'>Station météo de Brigueuil - vue vers l'Ouest.jpg

Oui, cela contredit un peu l'expérience de Boudi34 (qui a donné l'explication), mais je suis convaincu que ta méthode est la bonne (même avec un seul SPIEA).

C'est à dire:

- mettre le SPIEA de référence pas trop éloigné du pluvio automatique

(mais pas juste contre pour éviter les turbulences réciproques)

- Et surtout nombreux relevés (15 mois) pour faire des moyennes (et des écarts type).

- Corriger les mesures du pluvio automatiques avec la valeur moyenne du SPIEA.

et si possible refaire ces mesures de temps pour surveiller (et corriger) la dérive.

Et si tu pouvait nous fournir une courbe comme celle-ci ce serait parfait !

courbe_pluvio.jpg

où l'on constate que la précision, au sens réel du terme ( = écart-type) est de 0.475 mm

(pour mon cas)

Je n'ai jamais pu savoir quelle était la précision (au sens réel du terme) d'un pluvio de VP2 !...

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-> Oui, cela contredit un peu l'expérience de Boudi34

Pas du tout, Michel. flowers.gif

Cela confirme simplement que certains lieux sont plus "calmes" que d'autres pas uniquement sur le plan "vent".

Quand tu te mets sur la côte Atlantique, face à l'océan, tu vois arriver vers toi des masses nuageuses très imbriquées les unes dans les autres, sans discontinuité brute et avec une continuité parfaite. Cela est d'ailleurs très bien expliqué dans une maquette (avec du coton et de la bombe polystyrène) dans l'exposition de l'Observatoire du Mont-Aigoual et les images satellite le confirment "visuellement" aujourd'hui. Cela tient en partie à la discontinuité très progressive des pressions à 500 ou même 850 hPa. Il n'y a qu'à jeter un oeil sur des dorsales, recouvertes par une image sat transparente (je le fais parfois sur mon Site de prévis et c'est très édifiant !).

Par contre, dès que ces ensembles perturbés nuageux arrivent sur des terres, les détentes ou contraintes adiabatiques dues au relief prennent la main. Un ensemble nuageux très calme et relativement homogène qui arrive au dessus de notre ami Néness va être confronté dans son cheminement habituel vers l'Est, aux reliefs septentrionaux du Massif Central, puis au "trou" de la haute vallée du Rhône, sans parler de son devenir vers les altitudes (et donc variations de pression) du Jura..

Si, ces ensembles perturbés sont plus méridionnaux, inutile de décrire ce qu'ils vont subir comme modifications en se heurtant aux Pyrénées (après avoir déja subi une giffle en abordant Cap Finisterre (!) et les premiers reliefs ibériques), puis à "l'étroit" couloir languedocien, en se frottant brutalement à la Montagne Noire, aux Cévennes, aux coups de boutoir d'un courant Mistraleux qui arrive sur le côté, pour finir dans le TROU immense du Golfe de Gênes, après s'être frictionnés aux reliefs des Basses Alpes.

Ce n'est plus un assemblage progressif de nébulosités plus ou moins "porteuses" d'eau, c'est un assemblage d'outres plus ou moins pleines qui se sont constituées au fil du relief traversé.

Et tout cela, en plus, sans prendre en compte le relief, l'altitude, la température (du Point de Rosée) et la pression du lieu récepteur !

Par rapport aux océans, la rugosité des terres, ce n'est pas "cadeau" pour nos nuages invités !

(Je ne tire ces raisonnements qu'à la suite d'un excellent article publié par La Société Météorologique de France dans les années 1980 qui m'a beauicoup marqué).

Bonne journée à tous

Léon

Ps : Et comme le disait l'article en question (de mémoire) : "Quand ces perturbations se sont créées sur de terres est-atlantiques elles ont été "adoucies" par leur traversée, mais reprennent de la vigueur en arrivant chez nous".

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Posté(e)
st yrieix le déjalat (19) 750 m / 1800 mm annuel

Slt, cela est inutile de calibré le pluvio de la vp2 avec un spiea ,car ils n'ont pas les mêmes diamètres de réception et souvent pas placer à la même hauteur ,et de plus le cône du spiea du fait de son faible angle intérieur du cône ,lors de forte pluie il y a des éclaboussures qui ressortent donc pas comptabilisées.

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... cela est inutile de calibrer le pluvio de la vp2 avec un spiea ,car ils n'ont pas les mêmes diamètres de réception et souvent pas placés à la même hauteur ...

Salut Sylver.

Que ça fait du bien de lire des choses sensées ! biggrin.png

On ne peut comparer un SPIEA qu'à un autre SPIEA.

Et même dans ce cas (voir le post de Neness) il y a des différences ...

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Posté(e)
Goldbach-Altenbach (68) 705 m Versant Sud du Grand Ballon (1424 m)

Slt, cela est inutile de calibré le pluvio de la vp2 avec un spiea ,car ils n'ont pas les mêmes diamètres de réception et souvent pas placer à la même hauteur ,et de plus le cône du spiea du fait de son faible angle intérieur du cône ,lors de forte pluie il y a des éclaboussures qui ressortent donc pas comptabilisées.

A chaque intervention sur le pluviomètre de la VP2, tu nous annonces qu'il n'est pas possible de calibrer le pluvio de la VP2 par rapport à au pluviomètre manuel Spiea sous prétexte que les diamètres des cônes sont différents.

Si on en tient compte dans le calibrage, et c'est ce qu'on fait, je ne vois pas le problème, à part peut-être par grand vent...

Salut Sylver.

Que ça fait du bien de lire des choses sensées ! biggrin.png

On ne peut comparer un SPIEA qu'à un autre SPIEA.

Et même dans ce cas (voir le post de Neness) il y a des différences ...

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Il faut bien une base de référence pour étalonner un appareil différent de l'original, non?

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Bonjour

Dans le temps. C'était avant les stations météo j'utilisais un pluviomètre "Digirain"

Principe : système de mesure optique infrarouge DF (innovation brevetée) extrêmement précis.......(Dit dans la pub)

http://www.station-meteo.com/pluviometre-digirain/

Il était rustique, mais facile d'entretien. Il se calibrait avec une simple seringue.

Je l'ai utilisé pendant des années en parallèle avec un Spiea.

Mais on ne le trouve plus en vente......;

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Posté(e)
Ouest du Tarn et Garonne (82) Valence d'Agen

Bonjour

Dans le temps. C'était avant les stations météo j'utilisais un pluviomètre "Digirain"

Principe : système de mesure optique infrarouge DF (innovation brevetée) extrêmement précis.......(Dit dans la pub)

http://www.station-meteo.com/pluviometre-digirain/

Il était rustique, mais facile d'entretien. Il se calibrait avec une simple seringue.

Je l'ai utilisé pendant des années en parallèle avec un Spiea.

Mais on ne le trouve plus en vente......;

Salut,

Il y as pas mal d'années, moi aussi j'utilisais se pluvio, mais l'inconvénient c'est qu'il se bouchait facilement, et qu'il fallait avoir des filtres d'avance.

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-> Il faut bien une base de référence pour étalonner un appareil différent de l'original, non?

Bon, Alsavosges, essayons de raisonner simplement.

Tu as un dé à coudre d'1 cm2 dans lequel tombe la pluie.

Tu as une piscine de 50 m2 dans laquelle tombe la même pluie

Ta piscine représente 500.000 cm2. Si tu prends la pluie tombée dans ton dé à coudre et que tu multiplie le volume par 500.000, tu obtiendras, soit la moitié, soit le double de ce qui est tombé dans ta piscine !

En pluviométrie, on ne peut comparer que des récepteurs ayant la même surface et les mêmes caractéristiques de réception (angle pour les éclaboussures, etc.)

Si tu n'es pas d'accord sur ce principe élémentaire, inutile d'aller plus loin.

À une époque (années 50/80) la Météo-Nat avait standardisé la réception de pluie sur 400 cm2 (Matériel homologué Jules Richard).

Ensuite, ils ont validé (et l'OMM également) les SPIEA qui donnent : X mm de pluie sur Y cm2.

D'où on extrapole : Si c'était sur 1 m2, ça donnerait Z mm d'eau. Là, ici, à cet endroit précis, et pas ailleurs. Et sur cette surface là !

Et encore moins ailleurs, dans un autre récepteur de 1 mm2 ou de 1.000.000.000 de cm2 de surface offerte au météore !

Y arrivera-t-on un jour ?

biggrin.png

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@Olipat et Pim82

J'ai moi aussi utilisé un pluvio du même style (que l'appelais "goutte à goutte") qui fonctionnait sur le principe du contact de la goutte d'eau passant entre deux lamelles de contact.

Chaque passage donnait une impulsion.

Il a très bien marché quelques mois, puis malgré le nettoyage (quasi mensuel) du filtre (genre éponge synthétique). il s'est mis à ne plus compter toutes le gouttes !

la raison en était l'oxydation des deux lamelles en cuivre entre lesquelles passaient les gouttes.

Cette oxydation avait provoqué une augmentation de la résistance électrique lors du passage (déjà que l'eau de pluie n'est pas très conductrice, ne contenant pas ou peu de sels minéraux - et autres cochonneries conductrices !).

Bien que reliée à un circuit électronique d'entrée en Cmos, le contact n'était plus parfait.

J'ai résolu le problème en soumettant les lamelles à une dorure de surface 35 µ (que j'utilisais pour des circuits intégrés de haute qualité destinés à la Recherche médicale).

Bien entendu le contact a été rétabli immédiatement.

Je donne cette astuce à tout hasard, si le cas se présente chez certains !

(Votre dentiste est très apte à dorer des surfaces ! Demandez-lui !)

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Posté(e)
Goldbach-Altenbach (68) 705 m Versant Sud du Grand Ballon (1424 m)

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-> Il faut bien une base de référence pour étalonner un appareil différent de l'original, non?

Bon, Alsavosges, essayons de raisonner simplement.

Tu as un dé à coudre d'1 cm2 dans lequel tombe la pluie.

Tu as une piscine de 50 m2 dans laquelle tombe la même pluie

Ta piscine représente 500.000 cm2. Si tu prends la pluie tombée dans ton dé à coudre et que tu multiplie le volume par 500.000, tu obtiendras, soit la moitié, soit le double de ce qui est tombé dans ta piscine !

En pluviométrie, on ne peut comparer que des récepteurs ayant la même surface et les mêmes caractéristiques de réception (angle pour les éclaboussures, etc.)

Si tu n'es pas d'accord sur ce principe élémentaire, inutile d'aller plus loin.

À une époque (années 50/80) la Météo-Nat avait standardisé la réception de pluie sur 400 cm2 (Matériel homologué Jules Richard).

Ensuite, ils ont validé (et l'OMM également) les SPIEA qui donnent : X mm de pluie sur Y cm2.

D'où on extrapole : Si c'était sur 1 m2, ça donnerait Z mm d'eau. Là, ici, à cet endroit précis, et pas ailleurs. Et sur cette surface là !

Et encore moins ailleurs, dans un autre récepteur de 1 mm2 ou de 1.000.000.000 de cm2 de surface offerte au météore !

Y arrivera-t-on un jour ?

biggrin.png

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Les surfaces de réception des cônes ainsi que les pentes comparées ne sont pas aussi éloignées.

Elles sont en tout cas suffisamment proches pour pouvoir effectuer des comparaisons dans le cadre de la précision qui est la nôtre (+ ou - 5% => précision du pluviomètre VP2).

La preuve en pratique : un pluviomètre de VP2 correctement calibré par rapport à un pluviomètre Spiea donnera des valeurs mensuelles (voir journalières) assez proches de ce dernier (à + ou - 5%).

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Juste pour rire.

J'ai toujours en fonctionnement une station de secours une WS2801.

Le pluviomètre qui ne comporte aucun réglage est juste à 1% près par rapport au SPIEA.

Je viens de refaire le test sur la période très pluvieuse de début janvier.

(*) J'ai 3 pluvios : ceux de la VP2 et de la WS 2801 plus le SPIEA. C'est celui de WS20801, qui me donne le moins de problème ou presque (voir plus loin) : pas de réglage, nettoyage minimum, pas de problème d'oiseau,...

Bon il a un ennui, c'est que la durée de vie de la carte n'est pas extraordinaire, mais en même temps le pluvio il vaut 60 euros.

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Posté(e)
st yrieix le déjalat (19) 750 m / 1800 mm annuel

slt , je n'ai jamais dit que l'on ne pouvait pas calibré le pluvio de la vp2 ,mais qu'il ne fallait pas comparer le resultat avec un spiea . Le spiea ne sert juste qu'en cas de secours car pour moi tout ce qui est auto peut avoir une défaillance , oui je suis un vieux lol.Un truc aussi quand vous voulez calibrer votre pluvio de vp2 ,il faut que l'eau de votre seringue (ou autre eprouvette )coule là ou les gouttes des précedents essaies sont passés car sinon en passant sur des parties seches cela fausse la quantité d'eau qui va arriver dans le premier auget . Oui je suis tatillon .

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Posté(e)
Goldbach-Altenbach (68) 705 m Versant Sud du Grand Ballon (1424 m)

slt , je n'ai jamais dit que l'on ne pouvait pas calibré le pluvio de la vp2 ,mais qu'il ne fallait pas comparer le resultat avec un spiea . Le spiea ne sert juste qu'en cas de secours car pour moi tout ce qui est auto peut avoir une défaillance , oui je suis un vieux lol.Un truc aussi quand vous voulez calibrer votre pluvio de vp2 ,il faut que l'eau de votre seringue (ou autre eprouvette )coule là ou les gouttes des précedents essaies sont passés car sinon en passant sur des parties seches cela fausse la quantité d'eau qui va arriver dans le premier auget . Oui je suis tatillon .

Bah, moi je dis qu'il faut comparer les relevés (une moyenne de nombreux relevés représentatifs) avec un Spiea pour avoir une base de réglage car, sans cette référence, tu ne sauras jamais si ton pluvio de VP2 est bien calibré.

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Bah, moi je dis qu'il faut comparer les relevés (une moyenne de nombreux relevés représentatifs) avec un Spiea pour avoir une base de réglage car, sans cette référence, tu ne sauras jamais si ton pluvio de VP2 est bien calibré.

Tout à fait d'accord !

Sinon, comment calibrer, étalonner le pluviomètre de la VP2 ?

Il faudrait garder le réglage d'origine ?

A lire certains posts, puisque la pluvio n'est pas la même à quelques mètres de distance (ce que je ne conteste pas du tout !) on pourrait imaginer qu'il est tout à fait inutile d'étalonner un pluvio...

On peut aussi adapter un cône de SPIEA sur la Davis et faire une correction logicielle tenant compte du rapport des surfaces.

Mais un cône de Davis par rapport à celui du SPIEA ce n'est pas un dé à coudre face à une piscine.

Il faut tout de même rester raisonnable !

Sinon, que l'on m'apprenne à étalonner un pluvio Davis sans comparer avec un SPIEA !!!

Une seringue ou une pipette de précision (celle que j'ai est au 1/4 de mL) ne suffisent pas...

Quant au basculement théorique à 4.2mL, je pense ne pas être le seul à dire que cela conduit à une bonne sous-estimation de la pluvio.

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Posté(e)
st yrieix le déjalat (19) 750 m / 1800 mm annuel

tu peux le verifier aussi en regardant l'intensité pluvieuse ,ou aussi hauteur au sol de neige et la quantité d'eau recoltée avec le pluvio avec rechauffeur .

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tu peux le verifier aussi en regardant l'intensité pluvieuse

Ah bon ! Tu m'expliques ???????

et la quantité d'eau recoltée avec le pluvio avec rechauffeur .

Certainement pas !

Problème déjà évoqué dans le sujet que j'avais ouvert à propos du réchauffeur.

Mesures à l'appui et pas seulement les miennes.

Jusqu'à 45% de sous-estimation (et sans doute plus dans certains cas)

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Posté(e)
Goldbach-Altenbach (68) 705 m Versant Sud du Grand Ballon (1424 m)

Quand je vois de tels commentaires, je me demande quel crédit on peut apporter aux relevés de précipitations sur le réseau (et encore plus ailleurs) : entre ceux qui n'ont jamais rien calibré, ceux qui calibrent uniquement après l'achat, ceux qui se basent sur une calibration théorique (les fameux 4.2 ml!) et ceux qui ne prennent pas le pluviomètre Spiea comme référence...

Je pense qu'il serait grand temps de mettre en place une procédure à respecter par tous pour faire partie du réseau, à l'instar de ce que l'on demande au niveau de la température.

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