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D'autant plus que l'épaisseur est réduite par rapport à 2007, la vitesse de fonte, à date égale, est forcément plus rapide.
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Il y a bien plus d'énergie dans le nord pacifique cette année qu'en 2007, c'est sur ce genre de constat que j'imagine la pulvérisation du record. Hors, c'est justement au dessus du detroit de Bering que la glace tiens encore un peu par rapport à 2007. Mais, bon, peut être que je m'embale un peu vite effectivement /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">
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Record à battre : 2007 ? Je ne l'aurais pas immaginé et pourtant, vu du 3 septembre, je ne vois pas comment il pourrait ne pas être pulvérisé.
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Pour septembre, les prévisions qui se précisent semblent aller dans le sens de températures, effectivement élevées. La NAO, va également dans le bon sens, calée assez proche de 0. La semaine qui vient va voir arriver le vent sur toute la moitié nord.
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Tu démontres grâce à la loi de "Stefan", qu'une planète soumise aux GES, garde sa température un certain temps en fonction d'une constante (qui est σ la constante de Stefan-Boltzmann égale à 5,670 x 10(-8) J.K(-4).m(-2).s(-1), je la met puisque tu n'as pas voulut le faire /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">). Oui, la planète garde sa température par effet de serre, mais cette dernière décroit avec le temps et le manque d'énergie, tu le prouves toi même. Le manque d'énergie favorise bien la décroissance de la température. Sauf qu'un atmosphère est aussi variable en épaisseur (selon qu'on le traverse perpendiculairement ou diagonalement) et le rayonnement est tributaire de l'orientation de l'axe de la planète. Hors, la reflexion ou l'absorption du rayonnement infrarouge est bien plus perturbé par l'inclinaison des rayons (Loi de John William Strutt Lord Rayleigh). Et dans ce cas, le CO² est absorbant parce que c'est une molécule "vibrante" en modes d'étirement, (stretching), symétrique ou asymétrique, mais aussi en mode dégénéré de flexion (bending). Quand le CO2, absorbe les rayonnements infrarouges, ils ne traversent pas et dans ce cas, l'effet de serre favorise la baisse de température. Ta démo est parfaite, Paix , mais pour Vénus, mais pas pour la terre /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> La terre accumule beaucoup plus d'énergie avec GES, que sans, mais pour chaque hémisphère, l'effet est plus important l'été que l'hiver (On estime que les gaz à effet de serre augmentent la température terrestre de 35°C). En tous cas, j'aime bien ce débat /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">
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Oui, d'où le lissage des courbes. Les effets de la perte d'épaisseur de la banquise risque, à terme, de lisser les écarts entre différentes années. Exemple : Quand il n'y aura plus de banquise l'été chaque année, la courbe sera lissée, puisqu'à 0 /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> Et bien évidemment, dans ce cas précis, les écarts avec le maximum seront également lissés, car référencés à 0. Mais, bon, on s'éloigne du sujet. Revenons à l'effet de serre l'hiver. Montre nous comment il peut être plus significatif l'hiver que l'été ?? (sans nous parler de l'inertie thermique qui n'a rien à voir avec l'effet de serre /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">)
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Tu l'as, effectivement dit, mais je n'ai trouvé aucun lien qui l'explique ou qui le prouve. Toi même, tu l'affirmes mais tu ne l'expliques pas. A l'inverse, certains spécialistes vont dans l'autre sens. En particulier pour ta vision de la NAO ..... http://www.actualites-news-environnement.com/24494-rechauffement-climatique-hivers-froids.html
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Au niveau lissage, une chose est quasi certaine, c'est que de plus en plus l'épaisseur de la banquise diminue (ce qu'on ne voit pas sur ces graphiques là) et que par conséquences, les niveaux bas de l'extent tendront vers des valeurs continuellement en baisse par manque de réserves. Ceci ne se retrouvera pas dans les niveau haut rapidement atteints dès que l'hiver arrive pour les raisons que j'ai déjà évoqué ici. On retrouve bien un certain regroupement des valeurs max de l'extent.
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Le R.C est bien là, ses effets aussi, mais pour qu'il soit fortement ressenti, il faut que la terre soit bien exposée. Ce n'est pas le cas de l'hiver dans l'hémisphère nord, l'énergie fourni par le soleil est bien trop faible. Durant le dernier hiver, nous avons battu les records de surfaces enneigées dans l'hémisphère nord, ça pourrait être une conséquence du R.C, Beaucoup d'humidité dans l'atmosphère, résultat d'étés et d'automne/printemps trop doux et dès les conséquences du manque d'énergie hivernal, de fortes précipitations neigeuses qui recouvrent l'hémisphère. L'albedo faisant le reste en catalysant le froid. Je ne sais pas si c'est la bonne, mais ça peut être une explication. Après, la NAO, elle n'est qu'une conséquence du climat, pas la cause. La prédire c'est possible et c'est relativement fiable sur deux semaines, mais en aucun cas, elle ne peut être la cause de bonnes ou de mauvaises saisons. Comme je l'ai écrit ailleurs, l'extent de la banquise est assez stable, l'hiver, depuis des decennies, ça conforte ma position, le R.C est bien plus sensible l'été que l'hiver.
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jujucav a répondu à un sujet de Cyclone-Actu dans Convivialités
Bonjour, Je me considère encore nouvel inscrit car toujours en preview, depuis 2 mois. Une question constructive pour les modérateurs mais pouvant intérresser tous les posteurs : Pourquoi ne publiez vous pas tous les messages que, les nouveaux, écrivent et pourquoi les détruisez vous sans explication ?? Passer du temps à écrire et ne jamais voir le message, c'est quand même déprimant, mais comment voulez vous qu'on puisse être d'avantage "publiables" ou "politiquement correct" si vous ne nous donnez jamais, les raisons de l'effacement du message ? On peut comprendre qu'un post soit hors spectre de diffusion, mais à minima, dites nous pourquoi en MP ??? Merci de votre attention. -
Le changement d'état est provoqué par l'énergie des molécules qui composent la matière. Plus les atomes sont agités, plus la force centrifuge éloigne les électrons de leur noyaux. Ainsi, l'eau devient plus volumineuse quand elle devient vapeur. A l'inverse, plus les atomes sont calmes, plus leurs électrons se rapprochent de leur noyaux. L'eau prend moins de place que la vapeur. Alors, vous allez me dire que la glace prend moins de place que l'eau si on suit la théorie .... Oui, ça devrait être le cas, sauf qu'en gelant, l'eau fabrique de petits cristaux où l'air ambiant est emprisonné (à cause de l'agitation mécanique des molécules) et, de fait, la glace voit son volume augmenter, mais intrinsèquement ce n'est pas le cas.
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Pour faire simple (enfin, je vais essayer) : En physique, la température d'une matière, est liée à l'agitation moléculaire des différents éléments qui la compose. Dans un four à micro-ondes, on émets une fréquence électromagnétique qui vient augmenter la fréquence d'agitation moléculaire de l'eau (la fréquence du four est calibrée sur la fréquence d'agitation de l'H²O). Tous les aliments qui contiennent de l'eau, voient leur température s'élever. Dans le cas de la congélation, c'est l'inverse. On diminue l'agitation moléculaire et la température s'abaisse. Pour le micro-ondes, l'agitation est directement réalisée dans la molécule d'H²O, par rayonnement électromagnétique, il n'y a pas d'échange d'énergie par molécules interposées, c'est d'ailleurs pour cette raison que l'entourage ne chauffe pas directement lorsqu'il ne contient pas d'eau (même si au bout de quelques temps il s'échauffera par l'action de l'air ambiant dont la température augmentera grâce aux aliments cuits). C'est également pour cette raison que le four à micro-ondes est capable de faire chauffer des aliments avec beaucoup moins d'énergie. Dans le cas d'un chauffage par réaction thermique, il y a transfert d'énergie des molécules très agitées d'un air ambiant, chaud, qui se trouvent ralenties mécaniquement par la proximité de molécules moins agitées (un peu comme un roulement à billes). Ainsi, l'air ambiant se refroidit, car ses molécules ralentissent, et la matière a chauffer, se réchauffe grâce à ses molécules qui accélèrent. Au bout d'un moment, on aura un point d'équilibre où toutes les molécules s'agiteront à la même vitesse. Dans le cas de la congélation, il y a toujours échange d'énergie. L'air ambiant, très froid, dont les molécules sont agitées lentement, se trouvent accélérées mécaniquement, par les molécules rapides, de la matière qui est plus chaude. Ainsi, l'air ambiant se réchauffe, car ses molécules accélèrent et la matière qui se congèle se refroidit car ses molécules ralentissent. Un nouveau point d'équilibre arrive, où, toutes les molécules ont la même agitation. Pour la banquise, c'est la même chose. L'air ambiant voit ses molécules ralentir par le manque d'énergie du soleil, elles rentrent en contact avec les molécules d'eau de mer plus rapides car plus chaude (l'eau), Mécaniquement, les molécules vont chercher un point d'équilibre où les rapides seront plus lentes et les lentes seront plus rapides. L'air ambiant se réchauffe et l'eau gèle. Est ce que j'ai été simple ?? Pas sûr ..... ???? /emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20"> En tous cas, j'ai essayé /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">
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Pour les températures, c'est déjà fait. + 0,9 °C en juin. - 1,3 °C en juillet. + 0,5 °C pour Aout. Mais aussi, selon MétéoFrance, - 1,5 °C pour le coeur de l'été entre le 1er juillet et le 15 aout. Un été qui finit, selon MétéoFrance, pour l'ensemble de la France, pile aux normes de saison. Source : Journal de 20h00 de ce soir Modification du 2 septembre : Le bilan officiel est totalement sorti, il dit : Bilan de l'été 2011 (juin, juillet, août) Après un printemps exceptionnellement chaud, sec, et remarquablement ensoleillé, les conditions climatiques ont été moins clémentes en France au cours de cet été 2011 particulièrement pluvieux. Le temps a été chaud mais souvent orageux en juin, frais et pluvieux en juillet, légèrement plus chaud que la normale avec des précipitations contrastées selon les régions en août. Avec une température moyenne sur la France conforme aux normales* saisonnières, l’été 2011 s’apparente à ceux de 2007 (-0,1 °C) et 2008 (+0,3 °C), mais reste nettement plus frais que les étés 2009 (+1,3 °C) et 2010 (+0 ,9 °C). Quelques nuances régionales apparaissent toutefois, notamment en Bretagne où la température moyenne a été sensiblement inférieure aux normales saisonnières. Les pluies ont été fréquentes durant l’été. La quantité d’eau recueillie sur l’ensemble du pays est supérieure de presque 30 % aux normales. Cet été 2011, plus humide que ceux des trois dernières années, n’est pas pour autant exceptionnel : l’été 2007 avait ainsi connu des précipitations plus importantes encore. Ce diagnostic global masque des disparités régionales. La moitié nord du pays a connu des pluies abondantes pour la saison et, dans le nord-ouest, les cumuls de précipitations ont été parfois excédentaires de plus de 50 %. Dans les Bouches-du-Rhône, les quantités d’eau ont été exceptionnelles, dépassant deux fois la normale. Inversement, le quart sud-ouest a connu des pluies proches des moyennes de référence. L’ensoleillement a été déficitaire sur le nord du pays, et proche de la moyenne dans le sud. Donc, bien qu'à la norme de saison, nettement plus frais que 2009 et 2010 et beaucoup plus humide que la normale. Un été sans soleil, à lire là : http://climat.meteofrance.com/chgt_climat2/bilans_climatiques/archives/2011/bilan_ete?page_id=14923
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Sans parler des Alpes, et des Pyrénnées qui n'ont vraiment pas eu de bonnes conditions climatiques pour le ski, en décembre, pas plus qu'après d'ailleurs. Pour nos montagnes, l'hiver 2010/2011 a été catastrophique, par son manque d'hiver, même en décembre. L'anomalie négative de l'hiver 2011 a été faites en très grande partie, par Décembre, au nord de la France, c'est tout. Et comme ça a déjà été dit, ici, si l'hiver avait été décalé, rien que de quelques jours, il n'aurait même pas été négatif.
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Pour résumer, plus l'eau de mer est douce, plus l'énergie positive dégagée est faible lors de la glaciation hivernale de la banquise et moins la masse d'air polaire se réchauffe. C'est une sorte de rétroaction du pôle qui expliquerait, selon moi, pourquoi, chaque année, les minimums de l'extent varient énormément alors que les maximums sont, finalement, assez stables. Qu'en pensez vous ?
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Mais, non, les liens que tu as mis font état de l'inertie thermique de la planète, pas de leffet de serre instantané par rayonnement. Tiens lis ça et tu vas comprendre pourquoi nous ne sommes pas tout a fait d'accord (même si, au fond nous le sommes quand même /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">) C'est encore un document d'école. http://audience.cerma.archi.fr/cerma/pageweb/theorie/solaire/rayont_solaire.html
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Le froid, ça n'existe pas, c'est un manque de chaleur. Le zéro absolu est le point de départ des mesures de température, après on ne parle forcément plus de froid. Quand tu transpires, ta transpiration passe de l'état liquide à l'état vapeur en absorbant de l'énergie, c'est l'évaporation, l'énergie de cette transformation est arrachée à ton corps et tu te refroidis. Pour passer de l'état vapeur à l'état liquide, c'est la condensation, tu libères de l'énergie, exemple, un condenseur de circuit thermodynamique du genre centrale thermoélectrique, l'eau de refroidissement du condenseur se réchauffe grâce au changement d'état de la vapeur en eau qui libère de l'énergie (c'est bien connu que les centrales nucléaires réchauffent l'eau des fleuves, c'est à cause de leurs condenseurs). Si tu continues dans la même logique, pour passer de l'état liquide à l'état solide, tu continues à libérer de l'énergie, car tu es toujours dans la même dynamique que le cycle précédent, Vapeur ===> Eau ===> Glace et de fait, tu continues à libérer de l'énergie autour de ton échange. Donc, oui, plus tu as besoin d'aller vers le froid pour changer d'état une molécule, plus tu dégages de la chaleur. Et quand tu passes de Glace ===> Eau ===> vapeur, tu absorbes des calories, tu diminues la chaleur (tu fais du froid). Pour l'eau de mer, c'est pareil, quand tu jettes du sel sur une route verglacée, tu fais descendre sa température car la glace va passer de l'état glace à l'état eau, en absorbant des calories. Ce problème est bien connu des services de la DDE qui essaient toujours de privilégier, les petites graviers, au sel, pour éviter le sur-verglas dans les montées de stations de ski. Les pompes à chaleur exploitent le même principe, tu évapores un liquide compressé dans un évaporateur et tu arraches des calories à l'air ambiant, même si l'air ambiant est à -15°C, tu pompes l'énergie. (dsl pour les HS)
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Pour moi, L'effet de serre doit être alimenté par une source d'énergie (sans soleil, pas d'effet de serre). Et l'énergie, c'est : Puissance X Temps L'hiver, la puissance d'ensoleillement est basse due à l'inclinaison de l'axe de la terre et de plus le rayonnement ne dure que très peu de temps. L'énergie amenée est donc beaucoup plus faible, l'effet de serre aussi.
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C'est juste "physique", pas climatique /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> L'eau de mer à salinité moyenne gèle à -2°C, l'eau douce à -0°C. Pour geler l'eau de mer il faut plus de froid. http://crdp.ac-paris.fr/tara/index.php?page=glacio5
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A-t-on des nouvelles de Météofrance pour son bilan mensuel et saisonnier/été ?
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Tu es sûr de ça ? Les eaux de surface de l'océan glacial Arctique ne se sont jamais autant réchauffé en été et, ce, depuis les effets du R.C. Et, plus terre à terre, je possède une serre de jardin, l'écart de température avec l'extérieur y est de 30°C l'été pendant une grande partie de la journée si je la laisse fermée, l'été. l'écart est, au maximum, de 20°C l'hiver et, surtout, ce n'est jamais très longtemps (au max, 2 heures). L'effet de serre ne peut pas exister sans apport d'énergie. Et l'energie, c'est : Puissance X Temps
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La cryogénie est une des technique de déssalement de l'eau de mer. http://culturesciences.chimie.ens.fr/dossiers-chimie-societe-article-DessalementEauMer.html La banquise est composée en grande partie, d'eau douce (d'ailleurs, en surface, tu peux la faire fondre et la boire). Si 100% de la banquise venait à fondre l'été, l'eau de mer s'adoucirait d'où un regel plus rapide l'hiver, avec moins de dégagement d'énergie (l'eau salée absorbe plus de froid pour geler que l'eau douce) et un refroidissement plus rapide de la masse d'air. La compensation entre le pôle sud et le pôle nord continue, il est fort probable que 2011 soit un nouveau record d'englacement max en Antartique. L'arctique, fond, l'antartique, gèle.
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Un autre point important, au niveau salinité de l'eau, c'est que la cristalisation de l'eau de mer génère une forte concentration de sel dans la couche d'eau qui est en contact avec la glace. Ceci veut dire que la glace issue de l'eau de mer congelée, c.a.d la banquise, est constituée d'eau très peu salée et plus la glace est épaisse, plus la couche supérieure est douce. Pour dire, que l'englacement a pour conséquences, la concentration en sel, de l'eau de mer de proximité. Donc, plus la banquise fond, l'été, plus la mer s'adoucit.
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Oui, mais le RC opère et l'eau douce facile à geler pollue l'eau de mer du côté du pôle nord. L'hiver, la mer regèle plus vite. Pour preuve, ce qui se passe en Antartique où le RC se fait beaucoup moins sentir que dans l'hémisphère nord. Probablement que le phénomène de regel de l'eau de mer et de l'augmantation rapide de l'albedo, l'hiver, est moins significatif.
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Pour que le réchauffement climatique opère il faut que l'effet de serre fonctionne. Hors l'hiver, dans l'hémisphère nord, l'ensoleillement ne représente qu'un tiers d'une journée (à la louche). Ça veut dire que mathématiquement, l'effet de serre est bien moins significatif l'hiver que l'été. Par contre, les effets, sur l'albedo, sont différents. En effet, la fonte des glaces terrestres au niveau de l'arctique rend l'eau plus douce et forcément, plus facile à geler, d'où un albedo proche de 1 plus vite atteint sur toute la zone. C'est d'ailleurs ce qui s'est produit l'hiver dernier où très rapidement l'hémisphère nord s'est recouvert de blanc, avec les conséquences qu'on connait, le record de la surface d'enneigement. On pourrait connaître une situation similaire cette année mais pas forcément placée de la même façon. L'hiver dernier a été très froid en Amérique, a voir où la zone froide se situera en 2012 ? Je ne sais plus qui disait que le RC pourrait favoriser des hivers froids, sous nos latitudes, mais pourquoi pas ????