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Je m'incline /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20"> . Merci pour ces précisions.
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Je suis également forestier au sein du "grand organisme" chargé de la gestion des forêts relevant du régime forestier. Bref, j'invite vivement le stagiaire à prendre contact avec l'équipe de Dupouey (INRA Champenoux) où deux ingénieurs de l'ONF sont détachés à l'INRA pour cet interface forêt/climat. Je l'invite également à contacter mr Flo, directeur du Département Santé Forêt qui est également très largement concerné par la problématique. Enfin (et c'est lié), le responsable national des placettes RENECOFOR pourra également apporter des infos très fines en ce qui concerne le suivi et les évolutions air-sol-eau-vivant en forêt depuis 16 ans. Et enfin, je sais que l'ENGREF est en train de finaliser une analyse pour la gestion forestière tenant compte des changements globaux. Bonne continuation
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Oups pardon Marot, c'est moi qui a mal interprété ton propos (ça doit être la disgestion). L'ignorant, tu parlais humblement de ta personne. Je retire donc intégralement mon intervention ci-avant avec toutes mes plates excuses.
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L'"ignorant" qui reste bien dans la déonthologie scientifique dans ses propos fait appel à des "plus" spécialistes pour commenter ou compléter de manière constructif cet article selon les rêgles du forum et non pas une réponse façon : "CQFD, d'ailleurs, j'l'ai toujours su". Cordialement,
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Attention Alain, la tourbière : Cycle biologique anaérobique. Elle ne dégage pas de méthane et peut devenir un bon stockeur de Co2 surtout si les étendues sont élevée. l'étang : C'est anthropique, je doute qu'il y en ai beaucoup en Sibérie. Les zones humides, marécages....: Cycle aérobique générant de la fermentation nécessitant de longues périodes de végétation. Et encore, pas sur tous les sols. Elles resteront toutefois très limités en Sibérie (hivers rudes quoi qu'il arrive). Chez nous, ce qui se rapproche le plus de la sibérie c'est le supraforestier et subalpin avec trois mois de chaleurs sporadique. Les zones humides sont avant tout des tourbières. Il est très probable que c'est ce qu'il va se produire dans le futur en Sibérie réchauffée : création de tourbière. Bref, je ne remet pas en cause ton analyse dans le global car j'en suis incapable. Mais il me semble important de préciser ce genre de détails qui pourrait ne pas être négligeable à mon sens.
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Article incroyable. En effet, il me parait dans ce cas indispensable d'obtenir les résultats finaux de cette étude avant de penser à intervenir artificiellement sur la biomasse des océans comme le suggèrent certains scientifique. Il est clair que si c'est la cas, l'action positive des océans sera infiniment plus efficace que nos faibles et coûteuses solutions d'absoption de CO2. Qu'en pensent nos spécialistes maison ?
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Mon intervention était bien entendu décallée. Je crois cependant qu'il est un peu tard pour se poser la question de léguer où non un environnement parfaitement clean. La question est d'utiliser les moins mauvaises solutions pour éviter le pire tout en léguant un confort de vie acceptable selon nos normes du moment. Ce confort étant polluant faute de solution alternative pour le moment.
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Le super-arbre est interressant. Une question naïve façon "ya-fo-qu'on". On se retrouve avec une quantité de déchet à enfouir. Mais pourquoi les enfouir alors qu'il existe un milieu nettement plus efficace et qui sait faire de la sédimentation à haute pression : les océans. Ensuite, à lire sur ce forum, nous ne sommes pas à l'abrit d'un changement climatique qui pourrait modifier le climat Saharien. Imaginons alors un sahara plus humide se transformer en vaste pâturages, steppes voir forêt tropicales. On se retrouve alors avec une capacité de stockage de Co2 naturel immense. Haaa utopie.... !
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Le Vieux Chaillol n'est pas un pic. Concernant le névé, à part les années sans neige et 2003, il survi assez facilement à la période estivale. Vu de Gap, il se trouve un peu à droite du sommet derrière un creux.
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Moi ce que j'en retiens c'est que cette technologie émergeante fait partie de la multitude de technologies encore en phase de laboratoire qui vont contribuer à limiter notre dégagement de CO2 "fossile" par 4 dans 40 ans. j'ai lu dans un bouquin de bagnole une autre technologie américaine tout aussi prometteuse permettant la production d'éthanol par un procédé bactérien anoxique extrêmement peu coûteux en énergie et en matière première (déchets anthropiques). A si, il faut beaucoup d'eau. Si ces procédés sont miraculeux et moins couteux à développer et à produire que le pétrole à l'heure actuelle, alors nous sommes sauvés.
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Dans le beaufortain, il est annoncé 3m60 de neige cumulée à 2000 m (secteur du Planey). J'ai déjà vu 4 m à cet endroit. J'ai également rarement vu les Ecrins (Champsaur) à ce point enneigé. Certains secteurs de pente raide ne sont plus que de vagues pistes noir et je ne reconnais plus certains sommets (Le Riondet par exemple). C'est marrant parce qu'avec mes compagnons de ski de rando, nous nous sommes posé la même question : avec cette masse de neige, la période de fonte de glace va être nettement réduite par rapport aux dernières années.
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C'est excellent. Cependant, je reste mesuré quant à l'absorbtion du CO2 par les algues à proximité des routes via les lampadaires. N'y aurait il pas plus simple que de laisser la nature alentour se charger gratuitement de ça et éventuellement l'exploiter pour du bois de chauffage ou tout autres utilisations ? Par exemple : quel est la capacité d'une fourré de bord de route à accumuler du Co2 ? Y a t'il des essences d'arbre à privilégier ? Je pense notamment aux pionniers à croissance rapide qui se débrouillent très bien sans nous à fixer abondament du Co2 du moment qu'il y a de l'eau et des nutriments minéraux dans le sol. Bref, peut être que le piégeage de Co2 via la flore locale est sans commune mesure avec ce type d'algue, auquel cas, mon intervention est nulle et non avenue.
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C'est bien beau ce refroidissement à l'échelle géologique mais si notre probable réchauffement global actuel devient fatal pour l'humanité je n'y vois pas d'intérêt si ce n'est une réflexion scientifique anecdotique.
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Il fait souvent un temps de chien à Fayence....Pardon pour le mauvais jeu de mot.
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Je confirme les dires de Minitax. Les effets des pluies acides d'il y a 20 ans ont encore des répercutions au niveau de la potentialité minérale des sols pauvres. En effet, tout ces rares éléments minéraux du sol ont été drainés par les pluies acides d'antant. Ils ne se reconstituent que très lentement. Ces sols fragiles sont localisés en particulier dans les Vosges Gréseuses. Nous ne sommes pas vraiment en mesure de dire que ces pluies acides de l'époque ne vont pas se traduire à terme par une sénescence majeure dans ces coins des Vosges. En effet, les éléments minéraux seront tellement lacunaires que les essences actuelles ne pourront plus supporter. N'oublions pas que l'augmentation du Co2 et de la période de végétation favorise la croissance les arbres et qu'ils pompent d'autant plus dans les réserves minérales des sols. Voilà, pour les pluies acides en France, sauf localité très rares en fond de vallon, elles sont devenues très rares. Nos rejets de polluant en europe se sont très significativement réduit, notamment à partir du début des années 90.