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Sphagnum

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  1. Merci, je ne trouvais pas ce que signifiaient ces chiffres (1241 Marchairuz, 499,3/157), maintenant je comprends mieux. C'est donc bien la Chaux-sèche du Risoux, située effectivement très près de la frontière franco-suisse, à moitié dans le Doubs (Chapelle-des-bois) et dans le Jura (Bellefontaine). Le site Géoportail met également à disposition des cartes IGN et Swiss Topo au 1/25000, ainsi que des vues aériennes récentes comme anciennes. C'est très pratique aussi, je m'en sers tout le temps. La Chaux-sèche est effectivement peu profonde, elle s'insère dans une sorte de combe ouverte fuyant à l'Est et un peu au Sud. Les cartes IGN et Swiss Topo indiquent un point bas à 1193 m. Les courbes mettent en évidence une zone fermée d'une profondeur d'une dizaine de mètres, en partie forestière. J'ai trouvé quelques photos montrant notamment des dépressions au bord desquelles il semble y avoir des épicéas rabougris: http://magnijura.fre...s/slide1306.jpg http://magnijura.fre...s/slide1304.jpg http://www.panoramio...sc&user=1969554 C'est un très bel endroit avec quelques raretés botaniques. Il y a aussi une combe à gel au Sud-Est de la Chaux-sèche sur la commune de Bois-d'Amont juste derrière la Roche du Creux. En vue satellite, on remarque très bien les arbres de plus en plus rabougris sur les bords de la dépression. En regardant avec Google Earth, ça semble profond.
  2. Bonjour Marc, Pour étayer ce récapitulatif, j'ajoute un texte à propos du pin à crochets que j'ai pu dénicher en rusant avec Google books. Il s'agit en fait de ce qui précède le paragraphe que j'ai déjà posté à propos des tentatives de reboisement de la Combe noire par cette espèce. «Le pin de montagne (Pinus montana ssp. Uncinata Ram.) résiste aux froids les plus rigoureux et aux gelées estivales puisque dans le Jura il habite les tourbières qui sont souvent situées dans les trous à gelées. Le pin de montagne occupait au début du quaternaire une aire beaucoup plus étendue, mais il n'a pu supporter la concurrence des autres essences forestières : sapin, épicéa, et il ne subsiste plus que dans les stations où ces concurrents ne peuvent vivre : tourbières et arêtes rocheuses des sommets. Le pin de montagne paraît même avoir subi une adaptation régressive dans ces stations peu propices à la vie forestière et si les pins de tourbière sont parfaitement adaptés au froid, ils continuent à présenter une végétation ralentie et des formes trapues même si on les introduit dans de bons sols, hors des gelées permanentes. C'est-à-dire qu’il n’y a pas lieu de considérer le pin de montagne comme une essence définitive, mais bien comme une essence transitoire devant constituer le couvert et l'abri indispensable pour supprimer l'accumulation d'air froid et les gelées permanentes.» (Revue des eaux et forêts, Volume 79, p508) Voici ensuite des informations intéressantes sur les températures de la Combe noire de Mignovillard : «Les dépressions, combes ou dolines, sont de véritables pièges à air froid (22). À la Combe Noire par exemple (forêt de Mignovillard), la moyenne mensuelle des minima descend en-dessous de 0°C pendant 11 mois par an, pour seulement 6 mois sur le plateau contigu. Les deux positions sont séparées par un dénivelé de 20 mètres. » (Comptes rendus de l'Académie d'agriculture de France, volume 84, 1998, p143) Et je finirai par un texte sur la cryoturbation dans les combes à gel du Jura dans lequel on trouve une référence à la Combe noire et à la Combe de la Valouse (massif du Mont-tendre). « 1. Les formes actuelles de cryoturbation Elles apparaissent dans certaines cuvettes très froides, sujettes aux inversions thermiques, même pendant la belle saison (Combe-Noire, F. 1201 Mouthe, 504/180; Chaux-Sèche, F. 1241 Marchairuz, 499,3/157 ; région du Crêt-de-la-Neige et Combe-de-la-Valouse, F. 1241 Marchairuz, 502,9/150,2). Tous ces lieux sont caractérisés par une végétation arborescente rabougrie, arrêtée dans son développement normal par ce milieu glacial. C'est aussi à cause de ce microclimat spécial que se développent quelques microformes particulières du relief (planche 24). Nous voulons parler des espaces recouverts de cailloutis- entourant quelquefois des petites surfaces de végétation - qui ne sont pas sans rappeler les sols polygonaux des pays arctiques. Ces pierriers se situent sur des terrains peu ou moyennement inclinés couverts d'une végétation herbeuse. » (Contribution à l'étude des formations périglaciaires dans le Jura, ANDRÉ PANCZA, Décembre 1979, p159) La planche 24 montre un épicéa rabougri dans la Combe noire. Il semble y avoir des erreurs dans ces références : je ne sais pas si la "Chaux-sèche" est celle de Bellefontaine/Chapelle-des-bois située dans le Risoux (il n'y a pas de "Chaux sèche" au Marchairuz) ou s'il voulait parler des sèches du Mont-tendre bien située à proximité du Marchairuz. La Chaux-sèche de Bellefontaine/Chapelle-des-bois doit être une des combes à gel du Risoux.
  3. Je suis passé dans le Grandvaux en mars ou avril dernier, j'en ai profité pour aller voir le lapiaz des Chauvins. J'ai trouvé le paysage plus impressionnant que le secteur de Mouthe, ça avait des allures de steppes de Sibérie. Ça ne m'étonnerait pas qu'il y fasse plus froid qu'à Mouthe, j'ai lu d'ailleurs beaucoup de témoignages d'habitant du Grandvaux ou de Mouthe allant dans ce sens... Après, là où je suis passé, j'ai observé une végétation qui semblait souffrir du climat local, mais pas au point qu'une limite de végétation apparaisse. Le pin à crochets (Pinus uncinata) a été introduit en 1930 dans la Combe noire, il est cependant indigène dans la tourbière de Mignovillard. On a introduit cette espèce dans plusieurs combes à gel du massif jurassien pour faciliter le reboisement par l'épicéa (/topic/17358-les-trous-a-froid-en-france/page__st__1080#entry1957105'>j'en ai parlé récemment ici).
  4. Merci, tu pourrais me donner plus de précision sur ce lieu ? Merci, je n'ai pas non plus réussi à trouver un pdf. Je ferais bien des relevés dans la combe, mais l'endroit est très fréquenté (pistes de ski), il faudrait quelque chose de discret, peut être un bête thermomètre mini maxi pour commencer... J'ai fais quelques recherches sur les combes à gel du Jura, mais je n’ai pas eu accès à beaucoup d’informations. Ce sont celles du Mont-tendre qui sont souvent évoquées : « L'existence d'une limite inférieure de la forêt aux Grandes-Chaumilles, au Pré-de-Bière, à la Sèche-de-Gimel et surtout à la Sèche-des-Amburnex est indiscutable. Au bord de la cuvette se dressent des plantes de dimensions normales, mais, à mesure qu'on se rapproche du fond, les épicéas qui constituent ce peuplement se rabougrissent. Il en est, vieux de cent ans et plus, dont la taille oscille entre 1 m 50 et 2 m.» (Bulletin de la Société neuchâteloise de géographie, volumes 35 à 43, 1926) On peut comprendre que parmi les trous à froid du Mont-tendre, c’est dans la Sèche des Amburnex que le phénomène est le plus prononcé. J’ai lu ailleurs qu’il y avait du côté des Aiguilles de Baulmes une certaine « Grand’Combe » située sous Auberson où le phénomène a été observé. Le Grand Risoux abriterait également pas mal de combes à gel, mais je n’ai pour l’instant pas trouvé les lieux exactes. Concernant le reboisement de ces combes, la méthode de l’introduction de pins de montagne ou pins à crochets a fait ses preuves. En effet, beaucoup plus résistants aux gelées estivales que l’épicéa, ils permettent sous leurs couverts son installation. J’ai pu observer ça dans la Combe noire : dans les zones à pins à crochets, les rares épicéas poussaient aux pieds des pins. « Les essais entrepris en Suisse, dans le Jura neuchâtelois, à la Brévine et dans le Jura vaudois au Marchairuz, sont absolument concluants à cet égard. A la Brévine, une grande combe à gel a été reboisée, le climat local a été complètement modifié et la forêt naturelle est en voie de reconstitution. Dans le Jura français, des essais ont été tentés vers 1905 dans la forêt communale de Mignovillard, dans le grand trou à gelées de Combe Noire (45 hectares). Malheureusement, au lieu de planter du pin de montagne à port érigé, on a introduit une variété à port rampant (Pinus montana ssp. mughus. Scop.) dont la hauteur ne dépasse pas normalement 1 à 2 mètres. Le but recherché n'a donc pu être atteint, mais les sujets introduits ont parfaitement résisté au froid et ont une végétation active » (Revue des eaux et forêts, volume 79, 1941, p508) Pinus mugo (autrefois Pinus montana ssp. mughus) = pin mugho ou pin couché (non indigène à la flore jurassienne) Pinus uncinata (autrefois Pinus montana ssp. uncinata) = pin à crochets (indigène dans les tourbières et sur les crêts jurassiens) Ce qui peuple majoritairement la Combe noire aujourd’hui est le pin à crochets, introduit vers 1930.
  5. Au temps pour moi, je n'avais pas bien compris ta réponse à Emma.
  6. Merci pour cet extrait. Il serait intéressant de retrouver ces mesures, je serais curieux de savoir de quel ordre sont les gelées au fond de la combe. Est-ce que d'autres combes à froid avec une "limite de végétation inversée" aussi prononcée sont connues dans le masif du Jura (mise à part la sèche de Gimel) ? Je pense qu'il y en a pas mal mais j'aimerais savoir lesquelles pour pouvoir comparer.
  7. Je ne suis pas sûr de t'avoir bien suivi, mais le pâturage ne peut expliquer à lui seul l'état de la végétation de Combe noire, ce sont bien les gelées fréquentes, et estivales surtout, qui empêchent les épicéas de se développer au fond de la combe. Si la combe a été pâturée dans le passé, je sais qu'elle ne l'a pas été pendant une longue période. Il a récemment été question d'y remettre des vaches ou des chevaux pour freiner l'expansion des épicéas sur les parties hautes et maintenir ce milieu favorable au Grand Tétras.
  8. Bonjour, J'étais ce matin à la plaine de Combe noire, située à plus de 1000 m d'altitude dans la forêt de Mignovillard (département du Jura). Il s'agit d'une dépression karstique fermée d'1,5 km de long sur 300 m de large d'une profondeur d'une vingtaine de mètres, en plein coeur d'une forêt montagnarde jurassienne. Dès l'entrée dans la combe, on croirait pénétrer dans un autre monde, on sent tout de suite que le lieu subit un microclimat sévère : image1 image2 On y trouve principalement 2 espèces d'arbres : le Pin à crochet (Pinus uncinata), espèce montagnarde que l'on retrouve à la même altitude uniquement dans quelques tourbières, et l’Épicéa (Picea abies). Les pins ont un aspect miteux, défeuillés et couverts de lichens, et les épicéas adoptent des formes naines et rampantes : image3 C'est au fond de la combe que le phénomène est le plus prononcé (à noter que les rochers sont réduits en gravillons sous l'action du gel) : image4 image5 image6 Je n'ai aucune idée des températures extrêmes que l'on pourrait trouver dans cette combe, mais vu l'état de la végétation ça m'a l'air plutôt sévère. Il doit y geler en tout cas très fréquemment et les écarts thermiques doivent être importants.
  9. Merci pour ce lien. J'ai relevé un paragraphe intéressant : "Dans le fond de certaines combes la végétation arborescente est même dans l'impossibilité à peu près absolue de s'installer : l'air froid s'y accumule et les gelées y sont d'une telle fréquence que la futaie est comme frappée d'inhibition sur les bords de ces dépressions ; on n'y observe que de rares Épicéas disséminés très rabougris et surchargés de lichens. Nous avons pu observer de telles "combes à gel" en plusieurs points du Jura français, par exemple dans les forêts du Risoux et de Mignovillard." (pp 500-501) Ils font référence à la Combe noire située à une altitude d'environ 1015 m dans la forêt de Mignovillard (département du Jura), bien connue des skieurs, dans laquelle toutes les tentatives de reboisement ont jusqu'à présent échouées. La neige y disparaît également très tardivement.
  10. Bonjour, je peux t'envoyer les données par e-mail (en me donnant ton adresse dans un MP). Je lui ai également demandé si des températures avaient déjà été relevées dans la sèche des Amburnex, il m'a répondu qu'à sa connaissance non. En tout cas, je lui ai communiqué l'idée que ça pourrait être intéressant de le faire.
  11. Merci ! Je l'ai contacté et il m'a rapidement répondu. Le -47°C a été relevé en janvier 1985, comme on pouvait s'en douter, sur un thermomètre mini-maxi à l'endroit exact de l'actuelle station Amburnex-Combe, au fond de la sèche de Gimel donc. Il m'a de plus envoyé un fichier excel listant toutes les températures journalières de 1987 à 2001 !
  12. C'est exactement ce que je me suis dit. Cette température n'a pas due être relevée au fond de la sèche des Amburnex, et on peut imaginer que là-bas la température est passée sous les -50°C. J'ai essayer de trouver sans succès le livre "Le Parc jurassien vaudois" (JEAN-PETIT-MATILE et J. REYMOND, édition 24 Heures, 1994) dont semble tirée l'information. Il n'est plus édité et n'a sans doute pas été numérisé. Enfin, je me dis de plus en plus qu'il faut absolument que je visite les sèches de Gimel et des Amburnex l'année prochaine, ainsi que la combe de la Valouse et le Creux de la Croue tant qu'à faire, non seulement pour voir de quoi il retourne mais aussi pour les espèces relictuelles qu'on y trouve (Saxifrage oeil-de-bouc et Bouleau nain notamment). Oui c'est là tout le problème, bien que deux fois plus profonde la combe de la Valouse est plus encaissée que la sèche des Amburnex.
  13. Bonjour, j'ai trouvé un document intéressant sur la géomorphologie du massif du Mont-tendre ( http://mesoscaphe.un...=TIGL-724-2.pdf ), dont voici quelques passages : -47°C aurait donc été mesuré à la combe des Amburnex, je n'ai cependant pas trouvé trace de cette mesure ailleurs, à rechercher dans la publication de Bloesch et Calame. Un autre site à retenu mon attention dans ce document, il s'agit de la combe de la Valouse située plus au sud sur le massif vers La Bassine. Cette dépression fermée atteindrait les 60-70 mètres de profondeur, mais est en contrepartie plus étroite. Un marais tourbeux en occupe le fond. Quelle température peut on trouver au fond d'un lac de froid potentiel de 70 m d'épaisseur à 1200 m d'altitude en plein massif jurassien ?
  14. Tu penses que l'on aurait pu s'attendre à quelle Tn au fond de la sèche des Amburnex le 06/02/12, sachant qu'il a fait -37,4°C au fond de celle de Gimel ? En étudiant les cartes topographiques, la sèche des Amburnex forme une cuvette d'une profondeur d'au moins 36 mètres, alors que celle de Gimel fait dans les 23 mètres. Ajouté à cette différence celle concernant le facteur de vision du ciel, je n'ose même pas imaginer le résultat... Je pense aller y faire un tour cet hiver, c'est à 1h20 de chez-moi ascension non comprise.
  15. J'en profite pour ajouter les Tn de la station des Amburnex-Combe des jours suivant : -16,7°C le 30/10 -16,2°C le 31/10 -5,9°C le 01/11
  16. Merci beaucoup pour ce partage très intéressant. Le massif du Mont-tendre recèle visiblement d'autres puissants trous à froids que la combe des Amburnex. Il y a toutefois une erreur dans les coordonnées de la combe jurassienne étudiée dans l'article (la dépression de la Plateforme/la Perrause) : ça serait plutôt quelque chose comme 46°34'8"N 6°14'37"E.
  17. Tn de -17.8°C relevé hier à la station des Amburnex-Combe (1298m).
  18. C'est le mien ! belle activité électrique en effet et côté pluie on est encore servi ! je n'ai eu que la partie sud de l'orage, ça a du être plus intense du côté de Salins-les-bains.
  19. Bonsoir, de beaux orages se sont succèdés juste au dessus de ma tête, je suis en effet sous la ligne qu'empruntent l'un après l'autre les orages qui se sont formés dans le nord de l'Auvergne. Plusieurs éclairs par seconde, pluie forte et rafales pour le premier (il y a 1h30). Depuis une bonne heure ça pète de tous les côtés, ça commence seulement à ce calmer mais le radar indique que la suite arrive.
  20. Ok merci. Tu as raison, je pense que je vais partir sur le Voltcraft, ça va jusqu'à -40°C il ne devrait pas y avoir de soucis.
  21. Bonjour, merci pour vos réponses. C'est sûr que ça serait mieux d'avoir une plus grande précision, mais bon c'est pour débuter et avoir une idée de la température me suffira pour l'instant. D'autant plus qu'à basse température la marge d'erreur doit être importante. Oui ça à l'air pas mal, c'est opérationel jusqu'à -30 -35°C, ça se rapproche de l'appareil de mon 2e lien. En effet, je viens de regarder la fiche technique du produit et il est indiqué que l'électronique peut résister jusqu'à -10°C seulement. L'enterrer peut être une solution, je vais y réfléchir. Sinon c'est bien la température de l'air que j'aimerais mesurer. J'hésite quand même à acheter ce genre d'appareil au risque de le bousiller dès son premier hiver. Quelqu'un a déjà essayer d'en exposer à des très basses températures ?
  22. Bonjour à tous ! Je suis nouveau sur le forum, je m'intéresse à la météo, la climatologie depuis peu et j'ai dans l'idée de mesurer la température dans un milieu naturel particulier en hiver. J'aimerais donc placer une sonde à température en pleine nature qui exécuterait des relevés toutes les 1/2 heures durant plusieurs mois. J'ai vu qu'il éxistait des data logger usb équipés d'une sonde à température, ce qui m'a l'air très pratique. Cependant plusieurs problèmes se posent : - la résistance au froid : car le milieu dans lequel je veux placer le dispositif est susceptible de présenter des températures pouvant descendre en dessous de -30°C (ça reste rare mais ça s'est déjà produit), sachant que ce qui m'intéresse le plus est d'enregistrer la température durant les périodes de froid intense. - l'engin doit donc être aussi capable d'enregistrer des valeurs inférieures à -30°C. - c'est en pleine nature, donc alimenté que par des piles qui doivent tenir plusieurs mois. - le budget : en dessous de 100€ si possible Connaissez vous un/des instrument(s) qui correspondrai(en)t à mes attentes ? Pour l'instant j'ai trouvé ça : http://www.selectronic.fr/enregistreur-datalogger-usb-a-thermocouple.html http://www.conrad.fr/enregistreur_de_donnees_voltcraft_usb_p_53207_53742_843174_830459_FAS J'ai peur que ce genre d'appareil rende l'âme passé les -30°C. Qu'est-ce que vous en pensez ? Merci d'avance. /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">
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