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un_Mauzunois

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Tout ce qui a été posté par un_Mauzunois

  1. Les prévis météo se sont bien ratées aujourd'hui. Contrairement à ce qui était annoncé, on n'aura pas vu un rayon de soleil. Ciel bouché. Température max bloquée à 12°C.
  2. Nuages bas et bruine ce matin sur le Thiernois. Autour de 8/9°C.
  3. Il est bien le seul 🥳 Bon, on rigole, on plaisante, mais je dois avouer que ma plus grande crise de rire du jour, c'était à l'instant en jetant un œil sur un site d'info, j'en ai les larmes aux yeux. 🥳
  4. ah ça, les langues de douceur qui s'arrêtent avant d'arriver au bon endroit hein, comme disent souvent mes patientes.. heu...... non, rien 😇 SINON !! du ciel bleu ce matin, mais ça s'est couvert dans l'après-midi, nuages clairs cela dit. Par conséquent, les températures restent bloquées autour de 14,5°C. Ce qui reste fort agréable ma foi. Franchement, on est gâté en ce mois d'octobre.
  5. ouais, mais c'est normal, tu viens d'un coin à l'extrémité du royaume où les enfants sont tombés dedans quand ils étaient petits. Ça coule dans les veines ce truc-là, pas besoin d'en consommer. 🥳
  6. J'ai fait un petit peu l'ethnologue rural dans le Cantal, remarque.. quand j'ai écrit Vivre Ici, Chroniques de l'arrière-pays, je me suis fondé sur des centaines de conversations (parfois, des interviews en bonne et due forme), et puis j'étais pigiste, donc ça aidait bien pour découvrir le territoire et les gens. (et quand tu écoutes des personnes te confier leur vie intime toute la journée, sans parler des centaines de skieurs quand je bossais au Ché, les éleveurs, chasseurs, etc‧.. croisés en randonnée, etc etc.. forcément, le social, tu finis par le connaître en profondeur. C'était une discussion assez tendue avec certains ethno-ruralistes (tu vois qui que j'ai rencontrés : je leur disais, oui, mais bon, vous passez juste quelques semaines par an dans l'arrière-pays, et entre deux visites, vous bossez à la faculté à Paname. Moi je vis là. Chaque jour, 365 jours par an) Concernant Thiers, j'ai accumulé quelques pages de notes et d'observations, et je devrais pas tarder à y aller de mon petit écrit je crois 😇 J'aime vraiment beaucoup cette ville - pour des raisons qui ne plairont certainement pas à tout le monde (en fait, quand j'y pense, les raisons pour lesquelles j'aime cette ville sont précisément les mêmes pour lesquelles pas mal de gens la détestent (et j'en avais soupé des "villages". Je vis plus ou moins à la campagne depuis les années 90 (Chauvigny, Aire-sur-l'Adour, Saint-Flour, ce sont certes de gros bourgs, mais ça reste bien assez rural, et Valuéjols ou Mauzun, là c'est carrément le village. Excepté un bref passage à Santander, une ville que j'ai beaucoup aimé aussi. Bon, Thiers ça reste une petit ville, faut pas rêver, à Clermont, je tiendrais pas deux jours, disons que c'est la taille qui me convient. En attendant d'aller peut-être voir ailleurs un de ces jours hein (ahhhhh Cherbourg !! L'avantage de mon métier, c'est que je peux ouvrir un cabinet facilement n'importe où. Faudrait juste que ça se consolide un peu au niveau économique..)
  7. Tout pareil mais le plafond me semble plus bas sur la Limagne. Plutôt 500 m. Température bloquée depuis cette nuit autour de 11/12°C. Depuis que je suis installé ici, en février dernier, sur les hauteurs de la ville (disons à mi-hauteur), je n'ai jamais vu le bas de chez moi dans le brouillard. Il y a toujours de la visibilité même quand toute la plaine et les montagnes autour sont prises dans la nasse. À Mauzun, une journée comme celle-là, on ne voyait pas le château. L'autre aspect qui saute aux yeux, c'est la densité végétale de la ville. C'est quasiment une ville dans la forêt. Avec tout ce que ça suppose de présence animale aussi : j'en discute assez régulièrement avec des gens de Thiers (que je croise généralement à Iloa), mais les sangliers, les renards, les chevreuils etc.. sont bien installés à deux pas de la ville, voire, notamment pour les renards et les sangliers, n'hésitent pas à venir faire un tour dans les rues la nuit (c'est très commun dans ce genre de ville "à la campagne". Un gars me disait : "heureusement qu'il n'y a pas d'ours, ça ferait comme en Alaska, quand ils viennent vider les poubelles, etc..) Un gars de la Vidalie a d'ailleurs "accueilli" un sanglier récemment, ce dont témoigne La Montagne : https://www.lamontagne.fr/thiers-63300/actualites/ce-sanglier-semble-vouloir-s-installer-dans-un-jardin-du-puy-de-dome-que-faire_14760601/ à Iloa, les prairies sont littéralement labourées par les sangliers qui vivent dans les landes et les forêts alluviales tout autour. (j'en ai aperçu un soir en me baladant après la tombée de la nuit) Une grosse battue avait été organisée à la fin du printemps. 3 mois plus tard, les labours ont repris 😇 En tous cas, j'adore cette ville, en partie pour cette couverture végétale. La municipalité maintient délibérément des espaces en herbe, fauchage tardif, etc.. (EDIT : je reviens du petit marché du jeudi matin, et c'est marrant, mais il y a les élèves du BTS Paysager qui présente des projets de végétalisation autour des places en ville haute, ça fait rêver d'ailleurs :!) C'est aussi un paradis pour les oiseaux (avec tous les plans d'eaux alentours, la Durolle, la Dore etc..) et les chauve souris, bien présentes ici avec toutes les usines et autres bâtiments en friche. (en ce moment, je fais de l'Urbex, de l'exploration de bâtiment laissé à l'abandon, notamment les anciens grands hopitaux de la ville. C'est vraiment impressionnant. Pour vous donner une idée, je me suis carrément paumé avant hier matin dans les étages et sous-sol de l'ancien hôpital. Mais vraiment paumé. Impossible de savoir à quel étage j'étais, quel escalier j'avais monté ou descendu. Trop bien !! (il m'a fallu un bon quart d'heure pour me réorienter correctement)
  8. Temps splendide aujourd'hui comme hier. 20°C au compteur, après des matinées un peu plus fraîches. Il ferait presque un peu chaud l'après-midi en plein cagnard. Enfin, on va pas se plaindre, c'est un très agréable début d'automne. Hier à Saint-Rémy : Aujourd'hui vers un étang près de la Dore :
  9. Je me cite du coup (dans mon bouquin Vivre Ici, Chroniques de l'arrière-pays, dans la deuxième partie "Des Hivers", la section : "Une brève histoire (sociale) du ski"), ça ira plus vite 😇 L’autre raison (du succès du ski nordique en moyenne montagne cantaliene) est probablement sociologique, et c’est encore Michel Decroix qui me la suggère : dans les années 60, l’offre en matière d’activités réservées à la jeunesse était très faible. Les jeunes issus des milieux aisés pratiquaient le ski, le tennis et l’équitation, mais pour les enfants des milieux populaires, agriculteurs compris, rares étaient les activités susceptibles de sublimer leur énergie. La découverte du ski de fond venait de la sorte non seulement combler un manque, mais aussi devenir pour certains jeunes le terrain où pouvait s’exprimer une certaine ambition. Ces adolescents prenaient grand soin de leur matériel, caressaient leurs skis et ouvraient de grands yeux en descendant du bus au col de Prat-de-Bouc : cette montagne paradoxalement si proche, ils n’avaient fait que la deviner jusqu’à présent, il la voyait découper l’horizon, vers l’Ouest, notaient juste qu’elle s’habillait en blanc chaque hiver. Le buron du col de Prat-de-Bouc incarnait pour ces gamins leur deuxième maison, il leur arrivait d’y dormir pendant les stages, et même d’y passer le réveillon de Noël. Certains d’entre eux grandiront avec le ski de fond et deviendront moniteurs de ski, se réalisant donc professionnellement grâce à ces montagnes et aux efforts des bénévoles des si bien nommés foyers. Dans les années 80, les territoires dédiés au ski de fond vont connaître une transformation majeure, à la fois économique, esthétique, environnementale (ou paysagère) et sportive. Les responsables du tourisme départemental ont flairé le potentiel de cette activité idéale pour découvrir le pays en hiver. Le Parc régional des volcans d’Auvergne, fondé en 1977, inscrit la création de 9 domaines nordiques dans son projet de valorisation des ressources locales. Prat-de-Bouc devient l’un de ces domaines en 1985. L’élan porté par la politique de Rénovation Rurale, puis par le Ministère de la Jeunesse et des Sports et le Parc régional, se traduit dans ce qu’on pourrait appeler une institutionnalisation des espaces jusqu’ici gérés par les associations de skieurs : le domaine nordique fait désormais l’objet d’un intérêt politique manifeste, on y investit des sommes importantes, et, ce faisant, on entre dans une logique de rentabilité. Désormais, l’accès aux pistes est payant, il faut pour s’adonner au plaisir du ski nordique s’acquitter d’un forfait : je connais des anciens qui ne s’en sont pas encore tout à fait remis ! C’est la fin de la liberté !, entendait-on fréquemment sur les pistes. Les vastes espaces de neige vierge sur lesquels les pionniers traçaient les itinéraires chaque matin, selon l’envie et la fantaisie du jour, sont transformés en parcours obligés, fléchés, aménagés, et bientôt damés. Cette modernisation attire évidemment une nouvelle population sur les domaines, mais elle a un coût. On voit apparaître dans les années 80 des contrôleurs à l’entrée des pistes, et le moteur des engins de damage va bientôt ronfler sur le parking. L’ambiance a changé. Des conflits opposent les skieurs classiques et les adeptes de cette nouvelle technique qu’on appelle le pas du patineur. Les anciens se moquent de la progression des skateurs, qui grimpe les côtes en canards, et revendiquent au nom de l’esthétique la supériorité des glisses traditionnelles, certes moins rapides, mais ô combien plus élégantes.
  10. Iris de la Loupette est TRAUMATISÉE par cette vidéo. Elle ne comprend absolument pas ce que fait le chien. "peut-être c'est pas vraiment un chien ? Mais une grosse poule déguisée en chien ?"
  11. Alors ce sera une bleu, deux rouges et une orange, merci !
  12. Allez, comme ça fait longtemps que j'ai pas joué Cherbourg, alors on va jouer Cherbourg. https://www.infoclimat.fr/observations-meteo/temps-reel/cherbourg-maupertus/07024.html Hé ouais ! (j'ai même pas regardé les prévis, j'y vais à l'instinct, juste que j'ai envie de jouer Cherbourg, et que ça vous plaise ou non, c'est pareil, nahhhhhh !!! Non mais on va pas m'empêcher de jouer une station juste parce que j'en ai envie, et puis quoi encore, c'est fou ça !!) (ah, je viens de me rendre compte que j'ai oublié de prendre mes cachets ce matin 🥳
  13. C'est bien paumé là... Je suis passé pas loin en me baladant au lac du barrage de la Muratte, trop mignon d'ailleurs ce lac d'altitude. https://www.outsiderland.com/photography/index.php?/category/44 À la limite, sur la commune de Saint Victor, le sommet du village, juché sur une colline, me paraît pas mal du tout pour une station (mais j'y connais pas grand chose en emplacement idéal, faut admettre 🥳
  14. Je vois très bien le coin oui ! Au niveau du col de Charme, en allant vers Montoncel, la station en contrebas sur la commune de Lavoine, au plan de la Chaume, fonctionnait encore il n'y a pas si longtemps. je ne suis pas sûr qu'ils aient ouvert cette année ; http://www.montoncel-lavoine.com/ Les pistes sont disséminées sur toute la pente dans les bois jusqu'aux crêtes, et c'est bien rudasse, y'a quasiment pas de plat. (excepté une fois que tu as atteint la crête, et encore..) Je l'ai fait en ski de rando, avec une neige très hétérogène et pas toujours continue. C'était physique, mais sympa. C'était ta station ? Ou une autre sur le versant d'Arconsat ?
  15. L'auteur a fait le choix de se focaliser sur les stations de ski alpin (avec remontées mécaniques) mais mentionne tout de même en passant le ski nordique : Dans le Cantal, à la grande époque, les années 70 et première moitié des années 80, quand l'État et les collectivités locales finançaient largement les pratiques nordiques (le matériel gratuit dans les écoles autour des massifs par exemple, sur lequel se sont initiés une bonne partie des écoliers dans le Cantal), chaque village autour du massif avait non seulement son "club" de ski de fond, mais aussi sa "station" - quelques pistes, comme à Gourdièges (autour du Puy de Gourdièges qui culmine à 1135m), Paulhac, Chalinargues, et des dizaines d'autres (on en avait compté 19 avec un ancien dameur que j'avais interrogé, rien qu'autour du Plomb du Cantal, Col de Serre, Planèze, Pinatelle). Qui ont fermé les unes après les autres. Il ne reste de vraiment actives que les stations qui peuvent ouvrir des pistes à 1400 m, et encore.
  16. ah ouais quand même, 125 pts ! en gros, à chaque engagement, ça marquait un essai quoi. Les balèzes des ligne avant, ils ont dû passer le match à essayer de se replacer dans leur moitié de terrain avant le coup de sifflet de l'arbitre pour rependre le jeu après un essai. (vous me direz, les balèzes des lignes avant, vu qu'ils courent maintenant comme des ailiers, ça les dérange plus trop. De mon temps, c'était plus compliqué, y'aurait eu des malaises : (l'époque où la moitié des matches se terminaient sur un score de 3 à zéro, et que les mecs passaient plus de temps à s'envoyer des beignes, s'agripper les cojones et se coller les doigts dans les yeux (la fourchette !!) qu'à courir 😇 Jean-Pierre Garuet powaaaaa !!!)
  17. J'y ai pensé, autrefois, quand elle était jeune et fringante. Mais j'avais un sifflet, on s'était arrangé tous les deux avec ça, et ça suffisait (elle savait où j'étais, et elle m'a toujours retrouvé) Mais bon, elle a 12 ans et demi, et ça devient quand même beaucoup plus rare qu'on se perde 😇 Il peut toujours arriver qu'elle soit coincée quelque part. Là, par exemple, j'ai vérifié les berges des étangs, c'est bien boueux, et faudrait pas qu'en coursant un ragondin, elle se retrouve piégée dans la boue, ou le harnais coincé dans les ronces. Mais bon, c'est beaucoup plus rare.
  18. Il a beaucoup plu à Saint Rémy, au nord de Thiers en tous cas : 13 mm au compteur, et moins en ville, autour de 5 mm. Températures en chute libre 11°C actu. Balade juste après la séquence pluvieuse, vers 16h. Retour du ciel bleu entrecoupé de gros nuages noirs en fin de journée. J'ai perdu Iris. Enfin disons pendant une demi-heure. Mais on s'est retrouvé 🥳 Autour des forêts alluviales au nord des étangs d'Iloa. Sans doute a-t-elle filé chasser un truc. J'avoue que je ne faisais pas spécialement attention, je la suivais sur un de nos parcours habituels. Je l'ai retrouvé près de l'air de camping car, qui m'attendait : c'est trop mimi quand on se retrouve, c'est la fête, les bisous et tout. Aucune idée de par où elle est passée pour se retrouver là, mais je m'inquiète pas plus que ça - elle connaît tout ce coin-là par cœur, et je me disais, au pire, je l'attendrais dans le pré non loin de la tuture, elle sait comment rentrer. Bon quand elle était plus jeune, c'était plus funky quand même, quand elle filait sur les crêtes en montagne cantalienne alors que j'étais 200 mètres de dénivelé plus bas 🥳
  19. Première micro-averse à l'instant. Pas de quoi marquer le pluvio et le vent aurait plutôt tendance à perdre en intensité. Chouette bande resserrée plus intense à l'avant du front sur le radar
  20. Le vent s'est levé sous un ciel gris sombre. Quelle douceur cette nuit : une Tn qu'au moins 13°C et autour de 18°C actuellement vers 11h. On va attendre les averses maintenant.
  21. C'était dans l'air pour Chalmazel (l'air trop doux si je puis dire), un employé d'une boutique de la station m'en avait dit un mot l'hiver dernier. Ce qui est dur, c'est que c'est une station alpine. Quand je vois tous les canons à neige disséminés sur les pentes depuis la station jusqu'à Pierre-sur-Haute. Ça fait pitié quand même. Les stations de ski de fond se sont depuis longtemps adaptées plus ou moins (ou ont déjà fermé) Prabouré, c'est ce qui reste du domaine autour des Supeyres/Pradeaux... Le col de la Loge, pas de nouvelles ? Dans le Cantal, Prat-de-Bouc fait de la résistance avec son bâtiment flambant neuf à quelques millions d'euros, mais je ne crois pas qu'ils prennent la peine d'ouvrir encore le Ché (et Cézens, ça ne doit pas arriver souvent) Le col du Legal, le col de Serre... c'est pas gagné. (là aussi, y'a de l'infrastructure, mais sans neige.. tu peux avoir toutes les infrastructures du monde hein..) Enfin bon, vieux sujet..
  22. ah ben je vais jouer en Vendée, à l'île d'Olonne (où je dois passer quelques jours à la toute fin octobre !) https://www.infoclimat.fr/observations-meteo/temps-reel/l-ile-d-olonne/STATIC0334.html Nous sommes mercredi, il est 22h15.
  23. Un petit 7,4°C pour démarrer ce mois d'octobre. Comme à Saint-Etienne, ciel bouché et nuages bas. Taux d'humidité maximal.
  24. J'ai gagné nanananère. C'est tellement rare. Permettez moi d'exprimer ma joie dans une manifestation d'enthousiasme non feinte et néanmoins assez niaise, je l'admets. 🥳
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