Llop
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Suivi de la composition gazeuse de l'atmosphère
Llop a répondu à un sujet de _sb dans Evolution du climat
Pas tout à fait - si on appuie sur un bouton et qu'on arrête toutes émissions de GES (ce qui est évidemment impossible), il y a quand même une augmentation quasi immédiate (qqs jours) de la T globale due à la dispartion des aérosols qui ne seraient plus produits pas la combustion des ressources fossiles -on le voit sur la courbe rouge) -
Merci En se focalisant sur les 17 dernières années (2007/2023) de l'échantillon (1979/2023) on voit essentiellement un plateau sans tendance claire. Mais sur les 17 premières années (1979/1996) on voit aussi quasiment un plateau sans tendance claire... A contrario sur la période intermédiare - disons les 17 années de 1996 à 2012 - la chute est très violente, de l'odre de - 200 000 km2/an. Forte modulation en effet, et du coup difficile de se projeter à court terme.
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Tous ceci reste subjectif, chacun a ses propres critères d'appréciation et il y a toujours des différences locales. Mais factuellement, depuis 1900 en France, c'est bien l'hiver 1962/63 qui est de très loin le plus froid. Et février 1956 le mois le plus froid avec une synoptique de VdF exceptionnelle : des T < -25°C à 850 hPa à 2 reprises le 2 puis le 10 février en France, et un anticyclone scandinave très étiré vers l'est pompant de l'air glacial loin en Sibérie transporté jusqu'en Europe de l'Ouest
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Ca ne marche pas trop. Le repère des "milliardaires" sur le Léman n'est pas à spécialement Vevey mais plus à l'ouest sur la Côte, vers Morges... Et Genêve est loin d'être un repère de petits pauvres !
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A voir si les 1990 h de 2013 seront dépassés...
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C'est mon cas aussi. Je devais passer mon permis de conduire en janvier 1985, en Alsace... Entre les séances annulées à cause des intempéries, l'examinateur qui a eu un accident en arrivant sur le lieu de l'examen à cause du verglas, et tous les retards avec les gens qui attendaient, je l'ai passé en avril... Et sinon je traversais le pont Churchill à Strabourg, à pied tous les jours pour aller à la fac, par -12 à -18°C tous les matins pendant plus de 2 semaines en janvier 85, avec le vent de face (bise) qui souffle bien sur nettement plus sur le pont. Je ne regrette vaiment pas de ne plus avoir vécu ça !
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L'hiver 1962/63 n'a pas été marqué par la sévérité exceptionnelle d'une seule vague de froid, mais par plusieurs vagues de froid successives et des températures déficitaires de novembre 62 à début mars 63, presque sans interruption. Au niveau national c'est un ovni en terme d'anomalie de T, sans conteste de très loin l'hiver le plus froid depuis 1900. cf. https://meteofrance.com/comprendre-la-meteo/saisons/hiver "Depuis 1900, c'est l'hiver 1962-63 qui a été sans conteste le plus froid, avec une température moyenne de 0,7 °C, plus de 5 degrés sous la moyenne 1991-2020. " Et comme dit plus haut l'hiver avait commencé très tôt, dès novembre.
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Il manquait la dernière journée du mois, pour Grenoble et les autres villes. Du coup j'ai tout repris. Ca ne change pas grand chose.
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Statistiques et anomalies climatiques globales
Llop a répondu à un sujet de Sam82 dans Evolution du climat
Plutôt novembre non ? Et en effet guère de doute que 2024 sera encore plus chaude que 2023... -
Bonjour, Les chiffres de novembre et cumul annuel pour le flanc Est du pays – données MF. L’ensoleillement est très contrasté en novembre, avec Grenoble qui caracole à 138 h et St-Etienne à plus de 128 h, alors que les valeurs les plus faibles se retrouvent – assez classiquement pour les mois gris de fin d’année – au milieu de la vallée de la Saône et au nord de la plaine d’Alsace et Charleville avec moins de 40 h sur le mois soit guère plus d’une heure de soleil par jour en moyenne. Sur l’année deux villes se distinguent décidément, Grenoble vers le haut et Charleville vers le bas. Pour le reste c’est plus ramassé, avec Lyon assez haut puis St-Etienne, Dôle, Colmar et Macon qui sortent un peu du peloton, et Reims un peu distancée par contre. Les zones les plus vers le NO, proches du bassin parisien, ne brillent décidément pas par leur ensoleillement… A voir dans un mois pour le bilan définitif d'une année qui ne sera de toute façon pas très ensoleillée, mais avec un déficit assez contrasté quand même suivant les stations. Relevé d'ensoleillement par station de référence pour l'Est (novembre et cumul annuel) : + de 1750 heures de cumul : - Grenoble (38) : 138,1 h (1882 h) - Lyon (69) : 78,3 h (1788 h) entre 1650 et 1750 heures : - Saint-Etienne (42) : 128,4 h (1746 h) - Dôle (39) : 51,1 h (1700 h) - Colmar (68) : 60,1 h (1692 h) - Macon (71) : 54,4 h (1672 h) entre 1550 et 1650 heures : - Luxeuil (70) : 76,8 h (1610 h) - Strasbourg (67) : 36,3 h (1593 h) - Dijon (21) : 37,1 h (1592 h) - Besançon (25) : 74,4 h (1559 h) - Auxerre (89) : 47,1 h (1555 h) - de 1550 heures : - Langres (52) : 40,7 h (1527 h) - Nancy (54) : 41,6 h (1519 h) - Reims (51) : 48,2 h (1456 h) - Charleville-Mézières (08) : 36,1 h (1349 h)
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Grosse surprise chez moi : les chayottes qui ont subi le coup de froid sont presque toutes en train de germer... Celles cueillies qqs jours avant non Direction frigo pour les calmer... mais ca prend de la place y en a des kg. On en a mangé une, elles sont aussi nettement plus sucrées - ça ne plairait pas à boubou... Tu as eu la même chose Matpo ?
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Hello, Comme prévu, avec le coup de froid de la semaine dernière, la chayotte était cuite à mon retour hier - et les yacons, dahlia, begonia... aussi Par contre étonemment les fruits de la chayotte on presque tous bien résisté (à part les plus petits) alors que tout le reste a dépéri. Tant mieux, il y avait encore 25 fruits a récupérer. Et sinon, le mimosa des 4 saisons continue inlassablement à fleurir... c'est étonnamment florifère ce retinodes !
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Pareil dans les Pyrénées. Ma grand mère était originaire d'un village dans les Pyrénées centrales, à plus de 700 m d'altitude côté Catalogne espagnole. Figuiers et même oliviers dans les endroits bien exposés. Je m'en étais étonné et ma grand mère me disait que parfois ils étaient abimés par le gel... Mais quand même ! Le rayonnement solaire je ne pense pas que ça fasse grand chose mais la chaleur estivale oui pour bien aouter les jeunes rameaux ainsi qu'une période de végétation assez longue, surement. La plupart des plantes que tu as listées - figuiers, lauriers-sauce, abricotiers, albizzia - poussent bien en climat semi-continental, et depuis longtemps : trace de récolte de figues dans le SO de l'Allemagne il y a plusieurs milliers d'années, par ex. Les abricotiers résistent aussi à des T très basses mais supportent mal les gelées tardives et contrairement aux idées reçues les climats continentaux ou collinéens, sauf dans les creux de vallée ou TAF, n'y sont pas spécialement propices. Et les lauriers-rose, pour certaines variétés, sont assez rustiques - on en trouve beaucoup en Italie, même dans la plaine du Po, qui est vraiment froide en hiver, et très grise. Du coup avec un été assez chaud et long pour s'endurcir, un sol non détrempé en hiver, les plantes tiendront plus facilement à un froid vif (même sans dégel si pas trop prolongé) que les mêmes installées dans un sol lourd en Normandie ou dans l'Oise. Je me rappelle de discussions sur des forum jardinier il y a plus de 20 ans, sur les zones de rusticités américaines et leutr transposition en France. Les jardiniers normands ou du Nord ne s'y retrouvaient pas et disaient qu'il fallait baisser d'un cran les zones les zones pour la France - pour plein de raison évoquées : neige fréquente en Amérique qui isole du froid, ensoleillement supérieur... Moi qui jardinait en Alsace et en Bourgogne (en zone 8a, pas du tout 7 voir 6 comme on lit parfois. J'avais fait moi même le calcul des Tnx hivernales moyennes sur 20 ans), je n'avais pas la même expérience et les hardiness zone américaines collaient nettement mieux. La conclusion était plutôt que l'été plus chaud et plus long et le terrain plus sec en hiver faisait la différence.
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Pour l'absence de Tn trop basses elles se sont raréfiées, comme chez nous le CC est passé par là - mais elles arrivent encore. - 14°C à Bakou en 2012. Les phoenix sont donc surement plus jeunes que ça - pourtant certains sont grands. Il gèle tous les ans, mais la période froide est assez courte - la période sans gel dure en moyenne presque 10 mois, il gèle rarement après le mois de mars et les premières gelées sont tardives, en décembre normalement. Et il neige tous les ans aussi Les journées sans dégel ne sont pas courantes mais pas absentes non plus (confirmé par les locaux). C'est normal, les Tx moyennes en janvier février (< 7°C) sont vraiment basses, plus basses qu'à Paris. Les Tn moyennes aussi sont plus basses qu'à Paris. le congélo sibérien n'est pas loin et des masses d'air glaciales arrivent bien plus facilement à se frayer un chemin à travers le Kazakhstan vers la Caspienne que vers l'Europe de l'Ouest. La Caspienne est froide en hivers, la Tm de la mer en février est de 6°C à Bakou et beaucoup moins un peu plus haut, la partie nord gèle à peu près tous les hivers. Dans les années 60/70, il est arrivé plusieurs fois que la glace descende jusqu'à la péninsule d'Abseron - où se trouve Bakou. Probablement plusieurs semaines de gelées sévères et sans dégel... Mais ce n'est plus arrivé depuis bien longtemps. Du coup je pense que c'est vraiment l'aridité qui fait la différence par rapport rapport une partie de l'Europe de l'ouest , même s'il fait gris et froid, les sols ne sont pas détrempés en hivers.
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Du coup qqs autres palmiers Il y a un joli parc au centre ville près de la vielle ville, parc qui manifestement est bien arrosé - c'est bien vert. On y voit des washingtonia assez jeunes Il y a aussi des palmiers qui ressemblent aux trachy, mais il sont cespiteux, je n'ai donc pas pu identifier. Ce ne sont pas des chamaerops humilis. Si qq'un a une idée. Et enfin dans le même parc un araucaria angustifolia Il y a aussi des lauriers roses, des néfliers du Japon, qqs beaux rosier de Banks aussi.