Cirus Posté(e) 31 août 2011 Partager Posté(e) 31 août 2011 Voilà, voilà, j'ouvre un ptit sujet ^^ Si vous voulez vous défouler, vous pouvez poster vos propres poèmes (qui garde quand même un cadre météorologique). Ou alors vous pouvez poster des poèmes de d'autres auteurs (qui garde toujours un cadre dans la météo, hein ^^). Ou alors, on peut faire un truc genre cadavre exquis pour que ça soit plus marrant (mais tout en restant dans la rime ou en respectant d'autres contraintes, je ne sais pas moi) Me concernant, je vais poster une de mes créations, eh ouais ^^ c'est un poème construit sur la base d'un tercet, de cinq distiques et d'un tercet final. Au début, je voulais faire un tercet, un dizain, un tercet, mais j'ai préféré spatialiser le texte pour une meilleure lecture. Sinon, les rimes sont suivies et il n'y a pas de longueur fixe dans les vers (vers libres). La sonorité dominante dans ce petit machin est la voyelle nasale mélancolique /an/. Voilà, voilà C'est un poème allégorique qui passe par l'évocation d'un paysage somptueux. Of course, je ne vais pas vous révéler mes raisons d'avoir écrit ce poème (dans le fond, je pense que vous allez facilement deviner ). Je l'ai écrit il y a une semaine. _________________________________________ Je suis une épave échouée sur un atoll J'ai perdu mon capitaine et mon équipage Comme à la façon de tourner une page Autrefois j'étais un bateau à la conquête de nouveaux océans Mais le destin en à décider autrement Tous les jours au rythme des vagues je me balance Dans un profond silence celui de la mer sans violence Quotidiennement j'observe cette immensité bleue aux couleurs pétillantes Minutieusement la nuit je regarde ce ciel obscur clairsemé d'étoiles époustouflantes Parfois quelques nuages aux bords crénelés légèrement S'élancent dans le ciel paisiblement Sous le soleil j'embrasse la plage sablonneuse éblouissante Et je fixe les quelques espèces végétales environnantes Quel regret de ne pas avoir achevé l'exploration de cette belle étendue d'eau profonde J'attendrai jour et nuit ton appel pour rejoindre ton monde Tes yeux pour moi sont de vastes océans à explorer _______________________________________________ Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
WarGrinder Posté(e) 31 août 2011 Partager Posté(e) 31 août 2011 Très, très bonne idée ce topic, je trouve Surtout pour les littéraires passionnés de météo Je n'ai pas encore lu entièrement ton poème, pas le courage là je vais me coucher. Mais je le ferai avec plaisir . Par contre, en vitesse, je poste un court poème de Verlaine que j'adore ! Poème sur le thème de la mélancolie automnale. Chanson d'automne Les sanglots longs Des violons De l'automne Blessent mon coeur D'une langueur Monotone. Tout suffocant Et blême, quand Sonne l'heure, Je me souviens Des jours anciens Et je pleure; Et je m'en vais Au vent mauvais Qui m'emporte Deçà, delà, Pareil à la Feuille morte. [Paul Verlaine] Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Orage99 Posté(e) 31 août 2011 Huttenheim (67 - Alsace) Partager Posté(e) 31 août 2011 Bonne idée ce topic, j'en avais fait un pour les cours cette année Je le posterai dès que l'accès au site du lycée sera possible, puisqu'il est dans les messages envoyés (en espérant que rien n'a été effacé pendant les vacances...) Il portait sur le nuage /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cirus Posté(e) 31 août 2011 Auteur Partager Posté(e) 31 août 2011 Très, très bonne idée ce topic, je trouve Surtout pour les littéraires passionnés de météo Je n'ai pas encore lu entièrement ton poème, pas le courage là je vais me coucher. Mais je le ferai avec plaisir . Par contre, en vitesse, je poste un court poème de Verlaine que j'adore ! Poème sur le thème de la mélancolie automnale. Chanson d'automne Les sanglots longs Des violons De l'automne Blessent mon coeur D'une langueur Monotone. Tout suffocant Et blême, quand Sonne l'heure, Je me souviens Des jours anciens Et je pleure; Et je m'en vais Au vent mauvais Qui m'emporte Deçà, delà, Pareil à la Feuille morte. [Paul Verlaine] Super le poème Vu que nous sommes au premier jour de l'automne météorologique, et pour rester dans l'ambiance de l'Automne avec Paul Verlaine, je propose un poème mélancolique d'Appolinaire: Les colchiques Le pré est vénéneux mais joli en automne Les vaches y paissant Lentement s'empoisonnent Le colchique couleur de cerne et de lilas Y fleurit tes yeux sont comme cette fleur-la Violatres comme leur cerne et comme cet automne Et ma vie pour tes yeux lentement s'empoisonne Les enfants de l'école viennent avec fracas Vêtus de hoquetons et jouant de l'harmonica Ils cueillent les colchiques qui sont comme des mères Filles de leurs filles et sont couleur de tes paupières Qui battent comme les fleurs battent au vent dément Le gardien du troupeau chante tout doucement Tandis que lentes et meuglant les vaches abandonnent Pour toujours ce grand pré mal fleuri par l'automne Guillaume Apollinaire (1880 - 1918) Pour Appolinaire, la saison mélancolique et sentimentale est l'automne. Dans ce poème, à travers un réseau d'image dense et de cercles vicieux, il évoque implicitement sa liaison douloureuse avec Annie Playden car elle l'ignorait et le fuyait sans arrêt... Du coup, Annie Playden est présentée à travers une fleur empoisonnée, une colchique. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Orage99 Posté(e) 31 août 2011 Huttenheim (67 - Alsace) Partager Posté(e) 31 août 2011 En attendant ma contribution, voici un topic trouvé sur ce forum même, dans le même genre. De belles choses à découvrir! /topic/25948-poesie-et-climat/'>http://forums.infoclimat.fr/topic/25948-poesie-et-climat/ J'espère que les littéraires se feront nombreux sur ce topic! Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Guest Posté(e) 1 septembre 2011 Partager Posté(e) 1 septembre 2011 Tiens, bonne idée ce topic. J'avais déjà écrit deux trois délires sur la météo. Je vais allez époussetez le disque dur tiens. En attendant, une dédicace à tous ceux qui ont été sur le point de prendre un aller simple pour Marrakech à cause de cet été catacombique et désolant Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l’esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que de l’horizon embrassant tout le cercle Il nous fait un jour noir plus triste que les nuits ; Quand la terre est changée en un cachot humide, Où l’Espérance, comme une chauve-souris, S’en va battant les murs de son aile timide, Et se cognant la tête à des plafonds pourris ; Quand la pluie étalant ses immenses traînées D’une vaste prison imite les barreaux, Et qu’un peuple muet d’horribles araignées Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux, Des cloches tout-à-coup sautent avec furie Et lancent vers le ciel un affreux hurlement, Ainsi que des esprits errants et sans patrie Qui se mettent à geindre opiniâtrément. — Et d’anciens corbillards, sans tambours ni musique, Défilent lentement dans mon âme ; et, l’Espoir Pleurant comme un vaincu, l’Angoisse despotique Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir. C. Baudelaire Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Couril29 Posté(e) 2 septembre 2011 Plougonven Partager Posté(e) 2 septembre 2011 Ce poème (Spleen) de Baudelaire a été repris par le groupe de black metal français Peste Noire mais je doute que vous aimerez en raison de la voix (surtout pour les non initiés /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">). Cela dit la musique est très belle et l'ambiance extrêmement mélancolique... Voici une de mes créations, écrite avant l'épisode neigeux du 1er décembre 2010. Je pensais vivre ma 14ème année consécutive sans neige à l'époque Fascination et Perte Avec ta parfaite robe blanche Enveloppant délicatement chacune de mes branches Tu me berças dans ma plus tendre enfance M'accordant une envoûtante petite danse Ton coeur fragile m'était tellement précieux... Trop tôt disparue Tu n'es jamais revenue Ton absence me rend si malheureux... Tant de beauté, de douceur et de froideur Ont-elles à ce point mal vieilli Pour qu'il soit aujourd'hui l'heure De te dépeindre enlaidie ? Sois sans la moindre crainte Car j'ai perdu mes feuilles moi aussi Dans l'ignorance et la complainte Bien trop vite je me raidis Oh mon fascinant soleil d'antan Il y a si longtemps que je t'attends Oh que tu me manques ma chère Amour Je voudrais te revoir pour toujours, Définitivement me lier à toi Pour que ton seul protecteur ne soit que moi Que dans tes mystérieux yeux je ne me noie Mais... Mes tristes oiseaux ne te retrouvent pas... Où donc caches-tu désormais ta légèreté Qui tombe je ne sais où en flocons mouillés ? Qui donc t'a tant maltraitée Ma petite Blanche adorée ? Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Euphydryas Posté(e) 2 septembre 2011 Alès - St Hilaire de Brethmas (30) Partager Posté(e) 2 septembre 2011 Voici une de mes créations, écrite avant l'épisode neigeux du 1er décembre 2010. Je pensais vivre ma 14ème année consécutive sans neige à l'époque Fascination et Perte C'est mignon ^^ Not true evil Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
psncf Posté(e) 2 septembre 2011 Saint Leu La Foret (95), altitude 70 mètre. Partager Posté(e) 2 septembre 2011 Très, très bonne idée ce topic, je trouve Surtout pour les littéraires passionnés de météo Je n'ai pas encore lu entièrement ton poème, pas le courage là je vais me coucher. Mais je le ferai avec plaisir . Par contre, en vitesse, je poste un court poème de Verlaine que j'adore ! Poème sur le thème de la mélancolie automnale. Chanson d'automne Les sanglots longs Des violons De l'automne Blessent mon coeur D'une langueur Monotone. Tout suffocant Et blême, quand Sonne l'heure, Je me souviens Des jours anciens Et je pleure; Et je m'en vais Au vent mauvais Qui m'emporte Deçà, delà, Pareil à la Feuille morte. [Paul Verlaine] Un poème qui fait encore des émules et bien connu part les résistants de 39-45 /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> qui fut le signal du débarquement en Normandie ! merci Verlaine phil Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Guest Posté(e) 8 septembre 2011 Partager Posté(e) 8 septembre 2011 Très beau en effet pscnf. J'aime bien ces poètes maudits, ces parnassiens décadents comme Charles Baudelaire ou Paul Verlaine entre autres. J'avais dit que je repasserais, me voici donc. Un poème, dont je suis totalement insatisfait, mais bon. On peut se demander ce qu'il vient f***** ici, mais je le voulais dans un symbolisme de notre volonté de dominer la Nature même si il y a de la casse. La licorne n'est pas juste le gentil cheval blanc à corne de Narval à qui on vient donner une pomme et flatté l'encolure. Comme dirait Voltaire : Cette licorne que vous l'avez vu monter est la monture ordinaire des Gangarides ; c'est le plus bel animal, le plus fier, le plus terrible et le plus doux qui orne la terre Et c'est ce symbolisme de la licorne que j'avais en tête pour représenter la Nature au sens général (celle qui nous offre Katrina et le tsunami de Mars 2011, mais aussi celle qui offre ces couleurs d'Automne, ces purs sang arabes,...) ; même si honnêtement j'ai écris le truc en ayant en tête l'image de Voldemort se ressourçant au cou d'une licorne (d'où le sang argent et 2, 3 détails). Ce sont des alexandrins et s'il vous plaît éviter de massacrer en lissant. Ce n'est déjà pas une franche réussite, alors si vous massacrez la lecture, il ne va plus rien rester... Licorne, merveille de ta Chair vermeille, Vie de ton Sang cristal. L'immortel s'éveille sur le tapis de velours des mousses vertes et fraîches. Ton onde pure aux lèvres rudes et rêches. Le chêne centenaire s'incline et révère De la Forêt l'être virginal, l'altière Reine. Feuilles et branches loin du vieux loyal Au vent s'envolent. Triste atours hivernal. De la clairière, l'orée ; refuge sylvestre mais vain. Pour la biche et son faon, les faunes et les sylvains. Ô Reine, à tes côtés, peines tristesses et peurs. Ce sang argent sur ta poitrine, ce grand malheur. Ô Reine, pourquoi ce repos inerte, éternel ? Pour nous abreuver, nous les damnés, les immortels. Et un truc d'un genre totalement différent, mais là je le poste juste pour rester vaguement dans le sujet et justifier mon délire d'au dessus. Ce n'est pas du tout mon style, et je trouve que c'est un franc échec pour le coup... L'Ouragan... L'Ouragan, ce rêve..... Indicible force de la Nature, l'Ouragan était. Colosse des tourbillons, Puissance des nuées, Exaltation des cieux, Prince des orages, Il avait pour l'éternité conquis ces titres glorieux. Pour Maître et Seigneur, la violence de l'Ouragan avait la quiétude. Au sein de la puissance régnait l'Œil. Scrutant sévèrement l'Ouragan, omniscient et omniprésent, il était, centre qui soumettait la multitude. Souveraine sérénité de la tempête, à qui l'Ouragan de son assise à son faîte était assujetti ; l'exigu espace était, pour sa calme tranquillité et sa clarté rayonnante au cœur de la tourmente, admiré. Accompagné de blanc moutons, l'azur du Ciel, bafoué, humilié, descendait rejoindre son frère de l'Océan et trouver ici son havre de paix ; sans onde, sans eau, sans vent, sans froid. Pour vassal, l'Œil avait le déchainement de la violence. Le mur de l'Œil était un anneau unique, un anneau bouillonnant de convection, un anneau d'orages tropicaux. De son ombre puissante, de son sombre éclat, il régnait sur l'Océan ; par lui l'Œil était Maître et Seigneur et l'Œil à chaque instant s'assurer de sa possession. Le sang de l'anneau était son air chaud et humide, qui sans répit se portait à son zénith, se déchargeant en torrents de pluies. À son sommet, l'air divergeait et se répandait en une scintillante nappe blanche de cirrus, la couronne des sages ceinte au front de l'Ouragan. Pour sa subsistance, l'anneau, ogre affamé et jamais rassasié, aspirait Jour et Nuit avec une force incommensurable les énormes quantités d'air chaud et humide qui voguait paisiblement au dessus des eaux ; et s'alliait à Éole et Poséidon pour son festin royal. Le Souverain des vents, libérait dans sa soumission à l'anneau, dirigeait par son pouvoir, en une spirale infernale, l'air océanique vers l'anneau. Le père par son fils invoqué, défigurait l'étendue de l'Océan ; investissait de sa divine force chaque vague ; soulevait à la dextre de l'Ouragan un mortel dôme d'eau, l'onde de tempête. Pour féaulx, le mur de l'Œil avait les bandes de pluies. Dans le déchaînement ultime d'Èole, de l'air appelé au festin de l'anneau s'échappait en d'imposant orages rejoignant la canopée du mur de l'Œil et dessinaient en bandes de pluies la spirale de l'Ouragan. Éloignées, déconsidérées, ces filles terribles déployaient tous leurs talents pour être détestées. Par leurs allégeances à l'anneau, leurs autorités s'étendaient à Éole et elles ne refusaient jamais de le libérer en tornades et tempétueux vents. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Orage99 Posté(e) 8 septembre 2011 Huttenheim (67 - Alsace) Partager Posté(e) 8 septembre 2011 Voilà comme je l'avais dis, j'ai retrouvé un poème en prose fait l'année dernière en classe de PL. J'avais obtenu un 18/20 /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Merci de me donner votre avis! /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> Kieny, « Le nuage », Interprétation (2010) Vu du ciel, il a l’air sympathique. Une matière inconnue, à l’apparence plutôt douce. Parfois bossu, de formes diverses, les plus jeunes prendront cela pour un toboggan gigantesque, une aire de jeu plutôt agréable. D’humeur variée, la joie de vivre chez lui, n’existe que rarement. D’un seul coup, la mauvaise humeur peut l’envahir. Il occupe alors un espace de plus en plus vaste, change de couleur et devient menaçant. Ce nuage, patron de son entreprise, oblige ses salariés parfois agacés, à ce rallier à ça cause. Tout seul, il n’arrive à rien. La masse nuageuse devient alors plus compacte et noire. De temps en temps, quelques larmes peuvent couler, celles-ci claquent sur la terre, et sont souvent appréhendées des humains. Le lendemain, coup de théâtre, les salariés démissionnent. Le patron se retrouve seul dans le ciel, ne sachant plus quoi faire, ni ou aller. Il est abandonné, un peu comme les plus pauvres sur terre, qui marchent dans les rues en plein hiver dans le froid glacé. Désespéré, il part loin, très loin, et le soleil peut désormais régner. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Guest Posté(e) 8 septembre 2011 Partager Posté(e) 8 septembre 2011 Voilà comme je l'avais dis, j'ai retrouvé un poème en prose fait l'année dernière en classe de PL. C'est quoi la classe PL ? Sinon, personnellement je n'adhère pas trop au style, mais c'est bien écrit et il y a un travail intéressant et certain. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Orage99 Posté(e) 8 septembre 2011 Huttenheim (67 - Alsace) Partager Posté(e) 8 septembre 2011 C'est quoi la classe PL ? Sinon, personnellement je n'adhère pas trop au style, mais c'est bien écrit et il y a un travail intéressant et certain. En première Littéraire! Ok, c'est clair que tous n'aimeront pas, mais merci pour ton commentaire Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Guest Posté(e) 9 septembre 2011 Partager Posté(e) 9 septembre 2011 Ah d'accord J'ai ressorti aussi un truc que j'avais écrit à la volée pour Irene quand je la voyait échouer à s'intensifier pour la nième fois (ce sont des 10 pieds, pas des alexandrins /emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20"> J'y tiens parce que c'est déjà assez moche comme cela, pas la peine d'en rajouter /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20"> ). Ah Irene, Irene, Irene, Irene, Que ne puis-je profiter de ta splendeur sans goûter l'amertume de tes noirceurs.... Tremble l'Union de ta glorieuse infamie, Et sous ton ombre tropicale blêmi. Et toi, toi Irene, fière et puéril, Tu vas et tu viens, belle et fébrile À ton front la blanche couronne de cirrus, Et cet espoir, ce vœux, que tu recrusse ! Mais non, non. Tu es la Reine qui règne. Fier et altière, tu joue avec mes nerfs. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Guest Posté(e) 9 septembre 2011 Partager Posté(e) 9 septembre 2011 Voici une de mes créations, écrite avant l'épisode neigeux du 1er décembre 2010. Je pensais vivre ma 14ème année consécutive sans neige à l'époque Fascination et Perte ... Tiens je n'avais pas fait attention J'ai regardé la vidéo mais je n'avais pas vu votre écrit. Il est sympa, c'est vrai que cela a un petit côté mignon. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
judd Posté(e) 9 septembre 2011 COLMAR OUEST (Haut-Rhin) Alt 192m Partager Posté(e) 9 septembre 2011 hé hé hé, c'est rigolo. J'avais ouvert le même sujet en 2008 /topic/25948-poesie-et-climat/'>http://forums.infoclimat.fr/topic/25948-poesie-et-climat/ Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Guest Posté(e) 15 septembre 2011 Partager Posté(e) 15 septembre 2011 Tiens, on va dire aussi que cela rentre aussi dans ce topic (je me vois mal poster dans le sujet "Musique" même si techniquement ce serait plus adapté...). J'avais déjà essayé d'écrire un requiem pour banquise, mais j'étais moyennement convaincu du résultat . J'ai repris le truc en profondeur et cela donne ceci : http://www.toofiles.com/fr/oip/audios/wav/requiempourunebanquise.html Me connaissant, je le modifierais encore d'autres fois, mais tant que je suis vaguement convaincu du résultat, je poste Sur ce, je vais aller m'écouter la messe royale de Dumont, cela me changera Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Guest Posté(e) 11 octobre 2011 Partager Posté(e) 11 octobre 2011 Tiens, tant que je suis parti en mode déprime après la longue tartine inutile de l'autre sujet. La ponctuation est à ch***, mais je vais pulvériser l'ordinateur si je continue à me relire : Liberté, Au gré Des mots, Des idéaux, Tes ailes M'emmènent Au loin. Au pays Maudit, Au pays Sans répit, De l'Être De lHère qui erre. Terres Imaginaires, Terres Sans repos Des sanglots, Où le rêve Est éveil Plume faible, Plume frêle Vacillant Sous le torrent Puissant Des émotions De la passion de Mort Plumes De l'aile, Ailes De la plume ; Plumes et ailes du Poëte. De l'Orient À l'Occident, Au vent Vole Et s'envole, Au vent De la liberté. Élu Des muses Jouet De la liberté, Le poëte Quête La paix. Éternité De paix Tant désiré Éternité D'errance Si pesante Le poëte Quête La paix. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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