Cotissois 31 Posté(e) 23 juillet 2006 Brest Partager Posté(e) 23 juillet 2006 Je ne savais pas trop où fallait que je poste alors j'ai choisi cette partie du forum, plutôt orienté technique. C'est le même article que sur le forum de Lameteo.org Une dégradation orageuse aussi marquée dans le NW ça faisait longtemps alors là ça ne pouvait passer à côté d'une petite analyse...(que j'espère cohérente lol) Nous sommes dans un flux de SW tout ce qu'il y a de plus orageux avec tendance dépressionnaire au sol et arrivée d'air froid en haute altitude. Au sol c'est surtout le CAPE qui interpelle Il faut dire que nous sommes sous l'influence d'une remontée subite d'air chaud de basses couches 33-34° dans l'intérieur des régions du NW La theta-eq à 850 hPa confirme que l'air a du gros potentiel instable, notamment sur le pays de Loire (et c'est pas sans conséquence...) En altitude on retrouve une langue d'air froid qui plonge sur la Bretagne et le golfe de Gascogne. Tout ça c'est bien beau mais encore faut-il suffisamment d'humidité ! La carte à 700 hPa nous apporte une réponse : à 14h voici la situation On voit que l'humidité remonte par le sud, ayant donné quelques orages le matin et en début d'après midi sur la facade atlantique. A ce stade on a les éléments orageux classiques pour avoir des orages forts mais plutôt isolés et sans grand avenir avec le coucher du soleil. Car la dégradation s'annonce bien plus organisée que çà ! On retrouve à 300 hPa l'arrivée d'un front d'altitude précédé à l'avant par une bonne advection de tourbillon positif (en rouge). Un signe qui ne trompe pas même si l'anomalie de tropopause est loin d'être marquée. En phase avec un air humide et très instable en surface c'est un forçage déterminant pour les orages, qui tendront à se développer puissamment et à se régénerer souvent de plus en plus au nord avec l'arrivée du front d'altitude, ce que n'explique pas le flux ambiant de SW. Mais on peut encore noter 2 choses : un vent en surface plutôt influencé par la dépression sur le SW de la France, s'orientant au NE On voit sur cette carte de 20h que le vent tourne aussi au NW sur la côte atlantique (effet de brise ?) forçant la convergence sur le pays de Loire qui décidément avait tout pour lui ! Ici les orages au départ ont eu bien du mal à quitter le pays de Loire, sans doute par manque d'humidité, entamant même une progression vers le Poitou. Puis en soirée, le seuil de condensation s'est abaissé sur tout le NW, les orages ont pu se développer au nord, à l'Est et aussi un peu plus à l'Ouest ! Le vent convergent de surface contrastait aussi avec le flux d'altitude de SW expliquant sans doute le cisaillement prévu (près des côtes). Bref au final : (essentiellement des éclairs intranuageux) et (source OF) On sait maintentant le luxe d'habiter en Bretagne dans les flux de SW orageux lol : pas de branches cassées, pas de pare-brises abimés, pas de sous-sols inondés... :roll: edit : on peut remarquer que ces orages ne s'accompagnaient pas de grosses rafales de vent. Peut-être à cause du manque de structure frontale au sol elle-même liée à une faiblesse du courant jet. Le cisaillement a semble-t-il été suffisant pour entretenir des systèmes étendus assez stationnaire, que certains qualifiaient de MCS (?) archive de Meteo60 Comme d'habitude, toute remarque est bienvenue Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
maloin56 Posté(e) 24 juillet 2006 Partager Posté(e) 24 juillet 2006 Excellent cette analyse. Bravo Cotissois Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
chris68 Posté(e) 25 juillet 2006 Sainte-Croix-aux-Mines (68) - 340 m Partager Posté(e) 25 juillet 2006 Géniale cette analyse, tellement rare ce genre de dossiers post épisode orageux /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cotissois 31 Posté(e) 25 juillet 2006 Brest Auteur Partager Posté(e) 25 juillet 2006 Merci Je ne cache pas que ce genre de dossiers a déjà été fait par des passionnés depuis plusieurs années avec les fameuses cartes Wetterzentrale, mais que ça se fait rare Là j'ai utilisé les cartes de Wetter3 qui sont plus modernes avec notamment les forçages d'altitude, qui sont si peu utilisées alors qu'elles ne sont pas bien dures à comprendre avec un minimum de bagage scientifique Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jatenlorage Posté(e) 25 juillet 2006 Chartres Partager Posté(e) 25 juillet 2006 Bravo Cotissois pour ton analyse...Bien expliquée! C'est vrai que revenir sur le "pourquoi" de la formation des orages dans une région donnée est fort interressant, tant dans la comprehension des formations orageuses que dans la previsions des orages avec les modeles... Merci à toi,,,,bon travail d'analyse Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
js13120 Posté(e) 26 juillet 2006 Partager Posté(e) 26 juillet 2006 C'est clair, on peut pas prévoir des orages en regardant uniquement les precip... Il faut avant tout mener une petite verif du comportement du modèle. Si on sait comment le modèle réagit à la convection cela entraîne moins d'erreur par la suite... GFS passe par un schéma type, il nous sort des VV de folie pis comme cela modifie le champ de pression, ça agit sur le vent. Il s'en suit de bonnes convergences pis une structure de TA bien active. Du coup il surévalue. Pis même si il met pas de precip à un endroit donné, on peut vérifier sur les champs dynamiques et les basses couches si la situ peut être favorable. L'anticipation c'est ce qui fait la différence... Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gombervaux Posté(e) 26 juillet 2006 Partager Posté(e) 26 juillet 2006 On retrouve à 300 hPa l'arrivée d'un front d'altitude précédé à l'avant par une bonne advection de tourbillon positif (en rouge). Un signe qui ne trompe pas même si l'anomalie de tropopause est loin d'être marquée... Comme d'habitude, toute remarque est bienvenue Je ne trouve pas la carte des anomalies de tropopause Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cotissois 31 Posté(e) 26 juillet 2006 Brest Auteur Partager Posté(e) 26 juillet 2006 Disons que sur la carte de TP à 300 hPa de GFS disponible il n'y avait aucune anomalie nette, le jet était très faible. Il y avait juste ce petit front qu'on voit avec les cartes de vorticité et l'ondulation des isohypses. Malheureusement je ne connais pas d'archives de TP à 300 hPa... Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gombervaux Posté(e) 27 juillet 2006 Partager Posté(e) 27 juillet 2006 Malheureusement je ne connais pas d'archives de TP à 300 hPa... Pas grave mais si tu t'en souviens, où était le minimum, et où et dans quel sens l'advection?Puisque tu as archivé la carte TA, peut-être tu peux modifier en traçant le bord de cette anomalie? Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cotissois 31 Posté(e) 27 juillet 2006 Brest Auteur Partager Posté(e) 27 juillet 2006 Ah on ne m'avait pas prévenu, c'est interro écrite aujourd'hui ? Bon je ne me souviens pas du champ exact du TP. Mais j'ai aussi cette carte de températures à 200 hPa qui en général ne révèle pas trop mal les fortes anomalies à mon avis, en se basant sur le fait que plus la tropopopause est basse, plus la température est élevée pour les niveaux de pressions supérieurs. C'est pas très rigoureux mais c'est mieux que rien pour la météo amateur. Et donc sur cette carte : Bah pas d'anomalie franche dans le golfe de Gascogne. Il y en avait sans doute une légère au niveau du front, le front allant vers le NE entraînant cette advection de tourbillon à l'avant. Pourquoi ? Je me trompe quelquepart ? Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tony22 Posté(e) 27 juillet 2006 Lannion (22) Partager Posté(e) 27 juillet 2006 Merci pour cette analyse Cotissois22. edit : on peut remarquer que ces orages ne s'accompagnaient pas de grosses rafales de vent. Peut-être à cause du manque de structure frontale au sol elle-même liée à une faiblesse du courant jet. Le cisaillement a semble-t-il été suffisant pour entretenir des systèmes étendus assez stationnaire, que certains qualifiaient de MCS (?) De l'air sec en moyenne troposphère (500 hPa) favorise l'évaporation à ce niveau et donc la genèse d'un puissant courant de densité, générateur de rafales à l'avant de l'orage. Cette capacité à créer un puissant courant de densité est caractérisée par la DCAPE sur un radiosondage. Peut-être est-ce de ce côté qu'il faut chercher la réponse à ta question. Tony. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
js13120 Posté(e) 27 juillet 2006 Partager Posté(e) 27 juillet 2006 J'ai enregistré les cartes géopotentiel de la 1.5PVU de cette journée, je les renverrais sur le forum plus tard mais y a rien de très marquant... je me souviens vaguement d'une anomalie latente qui longeait les côtes. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gombervaux Posté(e) 27 juillet 2006 Partager Posté(e) 27 juillet 2006 je ne me souviens vaguement d'une anomalie latente quiu longeait les côtes. Ben voilà le début de la réponse.Non cotissois tu ne te trompe pas, le pb c'est que tes explications sont valables aussi pour que ça pète ailleurs, alors je ne comprenais pas. Quand à la remarque de Tony elle est extrêmement pertinente et il faudrait rechercher l'humidité à la 500 (l'explication étant que l'advection d'air sec au millieu d'ascendances d'air humide va générer un courant subsidant par différence de flottabilité : l'air sec étant plus lourd que l'air humide; et donc un courant de densité directement proportionnel à l'avection d'air sec) ps: c'est pas une interro deuxio, à mon âge j'ai les neurones moins rapides que les autres qui ont déjà répondu. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
js13120 Posté(e) 27 juillet 2006 Partager Posté(e) 27 juillet 2006 Vu l'énergie des basses couches t'w et CAPE +la convergence... La moindre faiblesse d'altitude et BOOM, ici par exemple c'est à l'avant d'une anomalie vraiment pas marqué que s'est produit le gros. La méfience des prévi ce soir là venait des sondages trop secs en basse couche. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cotissois 31 Posté(e) 28 juillet 2006 Brest Auteur Partager Posté(e) 28 juillet 2006 Merci js13120 pour ces cartes, et ça confirme que l'anomalie existe bien mais qu'elle n'est pas très marquée. Etant donné qu'on n'a pratiquement que les données de GFS dans le monde amateur, et que les cartes d'anomalies de tropopause ne sont pas d'une précision énorme, je me base surtout sur les advections de vorticité pour évaluer les zones à risque. Honnêtement je fais le raisonnement suivant : une forte advection positive de TA au-dessus d'un air moins turbulent c'est un véritable aspirateur qui peut faire dégénérer les moindres développements instables de basse couche. Et là, à-partir du moment où des premiers orages s'étaient développés sur la facade ouest, et que les modèles voyaient bien l'humidité remonter plein nord, on pouvait craindre que l'arrivée de ce front d'altitude fasse dégénérer les choses en soirée là où les anomalies de theta-e étaient les plus fortes. /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> Même si l'advection de TA n'était pas énorme non plus d'après le modèle. Pour les rafales je connais cette influence des intrusions sèches, mais pratiquement c'est délicat à prévoir/analyser. Quand il y a un courant-jet sensible au niveau des orages on peut se dire que les intrusions seront brutales, mais sinon... Il y a des cartes qui proposent un indice potentiel de rafales sur Lightningwizard http://lightningwizard.estofex.org/Europe/gfs_gusts_eur0.png mais faut comprendre... C'est quoi le DCAPE ? Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tony22 Posté(e) 28 juillet 2006 Lannion (22) Partager Posté(e) 28 juillet 2006 C'est quoi le DCAPE ? DCAPE: Downdraft Convective Available Potential Energy Sur un émagramme il s'agit de la surface comprise entre la pression au sol, la pression du point ayant la plus faible theta'w, la pseudo adiabatique humide issue de ce même point et la courbe d'état. Très peu de documentation sur le net. Quelques pages en anglais (trouvées à l'aide de google). Il faudrait que je me replonge dans mes cours pour plus de précisions mais ils sont restés à Toulouse. Il me semble qu'il existe une relation (très) empirique entre la DCAPE et la vitesse du courant subsident. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
js13120 Posté(e) 28 juillet 2006 Partager Posté(e) 28 juillet 2006 Merci js13120 pour ces cartes, et ça confirme que l'anomalie existe bien mais qu'elle n'est pas très marquée. Etant donné qu'on n'a pratiquement que les données de GFS dans le monde amateur, et que les cartes d'anomalies de tropopause ne sont pas d'une précision énorme, je me base surtout sur les advections de vorticité pour évaluer les zones à risque. Bof (on a même plus le droit de mettre m-o-u-a-i-s sur le forum lol)... le maillage est pas énorme mais le géopotentiel à la 1.5PVU est tout à fait exploitable. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cotissois 31 Posté(e) 30 juillet 2006 Brest Auteur Partager Posté(e) 30 juillet 2006 Possible. Dans ce cas c'est moi qui a du mal à exploiter ces cartes. Manque d'habitude sans doute. N'empêche que sur ce cas le fait que l'anomalie soit faible ne facilite pas l'analyse. Et avec les moyens détournés (advection de TA) on jauge mieux l'influence du front je trouve. Tony : merci pour les détails sur le(la) DCAPE. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tony22 Posté(e) 30 juillet 2006 Lannion (22) Partager Posté(e) 30 juillet 2006 Tony : merci pour les détails sur le(la) DCAPE. On dit bien la DCAPE, tout comme on dit la CAPE. Il s'agit d'énergies, donc c'est du féminin. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gombervaux Posté(e) 30 juillet 2006 Partager Posté(e) 30 juillet 2006 Energie : féminin Convective de convection ; féminin Deux fois plus féminin, mais peut-être qu'il y en a qui croient que "moins par moins ça fait plus" sexiste, et alors le Downdraft de Dcape, qui me semble aussi féminin donnerait forcément "moins par moins par moins égal moins", donc féminin. mais toujours sexiste. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
geoman Posté(e) 31 juillet 2006 Partager Posté(e) 31 juillet 2006 merci en tout cas pour cette analyse. Bien que passionné de méteo je n'arrive pas à prevoir ces phenomenes a l'aide de cartes. Pour prévoir les risques orageux, Quels sont les éléments sont à inspecter sur les cartes. J'entent par éléments: ( par exemple quoi tirer d'une carte geopotentiel 500hpa ou encore 850hpa. Bref que faut il observer sur une carte qui puisse nous permettre de predir l'arrivée d'orages. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cotissois 31 Posté(e) 1 août 2006 Brest Auteur Partager Posté(e) 1 août 2006 Je tente une réponse /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> En résumé pour des dégradations orageuses il faut un air chaud et humide, facilement instable, dans les basses couches de l'atmosphère et un forçage d'altitude. En été, le forçage d'altitude n'est pas toujours nécessaire si la situation est suffisament instable en basses couches. Le plus facile, à mon avis pour nous, de prévoir les orages c'est de regarder où est-ce que le modèle en prévoit /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> Par exemple le modèle GFS est suffisamment complet pour arriver à prévoir la convection avec une fiabilité acceptable. C'est au moins un point de départ pour repérer les zones sensibles. Dans cet exemple du 21 juillet, je ne cache pas que le modèle voyait une forte convection et donc que ça méritait une attention particulière. Après c'est la phase d'analyse. Toute carte est intéressante pour comprendre la situation. Il faut juste vérifier que les indices prévus par le modèle sont cohérents. Si le modèle sur-estime/sous-estime certains paramètres alors il peut se tromper sur tout le reste (CAPE, ascendances, pluies), donc il faut se méfier. Et pour cela on comparer avec d'autres modèles justement : BOLAM, NMM, UKMO... et l'observation. Enfin pour confirmer l'ampleur des orages, on peut simplement aller voir la carte de prévision d'Estofex. Le 21 juillet on était en niveau orange. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
geoman Posté(e) 2 août 2006 Partager Posté(e) 2 août 2006 Je tente une réponse En résumé pour des dégradations orageuses il faut un air chaud et humide, facilement instable, dans les basses couches de l'atmosphère et un forçage d'altitude. En été, le forçage d'altitude n'est pas toujours nécessaire si la situation est suffisament instable en basses couches. Le plus facile, à mon avis pour nous, de prévoir les orages c'est de regarder où est-ce que le modèle en prévoit /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Par exemple le modèle GFS est suffisamment complet pour arriver à prévoir la convection avec une fiabilité acceptable. C'est au moins un point de départ pour repérer les zones sensibles. Dans cet exemple du 21 juillet, je ne cache pas que le modèle voyait une forte convection et donc que ça méritait une attention particulière. Après c'est la phase d'analyse. Toute carte est intéressante pour comprendre la situation. Il faut juste vérifier que les indices prévus par le modèle sont cohérents. Si le modèle sur-estime/sous-estime certains paramètres alors il peut se tromper sur tout le reste (CAPE, ascendances, pluies), donc il faut se méfier. Et pour cela on comparer avec d'autres modèles justement : BOLAM, NMM, UKMO... et l'observation. Enfin pour confirmer l'ampleur des orages, on peut simplement aller voir la carte de prévision d'Estofex. Le 21 juillet on était en niveau orange. Merci pr la reponse. Mais cela concerne les orages liés à un front dont la masse d'air est suffisamment humide apres son passage sur l'océan. Mais qu' en est-il des orages dits de thermo-convection ou encore des orages orographiques, qui sont des phenomenes tres localisés. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gombervaux Posté(e) 2 août 2006 Partager Posté(e) 2 août 2006 Merci pr la reponse. Mais cela concerne les orages liés à un front dont la masse d'air est suffisamment humide apres son passage sur l'océan. Mais qu' en est-il des orages dits de thermo-convection ou encore des orages orographiques, qui sont des phenomenes tres localisés. Le forçage de basse couche peut être une anomalie de température ou un forçage orographique, enfin tout ce qui est susceptible de créer une ascendance et déclancher la convection. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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