Nemlod Posté(e) 20 janvier 2006 Partager Posté(e) 20 janvier 2006 Bonjour En feuilletant les archives de Météo-Centre à ma plus grande surprise j'ai trouvé à Melun une amplitude de 0,0°C le 20 décembre 2005 (Tn: 1,8°C, Tx 1,8°C), le même jour 0,2°C d'amplitude à Roissy (Tn: 3,1 et Tx: 3,2°C). Je ne savais pas que 0,0°C d'amplitude était possible...si vous avez des cas analogues... A+ /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
anecdote Posté(e) 21 janvier 2006 Partager Posté(e) 21 janvier 2006 Bonjour En feuilletant les archives de Météo-Centre à ma plus grande surprise j'ai trouvé à Melun une amplitude de 0,0°C le 20 décembre 2005 (Tn: 1,8°C, Tx 1,8°C), le même jour 0,2°C d'amplitude à Roissy (Tn: 3,1 et Tx: 3,2°C). Je ne savais pas que 0,0°C d'amplitude était possible...si vous avez des cas analogues... A+ Dans le passé il y a eu des séries de jours consécutifs où la température évoluait dans une toute petite fourchette, du style [0.7°C;1.3°C]. Le pire pour les passionnés Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
sommeteo Posté(e) 21 janvier 2006 Abbeville centre (Somme) Partager Posté(e) 21 janvier 2006 Il est d'ailleurs possible que ce phénomène nous concerne la semaine prochaine! Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Emilien Posté(e) 21 janvier 2006 Partager Posté(e) 21 janvier 2006 Il est d'ailleurs possible que ce phénomène nous concerne la semaine prochaine! ça me semble peu probable. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
JB63 Posté(e) 21 janvier 2006 Partager Posté(e) 21 janvier 2006 Salut! 0.0°C d'amplitude doivent-être bien rares! A Clermont-Aulnat, je ne vois pas d'occurence d'un tel phénomène. La plus petite amplitude: 0.5°C le 07/12/2002 (2.0 / 2.5 ) La plus grande: 27°C le 17/03/1929 (-4 / 23) Cette année, 6 fois l'amplitude a été inférieure à 2°C à Aulnat, avec un mini de 1°C le 20 décembre 2005. Ce fut un période affreusement triste! De toutes façon, la Limagne est le domaine des grandes amplitudes A+ Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
edd Posté(e) 21 janvier 2006 Melun (surtout), montois (Donnemarie-dontilly) dans l'Est 77 (parfois) Partager Posté(e) 21 janvier 2006 en effet A Clermont aulnat amplitude de 21°C lors du puissant redoux du 30 decembre dernier! Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
florent76 Posté(e) 21 janvier 2006 Partager Posté(e) 21 janvier 2006 Bonjour En feuilletant les archives de Météo-Centre à ma plus grande surprise j'ai trouvé à Melun une amplitude de 0,0°C le 20 décembre 2005 (Tn: 1,8°C, Tx 1,8°C), le même jour 0,2°C d'amplitude à Roissy (Tn: 3,1 et Tx: 3,2°C). Je ne savais pas que 0,0°C d'amplitude était possible...si vous avez des cas analogues... A+ /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> Merci pour cet intéressant sujet Nemlod. A ce propos, je me pose une question depuis longtemps :On remarque en effet bien souvent quelques jours avant l'arrivée de froid hivernaux sérieux dans les statistiques ces périodes de températures remarquablement invariantes et souvent (pas toujours) à un niveau relativement élevé sans être exceptionnel (8 à 11°C) : les amplitudes ne sont peut-être pas aussi faibles, mais sur une durée d'une bonne semaine souvent inférieure à 5°C, voire moins. Si quelqu'un en connait l'explication physique, cela serait intéressant car c'est assez systématique et réservé à ce niveau élévé à notre climat aux tendances océaniques marquées... J'ai remarqué le même phénomène avant grands froids en Allemagne et même en Russie, mais avec une période invariante présentant des températures plutôt voisine de 3° et de 0°C respectivement et non pas de 10°C qui semble réservé à notre pays plus océanique. Florent. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nemlod Posté(e) 21 janvier 2006 Auteur Partager Posté(e) 21 janvier 2006 Je ne suis pas sur d'avoir tout compris ce que tu disais Florent mais je pense lol C'est vrai qu'en cas de douceur les TX semblent assez constante (et dépasse rarement un certain seuil alors qu'elle le frôle) bien que le temps passe parfois de la pluie au soleil... sûrement un soleil qui réchauffe moins qu'en été... Ou alors ce n'est qu'une impression... Cependant en hiver aussi il y a des pics de douceur net et éphémère comme en janvier 2003 avec: relevés d'Orly (normale des Tx: 5,8°C) le 25, Tn de -2°C au METAR 5,2 à 7,2°C le 26 6,5 à 16,5°C le 27 (record de chaleur) et 9°C dans les METARs du milieu de journée le 28 le 30 la neige arrive dans l'après-midi et la température baisse pour atteindre -2 le soir Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
41350 Posté(e) 21 janvier 2006 Partager Posté(e) 21 janvier 2006 Merci pour cet intéressant sujet Nemlod. A ce propos, je me pose une question depuis longtemps : On remarque en effet bien souvent quelques jours avant l'arrivée de froid hivernaux sérieux dans les statistiques ces périodes de températures remarquablement invariantes et souvent (pas toujours) à un niveau relativement élevé sans être exceptionnel (8 à 11°C) : les amplitudes ne sont peut-être pas aussi faibles, mais sur une durée d'une bonne semaine souvent inférieure à 5°C, voire moins. Si quelqu'un en connait l'explication physique, cela serait intéressant car c'est assez systématique et réservé à ce niveau élévé à notre climat aux tendances océaniques marquées... J'ai remarqué le même phénomène avant grands froids en Allemagne et même en Russie, mais avec une période invariante présentant des températures plutôt voisine de 3° et de 0°C respectivement et non pas de 10°C qui semble réservé à notre pays plus océanique. Florent. Sachant que l'amplitude moyenne à Paris est d'environ 6°C, on ne s'éloigne pas trop. Ceci dit, le changement de régime implique peut-être une transition en marais barométrique ou la nébulosité océanique des jours précédent le froid à du mal à se dissiper.Les plus fortes inversions arrivent par temps sec et par définition, avant la vague de froid l'atmosphère est plutôt humide. Très souvent le flux vient de l'ouest et se ralentit au contact d ela proximité des hautes pressions. Si l'on examine les principales configurations à fortes amplitudes thermiques en France en hiver: soit l'anti est centré sur la France et il fait déjà froid soit le temps est doux en cette saison c'est à dire anti Méditerranéen. Or une dorsale de l'anti Médit sur la France se décale plus facilement vers l'est en laissant la place à un temps océanique qu'elle ne se décale vers le Groenland ou la GB. Si elle se décale vers le N ou le NO, il y a de fortes chances que l'anti passe par la france et provoque des brouillards persistants inhibants les amplitudes. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
florent76 Posté(e) 21 janvier 2006 Partager Posté(e) 21 janvier 2006 Sachant que l'amplitude moyenne à Paris est d'environ 6°C, on ne s'éloigne pas trop. Ceci dit, le changement de régime implique peut-être une transition en marais barométrique ou la nébulosité océanique des jours précédent le froid à du mal à se dissiper. Les plus fortes inversions arrivent par temps sec et par définition, avant la vague de froid l'atmosphère est plutôt humide. Très souvent le flux vient de l'ouest et se ralentit au contact d ela proximité des hautes pressions. Si l'on examine les principales configurations à fortes amplitudes thermiques en France en hiver: soit l'anti est centré sur la France et il fait déjà froid soit le temps est doux en cette saison c'est à dire anti Méditerranéen. Or une dorsale de l'anti Médit sur la France se décale plus facilement vers l'est en laissant la place à un temps océanique qu'elle ne se décale vers le Groenland ou la GB. Si elle se décale vers le N ou le NO, il y a de fortes chances que l'anti passe par la france et provoque des brouillards persistants inhibants les amplitudes. Merci pour cette explication... C'est un peu ce que je pensais aussi : un flux d'ouest ralentit effectivement et qui se meurt avant que le froid n'arrive par l'est. Cette évolution des températures est en tout cas caractéristique avant vague de froid et dure parfois longtemps. Elle sont très stables et comporte très peu d'amplitude si bien que si on trace les courbes thermométriques, cela constitue un sorte de plateau où tn et tx se rejoingnent avant la chute finale.C'est exactement ce que l'on a noté en Russie début mi-janvier et que nous venons d'observer en France cette semaine... Florent. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
herveb Posté(e) 24 janvier 2006 Partager Posté(e) 24 janvier 2006 Melun 20/12/2005 n 'a pas eu une amplitude de 0° mais de 0,9°C Tn 0,9°C Tx 1.8°C Les données de meteo centre sont fausses car ce sont les Tn de la tranche 18h 6h TU et les Tx de la tranche 6h TU 18h TU. Donc si le maximum de la journée a lieu à 6H TU le Tn=Tx à chaque fois Voici les données que l 'on peut lire tout simplement sur Infoclimat le 20/12/2005 pour Melun 18h à 06h UTC Tn 1.8 °C Tx 2.9 °C 06h à 18h UTC Tn 0.9 °C Tx 1.8 °C Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
cirrusfab Posté(e) 3 février 2006 Ham (nord 54) 250m Partager Posté(e) 3 février 2006 ca me convient bien aussi 41350, le marais barometrique qui separe les deux regimes. On retrouve aussi souvent dans cette configuration un front ondulant à la limite des deux masses d'air. cirrusfab Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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