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Hiver 2005-2006


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Invité Guest

En tout cas, ça fait bien longtemps que je n'avais pas connu de mois d'Août proche des normales saisonnières (je suis cependant toujours légèrement en dessus avec une moyenne en ce moment de 23.1°C alors que pour un mois d'Août dans les normes, selon les sourçes des données climatiques de l'INRA à Monfavet au STEFCE (Service technique d'étude des facteurs climatiques de l'environnement), la moyenne est de 22.6°C.

Soit encore, pour la énième années consécutive, des valeurs supérieurs aux normes, mais cette année de + 0.5°C alors que les années passées, les écarts étaient toujours important est toujours supérieurs à la moyenne, parfois de + 3 degrés voir + 5°C en 2003 par rapport à la normale.

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Invité Guest

Non florent je suis pas trop d'accord avec toi mais chacun son pont de vue. l'hiver 1961-1962 est rude du au mois de février très froid malgré un mois decémbre très doux. Il est surtout rude dans sa partie Est de la France et fait partie des hivers froids ( http://www.alertes-meteo.com/vague_de_froid/nada.htm ).

L'hiver 1965-1966 est froid et particulierement neigeux en France. Plusieurs tempête de neige s'etaient abbatu sur la région parisienne debut janvier 1966. Et fait donc partie des hivers froid en France. Donc il y a bien eu 5 hivers consécutif froid et la série continue par la suite, a part l'hiver 66-67 doux, le reste des hivers de 1967 à 1971 sont froids et neigeux.

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Non florent je suis pas trop d'accord avec toi mais chacun son pont de vue. l'hiver 1961-1962 est rude dû au mois de février très froid malgré un mois decémbre très doux. Il est surtout rude dans sa partie Est de la France et fait partie des hivers froids ( http://www.alertes-meteo.com/vague_de_froid/nada.htm ).

Il suffit de prendre les chiffres : cet hiver là à Paris : décembre (4,2°C) et janvier (5,4°C) sont doux, février (3,9°C) est presque exactement dans les normes... Nulle rigueur ici. Un peu faiblard le froid qui ne parvient même pas à franchir la ligne maginot...
L'hiver 1965-1966 est froid et particulierement neigeux en France. Plusieurs tempête de neige s'etaient abbatu sur la région parisienne debut janvier 1966. Et fait donc partie des hivers froid en France.

Un coup de froid et même deux tempêtes de neige ne font pas un hiver rude... Le mois de janvier est froid (1,1°C) en effet, mais il est compensé par un mois de décembre très doux (6,1°C) et un mois de février exceptionnellement chaud : le 5e du XXe siècle avec une moyenne de 8,1°C !
Donc il y a bien eu 5 hivers consécutif froid et la série continue par la suite, a part l'hiver 66-67 doux, le reste des hivers de 1967 à 1971 sont froids et neigeux.

Les chiffres sont sans appels : 3 hiver que l'on peut réellement qualifier de froid : 1963, 1964 et 1965.Florent.
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Non florent je suis pas trop d'accord avec toi mais chacun son pont de vue. l'hiver 1961-1962 est rude du au mois de février très froid malgré un mois decémbre très doux. Il est surtout rude dans sa partie Est de la France et fait partie des hivers froids ( http://www.alertes-meteo.com/vague_de_froid/nada.htm ).

L'hiver 1965-1966 est froid et particulierement neigeux en France. Plusieurs tempête de neige s'etaient abbatu sur la région parisienne debut janvier 1966. Et fait donc partie des hivers froid en France. Donc il y a bien eu 5 hivers consécutif froid et la série continue par la suite, a part l'hiver 66-67 doux, le reste des hivers de 1967 à 1971 sont froids et neigeux.

Pour confirmer les dires de tom57 je citerai ces quelques exemples tirés du livre de G.Sechet:1962: le sud de l'Alsace est veritablement enseveli sous la neige, 24cm à Colmar, 37cm à Mulhouse

1966: 10 au 20 janvier on observe une courte mais intense vague de froid...20cm dans Paris...-18°C à Lyon,-17°C à Paris

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Pour confirmer les dires de tom57 je citerai ces quelques exemples tirés du livre de G.Sechet:

1962: le sud de l'Alsace est veritablement enseveli sous la neige, 24cm à Colmar, 37cm à Mulhouse

1966: 10 au 20 janvier on observe une courte mais intense vague de froid...20cm dans Paris...-18°C à Lyon,-17°C à Paris

Et un hiver dure trois mois, pas 10 jours... Quand on a montré cela, on constate en effet que ces deux hivers précédent et suivant la série froide des années 60, ont pu présenter quelques anomalies froides pouvant atteindre une certaine ampleur, de la même manière que nous en avons connu une à la fin de février dernier.Je rappelle ces quelques critères que j'ai défini et qui peuvent servir à reconnaitre un hiver rude :

1) Un hiver rude présente au maximum une moyenne de 3° environ à Paris et ce sont les plus doux d'entre eux, puisque les plus sévères des plus rudes sont descendus en dessous de -1° de moyenne, le minimum absolu étant -1,6°C en 1830. On compte également plusieurs jours consécutifs avec des températures inférieures à -10°, voire -15°C dans le bassin parisien.

2) Sur les flux, même remarque : ce sont surtout des flux de nord qui ont dominé. On a attendu longtemps le flux de NE qui est survenu à l'extrême fin de février seulement nous valant des record de froid le 1er mars. L'anticyclone est resté trop souvent sur le coeur de l'Atlantique. Au cours d'un hiver rude, l'anticyclone siège sur la GB ou entre GB et Islande, évoluant vers la Scandinavie, faisant des jonctions entre GB et russie et rabattant de l'air continental presque uniquement depuis la Russie, en passant par la Pologne et l'Allemagne qui nous valent des semaines de flux d'est glacial.

3) Cette situation s'organise bien plus tôt dans la saison entre le 25 novembre et le 1er février au plus tard, ce qui ne fut pas le cas cette année.

Florent.
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Posté(e)
34230 Paulhan - Centre Hérault

Plusieurs réponses là dessus, je ne suis pas specialiste du rayonnement radiatif de la Terre donc je ne me prononce pas plus sur ce sujet, je considerais que la chaleur accumulée etait issue essentiellement de la partie absorbée et donc non reflechie du rayonnement solaire, d'ou ma perception que comme il n'y avait rien à absorber dans la nuit polaire l'effet de serre jouait de façon préponderante durant l'été et la periode au contraire ensoleillée.

Pour le reste, je parlais bien de 2007 et non de 2017 pour le point culminant de la periode d'hivers potentiellement froids parce que c'est l'hiver 2006/2007 qui verra le minimum de l'activité solaire, là dessus je rejoins Williams.

Pour la suite là Williams connait trés bien la chose puisque c'est issu de son graphique sur le barycentre, le soleil ne s'en ecartera guère jusqu'en 2017, d'ou l'hypothèse predictive d'une activité solaire faible durant toute cette période.

Ce qui m'a conduit à evoquer la possibilité non pas d'un hiver froid mais d'un essaim d'hivers froids, ceci est purement une hypothèse et reste à être validée par les faits.

Je n'aurai pas la pretention de detenir la verité mais je me souviens de debats sur l'energie il y a un an et des propos rassurants de certains qui niaient l'imminence du Peak Oil et annoncaient mille solutions de remplacement toutes plus prometteuses les unes que les autres, surtout avec les pétroles non conventionnels.

Or nous sommes un an aprés et une verité commence à apparaitre y compris au niveau des pouvoirs publics le Peak Oil est deja là, plus tot même que prévu, au moins en ce qui concerne le Peak Oil économique bien que je soupçonne aussi que le franchissement du Peak Oil geologique soit en cours.

Qui avait raison finalement?

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tom57 >> décembre 1961 fut très contrasté, avec une première quinzaine extrêmement douce (min 14°C à Paris le 11, 4 jours consécutifs avec Tn > 14°C à Toulouse, des maxi supérieurs à 20°C dans le sud) et une seconde quinzaine beaucoup plus froide, avec une chute de plus de 20°C en une semaine, toutes régions confondues.

Si janvier 1966 a été marquée par 3 semaines de grand froid, avec un très bel épisode neigeux en IDF le 11 (20 cm à Paris), la dernière semaine de janvier et surtout le mois de février ont été extrêmement doux : pratiquement aucune gelée en février sur le territoire. L'anomalie positive de février (par rapport à la période 1961-1990) est de +4°C en IDF, si mes souvenirs sont bons.

Sinon je ne me souviens pas trop de janvier et février 1962 ni de décembre 1965...

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Or nous sommes un an aprés et une verité commence à apparaitre y compris au niveau des pouvoirs publics le Peak Oil est deja là, plus tot même que prévu, au moins en ce qui concerne le Peak Oil économique bien que je soupçonne aussi que le franchissement du Peak Oil geologique soit en cours

Je ne sais pas pourquoi tu parles en permanence du peak-oil.Je ne cherche pas à te convaincre puisque c'est ton idée fixe, mais puisque tu en reparles je me permets de donner mon avis.

primo : il n'y a pas de peak-oil

la notion de peak-oil économique n'existe pas.

Il y a actuellement augmentation des prix due à la conjoncture technique et à la spéculation.

D'autre part il ya environ 1000 Gtep de réserves prouvées de carbone fossile, au moins , sous forme de pétrole , de gaz , et surtout de charbon.

Ces trois formes d'énergie sont parfaitement interchangeables sous peine qu'on s'en donne les moyens.

La consommation est actuellement de 10 Gtep/an en comptant l'ensemble des énergies.

L'augmentation des prix actuelle est , je le répète encore, un bien pour les économies d'énergie.

Les français ont consommé 6% de moins en juillet et ce sera pareil en août.

Personnellement moyennant tout cela je ne crois au palier (pas au peak) du pétrole pas avant 20 ans et encore.

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Invité Guest

ok je comprends, merci pour vos réponse florent et anecdote. Alors effectivement l'hiver 1965-1966 ressemblerait plus ou moins à 1996-1997 mais en légèrement plus doux comme le disait aldo29. Les hivers comme fevrier 1962 et janvier 1966 ont vu quand même pas mal de neige c'est toujours ca de pris et même plus qu'en janvier 1997. Encore un grand bravo à Torrent, ces explication sur l'activité sont toujours bien expliqués et donc on devrait connaitre un faible activité solaire ces 15 prochaines années donc connaitre plus d'hiver froid, c'est bon signe pour les amateurs de froid default_rolleyes.gif

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Il va vraiment falloir faire une communication à l'Académie des Sciences ou au jury des Nobel.

Diantre, une prévision d'activité basse pendant 1 ou deux cycles , basée sur la théorie non moins fameuse du barycentre assaisonnée d'un peu d'héliomagnétisme.

Pitoyable.

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Invité Guest

oui mais météor c'est la vie, et si ca te plait pas c'est le même prix. Et ta aucune chance contre torrent, a mon avis il doit mieux en savoir plus que toi. Toi et ton rechauffement climatique ca en fait 2. Mais on en reparlera un jour et on verra bien qui rira le dernier. Le rechauffement climatique c'est pas automatique default_happy.png/emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20">

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Le rechauffement climatique c'est pas automatique default_biggrin.png/emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">

default_ohmy.png/emoticons/ohmy@2x.png 2x" width="20" height="20">default_happy.png/emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20"> Ca ne serait que le réchauffement climatique de météor alors?
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oui mais météor c'est la vie, et si ca te plait pas c'est le même prix. Et ta aucune chance contre torrent, a mon avis il doit mieux en savoir plus que toi. Toi et ton rechauffement climatique ca en fait 2. Mais on en reparlera un jour et on verra bien qui rira le dernier. Le rechauffement climatique c'est pas automatique default_happy.png/emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20">

Heureusement ce n'est que ton avis qui ne vaut pas grand-chose.Dis-donc toi dis nous un peu quel est ton niveau d'étude,après on pourra commencer à causer et tu pourras me donner des leçons.

Quand j'entends le salmigondis pseudo-scientifique débité par certains que de niais

amateurs de froid intense gobent parce que cela va dans le sens du poil et que c'est très popu sur ce forum cela me donne franchement envie de .

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Les hivers comme fevrier 1962 et janvier 1966 ont vu quand même pas mal de neige c'est toujours ca de pris et même plus qu'en janvier 1997.

Tout à fait vrai... Même les "grands hivers" ne sont plus ce qu'ils étaient...C'est pour cela qu'au delà de la prévision, si un événement froid survient bien à la fin de l'année, l'étude de son amplitude sera très instructive, car en ces cas les conditions synoptiques sont forcées de manière que tout est réuni pour favoriser au maximum les vagues de froids.

Si le réchauffement climatique n'est pas automatique, il est pour l'heure en tout cas, bien réel. Les décennies 1990-2000 sont beaucoup plus chaudes que les années 1960-1970.

Florent.

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Invité Guest

ok merci pour ta reponse florent. Sinon pour meteor, quand on t'entend parler du rechauffement climatique c'est comme si la planete se rechauffait à une forte rapidité alors qu'elle se rechauffe bien entendu mais lentement et heuresement. La planete s'est deja rechauffé plusieurs fois dans la passé mais aussi avec des refroidissement. Mais toi comme tu le prends ca me fait bien rire, comme si dans 20 ans la France ca sera le desert default_happy.png/emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20">

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Invité Guest

des fois je me demande ce qu il faut aux gens pour qu un hiver soit qualifié de rude.faut t il qu o n batte des records de froid pendant 15 jours conséqutif avec -25?de la neige de la glace?

en effet je viens d aller voir le nombre de jours de neige en france depuis le 1 er janvier.je suis époustouflé,certaines stations ont deja 7 jours de neige en plus que la moyenne d une année alors qu il reste novembre et décembre pour dépasser encore le score.il y a eu un mois tres froid de mi fevreir a mi mars,+ fin janvier,du 23 au 30, avec de la neige jusqu au maroc et en algérie, des coupures d électricité en corse, 50 cm de neige en normandie, de la pagaille en ile de france,des montagnes de neige dans le massif central,le jura,les vosges les alpes et les pyrenées,des records de froid absolus en mars.

je suis un peu sur les fesses qu en j entend encore des gens dire y a plus d hiver

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des fois je me demande ce qu il faut aux gens pour qu un hiver soit qualifié de rude.faut t il qu o n batte des records de froid pendant 15 jours conséqutif avec -25?de la neige de la glace?

en effet je viens d aller voir le nombre de jours de neige en france depuis le 1 er janvier.je suis époustouflé,certaines stations ont deja 7 jours de neige en plus que la moyenne d une année alors qu il reste novembre et décembre pour dépasser encore le score.il y a eu un mois tres froid de mi fevreir a mi mars,+ fin janvier,du 23 au 30, avec de la neige jusqu au maroc et en algérie, des coupures d électricité en corse, 50 cm de neige en normandie, de la pagaille en ile de france,des montagnes de neige dans le massif central,le jura,les vosges les alpes et les pyrenées,des records de froid absolus en mars.

je suis un peu sur les fesses qu en j entend encore des gens dire y a plus d hiver

en fait j'ai l'impression qu'il n'y a surtout plus d'hiver en montagne, comme il s'en faisait avant. Je m'explique : je me suis aperçut ces dernières années que l'enneigement de la montagne en hiver change de forme. Les étages les plus touchés par la neige ne sont pas les plus hauts. En rapport, il est parfois tombé plus de neige à moyenne altitude qu'en haute. Je ne sais pas à quoi ceci est dû. Certaine station comme valthorens, reçoive moins de neige en cumul que des stations plus basses dans la chaîne. Et les cumuls les plus importants ont lieu surtout à la fin de la saison ( ce que me racontait un moniteur de ski ). Mais peut-être que tout celà est tout à fait normal et que rien n'a changé. je ne peux rien affirmer je n'ai pas de chiffres sous la main.Peut-être que le réchauffement modifie le profil des chutes de neige en montagne, et en plaine. Aprés tout, il ne neige pas abondamment par -25°C.
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des fois je me demande ce qu il faut aux gens pour qu un hiver soit qualifié de rude.faut t il qu o n batte des records de froid pendant 15 jours conséqutif avec -25?de la neige de la glace?

en effet je viens d aller voir le nombre de jours de neige en france depuis le 1 er janvier.je suis époustouflé,certaines stations ont deja 7 jours de neige en plus que la moyenne d une année alors qu il reste novembre et décembre pour dépasser encore le score.il y a eu un mois tres froid de mi fevreir a mi mars,+ fin janvier,du 23 au 30, avec de la neige jusqu au maroc et en algérie, des coupures d électricité en corse, 50 cm de neige en normandie, de la pagaille en ile de france,des montagnes de neige dans le massif central,le jura,les vosges les alpes et les pyrenées,des records de froid absolus en mars.

je suis un peu sur les fesses qu en j entend encore des gens dire y a plus d hiver

Tout à fait d'accord avec toi Jean Baptiste. La vague de froid de la mi-fevrier a été tout à fait exceptionnel. A Saint Etienne cette vague de froid se classe au 5e rang depuis 1947. Voir ce lien (page 6) lienAlors je pense que l'hiver 2004-2005 fait partie de cet "essaim" d'hiver rude que certains annocent
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Il me semble, à moins que je prenne mes desirs pour des realites, avoir lu quelque part, il ya quelques mois, un article sur un mini-age glaciaire dont le point culminant se situerait vers 2017.

Ai-je revé?

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Tout à fait d'accord avec toi Jean Baptiste. La vague de froid de la mi-fevrier a été tout à fait exceptionnel. A Saint Etienne cette vague de froid se classe au 5e rang depuis 1947. Voir ce lien (page 6) lien

Alors je pense que l'hiver 2004-2005 fait partie de cet "essaim" d'hiver rude que certains annocent

Et pourtant, d'après les données que j'ai pu réunir, l'hiver 2005 est assimilable à un hiver avant-coureur comme le furent les hivers 1946, 1955, 1962 ou 1984 pour les hivers rudes qui ont suivis l'année suivante.Ainsi, si on a observé des grands froids début mars 2005, il pourraient de nouveau sévir cette année aux mêmes périodes, mais avec une ampleur encore plus grande tant en intensité, qu'en durée, en englobant tout février 2006 et quasiment tout le mois de mars 2006 cette fois... Sauf que l'époque étant chaude, il nous faut rester prudent... nous verrons dans 3 mois.

Wait and see !

Florent.

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Heureusement qu'il existe un contradicteur ici ( Meteor ) de talent sinon on s'ennuierait surtout lorsqu'on lit les messages de Tom57, qui veut son noël tout blanc plein de glaçons.

Ben

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Posté(e)
34230 Paulhan - Centre Hérault

Bah tu sais sur la question du rechauffement il en sait bien plus que moi ou que quiconque ici je pense, le problème est son analyse trop mecanique des situations.

Pour le reste je me méfie, j'ai avec Williams exploré une piste qui n'est sans doute pas préponderante mais qui n'est pas non plus à negliger et qui pourrait reserver quelques surprises, peut être que j'ai tort d'ailleurs et que l'effet de serre est devenu tel que la baisse d'activité solaire n'aura aucun impact significatif.

Nous verrons bien...

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Or voila que sont en train de s'y ajouter plus de deux milliards de gros consommateurs potentiels de plus (Chine et Inde) et Meteor continue à soutenir des thèses d'une autre époque, il n'a absolument pas pris la mesure de ce qui est en train de se passer.

Pas d'accord.Le pétrole est beaucoup trop demandé actuellement alors que les chinois et les indiens devraient se tourner vers le charbon beaucoup plus abondant et moins cher et qu'ils ont en abondance sur leur territoire.

Ils tirent tellement sur le pétrole que les prix flambent.

C'est valable pour n'importe quelle matière première.

Prenons l'exemple de l'acier , les prix ont également flambé mais ce n'est pas pour cela que le minerai de fer manque.

Il est évident dans mon esprit que ni les chinois ni les indiens ne pourront continuer à acheter un pétrole aussi cher.

Et donc la consommation ne pourra augmenter comme certains le prévoient.

De plus je n'ai jamais dit que c'était inépuisable puisque j'ai dit dans 20 ans.

Il y a une sérieuse nuance.

Ensuite il continue à affirmer que les autres energies carbonées sont interchangeables entre elles pour peu qu'on s'en donne la peine, manque de bol je crois que le gazeux ou le solide ne sont pas aussi facilement interchangeables avec

du liquide qu'il semble le penser.

je n'ai pas dit que c'était facile j'ai dit "pourvu qu'on s'en donne la peine"

On n'a pas les mêmes notions de sémantique ou quoi?

Je rappelle qu'on sait faire de l'octane à partir du CH4.

De même on sait faire du carburant à partir du charbon par la réaction de Fischer-Tropsch.

Les allemands l'ont fait pendant la guerre et les chinois ont des projets d'usines.

Je rappelle encore une fois que les réserves de charbon sont immenses.

Les réserves ultimes sont estimées à 5000 Gtep.

Et que les réserves prouvées sont de 1000 Gtc.

Et je ne parlerais pas des réserves de clathrates de CH4 qui sont entre 5000 et 10000 Gt , dont certains projets d'extraction vont voir le jour.

Je répète donc que techniquement il n'y a aucun problème.

Pour finir je crois que continuer à affirmer que le Peak Oil n'aura pas lieu avant 2020 alors que les experts Francais qui ont remis leur rapport à Villepin estiment qu'il aura lieu en 2013 je crois bien qu'alors ces experts sont trés incompetents et je suggère à Meteor d'aller faire son rapport à Villepin et lui expliquer calmement qu'il n'y a aucune urgence à explorer d'autres energies ou à financer des recherches en ce sens...

Je n'avance pas dans 20 ans à la légère.

Villepin devrait aussi demander son avis au seul pétrolier français, de plus un groupe de taille internationale, injustement villipandé sur l'autel écolo-altermondialiste.

Ce grand groupe est en permanence sur le terrain et ses connaissances , augmentées de celles d'Elf, sont immenses.

Je pense qu'elles sont supérieures à celles de certains groupes américains.

Total prévoit un plafonnement pour 2024, même pas un peak-oil.

Je sais bien que tu ne jures que par l'ASPO.

Pas moi, même si certains de ces experts ne sont pas mauvais.

Laherrere, s'il jouait moins avec la courbe de Hubber(orthographe?) et ne la plaçait pas dans chacun de ses graphiques ce serait mieux.

Ce serait mieux aussi si l'ASPO dans ses newsletters en particulier la 573, ne se répandait pas en propos d'une violence insoutenable.

Je peux mettre des extraits si demande.

enfin je mets ci-dessous un extrait du rapport sur l'énergie de Total.

On pourra juger ainsi si je raconte n'importe quoi comme tu le caricatures.

Extrait "FUTUR ENERGETIQUE" TOTAL 2004

Le peak oil (voir ci-dessous) n’est pas pour demain. Malgré l’augmentation très forte de la demande, la durée de vie des réserves prouvées (1) est passée, au cours des trente dernières années, de vingt-huit à quarante-trois ans pour le pétrole et de trente-neuf à soixante-huit ans pour le gaz. Ces années de réserves “gagnées” tiennent certes à la découverte de nouvelles ressources, comme le gisement géant de Kashagan (2) en mer Caspienne, mais aussi et surtout au perfectionnement des technologies employées qui ont permis une meilleure connaissance des gisements et une amélioration très sensible du taux de récupération des hydrocarbures.

Le peak oil

Cette expression désigne le moment où la production mondiale de pétrole va atteindre son niveau maximum, suivi par un déclin progressif des gisements qui durera plusieurs décennies. Quand ce pic surviendra-t-il ? entre 2010 et 2050, selon les spécialistes. A ce stade, Total estime que la production mondiale pourrait plafonner dans une vingtained’années aux alentours de 105 à 110 Mb/j alors qu’elle s’est élevée en 2004 à 82 Mb/j. Le pic de gaz devrait, quant à lui, suivre une quinzaine d’années plus tard.

Les efforts réalisés pour prolonger la durée de vie des réserves permettent non seulement de retarder le déclin des hydrocarbures mais aussi de mettre à profit le temps ainsi gagné pour développer des énergies alternatives. En parallèle, il faut apprendre à consommer moins et mieux, en affectant chacune des ressources disponibles aux usages pour lesquels elle est le mieux adaptée.

Optimiser le potentiel des champs matures

Avec les méthodes de récupération utilisées jusqu’alors par l’industrie, seuls 30 à 35 % de l’huile en place dans les réservoirs étaient effectivement recueillis. Augmenter de 10 % ce pourcentage pourrait représenter 200 à 300 milliards de barils de réserves mondiales supplémentaires, soit près de dix ans de production en plus. Nous travaillons donc à améliorer les taux de récupération sur les nouveaux champs et à augmenter parallèlement la durée de vie des champs appelés “matures”, c’est-à-dire ceux dont le déclin de la production a commencé. Cela grâce à des innovations technologiques telles que la caractérisation et le suivi des réservoirs par l’imagerie sismique 3 D et 4 D, le forage directionnel de puits à long déport horizontaux, la récupération assistée des hydrocarbures par injection d’eau ou de gaz.

Valoriser les ressources des champs non-conventionnels

Si nous qualifions encore de “non-conventionnels” des champs jugés techniquement ou économiquement inexploitables il y a une dizaine d’années, l’expression ne devrait pas tarder à tomber en désuétude : grâce à l’innovation, les gisements situés par grands fonds marins (de 500 à 3 000 mètres et plus de profondeur d’eau), les réservoirs très enfouis à haute pression et haute température (jusqu’à 6 000 mètres et au-delà de 1 500 bars et de 200°C), et les champs d’huiles extra-lourdes (densité inférieure à 10 degrés API) (3) s’inscrivent dorénavant dans notre univers opérationnel.

On estime que 500 à 1 000 milliards de barils de réserves mondiales supplémentaires, essentiellement constitués de bruts extra-lourds, pourraient ainsi s’ajouter à celles des hydrocarbures conventionnels.

Désolé si je suis méprisant ou si je parais l'être, mais je déteste les contre-vérités.

Et tant pis si je ne suis pas populaire sur ce forum.

Je profite de ce post pour dire, car, après tout nous sommes sur un site météo, qu'il y a largement assez de carbone fossile extractible pour atteindre les 800 ppm de CO2 en 2100.

J'ai déjà parlé de pistes de recherches pour combattre l'effet de réchauffement que nous aurons de toute façon, toutes choses étant égales par ailleurs.

à plus et sans rancune pour ma part.

à plus

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