CHRONIQUE DES DELUGES ET DES TEMPETES EN DECEMBRE

[anecdote]

04/12/1896 : tempête monstrueuse en Bretagne (île de Sein inondée) ; Brest enregistre un minimum de pression de 953 hPa !

24/12/1901 : « La nuit de Noël est très mouvementée ; une très forte tempête balaye l’ouest et le nord de la France – la pression descend à 973 hPa à Paris et les dégâts sont parfois importants. » [1]

07/12/1904 : « Une très forte tempête accompagnée de pluies diluviennes traverse, durant toute la journée, la moitié nord du pays. Il tombe, par exemple, l’équivalent d’un mois de précipitations en une seule journée à Paris. » [1]

04/12/1909 : chute de 60 cm de neige à Villard-de-Lans

Fin décembre 1909 : nombreuses crues dans le nord de la France

21/12/1911 : « Un véritable ouragan balaye l’Europe de l’ouest – la ville d’Angers est particulièrement touchée. Plusieurs personnes sont blessées, plus de 50 poteaux télégraphiques sont cassés ; les naufrages sont nombreux en mer. » [1]

28/12/1913 : « Une violente tempête balaye la moitié sud et de fortes chutes de neige paralysent les régions du nord – à Paris, cette neige fond une semaine plus tard. » [1]

19-20/12/1917 : « les Pyrénées orientales subissent de graves intempéries dans la nuit. Il tombe 255 mm de pluie à Amélie-les-Bains et 1,15 m de neige en 24 h à Maury. » [1]

Décembre 1919 : importantes inondations dans le Nord et en Lorraine ; des voies ferrées sont anéanties.

Décembre 1923 : « Les cours d’eau sont de nouveau en crue à la fin du mois – la Seine monte très rapidement et le spectre de 1910 réapparaît. » [1]

01/12/1924 : « une trombe marine longe la côte entre Antibes et Nice et provoque un véritable raz-de-marée. » [1]

Fin décembre 1925 : une série de tempêtes provoque des dégâts considérables un peu partout. « Celle du 20 décembre est comparable à un ouragan (des personnes sont projetées à terre, certaines habitations sont détruites) ; à Paris, la pression baisse de 20 hPa en 7 heures – à la fin du mois, de nombreux cours d’eau sont en crue et les inondations sont parfois catastrophiques. » [1]

06/12/1929 : ouragan près de la Manche ; le vent détruit des maisons

14/12/1932 : après un été et un début d’automne fortement pluvieux, de nouvelles et terribles inondations en Languedoc-Roussillon ; plusieurs communes sont isolées. 350 mm à Perpignan.

5-8/12/1944 : crue de grande ampleur en Corrèze

fin décembre 1947 : de copieuses pluies (72 mm à Nancy le 28), ajoutées à la fonte des neiges, entraînent de très graves inondations en Lorraine ; la Moselle connaît sa crue du siècle.

« On peut estimer, le 29 décembre au matin, qu’une lame d’environ 40 à 50 mm résultant de la neige, est libérée en moins de 24 h sur les crêtes de Vosges, au-dessus de 1000 m. Cette eau s’ajoute à celle qui est tombée dans la journée du 28 et dans la nuit du 28 au 29, et que l’on peut estimer à une valeur comprise entre 60 et 120 mm.[...] Le quart des rues de la ville de Nancy fut submergé par le débordement de la Meurthe et du canal. [...] Au matin du 30 décembre 1947, donc, le débit estimé de la Moselle à Pont-à-Mousson et à Metz était énorme : 2250 m3/s, c’est-à-dire beaucoup plus que le débit brut moyen du Rhône à Beaucaire. » [2]

17/12/1949 : rafale de 180 km/h à Metz ! Une partie de la toiture de la cathédrale de la ville est emportée.

20/12/1951 : grand brouillard sur la plupart des régions, produit par un léger vent de sud-ouest dans un contexte de redoux. La visibilité est parfois inférieure à 10 mètres.

13/12/1952 : 4ème tempête exceptionnelle dans cet automne agité mais froid ; on enregistre des rafales de 120 km/h à Nevers, 150 km/h au sommet de la Tour Eiffel et 185 km/h à Tours (ville qui avait subi une rafale de 180 km/h le 27 septembre précédent…) !

06/12/1953 : 114 mm à Perpignan, 375 mm à Combe (Hérault) !

07/12/1953 : 178 mm à St Chinian (Hérault)

Décembre 1954 : seulement 26 h de soleil à Lyon

09/12/1954 : 90 mm à Montélimar, 81 mm à Lyon et 75 mm à Besançon.

23/12/1954 : tempête dans l’extrême nord : rafale de 150 km/h à Cambrai.

Décembre 1956 : seulement 27 h de soleil à Brest

12/12/1957 : la pression chute momentanément à 975,1 hPa à St Etienne !

19/12/1958 : 126 mm à Nice

01/12/1959 : 128 mm à Fréjus

02/12/1959 : suite aux pluies diluviennes et à cause d’un support géologique fragile, le barrage de Malpasset, situé dans l’Estérel, rompt brutalement : une vague de 40 m de haut composée d’eau, de boue et de rochers déferle à 70 km/h dans la vallée jusqu’à Fréjus, ce en début de nuit, et entraîne des dommages considérables sur le plan humain (310 morts) et matériel.

26/12/1959 : rafale de 130 km/h à Chartres

10/12/1960 : les vents forts s’accompagnent de neige en Normandie.

Décembre 1962 : bien ensoleillé à Paris (96 h) et Brest (89 h)

16/12/1962 : entre 2 vagues de froid, un ouragan d’ouest s’abat sur une grande partie de l’Europe, entraînant des dégâts retentissants. Rafales de 155 km/h à Nice, 185 km/h au sommet de la Tour Eiffel.

Décembre 1963 : un mois tristoune à Nice (98 h de soleil) et sec à Paris (8.3 mm)

02/12/1963 : 210 mm à Py (Pyrénées Orientales)

26/12/1964 : rafale de mistral de 162 km/h à Montélimar (6 records mensuels de violentes rafales de vent dans cette ville entre juin 64 et janvier 65 !)

Fin 1965 : du 1er novembre au 31 décembre, Bourg St Maurice cumule 560 mm de pluie et de neige !

04/12/1966 : rafale de tramontane de 144 km/h à Perpignan

04-05/12/1966 : 2 m de givre en 48 h au Mont Aigoual !

27-28/12/1972 : 193 mm à Collobrières (Var)

23-24/12/1973 : déluge sur les Cévennes (307 mm à St André de Valborgne) et les Alpes maritimes (plus de 100 mm)

Décembre 1974 : 193 h de soleil à Nice

11/12/1974 : « une tornade ravage des villages près de Roubaix. Des bâtiments sont en partie détruits et 4 avions de tourisme s’écrasent. » [1]

Décembre 1975 : seulement 9 mm à Paris, prélude à la sécheresse historique de 1976.

Décembre 1976 : l’année s’achève sur une succession de tempêtes (100 à 150 km/h) après 9 premiers mois calmes et secs.

02/12/1976 : rafales de 130 km/h à Toulouse, 176 km/h à Quimper, 152 km/h à Pau, 159 km/h à Millau. La pression descend à 963 hPa à Paris.

07/12/1977 : fortes pluies sur les Cévennes (205 mm à la Grand-Combe)

Décembre 1979 : pas moins de 5 violentes tempêtes balayent le pays au cours du mois.

18/12/1979 : 38 mm à Abbeville

20/12/1979 : 34 mm à Boulogne-sur-mer

27-28/12/1979 : « Dans la nuit, le vent atteint 161 km/h à Granville, 148 km/h à Quimper et 112 km/h à Paris. A Guingamp, la montée du Trieux envahit les bas quartiers de la ville. » [1]

Décembre 1980 : habituellement pluvieux, décembre est un mois aride à Nice cette année (0 mm)

13/12/1981 : 60 mm à Mont-de-Marsan, inondations dans les vallées de la Garonne et de la Saône. Mâcon est en partie noyée et 2300 personnes sont évacuées.

15/12/1981 : 32 mm à Troyes

26/12/1983 : rafale de 130 km/h à Roissy

19/12/1986 : rafale de 140 km/h à Bastia

04/12/1987 : 250 mm en 5 h à Aigues-Vives (Hérault) !

Décembre 1988 : un mois maussade à Paris (seulement 27 h de soleil)

05/12/1988 : rafale de 137 km/h à Chambéry

17/12/1989 : forte tempête en France et en Grande-Bretagne dans une douceur printanière. Rafale de 130 km/h à Lyon le 18.

09/12/1990 : 140 mm à Nice

Décembre 1992 est absolument sec à Paris : 0 mm.

02/12/1996 : rafale de 144 km/h à Biarritz

24/12/1996 : gros orage de grêle à Fréjus ; certaines toitures s’effondrent, la ville est recouverte par un manteau blanc de 10 à 20 cm d’épaisseur, qui se maintient au sol jusqu’au lendemain. Juste à côté, St Raphaël épargnée a eu des pluies abondantes durant une heure environ...

16/12/1997 : rafale de 180 km/h à Leucate (Hérault)

20/12/1997 : violente tempête sur l’ouest : 158 km/h à Ouessant, 126 km/h à Biscarosse (Landes).

26-27/12/1999 : on ne les présente plus… 2 ouragans extraordinaires dévastent le pays en 48 h : le premier balaye le nord (169 km/h à Paris-Montsouris) le matin du 26 et le second ravage le centre et le sud dans la nuit du 27 au 28 (198 km/h à St Denis d’Oléron en Charente-Maritime). Ce sont sans doute les tempêtes les plus violentes depuis celle de 1739. Des centaines de milliers d’arbres déracinés ou décapités, d’innombrables chutes de lignes électriques (3 millions de foyers privés d’électricité), 88 morts. C’est la catastrophe naturelle la plus dévastatrice du XXème siècle en France.

12 décembre 2000 : inondations importantes sur le sud de la Bretagne, après 3 mois de pluies incessantes. Quimperlé, Morlaix et Landerneau sont très touchées.

12/12/2002 : nouvelles inondations dans le Gard et l’Hérault après celles du mois de septembre. Sommières est particulièrement éprouvée par sa 3ème crue importante en 13 mois.

21-22/12/2002 (de 6h à 6h) : 61 mm à Brest

01-04/12/2003 : épisode de fortes pluies majeur dans le sud-est, le Rhône connaît sa plus forte crue depuis plus de 100 ans. La première vague de fortes pluies affecte la basse vallée du Rhône (213 mm en 24 h à Cassis dont 132 mm en 3 h, 177 mm en 24 h à Montélimar) puis la région Rhône-Alpes (153 mm en 24 h à St Etienne !). La seconde vague affecte le Gard et l’Hérault (125 mm en 4 h à Montpellier qui connaît son 3ème déluge de l’automne). Les digues du Rhône cèdent par endroits ; Arles est à moitié inondée pendant plusieurs jours.

[1] « Quel temps ! », de Guillaume Séchet, 2004, éditions Hermé.

[2] « Climats et cours d’eau de France », de Pierre Pagney, 1988, éditions Masson.

[KillBrice]

26-27/12/1999 : on ne les présente plus… 2 ouragans extraordinaires dévastent le pays en 48 h : le premier balaye le nord (169 km/h à Paris-Montsouris) le matin du 26

Bravo pour ce joli résumé. On peut remarquer que les phénomènes exceptionnels se produisent à des fréquences de plus en plus réduites. Ces 15 dernières années sont malheureusement riches en évènements parfois tragiques. On a beau prévenir, les tempêtes et les inondations ne peuvent être que subies par les populations.Pour ma part, seule la tempête de 99 m'a marqué. C'est le seul évènement hors du commun que j'ai vécu un mois de décembre. Des rafales à 140 km/h et plus avait été relevées, ce qui carrément impensable en temps normal si loin dans les terres (En Alsace). Il en reste d'ailleurs des traces dans les forêts et certaines collines des Vosges du Nord sont encore à nu.

Le Nord-Est est relativement à l'écart des aléas météorologiques. A la fin des années 90 les rivières débordaient lors des automnes/hivers très arrosés. Des quartiers entiers de Sarreguemines, Sarrebourg ou autres se retrouvaient sous 10-20 cm d'eau. Mais ce n'est plus arrivé depuis 4ans.

[williams]

Décembre 1923 : « Les cours d’eau sont de nouveau en crue à la fin du mois – la Seine monte très rapidement et le spectre de 1910 réapparaît. » [1]

Je suis surpris car j'ai souvant vu que le 06/01/1924 il y a eu la 2ème plus fortes inondations à Paris : 7,32 mètre au pont de la Tournelle. Ces 2 inondations doivent etre les memes mis a par un probleme de date

Donc quelle est la bonne ???

Williams

[Meteoman]

Décembre 1992 est absolument sec à Paris : 0 mm.

Un coup de vent à Paris le 11 décembre alors ? Le vent a frôlé les 100 km/h dans la capitale ce jour là. Remarque, c'est possible..

Je suis surpris car j'ai souvant vu que le 06/01/1924 il y a eu la 2ème plus fortes inondations à Paris : 7,32 mètre au pont de la Tournelle. Ces 2 inondations doivent etre les memes mis a par un probleme de date 

Donc quelle est la bonne ???

Dans un autre poste, j'avais mentionné 1923 comme crue à Paris et anecdote m'a corrigé pour dire que c'était 1924. En effet, quelle est la bonne ?

[anecdote]

j'ai tiré cette anecdote du livre de Guillaume Séchet (merci Guillaume ).

je suppose que la montée des eaux a été rapide entre les derniers jours de décembre 1923 et le 06/01/1924. "rapide" pour un grand fleuve comme la Seine signifie en plusieurs jours. Le niveau part de 2 m environ pour atteindre 7,32 m le 6/1/1924. En 1910, le niveau était passé de 4 à 8 m en 8 jours du 21 au 29 janvier si mes souvenirs sont bons.

Bref il s'agit d'une crue très lente pour des méridionaux mais "rapide" chez nous.

J'espère avoir répondu à la question

[lc30]

en ce qui concerne la fréquence des événements il y a une très bonne réponse de Monsieur de Mardigny dans son mémoire sur les crues d el'Ardèche de 1859 ( 145 ans mais oui) disant que le développement de la rapidité de l'information fait que l'on prend en compte les faits anodins plus souvent. Donc il ne faut pas s'étonner qu'aujourd'hui un événement qui resterait au stade de la connaissance locale, voire très locale ( je pense à Puisserguier par exemple) devienne un événement national avec TV, journaux, etc..... la recherche dan sles archives locales monre en général que bien des phénmènes sont oubliés. Autre exemple pour les inondations de 2002 dans le Gard à Saint Geniès de Malgoirès l'étude des chronique slocales a montré un très grande fréquence antérieures des événements mais c'était oublié car c'est resté local, alors que la catstrophe des 8/9 septembre s'est placé dans un contexte général avec médias, etc......

--

lc30

[Nicolas 17/69]

Réflexions très intéressantes de lc30.

A mon avis l'étude des phénomènes climatiques et de leur fréquence devrait toujours s'accompagner d'une étude des circuits de l'information dans les régions concernées. On n'imagine pas à quel point en effet ce paramètre est important voire primordial.

Je pourrais rajouter que même à présent, l'information médiatique reste très sélective et que beaucoup de phénomènes ne dépassent pas encore le stade de l'information locale voire très locale.

[Victor hurricane tempête]

Anecdote, Il'y'a aussi la tempête de 1703 certes beaucoup plus ancienne mais qui reste la référence avec 1999 des tempêtes les plus violentes du mois de décembre. Elle a été aussi forte, voir plus forte que l'ouragan de 1987 ! 15000 marins noyés et corridors de vents supérieurs à 180 km/h 2 fois plus larges que durant la tempête Lothar et l'ouragan de 1987 !!!! C'est évocateur de ce qu'il s'est passé ce 7 Décembre 1703...

[Foxhy_87]

[Hugo_HK]

On 6/2/2024 at 8:48 PM, Victor hurricane tempête said:

Anecdote, Il'y'a aussi la tempête de 1703 certes beaucoup plus ancienne mais qui reste la référence avec 1999 des tempêtes les plus violentes du mois de décembre. Elle a été aussi forte, voir plus forte que l'ouragan de 1987 ! 15000 marins noyés et corridors de vents supérieurs à 180 km/h 2 fois plus larges que durant la tempête Lothar et l'ouragan de 1987 !!!! C'est évocateur de ce qu'il s'est passé ce 7 Décembre 1703...

sauf que c'était en novembre 1703, pas Decembre  

[Victor hurricane tempête]

Il y a 4 heures, Hugo_HK a dit :

sauf que c'était en novembre 1703, pas Decembre  

tu es sûr  ?

 

 

 

 

j'ai bien vue la date de 26 Novembre 1703 cela varie selon les sources...  peut-être qu'il parle de date de calendrier non grégorien, et que cea correspond à 7 décembre pour notre calendier...

sinon, comment expliquer ? ce n'est pas deux tempêtes semblables à 1987 qui ont frappé à à peine 15 jours d'écarts quand même 😳

Modifié 12 juin 2024 par Victor hurricane tempête

[Hugo_HK]

5 hours ago, Victor hurricane tempête said:

tu es sûr  ?

 

 

 

 

j'ai bien vue la date de 26 Novembre 1703 cela varie selon les sources...  peut-être qu'il parle de date de calendrier non grégorien, et que cea correspond à 7 décembre pour notre calendier...

sinon, comment expliquer ? ce n'est pas deux tempêtes semblables à 1987 qui ont frappé à à peine 15 jours d'écarts quand même 😳

ah oui tu dois avoir raison alors, c'est une histoire de calendrier.

 

du coup, je me rattrape en te lançant sur une autre piste si les tempêtes t'intéressent... 

 

Les tempetes de Janvier 1739.

 

http://tempetes.meteo.fr/Tempetes-en-serie-du-14-au-18-janvier-1739.html?TSPD_101_R0=081a6daeeeab2000868403c942b68a2879baf8fbc308aaf4b5e1ae2e57c58d92769c172d0adcd5600896119d241430009557766dcf4be541773c8e1d9532e17e314db723fb03b30a6a3e0a2c21ce29b4753bcd2dd93ab6080ab71d5c486913c6#:~:text=En janvier 1739%2C deux tempêtes,Prisca%2C le 18 janvier).

 

 

Modifié 13 juin 2024 par Hugo_HK

[Victor hurricane tempête]

Il y a 7 heures, Hugo_HK a dit :

Les tempetes de Janvier 1739

Je les connais 😃

 

 

ce sont celles comparables à 1999 (même si mathématiquement on en est pas du tout sûr)j'ai remarqué qu'Il'y'a également un problème de date : les sources de météo France affirment qu'on a eu 2 tempêtes : Hilaire le 14 Janvier et Prisca le 18 Janvier. On a tres peu d'indications sur ces deux tempêtes mise à part de très gros dégâts aux forêts (donc au moins 150 km/h dans les terres) jusqu'en Suisse et une pression minimale enregistrée à 960 hPa le 18 Janvier à Paris au passage de Prisca. C'est extrêmement flou mais on a quand même une hypothèse de type de dépression : il pourrait s'agir du dépression assez petite faisant la moitié de la France, un peu comme Lothar mais plus au sud. Cela signifie potentiellement que les vents ont traversés la Bretagne pays de Loire aquitaine centre Val de Loire un franche compté et un peu le grand est. Pour en revenir aux problèmes de calendriers, l'événement historlC met que la tempête a eu lieu le 8 Janvier 1739 et qu'il'y'a eu qu'une seule tempête... Ça sèment le doute encore une fois... (Pardon les modérateurs pour ce HS de Janvier et non de décembre)

 

 

 

 

Modifié 13 juin 2024 par Victor hurricane tempête