Chibisuke

Relevés au 21 Juin 2013 inclus ( Depuis le mois de Mars 2013 ): Sainte-Sigolène, Haute-Loire, 810m d'alt. Tx ≥ 20°C = 19. Tx ≥ 25°C = 5. Tx ≥ 30°C = 0. Tx ≥ 35°C = 0. Tn ≥ 10°C = 14. Tn ≥ 15°C = 3. Txx: +28,0°C le 13 Juin. Tnx: +18,6°C le 18 Juin.

Relevés des données pluviométriques au 21 Juin inclus à Sainte-Sigolène ( Haute-Loire 43, 810m d'alt. ) depuis le 1er Janvier 2013: Pluie cumulée : 471,7 mm. Neige cumulée : 92 cm.

Cumul pluviométrique du mois de Juin à Sainte-Sigolène (43, 810m ), au 21 inclus: Pluie cumulée: 39,7mm.

Dimanche 16 Juin 2013, il est 10 heures quand Christophe Suarez m'appelle au téléphone pour me demander si une chasse à deux me tentait. Les prévisions étaient vraiment très bonnes, mais il fallait faire beaucoup de kilomètres pour espérer pouvoir observer quelque chose d'intéressant. Notre objectif: L'auvergne l'après-midi, puis la côte Atlantique la nuit. Mais on a constaté qu'il n'est pas très bon d'avoir deux objectifs trop éloignés en terme de kilomètres. Je finis par accepter volontiers sans trop hésiter, et nous voilà partis pour le nord de l'Auvergne, plus précisément dans l'Allier près de Vichy pour essayer de dénicher une petite ( ou une grosse ? ) supercellule. Daniel Gauvin nous rejoint également sur place, et c'est à 16h00 que l'on commence à observer des départs de structures intéressantes. 16h30, la convection devient furieuse dans le secteur Est de Clermont-Ferrand sur le département du Puy-de-Dôme plus au Sud de notre position. On contrôle les radars, et on s’aperçoit très vite que cette cellule prend une tournure supercellulaire en filant plein Est dans un flux axé Sud-Ouest. On ne le sait pas encore, mais c'est un monstre totalement épique qui va dégénérer plus tard dans l'après-midi. La cellule est trop lointaine, et la luminosité nous empêche de voir ce qu'il se trame en dessous. On commence à hésiter pour partir plus au Sud afin de revoir notre position beaucoup plus près du monstre. 1/ On finit par se décider à partir après une hésitation difficile. Impossible de savoir si nous faisons le bon choix, de nouveaux orages pourraient très bien éclater à l'endroit où nous nous trouvions. Mais la route est longue, et la cellule file vite. 18h10, alors que nous sommes déçus de ne pas pouvoir prendre en photo la foudre intense qui s'abat sous la supercellule, un phénomène vient nous redonner le moral. Chris me dit en toute hâte que nous étions juste en face de la formation d'un mésocyclone, alors que moi je ne l'avais même pas remarqué . On s'arrête, le temps de se faire qualifier de c**** par un habitant du coin qui n'a pas eu trop de mal à remarquer notre stationnement un peu gênant, puis on immortalise les presque seules photos que l'on aura de cet orage superpuissant. 2/ 3/ L'heure tourne, et on approche dangereusement de notre heure limite pour partir dans l'Ouest pour notre deuxième objectif. On entre les coordonnées dans le GPS, et nous voilà partis. Mais le monstre que nous tentons de laisser derrière nous n'a pas finit de faire parler de lui, à un tel point que nous devons nous arrêter quelques kilomètres plus loin pour assister à une explosion convective comme j'en ai rarement vu. 4/ 5/ 19h20, le hasard fait bien les choses, sur une route de campagne complètement perdue on croise un autre chasseur d'orage. On prend donc le temps de discuter un peu, un moment fort bien agréable. 19h30, avec beaucoup de mal, on finit par s'ordonner de quitter immédiatement la région pour partir dans l'ouest. L'heure a bien avancé, il ne faut plus perdre de temps pour ne pas louper les orages nocturnes. 21h00, une nouvelle explosion convective se produit loin au Nord-Est de nous. Malgré la distance, depuis l'autoroute la structure est immense, on s'arrête donc sur une aire de repos pour prendre quelques photos. La taille de la cellule est nettement plus impressionnante que celle que nous avions laissé tomber dans le Puy-de-Dôme. 6/ 7/ On enrage, mais les premiers signes pré-orageux font leur apparition plus à l'ouest. On reprend la route mais cette fois-ci, on s'est bel et bien mis en retard, et nous n'arriverons malheureusement pas à l'heure sur l'objectif numéro 2, une histoire de quelques minutes. On prévoyait de s'arrêter à Niort et d'attendre que le MCS nous passe devant. Au lieu de ça, nous décidons de faire 70 kilomètres de plus et d'aller devant l'Ile de Ré. Des lignes orageuses se sont constituées, et on tente de se faufiler entre les deux en espérant être en dehors du plus méchant. 01h00, la pluie commence à tomber alors que nous ne sommes même pas encore arrivé sur un spot. Le stress et la nuit finit de nous désorienter et nous perdons encore quelques minutes de plus pour nous positionner. Le radar est très impressionnant, ce qui arrive de la mer est terrifiant. Quand on sort de la voiture, les conditions sont purement ignobles. Le vent souffle en rafales puissantes et la pluie tombe à l'horizontal. Impossible de faire une photo correctement, c'est vraiment pas de chance. Le ciel s'illumine constamment, essentiellement en raison des intra-nuageux. Les minutes passent, et l'echo-radar le plus puissant s’apprête à entrer dans les terres alors que les conditions sur nous sont pourtant déjà vraiment très difficiles. Impossible de savoir ce que cache cet echo-radar, les intensités instantanées affichées par le radar montent à plus de 400mm/h. Les deux lignes orageuses commencent à se rejoindre. Après une longue réflexion, on décide de fuir La Rochelle pour se positionner quelques kilomètres plus à l'Est afin de prendre l'orage par l'arrière. Je contrôle chaque minute ce qui se passe de nouveau sur le radar, et les nouvelles ne sont pas bonnes. Venir près des côtes était une tentative risquée. Les noyaux intenses prennent des caractéristiques supercellulaires en attaquant les terres, et ils gagnent en virulence tout en se multipliant. Quand le radar nous fait espérer sortir de la zone pluvieuse, de nouveaux noyaux durs se forment en un clin d'oeil. La grêle commence à tomber sur la voiture alors que le coeur des noyaux supercellulaires ne sont pas encore sur nous. Daniel nous demande de nous arrêter, la confiance disparait peu à peu et c'est maintenant le danger qui augmente. La pluie est torrentielle, l'eau commence à ne plus s'évacuer sur la route, la peur d'avoir fait la bêtise de trop commence à hanter les esprits ( mais quelle dose d'adrénaline ! ). Puis, le calme revient, on finit par se retrouver à l'arrière des structures supercellulaires, le danger est écarté. L'arrière des cellules est une véritable pile électrique en puissance. La densité de foudroiement est exceptionnelle, mais la violence des rideaux est bien trop grande, nous n'arrivons pas à observer la foudre. 8/ 9/ Il est 03h00 du matin, les cellules ne forment plus qu'un énorme MCS qui file à toute allure en direction de Paris. Impossible de le prendre en chasse, c'est bien trop rapide. Daniel finira par aller dormir sur La Rochelle, et nous, nous dormons 4 petites heures dans la voiture. Au lever du jour, la fatigue est là, et il faut faire plus de 500km. A mi-chemin, on décidera de s'arrêter dans le Limousin pour essayer d'avoir de nouveaux orages, en vain. Un corps pluvieux durable à donné un flop sur le secteur. On rentre heureux d'avoir photographié un beau mesocyclone la veille, et d'avoir vécu la rage d'un noyau supercellulaire de nuit sur une route déserte. Dans la journée, on commence à voir les premières photos des dégâts près de Niort, et là où nous étions pris au piège. Avec du recul, nous constatons alors que nous avons eu une chance inouïe de ne pas y laisser la voiture. Certains n'ont pas eu cette chance et ont subit des grêlons de plus de 5cm de diamètre. A la prochaine Désolé pour les photos qui ne sont pas exceptionnelles, l'aventure n'en était pas moins épique !

Le vent se calme enfin ici, il aura soufflé fort toute la journée, et la température est bien montée ( enfin, le ressenti en tout cas ). Quel dommage pour notre massif-central pour la situation orageuse de toute la semaine, nous sommes restés en marge des gros phénomènes ( quoique, tant mieux, comme ça pas de dégats ). Cette semaine d'ailleurs, restera je pense la semaine la plus orageuse de toute la saison en france ( globalement ), puisque les conditions qui ont été réunies restent assez rare d'après moi.

Coucou Tu verras que les réglages ne sont quasiment jamais les mêmes, et ça dépend grandement de tes exigences pour la photo finale. Déjà, de nuit, s'il fait bien noir, avant même que l'orage soit sur ta position et à portée de shoot, fait des photos test pour faire un préréglage. Ca te permettra de voir si certaines lumières proches de toi ne viennent pas jouer les fauteurs de troubles. Effectue ta mise au point "spot" sur un lampadaire distant, de manière à ce que le petit point lumineux dans ton viseur soit bien brillant. C'est la meilleure technique que j'ai pu tester jusqu'à aujourd'hui pour réussir une mise au point. Place ton appareil en mode Manuel, et désactive la mise au point automatique. Dans les réglages de ton appareil, désactive ensuite la Réduction du bruit, pas besoin de toucher aux autres paramètres. Tu peux laisser la balance des blancs en automatique par exemple. Règle la sensibilité ISO sur le plus bas que propose ton appareil ( idéalement, ISO 100 ). Quand tu en arrives là, ton appareil est déjà presque prêt, il ne te reste plus qu'à trouver un bon équilibre entre le temps d'exposition et l'ouverture. Commence par mettre un temps d'exposition de 15 ou 20 secondes, voire même 30 si tu le souhaites. Ensuite, règle l'ouverture de ton objectif sur F/4 ou F/5. En fonction de ce qui va se trouver en face de toi, tu devras adapter tes réglages. Réduire le temps d'exposition si l'activité est intense ou si tu ne souhaites avoir qu'un seul impact sur chaque photo, et réduire l'ouverture du diaphragme si tu constates que les photos sont surexposées. Il y aura toujours une première photo test ratée pour quasiment chaque nouvel orage nocturne. Parce que même si tu as une petite idée des réglages de bases, chaque orage est différent, et chaque impact également. La lumière qu'ils produisent varie énormément en fonction de la distance, et de l'environnement, mais aussi de la puissance de la décharge. Tout ça, tu ne peux pas l'anticiper ou très rarement. Pars donc avec un préréglage que tu devras réadapter après ton premier impact photographié. Tu contrôles la photo et à toi de juger si elle est bonne ou trop sombre ou bien trop claire. Si elle est vraiment trop claire / cramée, et que tu était à F/4 par exemple, augmente alors jusqu'à F/7 et refait un essai. On shoot rarement à F/3.5, de même qu'on shoote également rarement à plus de F/10. Et si la photo était trop sombre même à l'ouverture maximale ? Dans ce cas là, tu devras augmenter la sensibilité ISO. Passer à ISO400 ou ISO600 corrigera le problème, mais attention à l'apparition inévitable du bruit sur la photo finale. PS: Pourquoi désactiver la réduction du bruit sur le boitier ? En temps normal, la réduction du bruit est instantanée. Mais lorsque nous avons un temps de pose de plusieurs secondes, le temps de travail du boitier pour effectuer cette opération sera d'autant de secondes. En clair, si tu fais une photos sur 30 secondes, tu auras 30 secondes de blocage du boitier, et donc tu risques de louper bien des choses.

La version étanche semble vraiment être indispensable quand même. En voyant ce que je fais subir à la mienne, je n'ose même pas imaginer si elle n'était pas étanche

Relevés au 14 Juin 2013 inclus ( Depuis le mois de Mars 2013 ): Sainte-Sigolène, Haute-Loire, 810m d'alt. Tx ≥ 20°C = 12. Tx ≥ 25°C = 2. Tx ≥ 30°C = 0. Tx ≥ 35°C = 0. Tn ≥ 10°C = 8. Tn ≥ 15°C = 0. Txx: +28,0°C le 13 Juin. Tnx: +11,5°C le 12 Juin.

Relevés des données pluviométriques au 14 Juin inclus à Sainte-Sigolène ( Haute-Loire 43, 810m d'alt. ) depuis le 1er Janvier 2013: Pluie cumulée : 467,3 mm. Neige cumulée : 92 cm.

Cumul pluviométrique du mois de Juin à Sainte-Sigolène (43, 810m ), au 14 inclus: Pluie cumulée: 35,3mm.

Cette journée aura été fort bien agréable, avec un grand soleil une majeure partie de l'après-midi. L'humidité a créé une petite sensation de lourdeur puisque le thermomètre est monté à +19,8°C au plus chaud alors que j'aurais franchement pensé qu'il y avait beaucoup plus que ça. Côté pluie, la fin de l'épisode pluvieux de cette nuit a quand même laissé 1,2mm. Rien d'autre à signaler en cette belle journée.

Pour demain Samedi, un département pourrait tirer son épingle du jeu. L'Ardèche (07) sort du lot, avec de fortes probabilités d'occurrence d'orages souvent modérés avec une prédominance de l'orographie. Côté chiffres, l'instabilité sur ce département sera localement forte ( MUCAPE pointant à 1900J/Kg pour des indices de soulèvement descendant à -3K d'après le modèle WRF de Keraunos ). De grandes quantités de précipitations convectives sont modélisées sur ce secteur mais de manière assez localisée, le tout dans un flux axé Ouest-sud-Ouest à 500hPa. Avec des vents verticaux très favorables sur la convection et une inhibition convective absente, seule l'humidité semble rester relativement faible tout en restant dans la suffisance. Ailleurs dans le massif-central, le risque sera un peu moins important mais tout de même bien présent, sur la Lozère, la Haute-Loire ainsi que la Loire. Les intensités prévues cette fois-ci y seront globalement faibles.

Oh, intéressant ce lien ! Je le garde de côté

Finalement de gros orages sont passés comme prévu au dessus de chez moi, la tuile j'étais au boulot.. Mais bon. Une grosse chaleur cet après-midi juste avant l'arrivée du front orageux, puis c'est la baisse fulgurante: presque 15°C de perdus en 2 heures. La carte des impacts était fort bien sympathique. Actuellement, il pleut de nouveau, et la température remonte. A 22h00, Température : +11,7°C. Tn: +11,3°C. Tx: +28,0°C. Humidité: 95%. Vents: 9km/h, max 17km/h SE. Précipitations: 15,5mm.

Actuellement rien à signaler, sous un soleil de plomb ( +24°C à midi ). La nuit à été particulièrement douce avec une minimale de +13°C. En attente de l'offensive orageuse cet après-midi, pendant ce temps et bien.. direction au boulot

La chasse à l'arcus s'affirme pour la journée de demain, avec les dernières réactualisations des modèles. Peu de choses ont changé, tout semble parfaitement bien calé, les modèles se mettent d'accord sur la constitution d'un vaste complexe pluvieux dans un rapide flux axé Sud-Ouest à 500hPa. C'est le bord d'attaque de ce corps pluvieux qui sera à surveiller, puisqu'un front de rafales très étendu est envisagé par WRF. Dans notre massif-central, c'est surtout le nord-est qui sera exposé au risque le plus intéressant ( Haute-Loire, Loire, Puy-de-Dôme éventuellement, extrême nord-Ardèche ). Soyez prudents si vous envisagez de chasser l'orage sur ces départements, la vitesse de déplacement de la ligne pourrait surprendre. On notera aussi une baisse assez fulgurante des températures après le passage du front en soirée.

Voici les relevés de la première décade du mois de Juin 2013 de mon côté. Une première décade agréable et bien ensoleillée, malgré un début de mois encore un peu trop froid, et une fin de décade sous la pluie. Je compte 1 seul jour avec orage le 6 Juin, pas grand choses à signaler avec ce temps assez calme pour le moment. Première décade de Juin ( 01 au 10 ) à Sainte-Sigolène, 810m : Tnm: +8,2°C . Txm: +18,2°C. Tmm: +13,2°C. Tnn: +4,5°C le 3 Juin. Txx: +25,9°C le 7 Juin. Jours précipitants: 4 jours. Pluie cumulée: 17,2mm. RR max/24 h: 8,3 mm le 9 Juin. RR>1 mm: 4 jours. RR>5 mm: 1 jour. RR>10 mm: 0 jours. Jours avec gel: 0 jours. Jours avec orage ( tonnerre ): 1 jour.

Avec un peu d'avance, la situation de jeudi soir pourrait être fort sympathique, avec le passage d'une dégradation organisée. Les modèles réagissent très bien depuis plusieurs runs, et semblent être d'accord sur une chose: le bord d'attaque du vaste corps pluvieux qui balaiera la france dans un flux de sud-ouest prendra un caractère bien orageux grâce à une instabilité modérée voire forte dans les profils verticaux. Cette ligne devrait toucher tout le nord-est du massif-central sans exception. Mais par contre il ne faudra pas se louper, car une fois le front orageux au dessus de votre tête, ce sera probablement fichu à moins que vous ayez une tenue de plongée. A méditer

Relevés des données pluviométriques au 10 Juin inclus à Sainte-Sigolène ( Haute-Loire 43, 810m d'alt. ) depuis le 1er Janvier 2013: Pluie cumulée : 449,2 mm. Neige cumulée : 92 cm.

Relevés au 10 Juin 2013 inclus ( Depuis le mois de Mars 2013 ): Sainte-Sigolène, Haute-Loire, 810m d'alt. Tx ≥ 20°C = 10. Tx ≥ 25°C = 1. Tx ≥ 30°C = 0. Tn ≥ 10°C = 5. Txx: +25,9°C le 7 Juin. Tnx: +10,7°C le 8 Juin.

Cumul pluviométrique du mois de Juin à Sainte-Sigolène (43, 810m ), au 10 inclus: Pluie cumulée: 17,2mm.

Et bien ici, après le soleil du début d'après-midi, ce sont les nuages qui sont arrivés en force à un tel point que le ciel était complètement couvert il y a une petite heure. Actuellement il reste très nuageux. Côté températures, on est bien mais ça reste inférieur à 20°C avec un vent du nord trop frais. A 17h00, Température : +18,0°C ( Tx en cours ). Tn: +10,0°C. Tx: +18,0°C. Humidité: 56%. Vents: variable, 12km/h max 24km/h. Précipitations: RAS.

Ils prennent très certainement la distance à vol d'oiseau qui les sépare de la cellule orageuse sur le radar de précips. Exemple, en gros tu te trouves sur la ville de Lyon et tu observes une enclume au loin, après contrôle sur le radar tu comprends alors que cet orage se trouve sur telle ou telle ville à 100, 200km de ta position. Celui qui marque 74km il abuse par contre ^^

Et bien de retour de mon petit flop supplémentaire. Les orages de l'ardèche sont venus semer la pagaille par ici et finalement tout le potentiel est parti en fumée. Les restants de pluies qui sont remonté ont tout bloqué, dommage. Côté pluie justement, le passage a laissé 8,3mm derrière lui.

Le ciel est bien couvert ici de ce côté, pas de pluie à signaler. Je vais quitter ce temps un peu mou pour aller chasser dans la Loire où j'espère pouvoir rencontrer des orages tout à l'heure.