-
Compteur de contenus
7 719 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
2
Type de contenu
Profils
Forums
Calendrier
Tout ce qui a été posté par anecdote
-
Encore ?! Ah là là sacré Florent, bah continue mais tu vas réveiller les amateurs de froid /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20">
-
ça serait bien ne pas systématiquement digresser sur ton modèle, Florent. Le forum "Prévisions saisonnières" est fait pour ça. Là on parle de la situation actuelle. Merci.
-
Tim Osborn ne fait que confirmer ce que l'on sait déjà, cad la tendance à la multiplication des flux de sud-ouest agités en hiver sur l'Europe, donc un réchauffement hivernal avec plus de pluies, notamment dans les années 90. Rien de surprenant. Mais si les extrêmes du type inondations et douceur se sont multipliés l'hiver en Europe, au contraire (principe des vases communicants) on observe logiquement une nette diminution des vagues de froid et de neige. Les 2 tendances se compensent-elles ? Je ne saurais répondre...
-
Ca fait 3 jours que le vent souffle à Paris, accompagné d'un ciel bleu limpide et d'une certaine fraîcheur. On dirait un temps à mistral comme on en voit en Provence. Ca fait une drôle d'impression.
-
Impact des phenomenes meteo violents...
anecdote a répondu à un sujet de Ed. dans Météo, environnement et société
En tous cas en Afrique, la paléoclimatologie montre que : Il y a environ 8000 ans, le climat était plus chaud qu'actuellement. Le Sahara était vert dans sa grande partie, globalement, le continent africain était beaucoup plus arrosé et vert, la forêt équatoriale s'étendant plus largement de part et d'autre de l'équateur. Au contraire, il y a 18000 ans, lors du DMG (Dernier Minimum Glaciaire), le continent africain était beaucoup plus sec, la forêt équatoriale n'occupait plus que de petites zones. Lors du DMG, les alizés étaient plus puissants (=> upwelling accru) du fait des impulsions froides plus nombreuses et plus intenses, la sécheresse se déplaçant ainsi vers l'équateur. -
Semaine du 16/05/05 au 22/05/05.
anecdote a répondu à un sujet de Jean-Michel10 dans Evolution à plus long terme
Non, ça donnera des maximales basses sous un ciel bâché, avec de bonnes pluies, et c'est tant mieux car il en faut, de l'eau ! Ensuite belle accalmie mais sans doute beaucoup de brouillards et nuages bas limitant la baisse des températures. -
Impact des phenomenes meteo violents...
anecdote a répondu à un sujet de Ed. dans Météo, environnement et société
Non, la sécheresse s'étend plutôt lors des périodes plus froides et régresse lors des périodes plus chaudes. cf. la forte sécheresse des années 70-80 au Sahel, en recul depuis. -
Rubrique réalisée en partie grâce au livre « Quel temps ! » de Guillaume Séchet (incontournable) Mai 1865 : 133.5 mm au Bourget 20/05/1868 : 313 mm en 2 h à Molity-les-Bains (Pyrénées Orientales) ! 22/05/1900 : forte crue de l’Arbonne (Tarentaise (Savoie)) 29/05/1901 : orage de grêle sur le sud de Paris (grêlons de 4 cm de diamètre), 80 mm de pluie au Jardin des Plantes (5ème arrondissement). Mai 1905 : 175 mm à Marseille (observatoire) 21/05/1908 : nombreux orages grêligènes dans le nord et l’Est, notamment à Nancy (grêlons énormes), des grêlons de près de 250 g tombent près d’Orléans, et Valenciennes (Nord) est dévastée. Mi-mai 1913 : importantes inondations sur le delta du Rhône, notamment à Arles, Beaucaire et Tarascon. 14/05/1915 : très forte tempête sur le Pas-de-Calais, dans un contexte rendu difficile par la guerre de tranchées. 19/05/1917 : 370 mm au Mont Aigoual 27/05/1921 : déluge de 74 mm à Lyon en pleine période de sécheresse 13/05/1922 : gros orage de grêle à Montpellier (30 cm dans les rues) 05/05/1923 : très violents orages dans l’ouest (grêlons de 700 g à Domfront (Orne) !, tornade à Lonlay (Orne)) 22/05/1924 : gros grêlons à St Marcel, près d’Argentan (Orne), dégâts énormes. L’un de ces grêlons pèse 260 g ! 19/05/1925 : violents orages un peu partout, des personnes sont foudroyées en plein Paris. 17/05/1926 : tempête, dégâts à la Foire de Paris 06/05/1930 : 108 mm à Montélimar Mai 1931 : 156.5 mm au Bourget 15/05/1932 : grêlons de 100 g en Seine-et-Marne (à La Ferté-Milon et Nanteuil-les-Meaux notamment) 28/05/1935 : 76 mm en quelques heures à La Villette (Paris, 19ème arrondissement). Mai 1938 : 289 mm à Marseille ! (observatoire) Mai 1949 : 148 mm à Marignane 02/05/1949 : 100 mm à Cannes 26/05/1950 : 57 mm à Metz Mai 1951 : seulement 198 h de soleil à Nice 09/05/1958 : très violents orages dans le Nord, tornade du côté de Lille 16/05/1958 : tempête dans le nord et le nord-ouest (rafale de 150 km/h au sommet de la Tour Eiffel) 16/05/1960 : grêlons de 8 cm de diamètre à Strasbourg, Mâintelligent et Limoges. Torrents de boue en Lorraine, tornade en Haute-Garonne et dans le Gers. 04/05/1961 : tornade à Evreux, une 2CV s’envole au-dessus d’une maison ! 11/05/1961 : rafale de 130 km/h à Montélimar 24/05/1964 : 55 mm à Clermont-Ferrand 04/05/1965 : tempête en montagne, rafale de 204 km/h au Puy-de-Dôme 07/05/1966 : rafale de 126 km/h à Perpignan 24/05/1967 : tornade dans le Nord : 24 vaches sont roulées sur 600 m ! 25/05/1967 : ouragan sur le nord, arbres arrachés par milliers. Rafale de 158 km/h du côté de Metz ! 27/05/1967 : très forts orages dans le nord-ouest. 02/05/1969 : 28 mm à Caen 06/05/1969 : 56 mm à Ajaccio 07/05/1969 : 100 mm à Solenzara (Corse) 09/05/1970 : 80 mm à Privas (Ardèche) 10/05/1970 : fortes pluies sur les Vosges (50 à 90 mm), 55 mm à Nancy, inondations. 13/05/1971 : torrents de boue en Seine-et-Marne, le trafic du métro parisien est perturbé. 17/05/1971 : rafale de 108 km/h à Grenoble Mai 1972 : un mois très gris 26/05/1973 : brouillard à Toulon (tandis qu’il fait 35°C en Gironde) 10/05/1976 : 75 mm à Besançon alors qu’on parle surtout de sécheresse dans les media. Mai 1977 : 180 mm à Toulouse, 175 mm à St Etienne 03/05/1977 : 101 mm à Privas 17-25/05/1977 : inondations dans le Midi, en particulier sur l’Aude, l’Ariège, les Pyrénées Orientales et la Haute-Garonne (le Stadium de Toulouse est inondé). 23/05/1978 : 63 mm à Strasbourg 10/05/1979 : la pluie qui tombe à Lyon est bleue ! Elle colore de bleu tout ce qu’elle touche. Son origine n’est toujours pas déterminée (industrie chimique ?). 15/05/1980 : rafale de 112 km/h à Toulouse Mai 1981 : 187 mm à Rennes 25/05/1981 : 67 mm à Privas 17/05/1982 : très violents orages en Ile-de-France, plusieurs communes du Val d’Oise sont traversées par des coulées de boue (Louvres, Villiers-le-Bel, Goussainville). 31/05/1982 : 52 mm à Bordeaux Mai 1983 est excessivement arrosé, notamment dans l’Est ; 198 mm à Strasbourg, 145 mm à Rennes, 230 mm à St Etienne. On observe des inondations importantes en Lorraine. 15/05/1983 : 70 mm à Grenoble Mai 1984 : mois pourri : 122 mm au Bourget, 109 mm à Marignane, 126 mm à Strasbourg, 165 mm à Rennes, 123 mm à Toulouse, et plus de 200 mm à Nice (à confirmer) 22/05/1984 : 61 mm à Nice En plus, ce mois de mai est l’un des plus froids des annales. 07/05/1988 : pluies de boue par endroits (vents du Sahara), ciel d’aspect jaunâtre. 13/05/1988 : 55 mm à Toulouse 20/05/1989 : 112 mm en 5 h à Quimper ! 03/05/1991 : rafale de 155 km/h au Cap Béar (Pyrénées Orientales) 28/05/1992 : 104 mm en 4 h à Riom (Puy-de-Dôme), torrents de boue dans le Val d’Oise. 09/05/1993 : 38 mm à Abbeville 11/05/1993 : 84 mm à Pau, 44 mm à Auch (Gers) 18/05/1993 : 45 mm à Châteauroux 19/05/1993 : 34 mm à Evreux 18/05/1994 : 171 mm à St Pierre de Chartreuse (Isère, alt. 900 m) 11/05/1995 : 97 mm à Biarritz 18/05/1996 : rafale de 100 km/h à Lyon 14/05/1997 : 63 mm en 1 h à Vierzon (Cher) 31/05/1997 : 65 mm à Agen 27/05/1998 : 100 mm en 3 h à Nîmes, 216 mm à Grospierres (Ardèche) 31/05/1998 : tornade à Aix-en-Provence 03/05/1999 : 133 mm aux Plans (Hérault) 17/05/1999 : 256 mm à Villefort (Lozère) 30/05/1999 : 20.6 mm en 15 minutes à Villacoublay, mini-inondations sur l’ouest de l’Ile-de-France. Début mai 2000 : fréquents orages sur le pays, notamment près de la Manche. 05/05/2000 : 75 mm à Clarac (Haute-Garonne) 08/05/2000 : 48 mm à Nancy 09/05/2000 : 43 mm à St Etienne, torrent de boue à Fécamp en soirée. 10/05/2000 : 50 à 75 mm en 3 h du côté de Rouen et Barentin, inondations localisées mais dévastatrices. Inondations aussi en Normandie. 11/05/2000 : 47 mm à Paris-Montsouris 27-28/05/2000 : tempête en Normandie, circulation des trains interrompue entre Rouen et Le Havre (rafales de 150 km/h). 13/05/2002 : violent coup de galerne dans le sud-ouest, rafales de sud-ouest de 111 km/h à Bordeaux et 133 km/h à Biscarosse dans les Landes ; des arbres sont déracinés. 50000 foyers sont privés d’électricité. 28/05/2003 : 55 mm en 1 h à Bâle-Mulhouse 03/05/2004 : 94 mm à Perpignan
-
Impact des phenomenes meteo violents...
anecdote a répondu à un sujet de Ed. dans Météo, environnement et société
La saison des phénomènes violents à grande échelle dans les latitudes tempérées est bien sûr la saison FROIDE, où l'on voit se succéder des tempêtes dans l'Atlantique, dues aux énormes masses d'air froid qui déboulent depuis l'Amérique du nord. En été, en revanche, les isobares sont beaucoup plus "lâches", les vents sont plus calmes, sauf sous les orages locaux. -
Semaine du 09/05/05 au 15/05/05
anecdote a répondu à un sujet de florent76 dans Evolution à plus long terme
Truisme. Toute année voit des phénomènes violents de ce genre. je comprends pas. Truisme aussi. Le risque d'orage violent est évidemment maximal en été, les stats le montrent. Interprétation abusive. La "résistance" est en fait une alimentation en air froid plus importante en Europe depuis le début de l'année. On ne peut pas en tirer quoi que ce soit pour l'avenir proche. L'air froid actuel peut être balayé en 48 h et laisser place à une longue période chaude. -
jamais démontré. Dans les années 60 : Gulf Stream vigoureux et hivers européens froids... Cette conséquence de l'effet de serre non-sens car l'effet de serre a toujours existé. Remplacer "effet de serre" par "augmentation de l'effet de serre" => la phrase prend alors un sens mais la proposition n'est pas démontrée. pas forcément, cf contre-exemple des années 60
-
Dans les années 60, le Gulf Stream était plus vigoureux qu'aujourd'hui. Donc l'Europe avait des hivers plus doux ?? /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Non franchement les effets du Gulf Stream sur notre climat ne sont pas évidents. Cette influence tient du mythe.
-
Vous avez remarqué les cumulo-nimbus en Mauritanie ? C'est pas banal pour la saison...
-
Et combien de scientifiques, dans les années 70, annonçaient une nouvelle ère glaciaire à venir ?
-
Semaine du 09/05/05 au 15/05/05
anecdote a répondu à un sujet de florent76 dans Evolution à plus long terme
D'abord, l'anticyclone des Açores n'existe pas. Dans les parages des Açores, en hiver, la pression varie beaucoup, et il n'est pas rare d'observer des dépressions circulant d'ouest en est et traverser les Açores. L'anticylone dit des Açores n'existe qu'à l'échelle des moyennes. C'est une moyenne entre le passage des dépressions et les fortes remontées de pression (périodes anticycloniques). De telles variations de pression ne s'expliquent pas par des variations de puissance du flux descendant d'altitude. Elles accompagnent le passage des masses d'air froid issues du Canada et/ou du Groënland. Prenons par exemple la situation du 5 janvier 1962 : http://www.wetterzentrale.de/archive/ra/19...00119620105.gif Une zone anticyclonique recouvre les Açores. Mais remontons dans le temps : http://www.wetterzentrale.de/archive/ra/19...00119611229.gif http://www.wetterzentrale.de/archive/ra/19...00119611230.gif http://www.wetterzentrale.de/archive/ra/19...00119611231.gif http://www.wetterzentrale.de/archive/ra/19...00119620101.gif http://www.wetterzentrale.de/archive/ra/19...00119620102.gif http://www.wetterzentrale.de/archive/ra/19...00119620103.gif http://www.wetterzentrale.de/archive/ra/19...00119620104.gif http://www.wetterzentrale.de/archive/ra/19...00119620105.gif Le 29 décembre 1961, puis le 30, l'air froid descend en masse du Groënland aux Açores, la pression est faible aux Açores, le temps agité. L'"anticyclone des Açores" n'existe plus. Au fil des jours, la pression remonte au-dessus des surfaces refroidies. Le 1er janvier, l'air froid circule des Açores aux Canaries, de même le 2. La pression est bien remontée le 4, mais c'est toujours de l'air froid qui recouvre le sud-est de l'Atlantique nord (cette descente d'air froid provoque une pulsation d'alizés plus au sud) Le 5 janvier, la ceinture anticyclonique est bien reconstituée. Si on ne regarde que la carte du 5 janvier, on peut penser que l'air froid ne circule que très nord alors qu'en réalité une masse d'air froid a traversé la latitude des Açores pour se diriger vers les latitudes inter-tropicales, donc vers l'équateur. Ce qui paraît être une barrière de hautes pressions (donc infranchissable) sur la carte du 5 janvier n'est en fait qu'une reconstitution de hautes pressions (non visible à partir de cette seule carte). L'étude historique des flux est nécessaire (J-7 à J ici). Cet exemple montre qu'il n'y a pas de rupture entre la circulation extratropicale et la circulation tropicale. En d'autres termes, la cellule de Hadley n'est pas fermée sur elle-même. Autre exemple, plus récent, montrant l'origine principale des hautes pressions : 2 janvier 2002 : http://www.wetterzentrale.de/archive/ra/20...00120020102.gif L'anticyclone des Açores se serait décalé sur la France avec sa douceur ? Remontons le temps : Le 30 décembre 2001, une descente d'air froid a lieu sur l'Europe (en plus des précédentes), il n'y a d'anticyclone que dans les parages de l'Islande et en Afrique du nord : http://www.wetterzentrale.de/archive/ra/20...00120011230.gif Dépression sur les Açores. Le 31 : http://www.wetterzentrale.de/archive/ra/20...00120011231.gif L'air froid déboule toujours sur l'Europe entre un anticyclone plus proche (Iles Britanniques) et une dépression sur la Russie occidentale. Dépression aux Açores. Le 1er janvier, le temps est franchement anticyclonique sur l'Europe occidentale, et froid en surface, froid jusqu'en Méditerranée. http://www.wetterzentrale.de/archive/ra/20...00120020101.gif Le 2, le froid gagne toute la Méditerranée et la pression s'y élève. http://www.wetterzentrale.de/archive/ra/20...00120020102.gif Les hautes pressions sont d'origine polaire (Anticyclone Mobile Polaire) et ont accompagné le froid de surface dans son déplacement vers le sud. Passé la Méditerranée, ce froid file vers l'équateur. Evidemment, en chemin, il se réchauffe. -
Mais on dirait que vous avez vraiment peur ! Cette peur est perceptible chez beaucoup de gens. Pourquoi ? Parce qu'ils ne connaissent pas les rouages du temps et la dynamique du climat (la naissance d'une dépression, la formation d'une tempête, le gonflement d'un anticyclone, etc). Parce qu'ils ne savent pas qu'un vrai réchauffement est une bonne chose, tandis qu'un refroidissement est à ne pas souhaiter (cf. Petit Age glaciaire). Le climat change, il a toujours changé. Quand je parlais du ridicule de vos prédictions, il y a 2 choses qui me choquent : 1. Les certitudes que vous affichez, 2. La précision de la prévision : 2017 pour la disparition totale de la banquise estivale Vous croyez vraiment dur comme fer à vos résultats ? Personne n'est capable de prévoir le climat des prochaines décennies. Vous citez votre objectif : "La prévision du futur doit être simultanément alarmante et crédible afin de susciter une action permettant que la prévision ne se réalise pas". Déjà, on peut s'étonner de l'absence de prévision "rassurante" (faible médiatisation ?). Il est vrai que beaucoup de prévisions sont alarmantes. On peut discuter de la crédibilité : qu'est-ce qui la détermine ? L'utilisation des modèles ? Du vôtre en particulier ? Moi aussi j'ai travaillé sur des modèles, eh bien je peux vous dire qu'ils peuvent totalement se planter. Même si la physique de départ paraît juste. Il se trouve que malheureusement, on ne sait pas tout et on ne peut pas tout modéliser. Dans le domaine du climat, la complexité des phénomènes implique d'emblée une grande humilité, en particulier dans l'utilisation des modèles et surtout dans l'interprétation de leurs résultats. Bref, revenons à votre objectif : établir une prévision crédible... La crédibilité n'est pas la justesse. Malgré cela, elle doit susciter une action permettant qu'elle ne se réalise pas... comme personne ne sait si elle va se réaliser, et que sa qualité est arbitraire, l'action en question n'est peut-être pas la bonne ! Le futur est virtuel, mais il est alarmant, donc il faut agir ?! Eh bien moi je préfère qu'on travaille et qu'on dépense des sous sur le présent qui est bien réel et qui cause parfois de gros soucis : nombreuses habitations récentes dans les zones inondables (dont personne ne parle à cause de la sécheresse), perte de la mémoire climatique (voilà pourquoi je diffuse régulièrement des chroniques sur ce forum), surpollution dans certaines villes, pollution des eaux, etc
-
Ce film est ridicule et exploite des mythes tels que la pseudo-puissance du Gulf Stream sur le climat européen et bien sûr le pseudo-réchauffement colossal qui doit nous tomber dessus. Ca ne vole pas plus haut que les Cassandre qui prévoyaient la fin du monde pour l'an 1000 ! Ce catastrophisme est fait pour faire peur aux gens dont l'ignorance est exploitée à fond. Pour ma part, je refuse de faire partie du troupeau.
-
Semaine du 09/05/05 au 15/05/05
anecdote a répondu à un sujet de florent76 dans Evolution à plus long terme
mi-mai 1996, il faisait frais près de la Manche avec une telle situation (5-10°C en journée), mais beaucoup plus chaud dans le sud-ouest (24-27°C de Clermont-Ferrand à Tarbes). C'est bien une situation à contrastes qui s'approche. -
Un weekend très frais et humide en Lorraine-Alsace
anecdote a répondu à un sujet dans Le temps en France
Aux internautes proches des Vosges : pouvez-vous signaler la neige dans les Vosges le cas échéant ? Merci -
ma foi, jt75, je n'ai pas trouvé plus chaud que ces 33.2°C en avril... en passant, on aurait battu plus de records de chaleur en avril si 2005 avait été une année bissextile !
-
1977 : 18 juin : 55 mm à Troyes 19 juin : max 15°C à Paris 7 juillet : 95 mm à Nantes 8 juillet : 100 mm à 150 mm en Gascogne, Auch (Gers) est inondée 25 juillet : max. 17°C à Paris 28 juillet : max. 18°C à Perpignan 29 juillet : max. 15.2°C à Paris, 97 mm à Privas (Ardèche) en 2 jours 17 août : 59 mm à Aurillac 20 août : max. 17.3°C à Paris 27 août : 70 mm à Privas 4 septembre : max. 15°C à Paris Le maximum de l'année 1977 est de 29°C à Paris... 1978 : 17 juin : 7.4°C à Perpignan, max. 11°C à Troyes 4 juillet : max. 19°C à Marseille, neige au-dessus de 1900 m 5 juillet : 10°C à Nîmes, max. 13°C à Brest et 14°C à Rennes 8 juillet : 6°C à Montauban 30 juillet : 67 mm à Limoges 7 août : tempête de neige en montagne, dès 1400 m ! Des flocons sont même observés jusqu'à 1100 m ! 8 août : 7.7°C à Salon-de-Provence 1979 : 2 juillet : 4.9°C à Evreux 3 juillet : 2°C à Aurillac 4 juillet : 3.7°C à Vichy 25 août : max. 13.4°C à Paris et 12°C à Rouen 28 août : 4.6°C à Dieppe 29 août : 5°C à Strasbourg 1980 : 24 juin : max. 14°C à Paris Juillet est DESASTREUX : 159 h de soleil à Paris seulement, soit environ 5 h par jour en moyenne... 1er juillet : max. 13°C à Rouen 3 juillet : 9.4°C sur l'île de Batz 8 juillet : 52 mm à Grenoble 10 juillet : max. 12°C à St Quentin (Aisne) et 13°C à Lille 13 juillet : max. 16.4°C à Paris 17 juillet : 4.2°C à Châteaudun 22 juillet : 4.3°C à Metz et 4.4°C à Clermont-Ferrand 24 août : 2.4°C à Clermont-Ferrand, 3°C à St Quentin (Aisne), 5°C à Dinard 1981 : du 26 au 29 juin : la température ne dépasse pas 14°C à Paris, atteignant un minimum de 9°C. 28 juin : journée exceptionnelle en terme de maximales : 11.9°C à Paris (!), 10°C à Aurillac, 15°C à Toulouse. 2 juillet : max. 15°C à Nantes 10 juillet : 129 mm à Lons-le-Saunier (Jura) 19 juillet : rafale de 112 km/h à Marseille 22 juillet : rafale de 137 km/h à Nancy 10 août : max. 18°C à Paris Au cours de ces 5 étés, pas de record de chaleur à l'exception de quelques stations méditerranéennes : 4 août 1979 : 37°C à Cannes et St Raphaël 4 août 1981 : 39.4°C à Istres 16 août 1981 : 36.6°C à Fréjus
-
12/05/1873 : un maximum de 10.6°C à Paris 07/05/1874 : -0.1°C à Paris-Montsouris 08/05/1902 : neige en Ile-de-France 10/05/1910 : flocons à Toulouse 15/05/1926 : pas plus de 8°C à Montélimar 17/05/1926 : 50 cm de neige à St Flour (Auvergne) 10/05/1928 : 3 cm de neige à Belfort 18/05/1935 : 2 cm de neige à Paris ! (chute la plus tardive) et 20 cm à Lisieux (Calvados) 02/05/1938 : -2°C à Montélimar, -4°C à Lyon 01/05/1945 : 6 cm de neige à Paris ! et -2.7°C à Poitiers, -2°C à Nantes et Besançon, -1°C à Rennes. Tout ceci au cours d’un des printemps les plus chauds du siècle (30°C à Paris le 10 mai !). 02/05/1947 : un maximum de 8°C à Rennes 01/05/1949 : un maximum de 9°C à Perpignan 03/05/1949 : 0.8°C à Nîmes 11/05/1949 : -5.6°C à Luxeuil lors d’un jour sans dégel ! 05/05/1950 : -1.6°C à Trappes (Yvelines) 02/05/1951 : 3.4°C sur l’île de Batz (Bretagne) 08/05/1951 : un maximum de 8°C à Poitiers 18/05/1951 : coup de froid au sud, de nombreuses gelées blanches. 11/05/1953 : -2.4°C à Strasbourg, -7°C dans la plaine du Forez ; les gelées anéantissent les vignobles du Beaujolais et ceux du nord-est du pays. Fin de mois quasi-hivernale. 12/05/1955 : -3°C à Rouen et Alençon 21/05/1955 : -2.4°C à Metz et neige fondue en Normandie 23/05/1955 : gelées dévastatrices dans la Sarthe 01/05/1956 : un maximum de 7°C à Strasbourg 06/05/1957 : -3.5°C à Troyes, -2°C au Bourget, giboulées de neige en plaine sur le nord et le nord-est. Les vignes champenoises sont très endommagées. 07/05/1957 : -5°C à Nevers, -3.7°C au Mans, -3°C à Orléans, -1.3°C à Orly, 5°C à Nice. 08/05/1957 : un maximum de 11°C à Ajaccio 01/05/1960 : 0°C à Marignane et au Luc (Var), -1°C à Toulouse, -1.6°C à Agen. 02/05/1960 : -0.1°C à Pau, 3°C à Ajaccio 03/05/1960 : -4.2°C à Nancy 29/05/1961 : 4.3°C à Paris-Montsouris, neige à Evian, -5°C enregistrés dans le Morvan, et -8°C dans la Creuse. 02/05/1962 : 0°C à Dieppe 26/05/1962 : pas plus de 10°C sur le nord du pays 23/05/1963 : pas plus de 10°C à Paris 29/05/1963 : un maximum de 9°C à Boulogne-sur-mer 28/05/1965 : un maximum de 11.3°C à Paris 03/05/1967 : -2.3°C à Lille, -1.1°C à Lorient. 04/05/1967 : -1.8°C à Montélimar 01/05/1970 : 3.1°C à Bastia 13/05/1972 : un maximum de 9°C à Bordeaux 17/05/1972 : un maximum de 10°C à Paris 06/05/1974 : un maximum de 6°C à Nancy 08/05/1974 : -0.5°C à Bordeaux 24/05/1975 : un maximum de 11.4°C à Paris 01/05/1976 : -4°C à Clermont-Ferrand et St Etienne, -2°C à Grenoble 04/05/1977 : 16 cm de neige au Puy-en-Velay (Haute-Loire, alt. 700 m), pas plus de 7°C à Orléans. 05/05/1977 : 2.4°C à Perpignan 25/05/1978 : pas plus de 11°C à Paris 02/05/1979 : pluies verglaçantes à Metz 03/05/1979 : -1°C à Nantes et Limoges, des maxima de 6°C à Rouen et 7°C à Paris, des flocons à Lyon. 04/05/1979 : 1.3°C à Orange 05/05/1979 : -3°C à Aurillac, -2°C à Mont-de-Marsan 06/05/1979 : 1.1°C à St Raphaël 07/05/1979 : -0.2°C à Dinard, 0°C à Brest, -2°C à St Quentin (Aisne). 02/05/1981 : un maximum de 7°C à Alençon 03/05/1981 : -2.2°C au Touquet et à Rouen 08/05/1982 : pas plus de 7°C à St Quentin (Aisne) 10/05/1982 : 0°C à Cognac 20/05/1983 : un maximum de 10°C à Biarritz 23-25/05/1983 : 59 cm de neige en 48 h à Villard-de-Lans (Vercors, alt. 1050 m). Mai 1984 est, au Bourget, le 2ème mois de mai le plus froid du siècle après celui de 1902. 01/05/1984 : -2°C à Troyes 11/05/1984 : pas plus de 8.4°C à Paris 16/05/1984 : pas plus de 12°C à Nice 29/05/1984 : pas plus de 9°C à Paris A noter que le froid se poursuit début juin 1984, avec une tempête de neige dans les Alpes dès 500 m d’altitude le 4 juin. 06/05/1985 : 4.2°C à Sète (Hérault), des maxima de 2°C à Aurillac et de 5°C à Limoges. 11/05/1985 : pas plus de 11°C à Marseille 04/05/1987 : des maxima de 4°C à Grenoble, 5°C à Clermont-Ferrand, 6°C à Lyon et Besançon, 7°C à Nevers. 05/05/1987 : pas plus de 7°C à Toulouse 08/05/1987 : 0.5°C à Auch (Gers) 14/05/1987 : pas plus de 10°C à Paris 23/05/1987 : 0.9°C à l’aéroport de Lyon (Lyon-Satolas, situé dans les « terres froides ») 31/05/1989 : -0.7°C au Touquet après un mois de mai estival, très chaud et ensoleillé. 04/05/1991 : pas plus de 9°C à Nantes 05/05/1991 : -3.2°C à Embrun 06/05/1991 : pas plus de 9°C à Paris 18/05/1991 : -4.4°C à Charleville-Mézières 27/05/1994 : pas plus de 12°C à Reims 12/05/1995 : un maximum de 10.6°C à Paris 14/05/1995 : -1°C à St Nazaire et 3°C à Biarritz 15/05/1995 : -0.5°C à Brive-la-Gaillarde Du 9 au 14 mai 1996 inclus : pas plus de 11°C à Clermont-Ferrand 13/05/1996 : 0°C à Valognes (Cotentin) 15/05/1996 : pas plus de 11°C à Paris 16/05/1996 : 5°C à Rouen à 13h00 sous la pluie contre 27°C à Pau sous le soleil à la même heure ! 18/05/1996 : pas plus de 8°C à Brest 07/05/1997 : 5 cm de neige à Tours, et un maximum de 8°C à Paris. Début mai 2002 : fraîcheur et neige en montagne au-dessus de 1000 m (Villard-de-Lans, Vercors, alt. 1050 m, est ainsi blanchie). 06/05/2003 : pas plus de 11°C à Tarbes et de 12°C à Toulouse contre 31°C à Marseille et 34°C à Ajaccio (record mensuel) ! 23/05/2004 : 0°C à Luxeuil 24/05/2004 : 1°C à Nancy
-
fortes pluies en ce moment sur Paris (je suis trempé après avoir couru 100 m !), quelques éclairs, plafond très bas. 19:03 : TRES fortes pluies !
-
oui j'ai des chiffres là-dessus, ça vous intéresserait que je les mette en ligne ?
-
Semaine du 09/05/05 au 15/05/05
anecdote a répondu à un sujet de florent76 dans Evolution à plus long terme
Très bientôt, sur le forum Climatologie, la chronique des extrêmes de froid en mai en France. /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">