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Florent >> en IDF, le ciel se couvre de + en +, je pense que les orages auront lieu avant 16h00. Le temps ne se déroule vraiment pas comme prévu !
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Suivi orages du vendredi 3 juin au samedi 4 juin
anecdote a répondu à un sujet dans Le temps en France
Ici dans les Yvelines, le ciel est de plus en plus menaçant, et il fait plutôt... frais ! On est loin des 29°C annoncés. Le front froid semble plus vigoureux et plus rapide que prévu. 11:40 : ça y est, première averse et premier coup de tonnerre ! -
oui c.c.incus, et tu vas bondir : le mistral devrait revenir en force la semaine prochaine !
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Semaine du 06/06/05 au 12/06/05.
anecdote a répondu à un sujet de florent76 dans Evolution à plus long terme
Mt Aigoual 34 >> depuis toujours, les températures jouent au yo-yo... Etudie l'histoire du climat, tu verras -
10 gestes pour le climat
anecdote a répondu à un sujet de altocumulus24 dans Expositions, conférences, évènements
Quant à nos petits-enfants, ils pourront penser : "Mais qu'est-ce qu'ils ont fait à dépenser autant d'argent sur l'effet de serre alors qu'il y avait des problèmes environnementaux plus urgents ?" T'en sait rien, personne n'en sait rien. Les certitudes proclamées sont prétentieuses dans ce domaine... -
"Les pluies spectaculaires résultent généralement des trombes ou tornades qui aspirent ici et là des objets, des insectes ou de petits animaux. Transportés à haute altitude par les vents, ces objets, insectes, animaux retombent ailleurs. Une soixantaine d'années ont passé, et M. Pierre Allignol, habitant au Teil, petite ville du département de l'Ardèche, n'a pas oublié : "J'ai été témoin d'un orage et de pluie de batraciens (crapauds et grenouilles), de couleur grise et de la grosseur d'un pouce. Je devais avoir une dizaine d'années. Avec mes camarades, nous avons ramassé des pleins seaux au Teil." Le 19 avril 1889, sous un ciel nuageux et par vent nul, des feuilles séchées tombèrent près de la Loire. Le 9 mai 1867, une énorme pluie de noisettes tomba sur Dublin, en Irlande, si nombreuses que les forces de police, pourtant bien abritées par un casque, durent se protéger de ce mitraillage venu du ciel. Des pluies de fourmis ici, de sangsues là, de vers de terre, de têtards ou de moustiques, c'est tout un bric-à-brac minuscule et varié qui peut atterrir sur nos têtes à l'occasion de ces pluies peu ordinaires." source : "Question de temps" de René Chaboud, éditions Nathan, 1993
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10 gestes pour le climat
anecdote a répondu à un sujet de altocumulus24 dans Expositions, conférences, évènements
Je n'ai pas dit qu'il ne fallait rien faire pour l'environnement. J'ai dit qu'il faut pour le moment DECOUPLER les problèmes environnementaux (réels et bien définis) d'une évolution climatique planétaire mal cernée et imprévisible. Du fait des lacunes béantes des connaissances sur le climat, celui-ci doit rester du domaine de la recherche (recherche physique et historique). Ce que je dénonce, c'est l'exploitation abusive et prématurée des conclusions des modèles (trop peu fiables) pour lancer un message politique. En résumé, je dénonce l'abus du principe de précaution, lequel abus impose autoritairement un frein aux économies, ce qui est grave. La réaction de précaution est disproportionnée par rapport aux incertitudes réelles pesant sur le diagnostic du climat et les prévisions des modèles. -
Vigilance Météo France
anecdote a répondu à un sujet de Thundik81 dans Météo, environnement et société
OK pour mettre un niveau de vigilance en plus (échelle de 5). OK avec toi pour dire qu'on ne parle que d'un niveau de vigilance (orange). OK pour les couleurs proposées en fonction du département et de l'intensité ; la météo doit être DECENTRALISEE , il ne faut pas que les prévisionnistes départementaux attendent l'avis de Toulouse pour déclencher une vigilance sur leur département ! J'ajoute que les prévisionnistes départementaux sont mieux placés, souvent très compétents, comme Jean-Jacques Thillet, prévi à Chamonix, qui a écrit un livre, "La météo de montagne", un livre de vulgarisation incontournable pour les amateurs (avec des exemples de situation, des témoignages d'autres météorologues départementaux à Nice, Ajaccio, etc). En tous cas ce livre m'a passionné (il est paru en 1997, mais je l'ai vu encore en vente aujourd'hui). -
Semaine du 06/06/05 au 12/06/05.
anecdote a répondu à un sujet de florent76 dans Evolution à plus long terme
39°C à Biarritz le 30 juin 1968 -
Les jets baladeurs n'expliquent pas les mouvements atmosphériques, ce sont les AMP qui permettent de comprendre la dynamique tu temps et donc du climat.
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Semaine du 06/06/05 au 12/06/05.
anecdote a répondu à un sujet de florent76 dans Evolution à plus long terme
La sécheresse perdure et va s'accentuer, surtout dans l'ouest du pays qui, comme la plupart des régions, va "subir" un flux d'Est très sec, d'abord un peu frais, puis moins soutenu et plus chaud, sous un soleil radieux. Pensez à ne pas trop gaspiller l'eau dans l'ouest ! /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> -
10 gestes pour le climat
anecdote a répondu à un sujet de altocumulus24 dans Expositions, conférences, évènements
C'est n'importe quoi tes certitudes, Damien, tu es une des nombreuses victimes du GIEC. Libre à toi de gober toutes leurs salades de catastrophes. Moi je préfère l'histoire du climat, ça permet de relativiser complètement. Ceux qui ont peur sont en général ceux qui ne connaissent pas l'histoire du climat. -
Commentaire envoyé à la revue La Météorologie COMMENTAIRE sur « La galerne du Golfe de Gascogne » de E. Arasti, P. David, J.S.M. Gonzalez et C. Deyts (La Météorologie, 8ème série n° 37, mai 2002, 35-45) Marcel Leroux, Professeur, Directeur du LCRE : Laboratoire de Climatologie, Risques, Environnement UMR 5600 du CNRS, 18, rue Chevreul, 69362 Lyon cedex 07 e-mail : leroux@univ-lyon3.fr L'article a le mérite d'attirer l'attention sur un phénomène météorologique particulièrement violent et dangereux dans le golfe de Gascogne et sur son pourtour. Sont ainsi précisés les caractères et la climatologie succincte des galernes, tandis qu'une situation (celle du 25 juillet 1995) est présentée en exemple. Mais cet article manque singulièrement de perspective, n'offrant qu'une vision très partielle du phénomène, le facteur local étant exagérément amplifié, comme en témoigne notamment la figure 6, tandis que la cause première (lointaine) du déclenchement de la perturbation n'est pas individualisée. Le terme galerne, issu du vocabulaire marin (du breton : gwalarn qui signifie nord-ouest ou noroît) est utilisé en France et précise la direction du "coup de vent". Il est aussi transformé en galerna sur le littoral espagnol bien que d'autres termes locaux (p. 36) soient préférés, décrivant plutôt une des caractéristiques du temps associé à ce phénomène. Sur la côte cantabrique existe une véritable "culture du vent" (J.C. Garcia Codron, comm. pers.). Le terme sur (sud) désigne le courant qui dévale du relief vers la côte (effet foehn), à l'avant des "perturbations atlantiques", attiré vers le nord par la dépression qui précède le front, son intervention provoquant un saut de température de 8 à 15 °C et une baisse d'humidité de 30 à 40 % en moyenne, en une ou deux heures. Le sur , appelé aussi haïze hegoa au Pays Basque, ou vent d'Espagne, le célèbre "vent qui vient à travers la montagne" (qui, dit-on, rend fou), ressemble ainsi au chergui du Maroc atlantique, au chhili (scirocco ) au pied méditerranéen de l'Atlas, ou au bergwind d'Afrique australe (les exemples de "foehns" littoraux sont très nombreux). Le terme gallego (galicien ou vent de Galice, d'ouest à nord-ouest) suit le passage des perturbations d'ouest accompagnées de tempêtes et de pluies et traduit l'invasion d'air polaire. La galerna associe le flux de sud et le flux de nord, de part et d'autre du front (d'où l'appellation de "galerne frontale"), mais la perturbation, qui n'est pas différente dans sa nature du passage d'un front, l'est dans son intensité, et elle est plus concentrée dans le temps et dans l'espace. Les caractéristiques d'une galerne, telles qu'elles sont notamment rappelées dans l'article, sont : - "phénomène de basses couches" (p. 40), affectant principalement les 1 500 premiers mètres, - "rotation brutale du vent" et renforcement (p. 38), un coup de vent brutal et violent accompagne le renversement du vent en surface, du sud (chaud) à l'ouest ou au nord-ouest (froid), les flux étant séparés par une discontinuité, - accroissement de la nébulosité et pluies (brutales) éventuelles, le flux de sud n'ayant d'abord qu'un potentiel précipitable limité, - chute brutale de la température, et hausse de pression, après le passage de la perturbation, - déplacement -rapide- d'ouest en est, avec ralentissement et atténuation des phénomènes associés vers le nord et vers l'est en pénétrant sur le bassin aquitain. La situation -à l'échelle locale- est donc claire, à la lumière de nombreux cas analysés par ailleurs. L'interprétation qui en est donnée dans l'article est par contre entachée d'incohérences (inattendues lorsqu'il s'agit de principes physiques élémentaires). Soulignons les principales : - Courant de densité ? : La galerne serait : "un courant de densité ... engendré par l'interaction de conditions synoptiques particulières avec le relief et les contrastes thermiques du sol. Ce courant de densité est une masse d'air frais, donc relativement dense, qui déferle le long du relief ..." (p. 38). Les "conditions synoptiques particulières" ne sont pas précisées, notamment sur la figure 6 limitée à l'échelon local. La galerne est ici assimilée à un vent catabatique, donc à une sorte de bora, invasion puissante d'air froid qui nécessite un abondant réservoir d'air froid en amont (indigène ou le plus souvent advecté) que les Monts Cantabriques (et moins encore la Meseta isolée du rivage par les cordillères cantabrique et ibérique), peu élevés et peu étendus, sont incapables de fournir, sauf sous la forme limitée d'une brise de montagne momentanée (rappelons le caractère pelliculaire de la perturbation, inférieure à 1 500 m). Les figures 2 et 3 (p. 37) montrent par ailleurs que la galerne se produit vers 15 heures, en été ! D'où viendrait alors l'air froid ? (la question n'est pas posée). Dans l'exemple étudié et à l'heure considérée le présumé "courant" serait d'ailleurs à contre-courant de la brise de mer ... brise qui ne pourrait s'établir qu'en dehors de l'intervention d'un phénomène d'échelle supérieure : quel est alors ce phénomène ? Est-il encore nécessaire de rappeler qu'un flux descendant (surtout s'il "déferle") se réchauffe (il ne peut donc pas être "frais") et il est par conséquent léger (et ne peut donc pas être"dense") ? - Déplacement d'ouest en est ? : "La baisse de pression sur l'est ... doit également contribuer à provoquer au niveau du sol un vent d'ouest .." (p. 39). Mais pour quelle raison physique y-a-t-il "baisse de pression" ? ... à l'est ? Et pourquoi est-elle mobile ? Cette baisse est-elle une cause ou une conséquence d'un facteur qui n'est pas individualisé ? La figure 6 suggère que l'air descendant atteint le pied du relief et s'intercale entre celui-ci et l'air atlantique frais ... Deux questions se posent alors : - 1. si l'air était "vraiment" froid et dense (cf. "masse d'air frais", p. 38 ligne 32, et "effet de foehn sous le vent", p. 39 ligne 5), il s'étalerait sur l'océan à partir des Monts Cantabriques (affaiblis à l'est par l'ensellement basque) et provoquerait un front le long duquel serait soulevé l'air marin, qui se propagerait vers le nord, vers l'est, mais aussi vers l'ouest ... - 2. si l'air est chaud, il ne peut alors atteindre le niveau surface et demeure au-dessus de l'air atlantique plus frais ... L'origine de la baisse de pression au sol n'est donc pas précisée (elle ne peut pas être d'origine thermique sur l'océan) et aucune réponse n'est donc donnée sur les raisons du déplacement d'ouest en est. - Discontinuité de vent ? : Une différenciation est faite entre la "galerne frontale" et la "galerne typique", qui "ne peut pas être associée à un passage de front" (p. 38). Cette distinction est-elle fondée, et à quoi est donc associée la discontinuité (mobile) de vent ? Même si on l'appelle "microfront" (p. 40), n'est-ce pas toujours un "front" ? - Une inversion ? : La figure 6 évoque l'existence d'une "inversion" : quelle est la nature de cette inversion ? Quelle en est l'origine réelle (une stratification ?) ? Existe-t-elle en mer, et peut-elle suivre la pente du relief ? Ainsi, "l'explication scientifique avancée pour la genèse de la galerne" (p. 46) apparaît totalement illogique, non conforme aux principes physiques élémentaires, et "l'utilisation d'un modèle numérique" (p. 45) fondé sur une argumentation aussi incohérente a très peu de chance d'aboutir. __________________________________________________ Cette partie ci-dessous (en retrait) accompagnait la 1ère version du commentaire : elle fait référence à l'AMP (qui explique aisément la galerne). Je l'ai supprimée dans la deuxième version dans laquelle le terme AMP n'apparaît pas. L'observation des phénomènes au moyen des cartes synoptiques et des clichés satellitaux met en évidence la spécificité du temps dans le Golfe de Gascogne caractérisée par : - La géographie : L'alignement Cantabriques-Pyrénées, affaibli dans l'ensellement du Pays Basque, est grossièrement orienté ouest-est. Moins élevée à l'ouest qu'à l'est dans les Pyrénées, cette dorsale orographique prolongée par la chaîne Celtibérique isole du Golfe de Gascogne et de l'Aquitaine la Meseta (plateau) et la dépression ibérique (vallée de l'Ebre). En dépit de sa relative modestie l'altitude est dans la majorité des cas supérieure à l'épaisseur des AMP (de l'ordre de 1 000 à 1 500 mètres) et forme ainsi une barrière (quasi) continue que l'air froid ne peut franchir. - La dynamique aérologique : Les AMP (Anticyclones Mobiles Polaires) parviennent dans le Golfe de Gascogne en suivant deux trajectoires principales, d'ouest ou de nord. Dans les deux cas l'air froid, dense, ne peut que contourner le relief vers le sud, par l'ouest ou par l'est. Toutefois, lors du passage au niveau du Pays Basque, lorsque l'AMP est de forte épaisseur (généralement en hiver), la partie supérieure de l'AMP (supérieure à 1 000 mètres) se déverse dans la vallée de l'Ebre pour alimenter le puissant cierzo. Les modalités de l'interférence entre l'AMP et le relief déterminent la part plus ou moins importante de l'AMP qui est, soit contenue au nord de l'alignement sur le Golfe en direction de l'Aquitaine, puis vers la Méditerranée, soit déviée sur l'Atlantique, ou sur l'ouest de la péninsule (dont l'accès est malaisé en raison de l'altitude). Un tel exemple de coupure des AMP est offert par le plateau sud-africain ourlé par le Grand Escarpement qui répartit l'écoulement de l'air froid dans les basses couches entre les océans Atlantique et Indien. * La trajectoire américano-atlantique des AMP, la plus fréquente, de direction générale zonale, est grossièrement de même orientation que la dorsale orographique : la face avant de l'AMP (front) glisse ainsi relativement aisément vers l'est, faisant alterner baisse de pression et attraction du flux de sud (sur) et hausse de pression accompagnant le flux d'ouest (galleco). Tel a été le cas le 25 juillet 1995 : la "galerne typique", réputée sans front (p. 40), est incontestablement associée à la face avant (front) de la partie nord d'un AMP, qu'on suit aisément à travers l'Atlantique les 23 et 24 (cf. BME) et qui est découpé par le relief galicien le 25 au matin ; le front de ce fragment d'AMP traverse tout le Golfe au cours de la journée du 25, il se trouve sur l'Aquitaine en fin de journée, tandis que l'air qui le propulse vers l'est atteint la Méditerranée dans la journée du 26. La rapidité du déplacement de la face avant de l'AMP (front), canalisée au pied du relief, est une caractéristique de cette perturbation. La galerne du 13 mai 2002 est exactement du même type, associée à un AMP de trajectoire identique, mais plus étendu, une part plus importante de l'AMP étant retenue au nord du relief, ce qui explique que "l'extension du phénomène" vers le nord sur la côte française ait été jugée "extrêmement rare" (cf. site Météo-France). * La trajectoire scandinave (méridienne directe), moins fréquente mais plus puissante (AMP plus récent), heurte de plein fouet la dorsale qui divise en deux branches et dévie l'écoulement de l'air polaire vers l'Atlantique et vers l'Aquitaine. Une divergence marquée se situe alors au voisinage du cap Peñas, entre les deux branches d'air polaire. L'interférence avec le relief est ici plus brutale, les flux sont accélérés et les phénomènes associés sont plus intenses. Ainsi, comme la grande majorité des phénomènes météorologiques de nos latitudes, la galerne n'est pas d'origine locale, mais elle résulte de l'interférence entre des facteurs géographiques régionaux voire locaux, et des facteurs aérologiques d'une toute autre échelle, d'origine lointaine, associés à la dynamique des Anticyclones Mobiles Polaires (AMP). Le passage de la face avant de l'AMP (ou d'un fragment) explique le caractère pelliculaire de l'air froid et du front, l'existence de l'inversion qui correspond au sommet de l'AMP, la grande mobilité, les variations rapides de température, d'humidité, de pression, de direction du vent, de mouvements verticaux, voire de nébulosité et de pluie. Phénomène dangereux aux conséquences souvent dramatiques, il est éminemment souhaitable de la prévoir. Mais ce n'est pas en prétendant "qu'une prévision immédiate des galernes est maintenant possible" (p. 35), alors que "la situation synoptique favorable" n'est même pas encore identifiée dans l'article, et surtout pas en espérant que la solution "sortira" d'un "modèle numérique" (p. 45) fondé sur des concepts erronés, que des catastrophes nouvelles pourront être évitées. ___________________________________________________________________________ Ci-dessous la conclusion de la 2ème version - écourtée - adressée à la SMF : En résumé, comme la grande majorité des phénomènes météorologiques de nos latitudes, la galerne n'est pas d'origine locale, mais elle résulte de l'interférence entre des facteurs géographiques régionaux voire locaux, et des facteurs aérologiques d'une toute autre échelle, d'origine lointaine. Le passage d'une perturbation de l'échelle synoptique (ou d'un fragment) explique le caractère pelliculaire de l'air froid et du front, l'existence de l'inversion, la grande mobilité, les variations rapides de température, d'humidité, de pression, de direction du vent, de mouvements verticaux, voire de nébulosité et de pluie. Phénomène dangereux aux conséquences souvent dramatiques, il est éminemment souhaitable de la prévoir. Mais ce n'est pas en prétendant "qu'une prévision immédiate des galernes est maintenant possible" (p. 35), alors que "la situation synoptique favorable" n'est même pas encore identifiée dans l'article, et surtout pas en espérant que la solution "sortira" d'un "modèle numérique" (p. 45) fondé sur des concepts erronés, que des catastrophes nouvelles pourront être évitées.
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10 gestes pour le climat
anecdote a répondu à un sujet de altocumulus24 dans Expositions, conférences, évènements
OK pour la démarche mais faut arrêter de dire que le climat est en danger, c'est abusif. -
Semaine du 06/06/05 au 12/06/05.
anecdote a répondu à un sujet de florent76 dans Evolution à plus long terme
Ce que j'aime bien, c'est que Florent nous annonce souvent que les gros contrastes thermiques seront séparés par de violents épisodes orageux, or il n'en est rien. Pour Florent, le temps ne semble aller que d'un extrême à l'autre... -
Quelle est la marge d'erreur sur la détermination d'une telle date svp ?
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Sécheresse 05. Situation générale et suivi.
anecdote a répondu à un sujet de Jean-Michel10 dans Climatologie
1er novembre --> 28 mai : 458 mm au Mont Aigoual (moyenne : 1171 mm) -
Hum ! Florent, ne parlons pas des violentes averses de grêle qui devaient se produire...
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Il y a qd même bcp de posts qui parlent du GS sur ce forum, mais non on a toujours des messages d'internautes effrayés... J'invite ceux-là à se renseigner sur le sujet avant de crier "Hou j'ai peur", car ça devient fatigant.
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Puisque de plus en plus d'internautes s'y mettent, voici mes prévisions pour juin : Je pense que le mois de juin 2005 pourra être caractérisé par quelques bonnes vagues de chaleur avec de probables dégradations orageuses, lesquelles seront suivies de périodes plus fraîches et plus sèches. Les températures moyennes devraient être globalement agréables et les jours longs permettront de profiter de bonnes soirées. Naturellement, ces prévisions ne sont pas à prendre au pied de la lettre, disons qu'elles ont 60 % de chances de se réaliser, à mon avis. RDV dans un mois pour les prévisions de juillet.
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Attention aux orages dimanche 29 !
anecdote a répondu à un sujet de pattenrond dans Prévisions à court et moyen terme
Une période de forte chaleur n'est pas forcément suivie de gros et nombreux orages. Le temps peut se rafraîchir sensiblement sans qu'il y ait de précipitations ! Le problème des prévisions de Florent est qu'elles envisagent trop souvent le caractère extrême d'une situation. Si risque d'orage il y a, on peut en effet envisager de la grêle, des tornades, etc, mais il faut au moins préciser la probabilité ! Sinon on glisse dans le sensationnel... -
Top : Joël Collado Nul : Patrice Drevet
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c. c. incus >> lis l'histoire du climat, tu apprendras que celui-ci est toujours fait d'extrêmes.
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chez moi on a eu 62.9°C avec un bond étrange à 92.2°C quand j'ai mis la quiche au four : avez-vous une explication ?
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Alors que la canicule s'apprête à envahir la France, les températures sont toujours aussi élevées en Russie occidentale. Voici quelques maxi d'hier : 32°C à Moscou (plus qu'au Caire (30°C)) 28°C à St Pétersbourg Un 30°C a été relevé à 62°N, à environ 500 km au sud du Cercle Polaire Arctique. Les maxi ont dépassé 25°C dans le sud de la Finlande, les pays baltes, l'Ukraine, la Russie occidentale pratiquement jusqu'à la chaîne de l'Oural et presque jusqu'à l'Océan Arctique. Cette zone chaude est grande comme 6 fois la France (sans compter le Kazakhstan) : http://www.uni-koeln.de/math-nat-fak/geome...TTmaxeuropa.gif