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Gardois-30210

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  1. Bonjour à tous, Au delà de la question de la responsabilité de MF, je m’interroge en voyant ce cas sur ce qui a bien pu se passer dans les deux préfectures de Corse entre 6h et 8h du matin, et si, dans le cas d’espèce, les équipes étaient prêtes à être mobilisées suffisamment rapidement pour assurer une alerte de qualité. Quelles ont été les initiatives des deux préfets, quels ont été leurs degrés de maîtrise du danger qui approchait, quels ont été leurs échanges avec les équipes de MF ? Ont-ils eu la capacité d’activer les mécanismes traditionnels d’alerte (Réveiller les maires, appeler les campings) ? L’auraient-ils eue avec une information plus précise ? En résumé, j’ai quand même l’impression que l’absence de vigilance orange « classique » la veille fait que les services de l’Etat, qui ont l’habitude de constituer des cellules de suivi, se sont retrouvés à poil au moment critique. Et qu’une alerte plus rapide n’aurait pas nécessairement changé grand chose. Sur la question du Cell Broadcast, le dispositif est toujours alléchant sur le papier. Sa mise en œuvre sera plus complexe, et l’épisode de ce matin nous montre des failles potentielles. D’une part, le dispositif demeure lié à une double décision, chez MF et en préfecture. N’est-ce pas trop lourd au regard de l’importance de la moindre minute lors de ces événements ? Aussi, cela rappelle le risque d’alerte trop tardive en cas de mauvaise appréciation d’une des parties (ou des deux). Enfin, je me questionne sur les seuils de déclenchement de ces dispositifs. Doit-on réserver l’outil aux cas de force majeure, par définition extrêmement rares, quitte à passer à côté de certains événements potentiellement mortels, et à parfois retarder le déclenchement de l’alerte, le temps que les remontées de terrain confirment la nécessité de prévenir d’urgence les populations ? Ou bien, a contrario, ne faudrait-il pas rendre le dispositif plus fréquent, quitte à ce que l’habitude fasse que les citoyens ne les prennent plus en compte après une ou deux fausses alarmes ? Certains évoquaient les envois automatiques d’alarmes par SMS pour le compte d’assureurs. C’est fin, précis, mais on se désintéresse des messages après plusieurs occurrences. Pour en revenir au cas du jour, cette question du seul d’appréciation est déterminante. Aurait-il fallu lancer l’alerte dès 7h suite à la signature radar de la bête, quitte à prendre le risque que l’orage s’avère moins intense que craint ? Ou plutôt à partir du moment où les premiers relevés anémomètres montraient le caractère dangereux de l’orage, vers 8h ? Ou bien une demi-heure plus tard, avec les premiers dégâts, la fameuse rafale à 224km/h, mais un phénomène déjà en train de s’évacuer ? La complexité de ces choix rappelle le fait que le Cell Broadcast n’est pas une solution miracle pour ces phénomènes orageux, dans la mesure où la dangerosité pour les populations est variable, où un phénomène en cours peut soudainement s’emballer comme s’eteindre et où la mise à l’abri + arrêt de toute activité n’est pas le réflexe naturel des populations par ici. Contrairement au modèle américain, où l’imminence d’une tornade laisse bien moins d’imagination à ceux qui voudraient courir le risque de continuer leur activité, et bien moins de frustration en cas de fausse alarme.
  2. Les discussions par ici sont vraiment intéressantes. Le cas présent est, il faut dire, particulièrement révélateur de la complexité de l'alerte en France. D'abord, il ne faut pas oublier que le risque inondation dans nos régions du sud est ce qui est le plus difficile à prévoir. On a eu les runs d'Arome concernant l'épisode de la semaine dernière pour nous rappeler que les sorties brutes correspondent rarement au cocktail final. Même lorsque l'évènement se met en place comme dimanche en soirée, suscitant les plus vives inquiétudes de certains lors du suivi live, on n'est jamais à l'abri que la mécanique "capote" quelques dizaines de minutes plus tard. Ce risque permanent de la fausse alerte est le cœur du problème, quel que soit le système d'alerte que l'on évoque. Dans le cas de la vigilance de Meteo France, si on se met à avoir un 5e niveau de vigilance ou bien des vigilances rouges de prévision déclenchées plus facilement, on va irrémédiablement se retrouver à terme avec les comportements actuels, à savoir la banalisation au fil des fausses alertes et la perte d’intérêt des populations concernées. Sur l'épisode de cette semaine, il est de toute manière évident que le déclenchement tardif de la vigilance rouge n'a pas eu un impact significatif. Même en fin de soirée (23h/minuit, l'horaire à partir duquel un déclenchement aurait été rétrospectivement possible), les populations n'auraient pas été averties. Le dimanche soir, passé 20h30, c'est fini. Cependant, si on en croit les échos de presse, MF aurait pris la décision de passer en rouge entre 4/5h. Même si ça ne me semble aucunement en cause, il faudra questionner la réactivité des prévisionnistes sur ce type d'épisode. Ont-ils manqué de retours du terrain ? Dans ce cas, ça pourrait être le rôle du préfet sur la base des retours du terrain de forcer le déclenchement. Ou bien est-ce la complexité administrative et les conséquences d'un tel déclenchement qui ferait que les prévisionnistes soient très frileux à balancer le rouge ? (sur les cas précédents pour des phénomènes similaires notamment en 2014, on a eu des passages au rouge très tardifs également, alors que le gros de l'épisode était déjà joué). Dans ca cas, il faudrait offrir un moyen aux prévisionnistes d'activer plus rapidement des canaux d'alerte. On pourrait ainsi imaginer que MF ait la possibilité de communiquer sur une vigilance rouge sans que cela force la préfecture à mettre en œuvre l'ensemble des moyens immédiatement. La complexité pour MF dans le lancement des vigi rouges est d'autant plus absurde que dans le même temps, Vigicrue peut lancer à tout moment le seuil rouge sur un cours d'eau, provoquant aux yeux des médias et du grand public les exacts mêmes effets. L'Aude était toute la journée en vigilance rouge aux yeux du quidam alors que le risque était contenu, mais en vigilance orange au moment où les victimes périssaient. La véritable question à se poser sur la gestion de cette crise, et qui le sera à coup sur lors du retour d'expérience, c'est quel a été le comportement du préfet durant la nuit. Les maires ont-ils été prévenus ? Le seul moyen de sauver des vies aurait été de réveiller les maires à 1-2h du matin. Ce sont les acteurs les plus à même de juger, à l'aide de l'outil radar, de la nécessité ou non de lancer l'alerte localement. Mais aucun plan ne semble exister. Dans notre cas, le tocsin de l'église aurait peut-être permis de réveiller les quelques personnes décédées dans leur sommeil avant que l'eau ne soit trop haute. Cependant, même en réveillant le village, une mise en sécurité des personnes sans le moindre protocole ni le moindre appui extérieur en pleine nuit sous un orage diluvien est un exercice périlleux non sans risque pour ces populations pourtant bien alertées. Le témoignage du maire de Trèbes semble par ailleurs tendre vers le fait que les acteurs de terrain n'ont même pas eu à être réveillés. Comme c'est souvent le cas lors de ce type d'évènement, nul doute que l'achat de systèmes de sirènes et de porte-voix sera à l'ordre du jour des prochains conseils municipaux des communes sinistrées. La gestion de crise de la préfecture sera donc jugée sur sa capacité à mobiliser rapidement des moyens de secours. Les prévisions alarmistes d'Arome en fin de soirée ont-elles entrainé une sur-mobilisation préventive sur ordre du Préfet ? Le déploiement des secours a-t-il été efficient ? Je n'ai pas la réponse à ces questions et il faudra attendre les fameux retours d'expérience pour se faire une idée. Pour terminer sur l'alerte, je tiens à revenir sur le parallèle fait avec les systèmes américains de Tornado Warnigs évoqués quelques pages plus tôt. Il me semble qu'il y a une chose de radicalement différente qui change tout : la nature du phénomène. Après tout, c'est très simple pour une tornade. On sait s'il y a un risque, et on sait si il y a une tornade. N'importe qui peut alors prévenir et a conscience du danger. Lorsque on observe une tornade, on sait qu'elle génèrera au minimum des dégâts justifiant de l'utilité de l'alerte auprès des populations. Sur un phénomène orageux où le danger vient du cumul de précipitations, il est bien plus délicat de mettre en place des procédés d'alerte lorsque le phénomène est en cours. On ne sait jamais quel sera l'impact exact d'une cellule orageuse naissante sur un territoire, l'observation au sol et celle du radar séparées ne suffisent pas à juger du danger, et surtout, on ne sait pas quel sera le futur proche de l'évènement. Bref, le risque ici est d'avoir un nombre trop important de fausses alertes, et l'on en revient au problème de base. Cependant, l'idée d'utiliser le réseau cellulaire pour communiquer est une excellente idée. Cela pourrait également permettre de transmettre des consignes précises lors d'évènements en cours ou de prévenir avec plus de pertinence les citoyens du risque. C'est d'ailleurs dans ce sens qu'il me semblerait pertinent d'améliorer la lisibilité du bulletin de vigilance. Pourquoi ne pas résumer en quelques phrases à côté de la carte le phénomène en cours et les principaux risques concrets (dans notre cas, le bulletin de vigi orange dimanche soir aurait pu indiquer Risque d'orages stationnaires) avec un travail de pédagogie pour bien différentier ces risques de ce qui est certain. Ce serait aussi un moyen d'améliorer qualitativement la reprise par les médias qui ne doivent pas tous connaitre l'existence du bulletin de vigilance et qui ont une fâcheuse tendance à ne reprendre que la carte et les 3 lignes d'informations à droite. C'est aussi à mon sens le rôle des bulletins météo de faire apparaitre clairement dans le commentaire ce que ne montre pas la carte avec un discours un peu plus percutant qu'un simple "on va surveiller la situation" surtout lorsque on arrive sur du court terme. Il serait enfin temps d'interdire par la loi toute carte reprenant les codes de la vigilance institutionnelle. Le fait que le Figaro continue de relayer dans ses articles d'information les bulletins de Meteo Consult car c'est sa filiale est inadmissible de la part d'un média aussi populaire. Cela participe à la confusion et au manque d'attention porté par le grand public vis à vis des vigilances officielles. Pour terminer, il est enfin clair que la culture du risque est largement sous répandue dans nos contrées, même les plus exposées. Il faut dire qu'il est compliqué d'imaginer, même pour les locaux à quel point les crues peuvent monter haut. Nos territoires sont paradoxalement très attractifs et en 20 ans pour l'Aude, les populations et générations changent. Même si ici dans le Gard depuis 2002, de réguliers épisodes viennent rappeler l'existence des cours d'eau, la culture du risque se perd et je suis intimement convaincu que si un épisode similaire venait à avoir lieu demain, les gens manqueraient de préparation. Qui garde encore un poste radio, des bougies et des piles dans le placard pour rester informé en cas de coupure de courant et de réseau ? A quand une campagne nationale pour rappeler que même avec un SUV, quelques dizaines de cm emportent une voiture ? Qu'il est plutôt malvenu de traverser un pont submersible ou de tenter de sauver la voiture noyée dans le garage ? Malheureusement, seules les catastrophes servent d'électrochoc. Les gens se souviennent plus ou moins longtemps du risque qu'induit une vigilance orange pluies inondations en automne dans le sud. Les maires ont longtemps tardé à faire ou mettre à jour les PPRI et l'on retient localement une ou 2 leçons en matière d'urbanisme. Bref, le sujet est toujours aussi complexe, et la hausse de la sensibilité causée par la pression immobilière ne va pas arranger les choses. Mais il semble plus opportun à l'échelle nationale de parier sur de meilleurs modèles de calcul chez MF que de réfléchir aux moyens de mieux prévenir localement ces phénomènes, et ce bien en amont.
  3. La neige se renforce sur l'ouest nîmois, flocons visibles mais pas de tenue
  4. Le bilan est extrêmement lourd, notamment au regard des cumuls pluvieux observés qui sont certes exceptionnels en intensité horaire, mais n'ont rien de très marquant au cumul global. Lorsque l'on compare aux nombreux épisodes passés, le contraste est marquant. L'an dernier, 220mm sur Montpellier, pas un mort dans l'agglomération. Jusqu'à 330mm entre Uzès et l'ouest Nîmes, même bilan. Les seuls décès sur cet automne 2014 sont les 4 personnes emportées par l'embacle de Lamalou les bains et les 5 morts entre Gard et Lozère sur un épisode un samedi soir non annoncé par MF. Les 400mm du 3 octobre 1988 au coeur de la ville gardoise ont fait 11 morts, 23 pour les 400mm généralisés, 600mm localement sur le Gard en 2002, avec ruptures de digues. Sur la CA, l'épisode de 2010 dans le Var avec 200 généralisés et 400 localement a fait 27 morts et disparus. L'épisode d'hier, avec moins de 200mm entre Nice et Cannes sur 2h a donc fait 16 décès à l'heure actuelle. On note sur ces régions un bilan humain bien plus important comparé aux précipitations observés et comparé aux épisodes plus à l'ouest. Observons la vigilance MF : En 2014, il n'y a eu qu'un "faux positif", ou non application à tord de la vigilance orange, et l'épisode a fait 5 morts sur des passages de ponts submersibles par des personnes rentrant chez eux en fin de soirée. Cela illustre avant tout le fonctionnement global de la vigilance dans cette région. Sans la vigilance, le bilan aurait certainement été plus lourd. Après, sur le cas d'hier, il est difficile de juger de la justification du rouge pour un épisode aussi court, d'autant plus que même le live ne supposait pas un tel bilan. Alors imaginez à Toulouse, les prévisionnistes n'ont certainement pas eu le temps de se poser la question du rouge que l'épisode était passé. Sur ce type d'épisodes, c'est à l'échelon local que doit être géré la crise. Les communes peuvent travailler avec Predict qui les accompagnent dans le suivi des situations météo complexes. Nous n'avons pas encore les données, mais c'était prioritairement aux maires de gérer hier, en relation avec les pompiers, la crise. Cela a-t-il été fait ? Le gouvernement pourrait également réfléchir à imposer aux communes de créer un moyen de prévenir instantanément tous ses administrés via des systèmes de sirènes automatiques pour les rivières proches et via les téléphones/SMS pour les phénomènes soudains imprévisibles. Il faut également questionner sur les raisons pour lesquelles les inondations d'hier ont été si soudaines et en tirer les conséquences. Les pluvials de ces villes côtières sont-ils adaptés à l'expansion démographique et au climat méditerranéen ? Les leçons de 2010 ont-elles été tirées dans le Var ? Enfin, il ne faut surtout pas oublier la variable que sont les comportements des personnes face à ce risque. Que la vigilance soit orange ou rouge, les personnes d'hier auraient certainement tout autant tenté de sortir leurs voitures du garage malgré le torrent dans la rue. D'autres auraient certainement quand même franchi un tunnel semi-inondé pour "vite rentrer se mettre à l’abri" chez eux. Enfin, cela n'aurait pas empêché les 3 pensionnaires de la maison de retraite de descendre paniqués de leur lit pour tenter de rejoindre l'étage par leurs propres moyens. Par contre, il semble manquer dans ces régions de prévention, lorsque l'on observe certains comportements aussi dangereux. Bref, comme toujours après des bilans aussi désastreux, il faut que les leçons soient tirées avant tout à l'échelle locale, et que l'exemple marche également pour les autres qui sont passés à côté hier mais qui sont tout aussi exposés. Mais bon, comme d'habitude, les vraies questions sont rarement mises sur la table car l'épisode est toujours vendu par les médias comme plus exceptionnel que jamais, et car les politiques n'ont rien de très important à faire de ces problématiques, voire complaisent les dérives au niveau des permis de construire, pour l'expansion économique de leur commune.
  5. Je suis assez surpris de voir vigicrue envoyer l'orange sur de nombreux bassins, alors même que l'épisode débute à peine. On a plus l'habitude chez eux de les voir attendre les premières réactions après + de 100mm pour changer la couleur.
  6. Pour moi, c'est pas une question de passage en orange à l'est mais plus d'orange très foncé. Un tel retard pour le premier cas serait fort inhabituel. Edit : Orange 84 26 07
  7. Arome 12z envoie la sauce sur tout le gard avec au passage 100 à 200mm sur une grande partie du département demain soir, entre Cèze et Gardon. Grosses intensités horaire prévues par le modèle
  8. C'est justement la frustration des échecs qui rend cette passion si belle. On en apprend pour les prochaines fois (et la pour le coup une analyse de l'événement pourra être tres enrichissante tant les modèles ont divagué), et surtout, cette frustration et cette attente rendront le prochain potentiel encore plus intéressant et le prochain episode un bonheur ultime. Franchement, si on avait droit à 10cm tous les ans à la même période, ce serait bien ennuyeux. Plutôt que de se lamenter sur notre sort, réjouissons nous pour nos voisins chanceux ou prenons nos voitures (avec prudence), car c'est vrai que ce n'est qu'à quelques dizaines de km. Et puisque nous sommes sur le topic prévisions, il est bon à rappeller que ce n'est pas fini pour cette année. Je n'ai pas regardé les tendances, mais le topic devrait dès demain nous offrir des possibilités.
  9. Transports scolaires suspendus sur le gard demain alors que la situation semble virer au flop sur le département, c'est à plus rien n'y comprendre.
  10. Bulletin de 13h, notez le jusqu'à 8cm pour l'Hérault et l'est gard, et la précision concernant le littoral varois. Quantités de neige attendues sur l'ensemble de l'épisode : nord et ouest Hérault : 1 à 3 cm est Hérault et ouest Gard : 2 à 5 cm localement 8 cm vallée du Rhône : 5 à 15 cm, localement 20 cm. est des Bouches-du-Rhône, Vaucluse puis intérieur du Var : 3 à 5 cm, localement 10 cm. littoral du Var : précipitations sous forme de pluie uniquement. région marseillaise : localement 2 à 5 cm.
  11. Orange pour Ardèche et Drôme pour le phénomène de retour de la perturbation, 3 à 10cm prévus, moins sur le sud Ardèche.
  12. Je mettrais bien une pièce sur le WRF 0.05 en train de sortir : 34 et O30 entre 0 et 5cm, E30, E13 et E84 10-15cm et NE30-O13-O84 à + de 20cm.
  13. C'est quand même fou cette situation. Nous sommes à H-12 et chaque département a son modele favori avec une amplitude de 0 au bonheur absolu (l'orage de neige). Il y a ici de quoi impressionner les meilleurs scénaristes de series tv ! Bonne nuit à tous puis place au live ! Et bien sur, bonne chance à tout le monde ! (Car à ce niveau d'incertitude...^^)
  14. Bulletin vigi hauteurs prévues : --intérieur des PO, de l'Aude, de l'Hérault et ouest Gard : 3 à 5 cm --bordure côtière : 1 à 3 cm, localement plus vers nord Hérault et surtout Camargue --vallée du Rhône : 5 à 15 cm, localement 20 cm vers la Camargue --est des Bouches-du-Rhône et du Vaucluse : 3 à 5 cm, localement 10 cm. --Marseille : 2/5 à très localement 5/10 cm sur les hauteurs.
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