sacréfilou

C'est également un bon exemple... Cf janvier 85 avec par endroits 50 cm de neige dans les rues de Nice alors qu'en station , on skiait sur les cailloux par -20° , comme à Gréolières, pourtant proche du littoral ou la Foux d'Allos, aux sources du Verdon.....

Tu le connais bien, moi j'y habite depuis 40 ans , d'abord St-Raphael puis Nice/Monaco depuis 1984, & sans prétention, aucune, l'arrière-pays que ce soit à pieds ou à skis à n'importe quelle saison ou altitude non plus... Ta remarque est pleine de bon sens, en tous cas issue d'une bonne observation générale du ciel du littoral 06 , caractérisé par des reliefs de + en + proches de la mer au fur & à mesure qu'on s'approche de la frontière Italienne.... n'oublions pas que Monaco & Menton sont dominés par des sommets compris entre 1100 & 1300 m qui tombant pratiquement dans la mer (Mont Agel) , constituent littéralement la fin des Alpes dans la mer ("Maritimes")... Et à ce titre, même si ta remarque est exacte par rapport au grondement du tonnerre audible & du CuNb visible parfois depuis les plages du littoral sous le soleil surtout en été , je complèterais qu'en Automne, nombre de journées de mauvais temps par flux de SO à SE , se caractérisent par de l'orage sur le littoral lors de l'irruption d'air froid sur le littoral mais au contraire rien en montagne, les contrastes à l'automne étant nettement plus marqués en bord de mer avec une mer encore chaude qu'en montagne... Et qu'au final, & en moyenne, les valeurs citées plus haut sont bien significatives d'une fréquence élevée du SE en terme d'orages... A noter que certaines stations très avancées en mer comme les caps ou les Iles sont évidemment bien moins exposées aux phénomènes orageux, que ce soit sur le littoral Provençal ou Azuréen...

effectivement, même si dans les Alpes Maritimes je ne suis pas vraiment à plaindre /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20"> , j'ai un super souvenir des Pyrénées Orientales & surtout de la Cerdagne avec une variété de paysages & de climats d'une vallée ou d'un massif à l'autre rarement observés ailleurs, à part peut-être en Corse ou vers chez moi... Climatiquement, cette région donne un peu l'impression de fonctionner "à l'envers" du reste du pays également, en particulier en montagne comme vers Matemale ou Font-Romeu ou certaines vallées encaissées comme celles de la Têt ou du Tech... En tous cas , superbes photos , l'abbaye de St-Martin du Canigou perdue dans le brouillard a des airs de "Au nom de la Rose"....

Juste une précision: l'arrière-pays méditerrannéen arrive en tête pour le nombre de jours d'orage annuels avec en moyenne , 40 à 45 jours par an dans tout le secteur de moyenne altitude ( 700 à 1400 m ) compris entre les secteurs de St-Martin Vésubie (06) , Entraunes (06) , Allos (04) , Castellane (04) ou St-André les Alpes (04)... Certaines années, les secteurs frontaliers du Mercantour (secteurs du Boréon, de la haute Gordolasque , d'Isola 2000 ou de la vallée des Merveilles) dépassent les 50 j ..... Quant au littoral , Nice avec ses 31 jours d'orage annuels se compare à Grenoble ou Lyon (32) ou aux Landes (33) & en compte plus que Tarbes ou Strasbourg (29), Bourg St-Maurice (28) ou Clermont Ferrand (27)

Andy , même s'il date de 40 ans, cet ouvrage est INCONTOURNABLE pour celui qui s'intéresse (j'en suis /public/style_emoticons/'>http://forums.infoclimat.fr/public/style_emoticons/default/original.gif ) à la climatologie de montagne... Même si la période choisie à l'époque n'était pas la plus significative , cette thèse de Balseinte n'a jamais été égalée depuis & attend toujours son successeur... PS: Depuis 30 ans que j'arpente les massifs montagneux entre autre à skis, globalement , je ne constate pas d'évolution significative, dans un sens ou un autre de la tendance à une augmentation ou une diminution nettes de l'enneigement en fréquence, épaisseur ou durée...... Le seul fait marquant de cet hiver étant que les sommets Vosgiens > 1000 m ont battu leur record absolu depuis 1905 de hauteur maximale d'épaisseur au sol, & les vallées intra-vosgiennes comprises entre 500 & 900 m ayant comptabilisé + de 100 à 130 j de neige au sol, ce qui se rapproche des meilleures années du XXème siècle... Beaucoup de contradictions observées ces dernières années selon les massifs, l'altitude & les flux dominants....

Bonsoir Je me demande s'il ne s'agit pas de Marseille.... Vieux souvenirs de lecture , même s'il faudrait que je me replonge entre autres ,dans le traité de climato de Péguy, mais effectivement, le nom de la commune n'y est surement pas mentionné....

Tout à fait Michel..... je connaissais déjà ces pseudo-données climatiques... Aucun intérêt... /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> Par contre, pour le grand public , amateur de randonnées au mois d'Aout auquel elles sont destinées, c'est beau, ya plein de couleurs, graphiques & courbes..... /emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20"> alors les erreurs à chaque page, pas le temps de les chercher !

Bonjour /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> Pour compléter , cet endroit du Haut-Var, situé entre 1100 & 1715 m près de la Roque d'Esclapon & haut lieu pour tous les amateurs de France & d'Europe de parapente & autre deltaplane du fait de conditions aérologiques particulières, a failli connaitre un destin de station de sports d'hiver au début des années 70. C'était la période de l'industrie de la neige à tout va, de la construction de stations de ski de toutes tailles & implantées un peu partout, sans parler des projets avortés, comme celui de Tende-Morignole , dans les Alpes Maritimes... Donc, le sommet du Lachens avait été choisi à la fin des années 60/ début 70 pour concurrencer les projets de stations de Gréolières les Neiges & d'Andon-Audibergue toutes proches de là , au-dessus de Grasse & destinées aux Cannois essentiellement... Le département du Var voulait aussi sa station pour favoriser le bassin de Fréjus/St-Raphael + Draguignan . Malheureusement, après des travaux bien avancés, les responsables du projet se rendirent vite compte que ce site étant exposé en plein mistral (aucun obstacle de taille entre le Ventoux & le Lachens sur le parcours du vent) , la neige , quand elle tombait, ne tenaitt rarement plus de 2/3 jours au sol, étant rapidement balayée par des rafales souvent > à 150 km/h en hiver ! De plus, un peu comme pour les 2 stations semblables (par l'altitude & l'environnement) de la Montagne de Lure ou du Mont Serein (Ventoux), c'est un secteur froid & très venté l'hiver, mais avec peu de précipitations , en tous cas sans commune mseure avec les stations de Mercantour plus proches de la frontière Italienne, plus élevées & plus insérées dans la masse alpine... Enfin étant le point culminant de la région & la mer étant proche, le sommet est très fréquemment enveloppé dans le brouillard.. Aucune étude climatologique sérieuse n'avait donc été effectuée,l'absence de stations de mesure expliquant en partie cela.. Le versant Est , où la neige soufflée par le Mistral se retrouvait accumulée, était de plus totalement inexploitable pour des raisons de pente & de géologie & de surcroit situé en partie sur le département voisin des Alpes Maritimes... Après 1 saison d'exploitation résumée à quelques journées , la station baptisée Varneige construite à 80% fut définitivement abandonnée par ses promoteurs & le Conseil Général....... Sans oublier que l'armée fraichement implantée dans le secteur quelques km à l'Ouest sur le plateau de Canjuers (qui allait devenir le champ militaire + étendu d'Europe) ne voyaient guère d'un bon oeil la traversée du plateau en pleines manoeuvres par des centaines de voitures montant de Draguignan le week-end En témoignent au titre de vestiges des cables rouillés & à terre de téléski, quelques morceaux de pylônes & l'unique batiment qui devait servir de centre d'exploitation de la station, d'hôtel-restaurant & de boutique de location de skis + quelques lpetits batiments essentiellement techniques.... Cet aspect d'abandon & de désolation contribue d'ailleurs les jours de mauvais temps (comme hier) à lui donner un aspect étrange, presque angoissant... /emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20"> Reste donc une superbe balade à faire au printemps, la route montant à partir du col de Clavel à travers une superbe pinède , très connue des amateurs Est-Varois & Azuréens de pique-nique !

22° dans les collines (Cimiez) à 150 m avec un ciel 2/8 cet après-midi & une brise faible de SO..... bref...un temps & une température de saison, malgré un bilan pluviométrique bien trop déficitaire pour un mois d'avril...

Idem pour le Sud Est Varois.... des eucalyptus qui pour certains avaient localement résisté à 1956 n'ont pas tenu le choc de janvier 85, peut-être en raison de leur grand âge... Depuis, quelques repeuplements ont été effectués , en particulier dans le massif de l'Esterel,sur la commune de St-Raphael , avec un certain succès, malgré quelques lieux d'implantation un peu "étranges" , comme des sommets de collines caillouteuses exposées plein Mistral, où là bien sur, la réussite est moindre..... Mais avec presque 20 ans de recul, c'est globalement une réussite, en tous cas pour ce massif...

Rappelons que l'article ne concerne que sa région , à savoir le Sud-Ouest..... /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> donc les Bouches du Rhône sont légèrement HS

Bonjour Même si effectivement il date un peu par ses données déjà anciennes, le 1er livre est indispensable à tout amateur de météo , en cartes, tableaux & chiffres.... Les descriptions climatiques & les paramètres sont toujours valables , à quelques détails près, & surtout, les cartes départementales pluviométriques sont -malgré leur taille réduite- bien faites... Quant au 2nd ouvrage, je t'aurais conseillé également de le prendre comme bon complément du 1er il y a une dizaine d'années.... Mais maintenant, tu trouveras sans problème les données des 114 stations synoptiques un peu partout sur le net, dont une bonne partie sur ton site préféré , bien sur ! /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20"> dépêche toi de te procurer le 1er avant qu'il ne devienne introuvable .. /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">

article de la Dépêche du Midi de ce jour /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> MÉTÉO. ON EST LOIN DE L'ÉTAT DES LIEUX DÉSASTREUX DU DÉBUT FÉVRIER. UN GRAND MERCI À UN MOIS DE MARS TRÈS PLUVIEUX. Les risques de sécheresse s'éloignent Début février. Le préfet sort d'une réunion de l'observatoire sécheresse. Et tire le signal d'alarme. Si le déficit de pluviométrie continue, on va droit à de nouvelles restrictions de pompage. 17 avril, onze semaines plus tard, à la lumière des derniers relevés, les experts sont unanimes : grâce à un mois de mars très pluvieux, les lacs de réglementation, les nappes de surface se sont rechargés et les risques de sécheresse s'éloignent. De loin, à Tarbes, Gilles Lagardelle, technicien de la compagnie d'aménagement des Coteaux de Gascogne, ausculte le nord et le sud du département. « À la fin mars, selon le bilan établi par le ministère de l'Environnement, le Lot-et-Garonne restait déficitaire » comparé aux départements du sud de la France. « Mais il est indéniable que les précipitations du mois de mars ont permis la réalimentation des retenues. » Ces lacs affichaient un pâlot 25 % de remplissage au cœur de l'hiver. PARFOIS LE DOUBLE Aujourd'hui, les chiffres ont eu une autre couleur : Lamontjoie (71 %), Villeneuve de Mézin (87 %) et le bassin amont du Dropt (69 % en moyenne). Cause manifeste de cette abondance aqueuse, un mois de mars excédentaire en millimètres de pluie. Moins loin que Tarbes, les spécialistes de l'ACMG font le même constat et donnent des chiffres. Le mois dernier, il est tombé entre 120 et 150 millimètres en moyenne sur la terre de Lot-et-Garonne. « Il faut savoir », souligne Patrick Debert « que c'est le double des mesures de l'année précédente. » Dans un bureau voisin, Jean-François Berthoumieu explique lui aussi que les précipitations de mars ont été bénéfiques. « Il y a eu deux épisodes. Le premier a gorgé le sol en surface, le second a permis le ruissellement vers les retenues et les nappes alluviales. » De bon augure donc pour les mois à venir dans le monde agricole notamment. La campagne d'irrigation est lancée dans deux mois, et s'interrompt à la mi-août. « En fait, les éventuelles difficultés reposent sur les besoins en eau » rappelle Gilles Lagardelle. Même constat à l'ACMG. Jean-François Berthoumieu : « si les modèles de calcul sont bons, on pourrait avoir un été relativement frais, et donc moins exigeant en matière d'irrigation des cultures. » S.B. -------------------------------------------------------------------------------- Des sources d'inquiétudes Tout n'est pas revenu au beau fixe du côté des risques de sécheresse. L'ACMG signale par exemple que la pluviométrie des dix premiers jours d'avril est de nouveau déficitaire. « De plus » ajoute Jean-François Berthoumieu « les inquiétudes persistent concernant les nappes sur la rive droite de la Garonne entre Tonneins et Marmande. Il n'a pas plus assez pour combler le déficit de septembre dernier. » Inquiétudes également sur l'état de la ressource dans les nappes phréatiques. La pluie des dernières semaines n'aurait pas été suffisante pour les recharger. Là aussi, les climatologues attendent le mois de mai généralement pluvieux pour affiner l'état des lieux.

Ciel nuageux 4/8 sur le littoral de l'Est des Alpes Maritimes... Ici sur Monaco, de nombreux AlCu Castellanus , Cu & CuNb se partagent le ciel... Pas de tonnerre audible ici, mais c'est le cas à 10/15 km d'ici, vers Sospel ou en amont de Vintimille, dans la vallée de la Roya....

quel secteur Chris ? Servance, Melisey,Combeaufontaine , etc ...?

Bonjour Quelques (rares quand même ) plaques de vieille neige également présentes vendredi après-midi dans les creux en bord de route & en forêt sur les derniers lacets du Col des Croix, vers 700 m, versant Le Thillot (donc au nord).. idem entre ce même col des Croix en montant sur le Ballon de Servance, là aussi en forêt, mais exposé O à NO & assez encaissé....

Bonsoir /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> Tout à fait ! Mea culpa ... L'heure tardive & la rapidité avec laquelle j'ai tapé ce mess avec le document ouvert sur les genoux peuvent expliquer cela ... /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> En tout cas...c'est bien... y en a qui suivent !

Bonsoir /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> Pris dans la "Dépêche du Midi" de ce jour... MÉTÉO. 118 LITRES D'EAU ENREGISTRÉS SUR TOULOUSE, SOIT LE DOUBLE DE LA MOYENNE. Mars le plus pluvieux depuis 60 ans Avec 118 litres d'eau déversées sur chaque mètre carré de Toulouse, ce mois de mars 2006 s'inscrit comme un record absolu de la pluviométrie. Et ce depuis le début des observations météo à Blagnac, en 1947. Le précédent record était détenu par le millésime 1958 (116 litres), mais en moyenne, ce ne sont que 54 litres que le ciel nous envoie en cette période de pré-printemps. Bref, il a plu plus du double qu'à l'accoutumée : avec des pointes tout à fait exceptionnelles comme ce 7 mars où 16 litres sont tombés, et surtout ce 10 mars où les trombes d'eau ont fait monter le niveau à 39 litres pour cette seule journée. Tout cela à rapprocher des années d'extrême sécheresse : ces années 1961 ou 1974 où les appareils n'avaient mesuré en mars qu'un misérable 0,1 litre d'eau sur la Ville rose. Rançon de cette abondante pluviométrie, « un temps souvent couvert qui a conduit à un déficit d'une trentaine d'heures d'ensoleillement », constate Pascal Toureau, prévisionniste à Météo-France Toulouse. En précisant « mais ce record de mars était nécessaire pour rattraper les faibles précipitations de cet hiver : à peine 18 litres par mois en moyenne ». L'ensemble de ces résultats laissent perplexes les prévisionnistes qui notent que, dans tous les secteurs qu'ils ont à analyser, l'heure est aux « paroxysmes ». Ainsi, après l'hiver le plus long et le plus rigoureux que nous ayons connu (51 jours de gel contre 24 en moyenne), voici aussi « des amplitudes thermiques entre un début de mars très froid (6° au maximum le 5 mars après des chutes de neige dans la matinée), et une fin quasi estivale (24° le 30 mars). Des données à mettre en perspective avec la manière dont se « fait » désormais le temps dans le Midi toulousain. Autrefois dominé par les influences ouest-est (avec les fameuses entrées maritimes océaniques), le ciel obéit désormais aux ordres nord-sud. Avec les différences extrêmes que cela suppose. Cet hiver a balancé entre les influences du froid intense venu de Sibérie et un redoux saharien. Ce mois de mars, les pluies sont venues au début des Îles Britanniques, puis d'Espagne. J.-J. R. Avril: entre 1,4 et 170 litres Pour avril, les mesures effectuées à Blagnac depuis 1947 marquent également de grands écarts entre les millésimes : 1,4 litre seulement en 1954, 170 en 1988, l'année la plus pluvieuse connue. Pour la dernière décade, les chiffres sont les suivants : 99 litres en 2001, 41, 8 en 2002, 20,8 en 2003, 105 en 2004 et 62 l'an passé. Attendons de voir…

Sur cette même page 12 , je me permets de rajouter la suite , très instructive: "Il est donc pratiquement impossible de déterminer pour chaque niveau d'altitude des hauteurs moyennes de précipitations . En revanche, la carte fait ressortir une dimininution régulière de la pluviosité à mesure que l'on s'éloigne vers le SE du talus Cévenol......(...) ..en s'éloignant vers le NO, la pluviosité diminue encore plus rapidement , bien que l'altitude reste encore très élevée sur la montagne Vivaroise , au-delà de la ligne de partage Atlantique-Méditerranée . Par exemple, entre Mazan & Issanlas , stations distantes d'environ 10 km , l'écart dépasse 400 mm , alors qu'aucun écran géographique notable ne s'interpose..." etc....

Bonjour & bienvenue sur Infoclimat /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Concernant ta question, je t'invite à te reporter /index.php?showtopic=14032&st=220'>ICI , où le sujet concernant les températures de Nice en ce moment a été abordé, ainsi que les pages suivantes... Bonne lecture ! PS: Où es-tu ?

Bonsoir Bien que déjà maintes fois citée , rappelons ici la valeur du lac d'Alfeld (1 km en amont du village de Sewen) , situé à 620 m , au pied SE du Ballon d'Alsace , dans la haute vallée de la Doller , avec 2320 mm , soit à peu de choses près la valeur des Ballons d'Alsace (2400 mm à 1250 m ou de Servance , à 1216 m)... A cette même altitude, les versants Vosgiens (haute Moselle vers Bussang) ou de Haute Saône (vallée de l'Ognon entre Servance & le col des Croix) peinent à dépasser 2000 mm de moyenne... Toujours à cette même altitude (620 m), & à titre de comparaison, Thônes, en Haute Savoie n'atteint "que " 1760 mm & les hauteurs de St-Laurent du Pont, sur le flanc O/NO de la Chartreuse Iséroise frôlent les 1700 mm ... NB: valeurs de la période 1951/1980...

euh....Maximois....dans un coin après St-Raph ' que dois surement connaitre....... 22° enregistrés à Boulouris à 200 m de la mer & dans un site assez encaissé...

Maximois, toi qui connais le coin...au même moment, toujours sur la commune de St-Raphael , à 4 km de là , le sémaphore du Dramont , entre Boulouris ( j'y étais ce jour là...) & Agay , plafonnait à 31.8 ° avec une bonne brise de mer après 15h... Et vers Hyères , Bormes les Mimosas, Porquerolles ou le Cap Camarat, le mercure ne dépassait pas 30 à 32°...

Bonsoir 26 mm relevés à Nice-aéroport en ce mois de mars , soit un déficit de 30 mm .... dans 5 ou 6 semaines maxi, il sera trop tard, la sécheresse estivale s'installera pour de longs mois... /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">/emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">

Month of March looks to break record for rainy days 03/28/06 (BCN) - March this year is not the wettest March on record for the Bay Area, but it's coming close to at least tying the record for the highest number of rainy days in March in more than a century. Today marks the 22nd rainy day this month, one day shy of the all-time March record of 23 days, in 1904, according to National Weather Service meteorologist Brooke Bingaman. "It looks like we'll probably be breaking that record, or at least tying it," Bingaman said. March this year hasn't given the Bay Area as much of a drenching in terms of the number of total rainfall inches as in other years. At 7.7 inches, the total rainfall inches for the Bay Area this month is almost one and a half inches behind the 1983 March record, at 9.04 inches, Bingaman said. The wettest single day in March this year was March 5, which saw 1.09 inches of rain - far off the record for a single day in March, reached in 1982 when 2.57 inches of rain fell. Long stretches of consecutive rainy days are more common in December, January and February, and March tends to trail behind those months, Bingaman said. Valentine's Day 1938 holds the unfortunate honor of marking the longest consecutive run of rain ever in San Francisco, at 19 days. This March there have been nine consecutive rainy days, Bingaman said. "It's definitely been a wet March, but the 1983 March," which was associated with an El Nino event from 1982 to 1983, was particularly rainy too, Bingaman said.