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florent76

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  1. Deux nouvelles photos de la trombe du 1er juin 2006 : Source : http://www.le-pajero.org/forum/viewtopic.p...9ff611921e31542 Florent.
  2. Merci, tout est clair à présent ! J'ai bien peur que les inondations barrent la route la plus directe. J'espère qu'en passant un peu plus à droite, ça passe... Bon courage !Florent.
  3. Bravo ! Tu pourras nous cococter un petit plan ! Sacrés inondations en tout cas et une alerte orange bien justifiée dans les Pyrénées Atlantiques. Est-ce que la ferme est située plus haut ou elle risque aussi d'avoir les pieds dans l'eau ? Florent.
  4. Merci Frédéric : j'avais demandé quand cette superbe chronique serait de retour en ligne et je suis très content de la retrouver à présent.Florent.
  5. Oui, vraiment merci surtout que c'est urgent car les traces seront vite effacées là bas par les équipes municipales et les particuliers si il y a eu dégâts.Florent.
  6. J'ai fait une simple étude sans arrière pensée. Je ne comprends pas du tout ton argumentation à vouloir voir absolument l'été 2007 comme frais. Les mois de juillet et d'août probablement seront légérement déficitaires de -0,5 à -1,5°C sur le bassin parisien, mais avec un mois de juin autour de +2°C d'excédent, l'été au total sera thermiquement très proche des normes (déficitaire tout au plus de quelques dixièmes de degrés autour de Paris).Si il est pourri, c'est surtout du fait de l'ensoleillement et de la pluviométrie où des chiffres vraiment exceptionnels pour le coup sont rencontrés dans de nombreuses régions, mais certainement pas du fait de la température (en tout cas pas globalement sur le territoire). Quand à vouloir minimiser les déficits de température dans une période où le RC existe ; si pour toi notre été est vraiment frais à notre époque avec quelques dixièmes de degrés de déficit thermique, on doit comprendre que pour le coup avec 1°C entier de déficit, la saison hiver 2005-06 fut pour toi très froide : or tu as toujours prétendu le contraire. Que devons nous comprendre alors ? Florent.
  7. Certes, je suis passé un peu légèrement d'une constation statistique à une explication difficilement démontrable à partir de ces seuls chiffres aussi complets soient t-ils. J'ai d'ailleurs poursuivi l'enquête sur les mois d'été frais avant 1950. On en retrouve de nouveau très peu avant sans que l'on puisse alors imputer cela au réchauffement climatique anthropique : 4 seulement dans les années 1940, 5 dans les années 1930, 9 dans les années 1920, 15 dans les années 1910 de nouveau bien plus rudes en été, 14 dans les années 1900. Florent.
  8. Nous allons employer l'informatique au secours de notre enquête... Traitement d'image afin de faire ressortir le plus possible la couleur du tuba. L'image perd évidemment en qualité, mais le but est de souligner le tuba. Voici le résultat + un zoom : Les conclusions sont indéniables : C'EST UNE TORNADE qui a bien touché le sol devant la colline. On distingue même mieux un écran de pluie ou de grêle à gauche de la tornade et un second petit phénomène qui semble tourbillonner dans le ciel à droite. On peut rebaptiser le sujet : Tornade à Bidart (64) C'est triste que T.Borie ne puisse se rendre sur les lieux. Si j'avais ainsi une tornade à portée de jumelles, je serais capable de m'y rendre même de nuit. Peut-on au moins savoir de quelle commune il s'agit là bas ?? C'est toujours Bidart ??? Il faut absolument contacter le voisinage (téléphone pourquoi pas ?) afin d'en apprendre plus. Florent.
  9. Tout de même, plus je regarde le premier cliché, plus je dis tornade. Ca touche le sol pour moi et il doit y avoir plus que deux branches cassées.Florent.
  10. Merci Just1... GFS s'est montré une fois de plus très fiable sur ce coup là. Les autres modèles confirment maintenant cette dégradation à partir du 28 août et ont dissipé les doutes que nous avions /index.php?s=&showtopic=21925&view=findpost&p=545905'>hier soir. Les modalités en restent pour l'heure les mêmes, mais tous les réglages fins restent à faire. Il fallait bien entendu ne pas se formaliser des modalités précises de l'arrivée de la goutte froide portugaise. Répétons le : si GFS détecte souvent des tendances très à l'avance, elles sont souvent bien plus extrêmes à échéance encore lointaine qu'elles ne sont très souvent observées ensuite. A ce stade, on en est qu'à une ébauche bien plus grossière que ce que l'on tirer par ailleurs de la précision infime des cartes des modèles à toutes échéances à partir desquelles il ne faut surtout pas tirer de conclusions trop hâtives et définitives toujours défaites au run suivant. Florent.
  11. Les 3 mois se sont révélés constamment plus frais d'environ 1,5° à 2°C car la chaleur a été à partir de fin juin plus loin à l'est de l'Europe que je l'avais calculé et seule l'Alsace a ressentit parfois un peu du souffle chaud du bel été régnant en Europe centrale. Effectivement à l'échelle de la saison, cela modifie totalement la donne et l'erreur est importante. Le mois de juin n'en a pas moins été réellement le plus chaud de l'été et tout de même assez fortement excédentaire : +2,0°C d'écart à la normale à Paris le Bourget.Florent.
  12. Je ne répondrai plus à tes remarques contre-productives. Tu devrais prendre exemple sur Weather Bordeaux qui a lui, pris la peine de faire un bilan pour une autre station qu'il connait bien et on ne va pas lui en vouloir de ne s'intéresser qu'à l'Aquitaine. Je n'ai pas les données pour l'ouest de la France, je ne vais pas les inventer, alors si tu les as, montres nous combien l'été y a été plus pourri et ça intéressa plus tout le monde que des arguments sans aucun fond, ni base démontrable.Florent.
  13. Pour être exact, à Paris le Bourget c'est la période 1932 à 1953 compte sans arrêt des moyennes annuelles excédentaires, hormis une pause de 1940 à 1942 à cause des séquences hivernales glaciales. Dans les années 1920, le réchauffement n'est pas encore toujours récurrent ce qui abaisse certainement ta moyenne.Florent.
  14. C'est une étude de l'été à Paris et pas sur toute la France : c'est marqué dans le titre aussi ! Tu lis un livre sans en connaitre le titre peut-être ? Je ne vois pas comment je peux être plus clair.Florent.
  15. Je travaille sur la station de Paris le Bourget depuis de longues années et tous tes dires ne changent rien à l'affaire. Si on considère les écarts inférieurs à -0,5°C soit quasiment dans les normes, on va avoir un nombre de mois doublé dans le listing et cela n'en fera pas moins apparaître les déficits thermiques actuels comme banals puisque vus des dizaines de fois.Tous les mois de la liste établie sont déjà plus froid que juillet ou août 2007 : ils sont loin de se classer dans le peloton de tête de ce point de vue. Les raisons pour lesquelles cet été est réellement pourri sont ailleurs et c'est ce qu'il s'agissait de montrer ici. Cela tient bien plus à la pluviométrie et à l'ensoleillement qu'aux températures même si elles sont également mauvaises. Florent.
  16. Je n'ai les données que jusqu'au 15 août. Les données du 16 au 31 péseront lourd et risque de faire apparaitre effectivement août 2007 dans le classement. Non cet été n'est pas courant sur le plan des précipitations (exceptionnelles dans beaucoup de zones) et de l'ensoleillement et je n'ai pas dit le contraire.Par contre thermiquement, il est tout à fait banal et sera légerement inférieur à la normale, bien loin d'été bien plus froid que nous avons connu. Il faudrait établir un autre classement écartant le paramètre température, car toute cette eau et la nébulosité n'auront pas conduit à connaitre des températures catastrophiquement basses à l'échelle de la saison, même si c'est moins vrai en août. Dans les étés vraiment pourris aussi en température, les maximales ont pu s'abaisser parfois autour de 10 à 12°C, les minimales sous les 5°C en plaine et de la neige était observée dès 1500 m : il s'ensuivait des déficits thermiques généralisés de 2 à 3°C. C'est un peu une saison inclassable de la même manière que l'avait été l'hiver 2005-06 sur certains paramètres : longueur, enneigement dans certaines zones, bien plus que la température moyenne où il fut comme cet été, relativement banal. Florent.
  17. J'ai ajouté des données concernant l'ensoleillement afin de pouvoir comparer. Attention, les données de 1950 à 1954 sont à considérer avec prudence.Florent.
  18. Par rapport aux normales de l'époque (soit 1921-50), le déficit est encore plus important sauf en août...jun 1956 : -3,0°C jul 1956 : -1,3°C aoû 1956 : -2,9°C Les années 1920 à 40 furent chaudes en France, ne l'oublions pas : ce n'est que l'an passé pour le mois de juillet que nous avons atteint de nouveau les normales élevées atteintes alors. Pour le mois de juin, il manque encore 0,1°C ! Si l'observation de mois chauds reprend, la normale 1981-2010 surpassera ainsi légèrement en été la normale 1921-1950 qui était la plus chaude observée jusque là. A l'année, la normale 1971-2000 était déjà légèrement au dessus. Florent.
  19. J'ai indiqué :"Néammoins en d'autres temps, un été comme celui-ci nous eu valu sans doute un déficit thermique très marqué qui à peine visible en 2007. C'est peut-être là le signe une fois de plus que malgré la variabilité climatique qui continue bien de perdurer, nous vivons néammoins à une époque réchauffée depuis une vingtaine d'année." Quel éléments te permettent de dire que nous ne vivons pas depuis une vingtaine d'année une période plus chaude ? Le constat statistique est pourtant très clair de ce point de vue : il n'y a jamais eu aussi peu d'été frais ou pourris depuis 1950 que durant les années 1990 et 2000. Et les déficits thermiques les plus importants observés à chaque décennie sont bien plus faibles aujourd'hui que ce qu'ils furent hier. En voici la preuve : /index.php?showtopic=21976'>LES MOIS D'ETE LES PLUS FRAIS A PARIS DEPUIS 1950. Sur le plan thermique, les étés les plus maussades vus depuis 20 ans ne souffrent pas une seconde la comparaison avec ceux qui ont prévalus avant 1989. Je n'aurait pas voulu vivre les étés 1956, 1963, 1972, 1980 ou encore 1987... Florent.
  20. LES MOIS D'ETE LES PLUS FRAIS PARIS le Bourget - 1950-2007*. * Jusqu'à juillet 2007 inclus, données d'août 2007 non reportées pour l'heure - Nous avons recensé ici tous les mois frais : présentant une anomalie égale ou inférieure à -1°C par rapport à la normale 1971-2000. Attention : cela ne signifie pas pour autant que la saison estivale entière est à chaque fois déficitaire, surtout les années ne comptant qu'un mois d'été frais. - Parmi ces mois, l'excédent pluviométrique est indiqué si il est supérieur à +25% : si c'est le cas, le mois est classé comme pourri. - Les déficits d'ensoleillement sont un indiqué en 3eme chiffre si ils sont plus importants que -15% de déficit. Les années 1950 8 mois froids (22%) dont 1 pourri (3%). aoû 1951 : -1,6°C +55% -32% jul 1954 : -2,3°C .....-18% aoû 1954 : -1,7°C .....-26% jun 1956 : -2,3°C .....-28% jul 1956 : -1,0°C .....-16% aoû 1956 : -3,2°C aoû 1957 : -1,7°C jul 1958 : -1,0°C Les années 1960 17 mois froids (47%) dont 8 pourris (22%). jul 1960 : -1,9°C +42% -31% aoû 1960 : -1,6°C +44% -18% jul 1961 : -1,5°C jun 1962 : -1,0°C jul 1962 : -1,8°C aoû 1962 : -1,2°C aoû 1963 : -2,9°C +145% -42% jul 1965 : -2,6°C +40% -28% aoû 1965 : -2,2°C +25% jul 1966 : -2,0°C +31% -16% aoû 1966 : -1,9°C jun 1967 : -1,1°C aoû 1967 : -1,2°C jul 1968 : -1,3°C aoû 1968 : -1,1°C +60% -19% jun 1969 : -1,0°C aoû 1969 : -1,1°C +36% Les années 1970 11 mois froids (31%) dont 3 pourris (8%) jul 1970 : -1,6°C jun 1971 : -1,5°C +45% -22% jun 1972 : -2,6°C aoû 1972 : -1,9°C +36% jul 1974 : -1,5°C aoû 1977 : -1,9°C jun 1978 : -1,4°C +41% jul 1978 : -2,1°C .....-20% aou 1978 : -2,6°C jul 1979 : -1,3°C aou 1979 : -2,0°C Les années 1980 10 mois froids (28%) dont 6 pourris (17%) jun 1980 : -1,0°C +47% jul 1980 : -2,3°C +103% -26% aoû 1982 : -1,0°C jun 1985 : -1,5°C aou 1985 : -2,0°C aou 1986 : -1,8°C jun 1987 : -1,2°C +67% -28% jul 1987 : -1,0°C +101% aoû 1987 : -1,0°C +97% jul 1988 : -1,4°C +88% Les années 1990 3 mois froids (8%) dont 0 pourris (0%) jun 1991 : -1,9°C .....-31% jul 1993 : -1,0°C aoû 1993 : -1,4°C Les années 2000 2 mois froids (10%) dont 2 pourris (10%) jul 2000 : -1,3°C +183% -29% aoû 2006 : -1,1°C +63% -43% L'été 2007 pour être particulièrement maussade avec sa pluviométrie abondante et son ensoleillement faible n'a pour autant pas été frais jusqu'à la mi-août selon les critères énoncés. Pour l'heure, aucun de ces mois n'apparaissent dans le classement qui comptent des mois bien plus médiocres encore. La palme du mois le plus pourri est remportée par août 1963 avec son déficit thermique énorme de près de 3°C et sa pluviométrie qui représente 2,5 fois la normale ! La décennie 1960 fut d'ailleurs celle qui a connu les été les plus médiocre avec quasiment un mois sur deux qui fut frais et presque 1/4 des mois d'étés qui furent pourris : un record sur 10 ans ! Les décennies 1970, puis 1980 viennent ensuite avec environ 1/3 de mois d'été frais, mais un avantage pour les années 1980 où il furent plus souvent pourris alors que les années 1970 se singularise pour une série de mois froids mais relativement sec. La décennie 1950 laisse une place plus grande aux beaux mois d'été, même si la situation a commencé à se dégrader à partir de 1954 et surtout avec un été 1956 qui a tenté de rivalisé avec l'hiver précédant dans les déficits thermiques. Elles marquent un tournant entre une période d'une trentaine d'année comptant peu de mois d'été médiocres et les années 1960 qui vont voir leur retour en force. Ainsi, avant la décennie 1950, on avait compté : 4 mois d'été froids (2 mois pourris) seulement dans les années 1940, 5 mois d'été froids (4 mois pourris) dans les années 1930, 9 mois d'été froids (6 mois pourris) dans les années 1920, 15 mois d'été froids (7 mois pourris) dans les années 1910 de nouveau bien plus rudes en été, 14 mois d'été froids (5 mois pourris) dans les années 1900. Les décennies 1990 et 2000 se caractérisent par une remarquable absence de mois d'été frais. On en compte pas plus de 3 dans les années 1990 et 2 dans les années 2000. Mais il se font fortement ressentir et remarquer dans des décennies peuplées d'été médians à très chauds surtout que les derniers ont été pourris ce qui ne s'est plus vu entre 1988 et 2000 et qu'ils sont séparés par 6 ou 7 années, les dernières occurences étant août 1993, juillet 2000 et août 2006. Florent.
  21. C'est tout de même dommage de devoir rester dans le doute... /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> Personne d'autre du 64 ne pourrait enquêter dans le coin. Il y a peut-être un commerçant dans ce coin que l'on pourrait appeler ?Florent.
  22. C'est sans doute passé inaperçu, alors je me répète : Si le tuba a touché le sol, alors c'est pas compliqué : il suffit de se rendre sur place. RIEN NE REMPLACE UN DEPLACEMENT SUR LE TERRAIN. Il y aura presque obligatoirement des dégâts, au moins quelques petites branches cassés. Nous pourrons alors classer si c'est bien le cas ce phénomène comme une tornade. Il faut que tu te rendes sur les lieux à mon avis : c'est ce que j'aurais fait à ta place pour en avoir le coeur net. Florent.
  23. Exact. Ceux qui cherchaient une compensation aux records d'insolation de l'été 2003 sont servis ! Non, il est clair que ce type d'été reste pour l'heure l'exception et non pas la règle comme l'avait été ses prédécesseurs, 1976, 1949, 1947 ou encore 1921.Néammoins en d'autres temps, un été comme celui-ci nous eu valu sans doute un déficit thermique très marqué qui à peine visible en 2007. C'est peut-être là le signe une fois de plus que malgré la variabilité climatique qui continue bien de perdurer, nous vivons néammoins à une époque réchauffée depuis une vingtaine d'année. Florent.
  24. Peut-être histoire que l'été météo qui se termine le 31 août soit bien pourri jusqu'au dernier jour : si GFS a raison, il se terminerait en beauté de ce point de vue !Florent.
  25. En tout cas pour l'heure, GFS persiste dans son run de 18h qui est même pire que le précédent. L'anticyclone trop étiré d'ouest en est ne resterait pas et le courant jet s'infiltrerait vers le sud pour aller alimenter la goutte froide (restes de l'air froid qui règne actuellement sur la France) située au large du Portugal qui remonterait alors vers le nord reprise dans la circulation méridienne. Il s'en suivrait alors une descente froide qui nous vaudrait pour l'heure des maximales particulièrement basse sur toute l'Europe de l'Ouest.Pendant ce temps il ferait encore très chaud à l'est : avec des contrastes pareils, les remontées orageuses pourraient être remarquables. Sur le terrain, on aurait un peu les ingrédients du 15 août avec vent et pluie à l'ouest et chaleur orageuse à l'est avec fronts de rafales puissants... mais avec un conflit de masse d'air encore plus extrême puisque c'est l'air polaire et non pas le flux d'ouest qui serait au contact de l'air chaud. J'attends maintenant surtout le run de 0h de GFS plus fiable et bien sûr ceux des autres modèles qui confirmeront ou pas cette dégradation pour le 28 août car pour l'heure ils ne voient rien de tout cela. Ajoutons enfin que si GFS détecte souvent des tendances très à l'avance, elles sont souvent bien plus extrêmes à échéance encore lointaine qu'elles ne sont très souvent observées ensuite. Florent.
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