lc30

certes BOLAM voit un petit quelque chose sur la retombée des Pyrénées, mais ailleurs, pas lerche.... -- lc30

on se clame ! Tuvalu est une île corallienne, soumise à des mouvements propres. Il ne fait pas confondre un enfoncement d'une île (et on a beaucoup d'exemples de subsidence ou de surrection sans savoir avec certitude quel est le comportement du socle, ou 'affaiblissement du corail souvent porté par des dykes volcaniques) avec un e hause du niveau d ela mer que l'on constaterez ailleurs. Si vous voulez apprécier le délire d'intervnants allez donc voir sur le sujet le forum environnement, cela devient quasiment marrant... -- lc30

je vais jouer les rabatteurs de joie : Bolam ne voit rien ! Sauf pour la Corse. Et pourtant moi aussi à Nîmes j'aurai aimé avoir un manteau blanc! -- lc30

désolé de contredire beaucoup de gens : si l'aigoual échappe au phénomène d el'urbanisation il n'échappe pas à celui de la pollution. Et à la couche de pollusphère quasi uniforme sur l'Europe d'une épaisseur minimale de 2000 mètres. Seul peut-être l'Himalaya, et encore ce n'est pas sûr. Curieux : c'est pendant les mois où l'aigoual est le moins visité que les températures baissent. certes il reste Janvier, février... les mois où la pollusphère est la plus dense........ ( Faites donc un tour sur le parking de l'Aigoual de fin juin à début septembre) -- lc30

je pense qu'il ne faut pas oublier BOLAM qui donne d'excellentes choses surtout pour le midi. -- lc30

vis-à-vis des thèses du PR LEROUX, je dois dire que seule la théorie des AMP explique la recrudescence des pluies catastrophiques subies par le Midi ( au sens large) depuis 10/12 ans ( j'exclus, en tant que nîmois connaissant bien le pb l'événement de 1988 à Nîmes car les c.... accumulées éraient telles que le réseau n'était même pas aux norms de la circulaire de 1947 dite vieille caquot), en particulier Vaison 1992, le Gard 1996,2001, 2002, 2003 ( et oui les 4 années même si la presse n'a parlé que des 2 Dernières, l'Aude 1996 et 1999, et quelques autres, alors qu'en période de réchauffement ( en gros 1935 1990) on n'a noté que 1958, mais depuis...ceci confirme bien des choses. Mais comme "anecdote" le sait j'attends beaucoup d'une étude très fine de mes élèves, sachant que le dégrossissage que j'ai fait montre bien des choses très très intéressantes ( R.V. fin avril !) -- lc30

Turin, Milan, Lyon, la vallée du Rhin, Rotterdam, en plein coeur de la Lotharingie au sens braudelien du terme, en d'autres termes dans la région d'europe la plus polluée, et en la matière il n'y a pas que le CO2.Et les autres GES, disparaissent en altitude à commencer par les hydrocarbures lourds ou légers ( propane et surtout butane). pourquoi ne pas prendre Fos sur mer ou Dunkerque avec aciéries à proximité, donc avec un rayonnement thermique local encore plus agressif. Au fait mes cousins de Pittsburgh et environs viennent de m'écrire que depuis dix ans ils n'ont jamais eu des hivers aussi froids et aussi longs. ( pour mémoire cette région est passée pendant longtemps comme la plus polluée du monde... et de très gros efforts ont été faits qui se répercutent sur la clarté de l'air....) à méditer -- lc30

La crue de 1910 ne résulte pas seulement de la pluie et de la débacle des glaces. L'abandon du dragage du lit de la seine, avec en plus le naufrage de 4 péniches à la mi-janvier dans paris même, enfin un grand nombre d'écluses non effaçables, et de sponts qui faisaient obstacle à l'écoulement des eaux : le tableau est succinct mais presque complet. Il y a trois mois je suis sorti horrifié d'un bureau de la Préfecture de la Seine, et je me pose la question : pour les données actuelles a-t-on au moins consulté un hydraulicien même modeste. on affole strictement pour rien dans Paris et on s'en f... de la banlieue -- lc30

moins de neige ? c'est certainement un argument de plus en faveur du refroidissement, car la neige est le produit de l'évaporation laquelle parait-il, est une fonction croissante de la température.... moins de neige cela veut dire moins d'évaporation.... -- lc30 /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">

curieux les prévisions et les réalisations : à la sortie nord de Nîmes, peut-être en raison du brouillard intense qui a régné ces deux derniers jours j'a i enregistré de l'ordre de 4° le matin 6 à midi et jamais plus de 9 dans l'après-midi.... où sont les 14/16 promis...? -- lc30

l'enneigement diminue ? à l'altitude du Col de Porte, et dans sa situation en plein au milei d'une des zones les plus polluées de la planète ( le triangle Hambourg-Madrid-Venise quoique la pologne ne soit pas mal du tout aussi) il y a deux choses : - l'effet urbain de chaleur dans cette zone dépasse largement les limites des seules grandes agglomérations - ce que j'ai appelé la pollusphère, d'après une observation remontant à 1994 au col de la Madelaine dans la direction de Grand'Coeur Moutiers atteint bien cette altitude par rapport au sol (1500, 2000 mètres d'épaisseur dur la zone désigné ci-dessus et beaucoup plus faible - 300 - 800 mais pas entièrement nulle sur lesmontagnes, y compris l'Everest). On y trouve comme je l'ai écrit par ailleurs des gaz infiniment plus GES que le CO2 à commencer par les hydrocarbures imbrûlés qui par les seuls jeux des complefification avec les goutelles d'eau, ou les cristaux de neige jouant le rôle de cryptates d'une part, ou de leur liquéfaction normale avec la température régnant n'existent plus au delà de l'alttude 700 hpa. Quant à relier les précipitations avec les tempéatures mesurées au sol c'est le folklore le plus grand : les précipitations ( neige et pluies) sont imposées par les conditions régnant au dessus de 70 hPa. pas par celles mesurées au sol ! -- lc30

ça se réchauffe c'est pour cela que j'ai enregistré ce matin 4° à Nîmes! Ah oui TF1 a montré une photo satellite avec des nuages : s'ils avaient consulté leurs correspondants ils n'auraient pas avancé une telle ânerie: les nuages c'étaient un bon brouillard presque jusqu'à midi ! -- lc30

c'est curieux ! ils mesurent tout dans n'importe quelles conditions de chimie de l'atmosphère comme si le CO2 était le seul sans se préoccuper des hydrocrabures, ni de ce qu'ils deviennent dans la haute atmosphère, au-delà de 3000 m, où pour différentes raisons, physique et chimiques ils disparaissent. ondirait qu'ils n'ont jamais été dans un aéroport repirer les saines vapeurs de kérosène. Et c'est là où est l'erreur majeure de leurs mesures de température, faites d'ailleurs automatiquement avec des instruments nettoyés ... tous les combien, recouverts de résidus de combustion. Et après ils viennet dire : le climat se réchauffe. L'effet d'ilôt urnain de chaleur ler est inconnu, et la seule chose qu'ils savent faire c'est l'affirmation péremptoire à partir de mesures biaisées par leur incompétence, et leur manque de nettoyage des appareils... Faites l'expérience ! -- lc30

naturellement je suis d'accord avec ancecdote. d'autant plus que dans des messages personnels nous avons échangé nos opinions. je vais en livrer une à laquelle les tenant du réchauffement devrait préter attention: les précipitations sont créées entre les altitudes de 3000 et 13000 mètres. Et on nous oppose de smesures au sol, dans des zones hyperpolluées pas seulement par le CO2, qui n'est qu'un avatar mais par des gaz bien plus denses qui pour des raisons de complexification chimique avec les cristaux de glace vont disparaitre dans la haute atmosphère. Les mesures au sol, anecdote et d'autres ont dit leurs erreurs : en fait elles sont bien plus grandes car en altitude il n'y a plus ces hydrocarbures dont l'effet esr plus considérable que celui du CO2 mais seuelemnt dansla pollusphère (épaisseur moyenne 1500 m et beaucoup plus au-dessus du triangle Hambourg - Venise - Madrid qui est la zone la plus polluée de la planète, mais n'en représente pas une grande partie) lc30

le problème des crues généralisées du bassin de la Seine est double : s'il pleut même moyennement sur le sol gelé alors c'est le risque d'inondation assuré. Une autre composante d'une crue généralisée c'est la fusion de la neige avec des cours d'eau encore gelés. ( les réservoirs "Seine" sont trop lointains pour avoir une grande efficacité, ce qui est efficace ce sont les travaux de suppression des obstacles dans le lit de la Seine depuis la crue de 1910: il n'y a qu'une façon de régler au mieux les problèmes de crue : faciliter le libre écoulement des eaux et l'ânerie majeure parisienne ce sont bien les voies sur berges......, et quelques ponts qui forment des obstacles) Maintenant quant à comparer 1910, 1740, etc.... il faudrait intégrer l'état du lit aux époques données, et cela est impossible ! Si jamais 1910 se reproduisait il faudrait plusieurs années pour remettre en état tout ce qui est souterrain à Paris, et pas seulement le métro ! __ lc30

pour le niveau 1ere, à moins d'avoir els connaissances de certains, la première des choses à faire est de lire l'excellent livre de Le Roy ladurie "histoire du climat depuis l'an mil. Ensuit dans la revue "pour la Science" il ya deux ou trois ans on trouve un excellent article signé Michel MAGNY sur la paléobotanique permettant de remonter l'histoire de la climatologie. Enfin voir avec un moteur de recherche le point où se trouve la dendrochronologie -- lc30

Il y aune chose certaine : c'est que de spériodes plus chaudes au plus froides que la période actuelle ont existé dans un passé récent ( au sen géologique du terme récent). Aussi certain c'est que l'on a raement eu depuis 1 million d'années une période "chaude " aussi longue que celle qui débuta il y a 20.000 ans. Autre chose dans le passé on a eu aussi des fortes périodes de croissance de la teneur en C0 2, croissance qu l'on doit juger naturelle. mais ce que l'on oublie, c'est que ce que j'ai appelé "pollusphère" contient autre chose que du CO2 en tant que gaz à effet de serre : du méthane, bien plus efficace sur le plan de l'effet de serre, mais encore mieux que le méthane : propane et butane, voire d'ordre supérieur , tous d'origine pétrolière, soit sous la forme de gaz fatal, soit d'origine de combustion incomplète. mais ces gaz , les plus lourds se concentrent dans la basse atmosphère, le lieu où ils sont relachés. Pour s'en càonvaincre il suffit de voir après une pluie les traces moirées d'hydrocarbures bien visibles à la surface des caniveaux. ce qui compte et ce que le satellite ERBS avait montré il y a quelques années c'est ce qui se passe au-dessus de 3000 m sur les terres polluées, et au-dessus de 1500 m ailleurs ( voir plus bas pour l'Antarctique) c'est à dire hors de la pollusphère. Or où naissent les précipitations ..... entre 3000 et 13000 m d'altitude ( donc au-delaà de 700 hPa) -- lc30

je sors d'un colloque très sérieux sur les événements hyrauliques extrêmes ( sécheresse et inondations), il est effectif que l'on a des cycles, des périodes où un grand nombre de pays sont touchés en même temps par le même fléau, mais d'après ces études où l'histoire n'est pas oubliée on a des périodes de très grand calme ( là je citerai pour mon cas personnel celui de Nîmes entre 1938 et 1988) puis des reprises. Idem pour le Rhône où l'on a une concentration d'événements graves entre 1886 et 1919 et quasiment rien entre 1936 et 1976... Alors cycle solaire ou astronomique j'y crois peu. -- lc30

que dit BOLAM ? qui en la matière est plus que précis. Il annonçaitde la neige pour la nuit dernière à valence... et en attendnat à Valence TGV... c'était tout blanc ! -- Lucien COSTE