sebb

Et oui, nan mais c'est sûr que brut par carte, mais pourtant je ne suis pas d'accord du tout, mais incapable d'argumenter ce que je veux dire, je les ai bien vu ces cartes, pris à la lettre c'est sûr que, pas moyen d' expliquer ce que je veux dire, pour dire qu'il a toujours permis de conclure au cheminement actuel (enfin c'est ce que je pense), tanpis pour moi lol. Une réflexion qui s'exposait à ta remarque, rien à redire.

Une stabilité remarquable, par contre si on entre dans du réglage, ma confiance à son égard va diminuer. Surtout si selon cette modélisation, le bloc dépressionnaire qui descend à 2 cœurs. Trépident, le mot est bien choisi!

D'un point de vue déterministe, les dernière sorties te donnent raison sur l'absence d'AS, bon à 200h on sait que leur corrélation n'est pas bonne. Les ensembles vont dans ce sens aussi. Mais ce n'est pas l'option AS que je voulais laisser sous entendre, mais plutôt le flux continental de BC après notre descente NNO du début de topic, descente qui comme le relève Kéké sur l'autre topic, bénéficie encore d'un ET sur une tranche de 24h, par exemple davantage avancée sur les dernière sorties. Enfin bref, ça ne change pas grand chose, mais elle pourrait laisser quelques jours assez froids au sol, malgré une possible orientation du flux d'altitude plus SSO ou OSO. Effectivement une nao- durable va être compliquée puisque le ssw débutant n'aura pas encore porté ses fruits, d'autant plus qu' on ne sait pas si il arrivera à s'étendre en moyenne voire basse strato. Si on enlève les cyclogenèses en cours à une échéance X ou Y de l'HN, en ne conservant que l'état du VP laissé par les anciennes, on constate que le VP ne devrait pas être étendu au-delà de la pointe Sud du Groenland. Ce qui permet de photographier l'onde de Rossby du moment, et comme le blocage (ou dorsale non isolée bloquée ou lente, je n'ai jamais réussi à saisir les subtilités du truc) en Alaska se crédibilise de plus en plus, cela implique une bonne longueur d'onde. L'apport de perturbation barocline, en provenance du SO Atlantique, plus ou moins soutenues selon la phase la plus vraisemblable du moment de la MJO, et venant se développer de cette zone cyclonique, devrait orienter un flux assez méridien genre SSO ou SO plutôt que O par le vent engendré. L'impact de ces dépressions sur le régime BF vers l'Est étant alors assez lent pour contre carrer la propagation vers l'Ouest d'une onde de Rossby. C'est pour ce genre de raison, que je pense en option première, qu'un flux continental au moins en BC devrait tenir quelques jours, mais il faudra à mon avis que la strato soit davantage secouer pour qu'une dynamique genre froid durable sur notre zone se mette en place.

En admettant qu'il n'y est pas de retournement de veste ce qui n'est pas exclu, il semble que le gros des troupes voient la racine de la descente froide se décaler vers l'Est, avec cependant un isolement de sa pointe Sud vers la méditerranée, emplacement et intensité qui dépendraient de la vigueur d'une anomalie secondaire esquissée depuis 2 jours par les ensembles, et illustré plus concrètement par cep aujourd'hui. La tendance la plus crédible à mon sens en ce tout début d'échéance serait alors un basculement en flux de NO voire NNO, placé sous le signe de l'instabilité, avec des précipitations sous toutes les formes, l'intensité d'un creux secondaire qui reste à confirmer, déterminant une sensation de coup d'hiver ou d'un traîne de Mars entre 2 perturbations. Pour la suite donc dés le 30, que c'est nébuleux, nao peu négative à positive pour le moment, une MJO qui refait surface en phase 4, un vp concentré, un début de ssw donc en attente de conséquence. Des éléments favorables à une circulation d'Ouest assez basse, en espérant que la propagation aille jusqu'à l'UE en nous évitant le flux de SO Anticyclonique, ou reste bien à l'Est version nao-. Reste à espérer que l'effet continentale fasse traîner l'effet anticyclone thermique.

Remarquable quand même, si le scénario dominant se réalise, alors cela voudra dire que la prévision de ce topic aurait pu être faite uniquement à partir du cep qui reste droit dans ses bottes. Donc anticyclonique et doux jusqu'à noël, puis front froid faible arrivant le soir du réveillon, poursuivant son chemin le 25. Plus actif sur sa partie Est, neige en montagne jusqu'à basse altitude, moins actif dans l'Ouest, rafraîchissement moins marqué, mais les gelées pourront si le ciel se dégage concerner tout le pays. Arrivée d'un front chaud le 27, avec donc une nette hausse des T°C et un bandeau pluvieux qui concernera assez vite l'essentiel du pays. S'en suivra le front froid, actif voire très actif, mal calé, vent et bonnes pluies au programme. Neige enfin substantielle pour tous les massifs à toute altitude, voire même quelques flocons en plaine en fin de front selon certaines modélisations.

C'est vrai que si on commente ce run cep en particulier, il est presque dans la caricature, surtout que normalement la reprise de la MJO ne devrait pas impacter cette ondulation là. Même GEM n'est pas plus excessif. C'est bel et bien entre 100 et 120h qu'un jet secondaire correspondant à un mollasson talweg Atlantique vient pomper très bas, pour advecter très haut en latitude à la rencontre de l'amorce de la descente polaire.

Même vision,sauf en nuance où je ne pense pas qu'il y est de froid en vue pour ce topic (toujours en dehors du front faible pour les massifs surtout vers noel et des gelées qui pourraient suivre), le froid maritime de NO, voire NNO selon les sorties serait pour le suivant. Mais le secteur chaud est assez important car l'anomalie froide d'altitude est appelée vers l'Ouest avec l'apport doux du talweg Atlantique. Cet apport doux de BC est une difficulté pour les modèles. C'est donc parti pour la valse des décalages spatio temporelles au sujet de cette dépression qui marque non seulement une descente d'air très froid en altitude, mais aussi une belle alimentation en air doux et humide.

Merci, c'est frissonnant, wow!

Euro4 est un excellent modèle dés lors qu'il s'agit de prévoir les nuages bas, on a remarqué ça avec Troospea.

Exact, Jepeto a du avoir un weekend difficile!

On risque d'avoir à faire à des situations limites, donc ne pas oublier qu'en France la prévision globale doit se situer entre 100 et 300 m, un truc dans le genre, sinon une précision permet de mieux comprendre un post qui parle de neige pendant 3 jours.

Bonne question, celle de de savoir pourquoi Fred préconisait d'ouvrir un nouveau topic des lamentations?

Et ben, étonné de lire certains posts de ce matin, mon opinion diverge du coup, puisque je trouve que la tendance est maintenue. Il n'y avait pas de froid prévu pour ce topic, et c'est maintenu. Un flux de NO voire NNO, sûrement le plus profond depuis le début de la saison reste possible pour le suivant. On y est pas mais je pense qu'une instabilité avec des précipitations sous toutes sortes de formes restent envisageables. Pourquoi? A priori, parce que l’activité dépressionnaire faiblarde du Labrador est désormais rendue sur l'Atlantique, c'est faiblard, pas très bleu, mais sur des eaux chaudes avec une masse d'air subtropicale. Ce jet secondaire pour reprendre les dires de Yann hier soir, ramène de l'air doux et humide interagir à un début de décrochage polaire (envie de fond de la synoptique). Au programme, l'AF devrait se maintenir jusqu'au réveillon. Un front froid devrait débarquer pour noël, avec enfin un peu de neige dans les massifs de l'Est. Un bon rafraîchissement globalement, avec le retour de gelées plus notable à l'arrière si le ciel se dégage correctement. Le 27, une cyclogenèse d'intensité à définir, s'opère entre l'Islande et l'Irlande, à son Sud le flux d'OSO accélère, un secteur chaud nous concerne, avec donc le retour d'une grande douceur. Le 28 voire le 29, à vérifier, mais un front pluvieux en plaine pourrait bien donner lieu à de bonnes chutes de neige en montagne, avec des averses à l'arrière.

Belle cohérence de cep entre ses sorties, cette cyclogénèse qui nous fait perdre du temps, et interdit le froid pour cette échéance. Mais la synoptique globale n'a pas l'air de vouloir disparaître pour le moment, et puis on peut toujours espérer que les gfs nous fassent un gros coup, sachant que ukmo à l'air d'avoir le postérieur entre 2 chaises au niveau de cette cyclo. Si je ne crois pas au froid (le vrai) pour cette échéance, je pense à au moins un passage au NNO, mais profond pour la toute fin d'année, selon le post de TV d'ailleurs, donc pour le topic suivant. GEM qui ne peut pas s'empêcher de tout exagérer est parfaitement utile dés qu'on tient compte de sa faiblesse de départ.

1800m la photo?

Je pense qu'on sait où veut en venir l'onde hémisphérique du moment, blocage sur l'Alaska, descente des bas geop sur le reste de l’Amérique, dorsale sur l'Ouest Groenlandais, écoulement d'air froid sur le SO Atlantique à l'avant de cette pulsion, descente d'air froid sur l'UE. Une situation mobile donc. C'est au niveau des cyclogénèses que c'est plus intéressant à mon avis. A 144h, alors que nous serions concernés par un front froid plus ou moins marqué plus sensible sur l'Est en flux de NO sur la bordure de l'AA/AF, les modèles envisagent une interaction entre une dépression d'air glacial et une dépression d'air plus doux: Les fleches représentent donc l'instant d'après, ce qui donnerait ça: Une cyclogénèse entre le Sud Islandais et le Nord Irlandais, sur ce point gfs reagit beaucoup, le contraste thermique est fort mais le jet pas exceptionnel, thetaE on a vu mieux, c'est bien sûr trop loin pour disserter, mais cep m'à l'air plus cohérent sur ça, soutenu également d'un point de vue probabiliste. Ca veut dire pour nous qu'on continue à perdre du temps, puisque cette cyclo trop nordique veut dire que le talweg Atlantique qui parait assez moribond car pas très bleu à d'autres arguments pour une dynamique loin d'être négligeable. Ce qui fait traîner l'AA vers chez nous. Ce qui voudrait dire, en espérant se tromper, que cette première dépression devrait simplement renforcer le flux d'Ouest sur nous, une seconde (topic suivant) reste à étudier, descendant le long Est d'une dorsale entretenue par la persistance de bas geop de l'autre côté de l'Atlantique, et non contrarier par l'ancien talweg Atlantique qui devrait s'être comblé. Bas géopotentiels Americain qui risquent d'être tenter à un moment ou l'autre de se rapprocher de l'Ouest Groenlandais si on perd trop de temps, sauf si la strato vient à la rescousse.

Non, même soucis ici, mon gazon pauvre en fétuque et riche en ray grass ne cesse de pousser, principalement au niveau du tallage de par le faible ensoleillement et l'évolution de la durée du jour. Et comme c'est humide en permanence, impossible de tondre, le gazon devient donc dense mais hétérogène, assez moche pour un jardin^^l'absence de montaison sauve les meubles. Mon problème de passionné c'est surtout qu'il va falloir une sacres couche de neige pour rendre l'aspect uni, donc je devrais tondre si les modèles s'affolent! les voisins vont encore rigoler

Ce dernier déterministe cep est clairement hivernal pour l'Est du pays pour noël avec la formation d'une dépression, ce qui augmente la probabilité de voir les massifs de l'Est blanchir à une altitude plus habituelle pour la saison. Pour ce qui intéresse la fin du topic et la suite, malheureusement, toujours pas d'option hivernale version plaine, à retenir en tendance pour ma part ce soir, même si les ensembles et au coup par coup les déterministes nous montrent que hors cyclogénèse, la trajectoire d'une descente polaire nous vise. Il faut bien admettre qu'il y a beaucoup de sorties PE ou déterministes qui nous montrent cette option précoce d'interaction avec les perturbations barocline habituelles en provenance du SO Atlantique. Dés le Nord Irlandais voire Sud Islandais, toute sortes d'invention dépressionnaire apparaissent plus ou moins régulièrement, ce qui fait perdre du temps, enfin je pense, à notre descente froide potentielle. Mais il y en a peut être une qui se consolide c'est le 1000 hpa se formant à 168h entre l'Irlande et l'Islande, ce n'est pas clair. Chez nous, cela s'apparente à un net renforcement du flux d'Ouest perturbé mettant fin à l'AF d'ailleurs. On comprend donc l'oxymore lol qui résulte de la version sans interaction et celle pleines d'interactions, les runs qui dépressionnent le plus tardivement sont donc plus favorable pour voir du vrai froid se rapprocher, dorsale et descente froide (l'idée de fond) étant moins dérangées. Affaire à suivre.

Bonne régularité des modèles finalement compte tenu de l'échéance. L'AF actuel avec son interminable secteur chaud, visible avec son lot de bruines et de crachins, sans compter les fronts froids davantage pluvieux sur sa bordure Nord, et surtout sa grande douceur, doit toujours évoluer pour noël à peu près en AF frais/froid, avec un flux de NO, davantage établi en allant vers le NE. Quelques gelées pourraient faire leur retour. Pour la fin de ce topic, on a toujours la modélisation d'une descente polaire vers le Sud.(évidemment) Donc on conserve, par phénomène cyclonique, un bon redoux à l'avant, avec un gradient qui se resserre ce qui devrait dynamiser la situation. On ne sait toujours pas jusqu’où va descendre cette anomalie polaire, mais je commence à soupçonner qu'elle puisse atteindre la méditerranée, avec à la clef un flux de NNO profond. Si ça se passe comme ça, on aurait pas mal d'instabilité, neige à basse altitude, mélange de toute sorte en plaine. M'enfin bon, on va pas s'étaler sur ça pour le moment, puisque c'est une sorte de vision de trajectoire de fond, donc sans interférence/ Et justement, quelques runs fous de gfs (entre autres) nous montrent qu'il va sûrement falloir compter avec l'activité faiblement dépressionnaire Atlantique qui a l'air d'avoir l'intention d'interagir avec notre anomalie polaire. Ca veut dire qu'au rapproché de l'échéance, on risque d'avoir le droit à toutes sortes de dépressions fixées sur la partie SO de la descente. Je pense sans aucune certitude, que cette mécanique d'interaction, va avoir tendance à décaler progressivement la trajectoire de la descente. vers l'Ouest. Normalement dans ce genre de cas de figure, on perd du temps pour le froid, et la douceur perturbée en gagne, avec le risque de voir la mécanique hémisphérique favorable évoluer. Mais j'ai déjà largement franchi la limite temporelle de notre topic... Toujours rien de bien hivernale en vue pour le moment donc, avec un intérêt de suivi pour cette toute fin de topic, enfin surtout pour le suivant.

Je suis parfaitement d'accord avec Run, le changement confirmé, quitte à radoter, je trouve qu'on pourrait bien renouer avec des normes de saison pour noël, avec un flux de NO, avec une ondulation moyenne, c'est déjà mieux que celles que nous avons connu, limite du zonal ondulant. Puis ensuite, il est toujours envisageable qu'une nouvelle ondulation plus forte cette fois, se mette en place toujours sur l'Ouest Groenlanadais, toujours en lien avec le blocage en Alaska et la descente de bas geop sur l'Amerique qui va avec. Là encore, ce qui va avec, c'est une descente de bas geop sur l'Est de l'Atlantique. Les ensembles et cep sont assez réguliers sur ce point. La conséquence est un coup de douceur à l'avant de la descente polaire, avec un écart de température important en peu de kms dans ce genre de situation. En admettant que ça se passe comme ça, ce qui est déjà prétentieux, il faudra alors savoir jusqu'où va descendre cette anomalie d'air polaire. Rien de bien hivernal pour le moment, mais ça fait du bien d'avoir enfin un doute sur une possibilité hivernale pour cette fin de topic, ou plutôt première partie de l'autre.

Ce qui constitue déjà un progrès d'un point de vue hivernal, et qui élimine la perspective d'un zonal, même ondulant.

Le changement se confirme mine de rien, avec ce blocage sur l'Alaska relié à une descente de bas geop sur le reste de l'Amerique, qui permet à l'Atlantique de passer d'un système à ondulation courte, à un système à ondulation moyenne. La plupart des modèles envisagent une anomalie descendant par le NO avant la fin de ce topic, le dernier gfs, pragmatique rejoint cep avec donc le retour à un flux de NO avant même la fin de ce topic. Rien de bien hivernal pour le moment, mais je trouve que ça évolue dans le bon sens, on devrait renouer avec les normales de saison aux environs de noël, voire même passer en dessous sur le Nord du pays après. Et cette fois il s'agit de la masse d'air, pas d'un bricolage au sol, ce flux de NO serait plus profond. Le creusement d'une dépression marquée au Sud, donc à l'avant de cette descente serait un plus indiscutable, même si évidemment, dans un premier temps la douceur serait plus marquée à l'avant. Mais l'échéance, ne permet pas encore de vraiment de trop se pencher dessus, mais ça mérite d'être signalé.

Envie d'y croire à ce scénario gfs// !! même si pour le moment ce n'est pas le son de cloche que je retiens en LT. Mais en tout cas ça à l'air de vouloir bouger et je pense que ce constat fait l'unanimité /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">

Après notre AF, ou flux de NO (devenu peu marqué c'est selon), lié à un talweg Atlantique peu marqué aussi, lui même vestige d'une activité dépressionnaire faiblarde sur le Labrador, nous apportant douceur à toutes altitudes et humidité, puisque l’infiltration de fronts est maintenue, les modèles envisagent un front froid, dont les modalités restent à définir. Ce qui pourrait nous ramener en gros aux températures de la semaine dernière, de saison voir un cran en dessous selon les phénomènes de brouillard, rayonnement nocturne, ou frontolyse etc... aux environs de noël. Après noël, la situation est intéressante puisque ça devient plus compliqué même sur le plan général. Mais il semblerait que les modèles envisagent généralement l'émergence d'un blocage au niveau de l'Alaska (effet ssw?), donc d'une descente froide sur l'Est US, ayant comme conséquence un net renforcement de l'interaction barocline sur la côte Ouest du continent, avec comme résultante une dorsale entre l’Amérique et le Groenland. Par ailleurs, les ensembles ont l'air de nous renseigner sur l'évolution de cette dorsale, en nous indiquant que du Nord Groenland au Nord Islandais il n'est pas prévu de réelle hausse de l'épaisseur 1000/500, puisque le VP disons Scandinave y maintient son influence. Notre dorsale pourrait alors perdre en hauteur en nous approchant. L'étape d'après, encore plus dure car encore plus loin, et qui nous conduit à la fin de ce topic, semble nous indiquer une circulation depuis le SO Atlantique, de perturbations baroclines capables de venir interagir au champ polaire au niveau de l'Islande, ce qui nous vaudrait un flux d'Ouest ou SO aucune idée. Pour illustrer, nous avons cep qui tend à exagérer ce qui vient d'être dit, mais qui à le mérite de résumé la tendance pour laquelle j'opte, en espérant devoir, avec ces échéances tout à fait déraisonnables, retourner ma veste ^^

Pour que le scénario que décrit Cedric se réalise, il va probablement falloir que l'activité dépressionnaire Ouest Atlantique se renforce, mais pas autant à l'Ouest que ce que certaines modélisations laissent entendre, sinon nous risquons de nous retrouver à l'avant d'un talweg Atlantique. Quoiqu'il en soit à échéance plus raisonnable, les modèles sont assez concordants pour envisager une première partie d'échéance sous le signe de l'AF. Selon une majorité, l'emplacement de cet AF conduit à un flux d'Ouest à 850hpa, davantage sensible à mesure que l'on se dirige vers le Nord du pays, plus proche de la zone barocline. Zone barocline pas toujours linéaire avec le passage de fronts atténués, plus pluvieux sur la moitié Nord que sur la moitié Sud, ce qui n'engage pas pour autant le beau temps plus au Sud, avec un brassage négligeable et un apport en humidité, le soleil devrait se montrer assez rare. Sauf autour de la méditerranée qui verra mécaniquement l'air avoir tendance à baisser en % d'humidité. Pour les températures, ça reste souvent assez doux, puisqu'on est passé d'un flux ONO à un flux OnO, l'empreinte thermique des fronts est moins intéressante d'un point de vue rafraîchissant. A partir disons de noël, on a toujours cette tendance à la faible activité dépressionnaire du côté du Labrador, ce n'est pas intensif, mais comme la circulation 'circule', c'est suffisant pour prendre de la place sur l'Atlantique. Donc quand un run voit une ondulation, on sent le risque que rapidement, on se retrouve sous les racines de la dorsale, au moins près de l'Atlantique. Trop loin pour être précis, mais ça donne au meilleur des cas le retour au flux de NO un peu plus tranchant sans plus en allant vers l'Est. Le pire des cas qui n'est pas rare non plus sur les modèles, étant l'absence d'ondulation, donc un flux de SO/ AF persistant. C'est d'ailleurs l'allure des ensembles lissés à 192h.