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Neige : Ouest, Nord-Ouest, Centre-Ouest et Nord
tony86 a répondu à un sujet de cetaumatix78 dans Prévisions à court et moyen terme
moi je n'y crois pas météoconsult, il ne va pas y avoir des averses de neige que dans le nord lundi c'est sur tout le pays, c'est débile! -
ne t'inquiet pas avec météo-france ça change tellement vite /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">
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moi ici dans le centre-ouest la température a très légèrement baisser 10,5° au lieu de 11° et de la pluie faible tombe, 1mm de tomber /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">
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10,8° chez moi ds la vienne
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superbe pour arriver à photographier un telle photo il faut être là au bon moment au bon endroit /emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20"> , bravo à l'auteur /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">
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Neige : week-end du 22/23 janvier
tony86 a répondu à un sujet dans Prévisions à court et moyen terme
moi je pense que c'est pas la peine de parler de neige pour l'instant sur paris, le centre et autre suaf le nord-est ou la neige tombera, on n'en saura plus demain sur les chutes de neiges sur le nord et le centre car pour l'instant je trouve ça , vaut mieux encore attendre un peu, pour vraiment confirmer -
eux des orages je suis pas très sûr comme même plutôt quelques coups de tonnerres
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il faut mieux de regarder le printemps avant l'été, tu as qu'à regarder l'hiver prochain pendant que tu y est , non mais c'est vrai soyons réaliste
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C'est reparti pour du vent fort en Méditerranée
tony86 a répondu à un sujet de baptiste66 dans Prévisions à court et moyen terme
aussi un risque de gros coup de vent pour mardi sur la bretagne, côtes de la manche...., à surveiller 120km/h annoncés sur les côtes /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> -
jeudi 13 et vendredi 14 sur ARTE à 19 heures
tony86 a répondu à un sujet de cemoi35 dans Météo, environnement et société
merci cémoi35 je vais regarder certainement ou enregistrer -
à part quelques perturbations qui donnent très peu de pluie il n'y a rien, heureusement que le froid devrait arriver
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Tempète en vue sur l'Ouest de l'Irlande
tony86 a répondu à un sujet dans Prévisions à court et moyen terme
et malheureusement pour toi /emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20"> ça m'étonnerait fortement au contraire elle gongle de plus en plus -
étonnant qu'en france on n'est pas encore eu une sur l'ouest qui arrive par l'ouest, ça va sûrement venir au moins une fois cette hiver même si c'est une petite tempête /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">
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Coup de vent au nord de la Loire: Coup de vent en Manche: - Situation : en liaison avec le passage d'une profonde dépression sur les iles britanniques, se déclant rapidement vers le Danemark, nos régions septentrionales subissent un coup de vent ce samedi matin. - Evolution : la zone de vents forts, dont les rafales approchent le seuil de la tempête; circule le long des côtes de la Manche : les rafales atteignent 100 à 110 km/h, localement 120 km/h sur les caps exposés. La Bretagne et la Basse-Normandie étaient d'abord concernées au lever du jour, suivies en cours de matinée par les régions s'étendant vers la Belgique. -Les rafales maximales sont attendues au Nord de la Seine. -Dans l'intérieur des terres du nord de la Loire, les rafales sont comprises entre 70 et 90 km/h. - Retour au calme progressif en cours d'après-midi sur le quart nord-ouest, puis en soirée au nord de la Somme. Tempête sur les iles Britanniques et en Mer du Nord: la profonde dépression (965 hPa) circule des iles britanniques vers le danemark, qui sera atteint en soirée. Déja en matinée, on relevait des rafales à 160 km/h en Ecosse. La côte ouest du Danemark, les Pays-Bas et les iles de Frises pourraient connaitre des vents supérieurs à 150 km/h ce samedi après-midi et soir. source: météoconsult
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110 pour les côtes pas terrible coup de vent habituel
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oui moi aussi j'ai vu étonnant mais je ne peux pas de répondre si c'est une carte de dépannage
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Au moins 145 000 morts, les survivants attendent l'aide Des volontaires dans une morgue de Thaïlande.BANDA ACEH (Indonésie), 3 jan (AFP) - Les équipes de secours luttaient lundi pour acheminer vivres et médicaments dans les régions de l'océan Indien ravagées par les tsunamis du 26 décembre, qui ont fait plus de 145.000 morts et des millions de sinistrés, dont certains encore privés de toute aide. La mobilisation internationale exceptionnelle a déjà permis de recueillir pour 2 milliards de dollars de promesses d'aide publique. Mais les énormes difficultés logistiques et l'ampleur des destructions ajoutent à la complexité de l'opération humanitaire, en Indonésie notamment, pays le plus touché avec au moins 94.000 morts dans le nord de l'île de Sumatra. Les Nations unies ont déjà recueilli des promeses de dons pour un montant record de 1,5 milliard de dollars. "C'est ce que l'Onu récolte généralement en un an pour ses opérations humanitaires, c'est un montant sans précédent", a souligné une porte-parole de l'Onu. Le président américain George W. Bush a chargé deux de ses prédécesseurs, son père George Bush et Bill Clinton, de lever des fonds privés pour venir en aide aux victimes des raz-de-marée. Une intense activité diplomatique commence à se déployer dans la région, parallèlement aux opérations de terrain. Le secrétaire d'Etat américain Colin Powell est arrivé lundi à Bangkok à la tête d'une délégation comprenant Jeb Bush, gouverneur de la Floride et frère du président. Après la Thaïlande, M. Powell se rendra en Indonésie pour participer jeudi à Jakarta à un sommet international sur les conséquences de la catastrophe, parrainé par l'Association des Nations d'Asie du Sud-Est (Asean). Il ira ensuite au Sri Lanka. C'est en Indonésie que l'aide est la plus difficile à organiser, malgré le travail de plus de cinquante ONG médicales internationales et le renfort croissant des Nations Unies. Le secrétaire général de l'Onu, Kofi Annan, participera au sommet de Jakarta, de même que le président de la Commission européenne, José Manuel Durao Barroso, et le président en exercice de l'Union européenne, le Premier ministre luxembourgeois Jean-Claude Juncker. Sur l'île indonésienne de Sumatra, en particulier dans la province d'Aceh, l'opération humanitaire prend de l'ampleur, et le recensement des victimes se poursuit sur des pans entiers du littoral qui ont été engloutis, rendant certaines régions inaccessibles. C'est en Indonésie que l'aide est la plus difficile à organiser, malgré le travail de plus de cinquante ONG médicales internationales et le renfort croissant des Nations Unies. "Nous pouvons accéder à tous les pays touchés sauf (les régions de) Sumatra et Aceh en ce moment. C'est là que nous sommes en retard", a déclaré dimanche le coordonnateur de l'aide d'urgence de l'Onu, Jan Egeland. "90% de nos problèmes sont dans ces régions, parce que ce sont les plus reculées, celles où les dommages ont été les plus importants, où les routes sont les plus endommagées, les pistes d'atterrissage moins nombreuses et abîmées", a-t-il expliqué. Plus de 270.000 survivants s'entassaient lundi dans les camps d'urgence, selon le ministère indonésien de la Santé, dans des conditions de précarité faisant redouter des épidémies. "Il n'y a pas de sanitaires, pas de toilettes, pas de ramassage des ordures", soulignait Sasilia Daniel, médecin indonésien qui assiste 3.000 réfugiés à Banda Aceh, la capitale provinciale. En Thaïlande, le bilan des morts a atteint 5.187 tués, dont 2.463 étrangers.Dans l'ouest de la province d'Aceh, nombre de survivants attendaient encore une première aide. Fajari, un rescapé de 29 ans, racontait ainsi qu'il n'avait vu arriver qu'au bout d'une semaine les premiers secours dans son petit village, et que de nombreux autres attendaient toujours. "Il y a encore beaucoup de gens là-bas. Certains sont sérieusement blessés, d'autres sont déjà morts", disait-il, hospitalisé après avoir été récupéré par un hélicoptère américain. Le porte-avions américain Abraham Lincoln est positionné au large de Sumatra, et ses hélicoptères effectuent des rotations avec les régions isolées. D'autres pays et l'armée indonésienne renforcent chaque jour ce gigantesque pont aérien. D'importants renforts militaires américains, en particulier des navires de l'US Navy et des hélicoptères, sont en route pour les régions dévastées. Deux bâtiments de la marine française, le porte-hélicoptères Jeanne-d'Arc et la frégate Georges Leygues, doivent atteindre l'Indonésie le 10 janvier. Le président indonésien Susilo Bambang Yudhoyono a annoncé lundi que plusieurs pays asiatiques avaient commencé à travailler sur la mise en place d'un système d'alerte aux tsunamis, inexistant pour l'océan Indien. En Thaïlande, le bilan des morts a atteint 5.187 tués, dont 2.463 étrangers. Les raz-de-marée sur six provinces touristiques du sud du royaume ont balayé villages de pêcheurs et établissements hôteliers, notamment à Phuket et Phang Nga, hauts lieux du tourisme international. Des rescapés thaïlandais se plaignaient lundi de voir les secours se concentrer sur les zones touristiques et atteindre en priorité les étrangers. Une armée de secouristes, soldats et volontaires, par exemple, passait au peigne fin les ruines des zones touristiques à Khao Lak, dans la province de Phang Nga, où des milliers de touristes ont été tués. Mais dans le village musulman de Mai Lai, moins de 30 kilomètres au sud, les efforts des secouristes étaient nettement moins visibles. "Nous avons désespérément besoin de plus d'argent", déclarait Wantana Phongsangwan, l'un des coordinateurs de l'aide locale. "Ce que nous avons aujourd'hui nous a été envoyé par des gens généreux du coin, mais ça ne fait guère qu'environ 500 baht (10 euros) pour chaque foyer". Les autorités concentraient lundi la recherche des corps sur les zones les plus difficiles d'accès, comme les lacs du village de pêcheurs de Baan Nam Khem (sud), où des milliers de personnes sont portées disparues. En provenance des régions thaïlandaises dévastées parvenaient des informations laissant penser que le bilan pourrait gravement s'alourdir, au-delà même des sombres prévisions de 7.000 à 8.000 morts avancées par le Premier ministre Thaksin Shinawatra. Isolés eux aussi, des rescapés des archipels indiens des Andaman et Nicobar, perdus en mer à quelque 1.000 kilomètres à l'est de l'Inde continentale, n'avaient toujours pas reçu d'aide lundi. Au moins 818 personnes, selon un bilan officiel, sont mortes dans ces îles. Le bilan pour l'ensemble de l'Inde était lundi de 9.479 morts confirmés (dont 7.814 dans l'Etat méridional du Tamil Nadu) et 5.796 disparus dont la plupart sont présumés morts. Une grande partie des disparus se trouvaient dans les îles Andaman et Nicobar. Quelque 384.000 personnes restaient déplacées lundi, hébergées dans 560 camps. L'opération lancée par l'armée indienne est la plus importante jamais montée en temps de paix, avec un déploiement de près de 4.000 soldats et l'envoi de navires de guerre, d'hélicoptères et d'avions pour distribuer de l'aide au Sri Lanka voisin et aux Maldives. L'aide internationale tentait aussi de parvenir jusqu'aux sinistrés du Sri Lanka, qui comptabilisait lundi plus de 30.196 morts et 3.792 disparus. 861.016 personnes ont été déplacées par les tsunamis. 42 Marines américains sont arrivés lundi à Colombo, où près de 1.500 soldats américains sont attendus pour participer aux secours.
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Le monde entier sous le choc pour le passage à 2005, peut-être 150.000 morts Spectacle de désolation à Banda Aceh en Indonésie.JAKARTA, 1er jan (AFP) - Le traumatisme des raz-de-marée dévastateurs en Asie, qui ont peut-être fait 150.000 morts, a marqué le passage à 2005 dans le monde, avec des festivités annulées ou remplacées par des prières, tandis qu'une mobilisation internationale exceptionnelle s'organisait. Un nouveau séisme est survenu samedi au large de l'île indonésienne de Sumatra, l'une des régions les plus touchées par les tsunamis qui ont ravagé les rivages de l'Asie du Sud et du Sud-est le 26 décembre. Tout danger de nouveau raz-de-marée était cependant écarté, selon l'observatoire de Strasbourg (France), après cette secousse de magnitude 6,5 sur l'échelle ouverte de Richter. Au large de l'Inde, dans les archipels des Andaman et de Nicobar, situés près de l'épicentre du séisme, 74 répliques ont été ressenties depuis le 26 décembre, épuisant les habitants déjà gravement touchés, selon les services météorologiques locaux. L'Onu a estimé vendredi que les raz-de-marée pourraient avoir fait 150.000 morts, en admettant que le "chiffre absolu et définitif" ne sera probablement jamais connu. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a fait état samedi de l'apparition des premières maladies transmissibles dans les zones frappées par les raz-de-marée, où l'on comptabilise cinq millions de déplacés, souvent sans abri. "Il y a de plus en plus d'informations faisant état d'éruption de maladies diarrhéiques en provenance des camps de déplacés au Sri Lanka et en Inde", a déclaré le représentant du directeur général de l'OMS pour les crises David Navarro. Il a souligné qu'il était encore trop tôt pour dire si la mobilisation internationale suffirait à répondre aux besoins des populations, du fait des difficultés de l'acheminement des secours, en particulier dans la province indonésienne d'Aceh (île de Sumatra), la plus touchée par la catastrophe. La situation est dramatique dans le nord de Sumatra, où près de 100.000 personnes pourraient avoir péri et où 500.000 autres sont aujourd'hui sans abri. Des médecins dans la ville ravagée de Banda Aceh ont expliqué que de nombreux blessés souffraient de maladies respiratoires après avoir aspiré des particules, comme du sable, lorsqu'ils ont été entraînés dans les flots. De l'aide distribuée par un hélicoptère de la marine américaine sur la côte ouest de la provice d'Aceh a été prise d'assaut par des survivants affamés, a raconté un officier américain. Alors que les bilans ne cessent de s'aggraver, la communauté internationale se mobilise pour venir en aide aux sinistrés et réfléchir aux suites de la catastrophe. Les principaux bailleurs de fonds seront réunis le 6 janvier en Indonésie, pour un sommet de l'Association des nations de l'Asie du Sud-Est (Asean), élargi à d'autres Etats, consacré aux conséquences des raz-de-marée. Les Premiers ministres japonais Junichiro Koizumi et australien John Howard doivent y participer. Une conférence des donateurs pour venir en aide aux sinistrés aura lieu par ailleurs le 11 janvier à Genève. Le dernier décompte provisoire faisait état vendredi de plus de 126.000 morts, dont plusieurs milliers d'étrangers, dans huit pays d'Asie. Le premier pays touché est l'Indonésie, avec 79.9O6 morts confirmés dans le nord de Sumatra, mais les autorités ont annoncé qu'elles renonçaient désormais à tout décompte précis en raison d'une marge d'erreur trop importante. Au Sri Lanka, qui compte 28.743 morts officiellement, le nombre des disparus a fait un bond samedi, porté à 13.976 personnes. En Thaïlande, le dernier bilan publié samedi (4.812 morts, dont 2.407 étrangers, et 6.541 disparus) pourrait atteindre les 7.000 à 8.000 morts, selon les autorités. L'Inde compte elle 12.829 morts et disparus "présumés morts". La catastrophe qui a frappé l'Asie a entraîné l'annulation des festivités du Nouvel An dans la plupart des pays de la région, où le deuil et la prière ont remplacé les feux d'artifice, et a donné une sobriété particulière aux manifestations partout dans le monde. Ainsi à Times Square, au coeur de New York, des centaines de milliers de personnes ont observé une minute de silence à la mémoire des disparus. A Londres, un gigantesque feu d'artifice a illuminé la ville aux douze coups de minuit égrenés par Big Ben, mais deux minutes de silence ont rappelé aux spectateurs le sombre contexte des festivités. Et à Paris, où 400.000 personnes étaient rassemblées sur les Champs-Elysées, la célèbre avenue arborait, en signe de deuil, des crêpes noirs accrochés sur les arbres. En Asie, l'Indonésie, le plus grand pays musulman du monde, a vécu la dernière journée de 2004 dans le deuil et la prière, et le traditionnel feu d'artifice a été annulé. Le Sri Lanka a observé vendredi une journée de deuil national. Dans son message de Nouvel an, la présidente Chandrika Kumaratunga s'est toutefois voulue optimiste, affirmant que la tragédie des raz-de-marée avait créé une occasion pour trouver "une solution" à la question de la rébellion tamoule. En Thaïlande également, veillées à la bougie et cérémonies bouddhistes ont remplacé les feux d'artifice. Une veillée aux chandelles et des appels à la prière ont accueilli 2005 sur l'île touristique dévastée de Phuket où, aux douze coups de minuit, des centaines de Thaïlandais et de touristes étrangers sont descendus dans les rues de Patong, bougies et fleurs à la main. En Malaisie, pourtant nettement moins touchée avec 53 morts, les festivités ont aussi été remplacées par des prières. En signe de solidarité, Hong Kong a annulé ses feux d'artifice. En Italie, de nombreuses festivités ont été annulées, de même qu'en Turquie et à Bruxelles. Cependant, la vague de solidarité mondiale vers l'Asie ne cesse de prendre de l'ampleur. L'aide internationale promise dépassait samedi les 1,6 milliard de dollars, avec les 500 millions de dollars de dons annoncés par le Japon. Le pape Jean Paul II s'est félicité samedi de l'élan dans le monde entier pour venir en aide aux pays frappés par le cataclysme en Asie, voyant dans ce "mouvement de solidarité" une raison d'espérer en l'avenir, à l'aube de la nouvelle année. Le Premier ministre britannique Tony Blair a insisté samedi sur la nécessité d'un effort à long terme en faveur des victimes. Pour M. Blair, "les conséquences (des tsunamis) ne sont pas à court terme et immédiates, mais à long terme. Elles demanderont beaucoup de travail pour la communauté internationale pendant des mois, voire des années". Les Britannniques se sont montrés particulièrement généreux: les dons privés ont atteint samedi 60 millions de livres (84,6 millions d'euros), soit plus que l'aide promise par le gouvernement, d'un montant de 50 millions de livres (70,5 millions d'euros). Les Etats-Unis ont décuplé vendredi leur aide, passée de 35 millions à 350 millions de dollars, et vont envoyer jusqu'à 1.500 Marines, un navire et 20 hélicoptères pour aider les opérations de secours au Sri Lanka. En outre, le secrétaire d'Etat américain Colin Powell doit se rendre dimanche dans la région. L'Australie a doublé son aide à 60 millions de dollars australiens (environ 47 millions de dollars US). A l'instar du Sénégal, qui a fait un don de 150.000 euros, le petit Etat africain de la Guinée équatoriale a décidé d'octroyer 200.000 dollars aux victimes des raz-de-marée.
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Coup de vent sur les cotes de la manche
tony86 a répondu à un sujet de rglkm76 dans Prévisions à court et moyen terme
ça s'active pas beaucoup en ce moment en tout cas -
pluies diluviennes depuis 2 jours au sri-lanka, LA TOTALE /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20">/emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20">
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120 000 morts en Asie Le bilan du tsunami s'est considérablement alourdi, notamment en Indonésie où 80 000 personnes ont péri. De nombreuses répliques sismiques ont provoqué des mouvements de panique ce jeudi. Quatre jours après le terrible raz-de-marée qui a dévasté l’Asie du Sud-Est, le bilan ne cesse de s’alourdir. Il s'élève désormais à près de 120.000 morts. Plus de la moitié des victimes ont été recensées en Indonésie (au moins 80.000). Le Sri Lanka, l’Inde et la Thaïlande sont également très touchés avec respectivement, 24.700, 13.000 et 2.000 morts. Des dizaines de milliers de personnes sont toujours portées disparues (lire Le bilan pays par pays). "Nous estimons que jusqu'à cinq millions de gens sont déplacés et vulnérables dans la région", a par ailleurs estimé Harsaran Pandey, porte-parole de l'OMS pour l'Asie du sud. Sur ce terrible bilan, de nombreux étrangers venus dans ces régions très touristiques : plus de 700 morts recensés au Sud de la Thaïlande ne seraient ainsi pas des ressortissants thaïlandais. Panique Jeudi matin, une nouvelle alerte au tsunami a provoqué des mouvements de panique au sud de l’Inde, dans la province de Tamil Nadu. "Les vagues arrivent!", criaient des habitants effrayés, fuyant par milliers la région comme ils pouvaient, en bus ou à pied. Cette alerte avait été déclenchée suite à de fortes répliques sismiques ressenties dans le nord de l'île indonésienne de Sumatra. Ces tremblements de terre multiples continuent d'alimenter l'angoisse des survivants. Un séisme de faible magnitude (4,6) sur l'échelle de Richter a semé la panique jeudi en Papouasie occidentale, une immense région indonésienne où les habitants sont pourtant habitués aux secousses telluriques. A Banda Aceh, au nord de l’île de Sumatra, le sol a encore frémi à trois reprises ce matin (Lire "On peut s'attendre à des répliques" ). Deux tremblements de terre de magnitude 5,4 et 5,6 sur l'échelle ouverte de Richter ont aussi secoué la Birmanie, selon des sismologues thaïlandais qui ont souligné qu'aucune alerte au tsunami n'avait été lancée en Thaïlande, les deux séismes s'étant produits loin à l'intérieur des terres. S'ajoutant à ces séismes, le dernier volcan actif de l'Inde, situé dans l'archipel d'Andaman, sur la petite île de Barren, est en éruption depuis mardi - éruption qui n'a heureusement pas fait de victime. Risque d’épidémies Des millions de personnes sont toujours en quête d'eau potable et de nourriture. Alors que des milliers de cadavres pourrissent au soleil, les risques sanitaires menacent les survivants des raz de marée du week-end (Lire : Après le séisme, le risque d’épidémies). Les Nations unies ont mis en route une opération humanitaire sans précédent dans leur histoire pour venir en aide aux survivants. Le monde entier est appelé au chevet de l'Asie. En trois jours, entre 50 et 60 pays ont débloqué ou promis une assistance financière de plus de 220 millions de dollars. George W. Bush, a annoncé la formation d'une coalition internationale pour coordonner les secours. Y participent pour l’instant, outre les Etats-Unis, l'Australie, le Japon et l'Inde.(Lire Elan de solidarité pour l’Asie sinistrée). Barnier rapatrie des Français Le ministre des Affaires étrangères est rentré dans la nuit de mercredi à jeudi de Phuket (Thaïlande) avec, à bord de son avion, douze blessés français. Ces douze personnes ont été blessées dans l'île de Phuket (sud), ou dans la localité toute proche de Khao Lak, particulièrement touchée. Un nouveau bilan fourni ce matin faisait état de 21 Français tués, 90 disparus, 242 blessés et la France est sans nouvelles de centaines d'autres de ses ressortissants. (Lire Des centaines de Français recherchés). D'ici demain, tous les Français retrouvés dans la zone sinistrée auront été rapatriés.
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Semaine du 03/01/05 au 09/01/05
tony86 a répondu à un sujet de Pierro_FFX dans Evolution à plus long terme
et pas de tempête à l'horizon, comme même étonnant /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> -
-5° pluie verglaçante
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3,5° pis tu es en vigilance moi dans la vienne 2°et pas en vigilance et quelques nuages , oh lalalalala
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est-ce que j'aurai de la neige dans le nord-est de la vienne(86) à l'avant?