WarGrinder Posté(e) 29 août 2008 Partager Posté(e) 29 août 2008 Bon voilà la chose avec laquelle j'ai le plus de mal je pense. Je n'ai jamais vraiment compris le fonctionnement de la pression atmosphérique, ni vraiment qu'est-ce que c'était. Il me semble que quand il y a un passage de haute-pression, c'est un anticyclone, et quand il y a un passage de basse pression, c'est une dépression. Comme d'habitude corrigez-moi si je dis une bêtise. En quoi la pression atmosphérique joue-t-elle sur le temps qu'il fait ? A partir de combien d'hPa peut-on parler de dépression ou d'anticyclone si tel est le cas ? Merci d'avance pour votre aide /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> . Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Guest Posté(e) 29 août 2008 Partager Posté(e) 29 août 2008 Bonjour WarGrinder /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> . Qu'est-ce que la pression atmosphérique? L'air est constitué de molécules sans cesse en mouvement. Donc plus il y a de molécules, plus il y aura d'énergie développée (les molécules en mouvement se heurtant à toutes les surfaces). La pression est donc variable selon la quantité d'air. Par exemple quand tu souffles dans un ballon, il gonflera parce que tu mets plus d'air dedans. Plus d'air = plus de molécules = plus de pression sur les parois internes du ballon, ce qui le fait gonfler. Maintenant, à quoi sert-elle en météo? Voyons d'abord comment naissent les centres d'action (anticyclones et dépressions). Un anticyclone est du à une descendance d'air froid (l'air froid étant plus lourd que l'air chaud). cet air froid vient donc entrer en contact avec le sol: il se forme donc une pression plus forte, l'anticyclone est né. La dépression maintenant. C'est le contraire: il résulte d'une ascendance d'air chaud, qui part des basses couches jusqu'aux hautes altitudes de la troposphère. L'air "quitte le sol" en grande partie -pour simplifier-, il y a donc moins d'air, donc une pression moins influente. Désormais il reste à savoir quelles en sont les conséquences. Dans une dépression, l'air chaud ascendant en montant rencontre de l'air plus froid. L'humidité que l'air chaud contenait se condense alors (l'air chaud peut davantage contenir de vapeur d'eau que l'air froid) en petites gouttelettes ou cristaux de glace: les nuages naissent alors en masse, et il finit par s'y former une frontogenèse (succession de perturbations pluvieuses). Dans l'anticyclone, il n'y a pas de courant ascendants suffisamment puissants pour former des nuages de pluie car les courants y sont majoritairement descendants. Il y fait donc généralement beau. La moyenne de pression est de 1015 hPa: En deçà de cette valeur nous sommes sous l'influence dépressionnaire, et au-delà, anticyclonique. Maintenant il y a les exceptions: par fortes chaleurs estivales, même par 1020 hPa, il peut s'y former de puissantes ascendances locales (surchauffe des sols), originaires des orages. Dans le cas d'une proximité dépressionnaire, il peut même y passer de vrais corps pluvieux. Mais généralement retiens ceci: Anticyclone = temps globalement ensoleillé et calme; Dépression = temps globalement gris et pluvieux. Neigepassion . Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Damien49 Posté(e) 29 août 2008 La-Chapelle-Saint-Florent - 49 (proche 44, bord Loire) Partager Posté(e) 29 août 2008 Pourvu que gombervaux ne lise pas ton post Neigepassion /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> Là tu nous resors de la bonne vieille théorie norvégienne. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
WarGrinder Posté(e) 29 août 2008 Auteur Partager Posté(e) 29 août 2008 En tout cas merci pour ton post Neigepassion, c'est très bien expliqué, c'est le genre de discours qu'il me faut /emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20"> Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Guest Posté(e) 29 août 2008 Partager Posté(e) 29 août 2008 Pourvu que gombervaux ne lise pas ton post Neigepassion /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> Là tu nous resors de la bonne vieille théorie norvégienne. C'est à dire? Où est mon erreur? Je suis toujours ouvert aux critiques argumentées pour en apprendre davantage bien sûr. /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> Neigepassion. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Damien49 Posté(e) 29 août 2008 La-Chapelle-Saint-Florent - 49 (proche 44, bord Loire) Partager Posté(e) 29 août 2008 Il me semble que quand il y a un passage de haute-pression, c'est un anticyclone, et quand il y a un passage de basse pression, c'est une dépression. Oui. La pression détermine le poids de la colonne d'air situé au-dessus. C'est à peu près tout ce qu'il y a à savoir. En quoi la pression atmosphérique joue-t-elle sur le temps qu'il fait ? Les anticyclones et dépressions ne sont la cause de rien. Si, on peut parler du vent géostrophique, valable surtout en altitude et parallèle aux gradients de pressions. Pour le reste, c'est faux... A partir de combien d'hPa peut-on parler de dépression ou d'anticyclone si tel est le cas ? En moyenne 1015 hpa à peu près en surface. Quand on va en-dessous, on est dans des basses pressions et au-dessus, des hautes pressions. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Guest Posté(e) 29 août 2008 Partager Posté(e) 29 août 2008 En tout cas merci pour ton post Neigepassion, c'est très bien expliqué, c'est le genre de discours qu'il me faut /emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20"> Non justement. Parce que, comme expliqué par Damien, ce discours est faux. Il y a d'ailleurs cet article simple sur le vent géosptrophique et agéostrophique pour compléter ses propos. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Guest Posté(e) 29 août 2008 Partager Posté(e) 29 août 2008 Non justement. Parce que, comme expliqué par Damien, ce discours est faux. Il y a d'ailleurs cet article simple sur le vent géosptrophique et agéostrophique pour compléter ses propos. Ah ouais comme quoi j'en ai encore beaucoup à apprendre. Moi qui avais mes convictions, voilà que c'est chamboulé! Bref merci Yann pour le lien et la rectif, et désolé WarGrinder pour mes propos erronés . PS: Cependant tout n'est pas faux non? Une dépression est bien due à une ascendance et un anti d'une descendance d'air? Et ma définition de la pression n'est pas fausse à ce que je sache, si? C'est un peu dur de tout comprendre sur ce lien. Neigepassion. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
WarGrinder Posté(e) 29 août 2008 Auteur Partager Posté(e) 29 août 2008 Non justement. Parce que, comme expliqué par Damien, ce discours est faux. Je ne parlais pas du discours en lui-même, mais la manière dont il a été expliqué /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> Merci pour le lien. --- Wow, entre vent geostrophique, equilibre geostrophique, force de Coriolis, gradient, couche limite, friction, échelle synoptique, je m'en sors plus moi Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gombervaux Posté(e) 31 août 2008 Partager Posté(e) 31 août 2008 PS: Cependant tout n'est pas faux non? Une dépression est bien due à une ascendance et un anti d'une descendance d'air? Non,une dépression ou une haute pression sont des zone statistiques de poids de la colonne d'air. Ca n'a rien à voir avec les vitesses verticales, mais avec les compositions chimiques de cette colonne et l'épaisseur des composants. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cotissois 31 Posté(e) 31 août 2008 Brest Partager Posté(e) 31 août 2008 Plutôt d'accord dans l'ensemble avec neige passion, mais ce n'est pas l'air froid qui chute dans un anticyclone mais une convergence d'altitude avec profil stabilisé (inversion) qui empêche toute ascendance. La pression augmente si la divergence au sol ne compense pas la convergence d'altitude. A l'échelle de la convection (orages), les hausses subites de pression sont par contre possiblement liées à une injection d'air froid plus dense. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
sirius Posté(e) 1 septembre 2008 Haut Doubs Partager Posté(e) 1 septembre 2008 Il me semble qu'il serait utile d'en revenir à la définition mêm de la pression exercée par un fluide. Elle est due à l'agitation des molécules : celles ci sont animées d'une certaine vitesse et ont donc une quantité de mouvement (impulsion) qui provoque des chocs sur n'importe quelle paroie (et quelle que soit l'orientation de la paroi puisque l'agitation moléculaire se fait dans toutes les directions) Plus le nb de molécules est élevé , plus le nb de chocs est grand et plus, donc, la pression est grande. C'est quand même fort différent de la notion de poids. Ensuite, plus la température est élevée, plus les molécules vont vite et, donc, plus les chocs sont forts, donc plus la pression est grande. Dire que la pression, c'est le poids de la colonne d'air suppose implicitement l'équilibre hydrostatique, ce qui n'est qu'une approximation. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gombervaux Posté(e) 1 septembre 2008 Partager Posté(e) 1 septembre 2008 Dire que la pression, c'est le poids de la colonne d'air suppose implicitement l'équilibre hydrostatique, ce qui n'est qu'une approximation. C'est sûr, d'ailleurs, en météo les champs de pression ne sont plus utilisés que pour évaluer les vents horizontaux, là où c'est possible (rares zones de lignes de champs rectilignes) en utilisant l'approximation géostrophique.Mais rien n'empêche, pour exercice, de tenter de faire coller la vieille approximation norvégienne aux cartes calculées sans passer par cette théorie. On en verra vite les limites. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
brandi Posté(e) 3 septembre 2008 Partager Posté(e) 3 septembre 2008 La quantité de molecule au dessus de notre tête ne suffit pas à etablir la pression, s' il y a des mouvements verticaux ça influ. Par exemple de l'eau qui nous tombe sur la tête avec une vitesse horizontale ne donnera pas la même pression que si elle est statique. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cotissois 31 Posté(e) 3 septembre 2008 Brest Partager Posté(e) 3 septembre 2008 Oui vous avez raison sur ces précisions, mais dire que c'est le poids de la colonne d'air au-dessus est en grande partie vrai quand même... Pour les liens entre pression et mouvements verticaux, on peut retenir en gros qu'une dépression révèle des ascendances, une surpression (anticyclone) révèle une subsidence. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
orage30 Posté(e) 4 septembre 2008 Partager Posté(e) 4 septembre 2008 salut tout le monde, voila j'ai commencer a monter un dossier concernant la pression atmosphérique. je mets qu'un passage de ce dossier LA PRESSION ATMOSPHERIQUE Qu’est ce que la pression ? La pression atmosphérique est le poids, en un point, de la totalité de l’air situé au dessus de nous. Une colonne verticale d’air sur une section de 1 cm² pèse environ 1kg. Donc cela représente 1kg/cm² soit 1015millibars ou encore 1015hPa (hectoPascal). Pression représenté au niveau de la mer. Voir schéma Unités ? Il y a différentes unité pour mesurer la pression atmosphérique. Nous avons : - le millimètre de mercure (mm Hg) - le millibar (mbar) - L’hectopascal (hPa) A l’heure actuelle nous utilisons plus l’hectopascal comme unité de référence. Et la variation avec l’altitude ? Oui, une chose à savoir c’est que la pression varie en fonction de l’altitude à cause de la température. Plus on monte dans l’atmosphère plus la pression baisse. Attention en météorologie on s’arrête à la troposphère environ 10km d’altitude. La température joue un rôle important dans les variations de pression. Explication : Point important : La gravité terrestre intervient dans la variation de pression avec l’altitude ! La pression résulte des collisions des molécules de l’air (molécule d’air et autre gaz dans l’atmosphère), plus y a de collision plus la pression est grande. Tandis que la température quand a elle est créer par l’agitation des molécules d’air. Plus sa s’agite plus la température y est élevé et inversement. Mais que vient faire la gravité dans tout ca ? Tout corps est soumit a la gravité, même pour les molécules. Puisque les molécules de l’air sont attirées vers le sol, la densité de l’air est plus grande près de la surface de la planète. La pression varie au sol entre 950hPa et 1050hPa même au sol la pression varie car l’air monte ou s’affaisse. Maintenant si on prend une colonne d’air de 0 à 10km d’altitude on sait que l’air est plus léger en altitude qu’au sol. Quelque soit l’altitude ou l’on se trouve, la pression au dessus de notre tête sera plus faible. A savoir aussi que la pression décroit très rapidement car elle est divisé par 2 tout les 5km. voila ma vision des choses au niveau de la pression atmsphérique /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cotissois 31 Posté(e) 4 septembre 2008 Brest Partager Posté(e) 4 septembre 2008 C'est gentil mais ça aurait été plus simple si tu nous avais donné un lien html parce que là ça trouble un peu la discussion. Attention, il y a des erreurs d'orthographe, et surtout de sens : "la pression qui baisse à cause de la température"... La pression atmosphérique tu l'as défini, elle est "forte" en surface. Dans l'espace elle est nulle (pas d'air) donc c'est un peu normal qu'elle baisse avec l'altitude. /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
orage30 Posté(e) 4 septembre 2008 Partager Posté(e) 4 septembre 2008 salut, désolé d'avoir dérangé le post mais je pensais bien faire en mettant mon dossier. /emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20"> la pression atmosphérique tu l'as défini, elle est "forte" en surface. Dans l'espace elle est nulle (pas d'air) donc c'est un peu normal qu'elle baisse avec l'altitude. ok ton explication est juste mais pour moi c'est trop simplifié, a la base c'est un dossier pour le grand public donc on doit faire simple mais aussi argumenter. dans ton exemple , tu dis " "forte" en surface. et nulle (pas d'air) dans l'espace" oui mais pourquoi forte en surface ? d'ou mon explication sur la température ! mais y a aussi la gravité qui joue ! Tout corps est soumit a la gravité, même pour les molécules. Puisque les molécules de l’air sont attirées vers le sol, la densité de l’air est plus grande près de la surface de la planète voila mon argumentation /emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20"> @+ /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cotissois 31 Posté(e) 4 septembre 2008 Brest Partager Posté(e) 4 septembre 2008 Excuse-moi je précise : la pression est nulle dans l'espace. Elle augmente en pénétrant l'atmosphère donc forcément au sol elle est "forte" au sens de "maximale". Tu as raison sur la densité maximale de l'air au sol mais celle-ci ne fait qu'accélérer la décroissance. Avec densité constante, la pression serait bien aussi décroissante (voir les océans) La température ne peut pas contrer cette décroissance avec l'altitude, seulement la ralentir un peu (la température joue sur la densité) : la pression décroît moins rapidement aux tropiques qu'aux pôles. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gombervaux Posté(e) 6 septembre 2008 Partager Posté(e) 6 septembre 2008 Merci Orage30 d'avoir mis toute l'explication, Pour Brandi: le baro n'est pas exposé à la pluie, il ne mesurera pas la présence de gouttelettes. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cotissois 31 Posté(e) 6 septembre 2008 Brest Partager Posté(e) 6 septembre 2008 Merci Orage30 d'avoir mis toute l'explication, Pour Brandi: le baro n'est pas exposé à la pluie, il ne mesurera pas la présence de gouttelettes. Euh je ne comprends vraiment pas Gombervaux... - remercier 'orage30' alors qu'il soumet un texte à vérification qui à mon avis embrouille plus qu'autre chose... - le baro qui ne mesure pas les goutelettes... brandi veut parler de pression dynamique de l'air Bon, je crois que l'exposé de neigepassion était pas mal dans l'ensemble, répondant bien aux questions posées. Orage30 appuie sur la décroissance de la pression avec l'altitude, certes mais il ne faut pas faire jouer un faux rôle à la température. /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cirus Posté(e) 6 septembre 2008 Partager Posté(e) 6 septembre 2008 Vous me troublez tous avec vos arguments. Sa part de gauche à droite et vis versa. Tout est confus dans ma tête. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
WarGrinder Posté(e) 6 septembre 2008 Auteur Partager Posté(e) 6 septembre 2008 C'est vrai que c'est assez troublant tout ça, je sais plus où donner de la tête Finalement, le discours de Neigepassion était-il faux ou juste dans l'ensemble ? Quelqu'un pourrait-il expliquer de manière assez simple au débutant que je suis please ? Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gombervaux Posté(e) 9 septembre 2008 Partager Posté(e) 9 septembre 2008 Pour recadrer encore : La pression atmosphérique est mesurée dans une salle, plus ou moins ouverte à l'extérieur. Depuis les années 90, il y aurait quelques stations automatiques isolées qui possèdent un capteur de pression, en général c'est dans le milieu aéro pour caler le QNH. On voit bien que dans ces salles, il n'est pas question de pression dynamique, ni de gouttelettes d'eau, mais de l'équilibre de la pression (à l'échelle d'une dizaine de mètres) au niveau de la mesure. Or ce sont ces mesures, parfois centenaires, qui ont permis de créer la théorie norvégienne en remarquant les analogies entre les phénomènes caractéristiques et l'évolution de la pression. En gros, c'est ce qu'on voit marqué sur les cadrans des baros à aiguille, ou les pictos de nombreuses petites stations météo perso. C'est typiquement cette explication qui a été développée par Orage 30. Les pressions en altitudes sont mesurées par des ballons ou des avions (eux mêmes en mouvement et dont les mouvements sont largement supérieurs aux mouvement de la colonne d'air.) Tout cela rentre plus ou moins dans l'initialisation des modèles. Dans les échéances, les paramètres d'altitude seront en général donnés en fonction de la pression de l'atmosphère standard, qui sert d'échelle d'altitude. Avant les années 90 les modèles utilisaient les analogies et champs de pression pour en déduire le temps aux échéances . Ils étaient incapables de voir l'avenir de l'existence d'une dépression ou d'un anticyclone. C'est l'explication norvégienne des centre d'action, gouttes froides et autres. Aujourd'hui les modèles suivent l'évolution de chaque parcelle d'air (de la taille de la maille) sur un plan horizontal, en suivant l'évolution (conservation?) des températures potentielles et tourbillon potentiel et le vent. Les autres paramètres, pression, températures, humidité sont déduits par calcul (voir inversion du tourbillon potentiel) Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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