M. Meteo Posté(e) 28 mars 2005 Partager Posté(e) 28 mars 2005 Avez-vous vu le magazine "clim-mag" qui passe le week-end sur LCM? Il y a un graphique qui m'a surpris. Il montrait les écarts à la normale de la température moyenne de chaque hiver depuis 20 ans. Et l'on y voyait que l'hiver 2004-2005 était le plus froid depuis 1986-87 ! Comme cela m'avait sur le moment surpris, je vérifie ce matin en regardant des moyennes qui sont faites sur l'ensemble des régions météorologiques françaises sur l'hiver météorologique (du 1er décembre au 28 février). Et la température moyenne de 2004-2005 est de 4,3 degrés, largement supérieure à l'hiver 1990-91 avec 3,5 degrés. L'hiver 1991-92 affiche 4,3 comme notre dernier hiver. Si l'on se limite aux régions de la moitié nord, on trouve deux autres hivers plus froids dans les années 90 (95-96 et 96-97, ces deux hivers étant relativement plus doux dans le sud). J'aimerais que Guillaume Séchet, responsable de ce magazine s'explique sur cette statistique étonnante. Aurait-il intégré les premiers jours de mars pour faire baisser la moyenne de l'hiver 2004-2005? Cela ne me semble pas suffisant pour rendre globalement 2004-2005 plus froid que 90-91. Le bilan de l'hiver doit être régionalisé. Il a certes été plus déficitaire thermiquement dans l'est et le sud que le nord et l'ouest. Les régions proches de la Manche n'ont d'ailleurs pas été déficitaires sur la période décembre-février par rapport à la normale trentenaire la plus récente (1971-2000). Mais quand j'entends souvent dire que nous avons connu un "hiver rigoureux", cela me fait sourire et semble prouver que le climat se réchauffe réellement. Car un tel hiver dans les années 60 n'aurait sans doute mérité ce qualificatif de "rigoureux". Patrick Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Guest Posté(e) 28 mars 2005 Partager Posté(e) 28 mars 2005 J'ai été tres ettonné et je n'y ai pas cru. Au fait , pourquoi MF ne met pas les graphiques de 2005 mensuels sur son site dans sa rubrique suivi climatique national? Antoine Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Guest Posté(e) 28 mars 2005 Partager Posté(e) 28 mars 2005 salut patrick, l'hiver a effectivement pas été rude partout en france mais dans l'est , en tout ca dans le nord-est en lorraine par exemple, c'est le plus rude depuis l'hiver 1995-1996 se rapprochant justement plus de cet hiver que 1991-1992 beaucoup plus sec. Pour ma part, l'hiver 2004-2005 rentre bel et bien dans les hivers rigoureux mais pas exceptionelle. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Aldo29 Posté(e) 28 mars 2005 Partager Posté(e) 28 mars 2005 Pour le sud Bretagne, il est clair que cet hiver a été moins rigoureux que celui de 1990/91, 95/96 et 96/97 qui furent légèrement plus froid et surtout plus neigeux...et ne parlons pas de 85, 86 et 87.....Pour l'extrême ouest de la France, cet hiver fut très "frais" mais loin d'être très rude... J'espère mieux dans les 2-3 ans à venir.... Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alain Coustou Posté(e) 28 mars 2005 Partager Posté(e) 28 mars 2005 J'explique le phènomène par la mise en place progressive d'un nouveau système météorologique induit par la montée en énergie de l'atmosphère liée à l'évolution climatique. Une demi douzaine de grandes cellules de Hadley se mettent en place dans chaque hémisphère, entre tropiques et cercle arctique. Dans notre hémisphère, ces cellules se déplacent lentement d'ouest en est. Résultat: des vents dominants de sud-sud-oust (air chaud) pendant 4 semaines environ, suivis de vents dominants de nord (air froid) pendant une durée équivalente. D'où tendance à la succession d'anomalies successivement relativement chaudes et froides pendant 3 à 5 semaines environ chaque fois. Nous sommes actuellement dans une anomalie "chaude" depuis 2 semaines et pour au moins une semaine encore (ce que j'avais prévu dans un autre lien voici plusieurs semaines). Ceci ne préjuge cependant en rien de la nébulosité et de la pluviosité (qui peuvent réduire une anomalie chaude), ni des phènomènes tels que tempètes, tornades, cyclones et anticyclones qui peuvent masquer la tendance générale pendant quelques heures ou quelques jours. Les phènomènes les plus violents devraient cependant gagner très lentement en frèquence et en intensité au cours des prochaines décennies. Seul un abaissement de la "constante" solaire pourrait masquer ou ralentir provisoirment cette tendance. Où alors une prise de conscience générale de la gravité de l'évolution et de la menace qu'elle représente aboutissant à une réduction drastique des emissions de GES (ce qui devrait être la priorité des priorités tant qu'il en est encore temps). Alain Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 28 mars 2005 Partager Posté(e) 28 mars 2005 l'ensemble des régions météorologiques françaises sur l'hiver météorologique (du 1er décembre au 28 février). Et la température moyenne de 2004-2005 est de 4,3 degrés, oui mais si on prend l'hiver astronomique qu'est-ce que cela donne?N'oublions pas que début mars a été très froid. Si je prends les températures que je relève à Muret (31) je trouve du 1/12/04 au 28/02/05 ,Tmoy = 5.4°C du 21/12/04 au 20/03/05 T moy = 4.8°C soit 0.6°C de moins. Est-ce l'explication et est-ce valable pour le reste de la France? Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
guillaumesechet Posté(e) 28 mars 2005 Partager Posté(e) 28 mars 2005 Il y a un graphique qui m'a surpris. Il montrait les écarts à la normale de la température moyenne de chaque hiver depuis 20 ans. Et l'on y voyait que l'hiver 2004-2005 était le plus froid depuis 1986-87 ! Salut Patrick,en effet, tu as eu raison de faire cette remarque. Le graphique a été fait selon mes données* d'écart moyen à la normale des températures sur l'ensemble de la France, en faisant la moyenne de décembre, janvier et février (hiver météorologique). TOUTEFOIS, comme la normale n'est pas calculée sur la même base pour le début des années 90 (1951-1980) que pour nos années (1971-2000), cela fait toute la différence et l'on se retrouve avec un hiver 2004/2005 dont l'écart à la normale est d'environ -1° alors que l'écart à la normale de l'hiver 1991/1992 avait été de -0°8 - si l'on prend la même base que 2004/2005 pour calculer l'écart à la normale de l'hiver 1991/1992, on se retrouve avec un hiver 1991/1992 plus froid que cette année, ce qui change tout le discours. Même remarque pour l'hiver 1992/1993 qui selon les données de Météo-France serait aussi froid que cette année alors que selon la base de calcul de l'époque, il serait moins froid. Il est vrai que dans la précipitation, j'ai largement sous-estimé le rôle récent du réchauffement sur les moyennes, ce qui peut paraître incroyable de ma part - méaculpa... La télé rend stupide et imprécis car nous travaillons toujours dans l'urgence ce qui ne nous permet pas assez d'avoir le recul suffisant. J'insiste sur le fait qu'il s'agit de moyennes nationales. D'après Patrick, l'hiver 1995/1996 aurait été plus froid que cette année sur la moitié nord mais comme il avait fait plus doux au sud, ça change tout. On peut qualifier l'hiver que nous venons de traverser d'assez froid mais comme il fait suite à une longue série d'hivers doux et que la période de temps froid est récente, l'opinion générale a l'impression qu'il a été beaucoup plus froid. Les autres cartes et graphiques diffusées dans ce magasine étaient exactes. *Je me suis amusé à calculer l'écart à la normale moyen sur la France des précipitations et des températures, mois par mois depuis 1900. Guillaume Séchet - LCM Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
anecdote Posté(e) 28 mars 2005 Partager Posté(e) 28 mars 2005 J'explique le phènomène par la mise en place progressive d'un nouveau système météorologique induit par la montée en énergie de l'atmosphère liée à l'évolution climatique. Une demi douzaine de grandes cellules de Hadley se mettent en place dans chaque hémisphère, entre tropiques et cercle arctique. C'est une vue de l'esprit. Les cellules de Hadley n'existent qu'à l'échelle des moyennes et pas au jour le jour. Dans notre hémisphère, ces cellules se déplacent lentement d'ouest en est. Résultat: des vents dominants de sud-sud-oust (air chaud) pendant 4 semaines environ, suivis de vents dominants de nord (air froid) pendant une durée équivalente. D'où tendance à la succession d'anomalies successivement relativement chaudes et froides pendant 3 à 5 semaines environ chaque fois. Je peux vous montrer des tas d'exemples où ce que vous dites n'est pas vrai. On peut avoir une période froide ou chaude d'une semaine au milieu d'une longue période chaude ou froide. La simple lecture du livre de Guillaume Séchet ("Quel temps !") montre des contre-exemples. Facteur aggravant : votre ton est trop affirmatif. Etudiez l'histoire du climat avant de balancer ce qui n'est qu'une vue de l'esprit (erronée). Nous sommes actuellement dans une anomalie "chaude" depuis 2 semaines et pour au moins une semaine encore (ce que j'avais prévu dans un autre lien voici plusieurs semaines). J'aime bien le :"ce que j'avais prévu". que faut-il en conclure ? Que votre "théorie" est exacte ? Pourtant la succession des aléas météorologiques n'a rien de clair. Ils ne suivent pas une fonction sinusoïdale. Les phènomènes les plus violents devraient cependant gagner très lentement en frèquence et en intensité au cours des prochaines décennies. Non prouvé et peu évident. L'histoire montre des séries d'inondations ou de tempêtes énormes au cours des siècles du Petit Age glaciaire : par exemple 3 crues historiques de la Loire au XIXème siècle (aucune au XXème siècle). J'ai conservé un article du Monde qui dit que les scientifiques sont surpris de découvrir autant de phénomènes météo violents au cours du Petit Age Glaciaire. En effet, ils sont surpris car une théorie globale voudrait que plus de chaleur augmente la fréquence des événements violents... Néanmoins vous employez le conditionnel. Ou alors une prise de conscience générale de la gravité de l'évolution et de la menace qu'elle représente aboutissant à une réduction drastique des emissions de GES (ce qui devrait être la priorité des priorités tant qu'il en est encore temps). Vous êtes beaucoup trop affirmatif. Globalement, je vois qu'à l'instar d'autres chercheurs, vous vous faites une idée du fonctionnement de la machine climatique mais malheureusement celle-ci ne fonctionne pas comme vous l'entendez. Dès lors, je vous conseille d'étudier la théorie des AMP (Anticyclones Mobiles Polaires) qui permet de connaître la dynamique du temps et du climat, les extrêmes météorologiques n'étant pas dus à des phénomènes anthropiques ou à des vues de l'esprit, mais à des mécanismes bien précis, qui sont toujours les mêmes. Mais peut-être êtes-vous allé trop loin dans votre théorie et vos discours pour pouvoir remettre en cause vos affirmations. Je n'ai pas lu votre livre mais j'en devine la teneur. Il ressemblera probablement aux nombreux ouvrages récents portant sur la question des GES. Ce qui me gêne beaucoup c'est que vous faites une pub' acharnée pour vous-même et vos théories au point qu'on pourrait penser que vous allez sauver la planète. Je regrette qu'un grand nombre de scientifiques s'isolent dans un milieu de pensée unique où on doit penser que la cata est imminente à cause des GES. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
williams Posté(e) 28 mars 2005 Partager Posté(e) 28 mars 2005 Guillaume, quelle est l'anomalie ou la moyenne de l'hiver 2004-2005, 1985-86, 1986-87 et 1995-96 et 1996-97 par rapport la base de la moyenne des hivers de France 1971-2000 et quelle la moyenne de l'hiver en France de 1971-2000 pour avoir des idees ? Williams Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
guillaumesechet Posté(e) 28 mars 2005 Partager Posté(e) 28 mars 2005 Williams, selon Patrick Galois (M météo), voici les températures moyennes des hivers suivants (moyenne de décembre, janvier, février): 2004/2005: 4°3 1996/1997: 4°9 1995/1996: 4°7 1990/1991: 3°4 1986/1987: 3°2 1985/1986: 3°5 1984/1985: 3°0 L'hiver que nous avons connu cette année est donc le plus froid depuis 1990/1991 dont la température avait été inférieure de 0°9. Il s'agit d'une moyenne nationale. Guillaume - LCM - auteur du livre "Quel temps- chronique de la météo en France de 1900 à nos jours" Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Virgile Posté(e) 28 mars 2005 Cormeilles (27) Partager Posté(e) 28 mars 2005 Anecdote, on dévie du sujet. Tu vois ça fait quoi d'être aussi affirmatif envers les autres comme toi tu l'as été avec les AMP. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
williams Posté(e) 28 mars 2005 Partager Posté(e) 28 mars 2005 Habitant dans le sud ouest de la France en Haute Garonne, cette annee on a ete bien touche par le froid et surtout la neige avec 5 jours de chutes de neige les 15 derniers jours de fevrier qui nous ont donnees 20.20 cm de neige. Ce qui est rare d'envoir autant ici. Pour les temperatures fevrier est descendu bien bas avec une anomalie de la moyenne de -3.33°C et l'hiver -1.29°C. Williams Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 28 mars 2005 Partager Posté(e) 28 mars 2005 Habitant dans le sud ouest de la France en Haute Garonne, cette annee on a ete bien touche par le froid et surtout la neige avec 5 jours de chutes de neige les 15 derniers jours de fevrier qui nous ont donnees 20.20 cm de neige. Ce qui est rare d'envoir autant ici. Pour les temperatures fevrier est descendu bien bas avec une anomalie de la moyenne de -3.33°C et l'hiver -1.29°C. Williams salut Williamsd'après mes relevés perso à Muret on est à -0.9°C d'anomalie sur décembre-janvier-février. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alain Coustou Posté(e) 29 mars 2005 Partager Posté(e) 29 mars 2005 J'explique le phènomène par la mise en place progressive d'un nouveau système météorologique induit par la montée en énergie de l'atmosphère liée à l'évolution climatique. Une demi douzaine de grandes cellules de Hadley se mettent en place dans chaque hémisphère, entre tropiques et cercle arctique. C'est une vue de l'esprit. Les cellules de Hadley n'existent qu'à l'échelle des moyennes et pas au jour le jour. Dans notre hémisphère, ces cellules se déplacent lentement d'ouest en est. Résultat: des vents dominants de sud-sud-oust (air chaud) pendant 4 semaines environ, suivis de vents dominants de nord (air froid) pendant une durée équivalente. D'où tendance à la succession d'anomalies successivement relativement chaudes et froides pendant 3 à 5 semaines environ chaque fois. Je peux vous montrer des tas d'exemples où ce que vous dites n'est pas vrai. On peut avoir une période froide ou chaude d'une semaine au milieu d'une longue période chaude ou froide. La simple lecture du livre de Guillaume Séchet ("Quel temps !") montre des contre-exemples. Facteur aggravant : votre ton est trop affirmatif. Etudiez l'histoire du climat avant de balancer ce qui n'est qu'une vue de l'esprit (erronée). Nous sommes actuellement dans une anomalie "chaude" depuis 2 semaines et pour au moins une semaine encore (ce que j'avais prévu dans un autre lien voici plusieurs semaines). J'aime bien le :"ce que j'avais prévu". que faut-il en conclure ? Que votre "théorie" est exacte ? Pourtant la succession des aléas météorologiques n'a rien de clair. Ils ne suivent pas une fonction sinusoïdale. Les phènomènes les plus violents devraient cependant gagner très lentement en frèquence et en intensité au cours des prochaines décennies. Non prouvé et peu évident. L'histoire montre des séries d'inondations ou de tempêtes énormes au cours des siècles du Petit Age glaciaire : par exemple 3 crues historiques de la Loire au XIXème siècle (aucune au XXème siècle). J'ai conservé un article du Monde qui dit que les scientifiques sont surpris de découvrir autant de phénomènes météo violents au cours du Petit Age Glaciaire. En effet, ils sont surpris car une théorie globale voudrait que plus de chaleur augmente la fréquence des événements violents... Néanmoins vous employez le conditionnel. Ou alors une prise de conscience générale de la gravité de l'évolution et de la menace qu'elle représente aboutissant à une réduction drastique des emissions de GES (ce qui devrait être la priorité des priorités tant qu'il en est encore temps). Vous êtes beaucoup trop affirmatif. Globalement, je vois qu'à l'instar d'autres chercheurs, vous vous faites une idée du fonctionnement de la machine climatique mais malheureusement celle-ci ne fonctionne pas comme vous l'entendez. Dès lors, je vous conseille d'étudier la théorie des AMP (Anticyclones Mobiles Polaires) qui permet de connaître la dynamique du temps et du climat, les extrêmes météorologiques n'étant pas dus à des phénomènes anthropiques ou à des vues de l'esprit, mais à des mécanismes bien précis, qui sont toujours les mêmes. Mais peut-être êtes-vous allé trop loin dans votre théorie et vos discours pour pouvoir remettre en cause vos affirmations. Je n'ai pas lu votre livre mais j'en devine la teneur. Il ressemblera probablement aux nombreux ouvrages récents portant sur la question des GES. Ce qui me gêne beaucoup c'est que vous faites une pub' acharnée pour vous-même et vos théories au point qu'on pourrait penser que vous allez sauver la planète. Je regrette qu'un grand nombre de scientifiques s'isolent dans un milieu de pensée unique où on doit penser que la cata est imminente à cause des GES. En fait, en parlant de la tendance au renforcement des cellules de Hadley, je n'énonçais (de manière sans doute trop affirmative) que ce qui est encore pour moi, et depuis peu, une théorie en marge de mon analyse globale de l'évolution climatique et absolument secondaire par rapport à elle. Et je ne nie absolument pas qu'il puisse y avoir des aléas climatiques à l'échelle du jour ou de la semaine à l'intérieur d'une tendance à l'échelle mensuelle. Dire le contraire aurait été idiot de ma part. Quand à me déclarer incapable de me remettre en cause et d'évoluer dans un système de pensée unique... j'espére que vous aurez l'occasion de changer d'avis quand mon bouquin sortira ( Cà y est, je vais encore me faire accuser de "faire de la pub' acharnée" ! ). En fait, être un homme passionné par ses recherches ne m'empéche absolument pas de réfléchir sur les objections, critiques et données nouvelles. Et si tirer la sonnette d'alarme quand je le pense justifié me vaut des quolibets, tant pis... Je m'attends d'ailleurs à être alors attaqué de toutes parts par les tenants de tel ou tel système moniste d'explication (émission anthropique de GES ou évolution de la "constante solaire" ou données insuffisantes ou variation d'albédo ou...). Cordialement, Alain Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Guest Posté(e) 30 mars 2005 Partager Posté(e) 30 mars 2005 A Paris, -1,5 d'anomalie en Décembre et Février et le contraire en Janvier donc entre -0,5 et -1 d'anomalie. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Polux69 Posté(e) 30 mars 2005 Chazelles sur Lyon Partager Posté(e) 30 mars 2005 A Lyon , cet hiver , le nombre de jour où la Tn a été inferieure ou égale à -5° à 850hpa a été plus important que 62/63 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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