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un_Mauzunois

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Tout ce qui a été posté par un_Mauzunois

  1. Ouaip ! On sera pas tranquille avant 20h30 j'en ai bien peur ! Sacré suspense en perspective..
  2. Dis moi François, ils ont quoi tes chiens avec les branches d'arbre ? Doit y avoir un truc niveau éducation à mon avis, parce que les miens, trimbaler des branches d'arbre, ça leur vient pas à l'idée
  3. Nuages bas encore aujourd'hui. Tx de 2,8°C. Recommence à fantasmer sur une future migration :
  4. ô qu'il est beau celui-là !! Un petit coup d'oeil ce matin au topic LT. Bon.. Quelques extraits choisis : N'en jetez plus la coupe est pleine. SINON : IL fait un certain temps ce matin à Mauzun, mais je m'en fous je vais me recoucher bonsoir.
  5. You're welcome to the club Ceux qui sachent sauront !! Voilà un choix ma foi fort avisé à mon humble avis royal
  6. J'ai décidé de les boycotter (pas seulement pour des motifs écologiques d'ailleurs-ce qui fait une belle jambe au gouvernement Chinois, je sais) - même le biathlon, je ne le suivrais pas ! (c'est dire..) De toutes façons, pendant les JO, je serais au Ché sous un mètre de vraie neige et sans TV ni écran donc..
  7. Je vois vraiment pas de qui tu parles. SINON, parce que bon hein, faut revenir à l'essentiel ! -1°C à 23h. à Mauzun. Voilà. C'est dingue. Sinon (bis) je me mate des vidéos de ski augmenté avec exosquelette. Je déconne pas. https://youtu.be/H4MgR1wijcU (sérieusement, ça paraît délirant, mais bon, quand je vois l'état de mes genoux parfois, je me dis que ça pourrait aider un de ces jours..)
  8. Mais moi j'en ai strictement rien à carrer d'une VAGUE DE FROID !!! 🥵 Je veux de la neige, beaucoup de neige, et j'en ai rien à cirer si elle ne tombe qu'à plus de 1200 m et pas en dessous ! Et qu'il fasse ensuite 0°C pendant deux semaines, ça suffira bien. -20°C si tout est sec, je m'en fiche complet !! Le froid qui sert à rien, c'est comme le soleil des blancs qui réchauffe pas !! (mais bon, j'ai un intérêt assez précis là, comme vous le savez.. légèrement égoïste sur le coup arggggggggggglllllllllllllllllllll
  9. Déjà le 28 janvier mazette ! Et toujours pas de signaux flagrants de tempête de neige à venir dans le Cantal.. Je la sens mal cette saison.. Par contre, niveau brouillard, nous fûmes gâtés sur le Mauzunois, enfin, à Fayet-le-Château, aux rochers magiques ! Températures juste au-dessus de 0°C (Tx 0,8°C°) Du givre qui vous blanchit les cheveux au passage dans les sous-bois. Sympa pour la photographie en tous cas. Et voilà voilà quoi.
  10. je sais pas pourquoi, mais ça me chatouille au niveau de derrière la nuque ces derniers temps..
  11. Super photo d'illustration de l'article, très pertinente. Les estrangers, ils vont s'imaginer qu'on a autant de neige qu'en Grèce ou en Asie mineure là. (ou alors j'ai raté un truc) (et puis c'est bien connu, Thiers et Clermont, c'est la Haute-Corrèze) Tn de -4,9°C ici, encore -1°C à 10h30, dans une ambiance brouillardeuse. On se caille (pour rien)
  12. Ouaip. On comprend mieux pourquoi Fridtjof Nansen & Ernest Shackleton, à la fin du XIXè siècle, avant de se lancer dans l'exploration des régions polaires, venaient s'entraîner dans le coin. (je vous fais grâce de mon chapitre à ce sujet On vient de taper un -4,9°C à Mauzun. Génial.
  13. Ici aussi le brouillard a englouti le village. -4,1°C actu. J'ai senti un léger frémissement en parcourant le topic LT qui s'est laborieusement éveillé de sa léthargie Bon, c'est juste des prévisionnistes qui s'ébrouent un peu après tant de journées à s'ankyloser les méninges, comme un chat au réveil. Rien d'affolant. Un frémissement. Un très infime changement. Le faisceau à peine visible d'une mini-lampe de poche intégré aux clés de voiture dans un brouillard dense. Rien de plus.
  14. Après mult tergiversations avec moi-même, les cartes et les modèles météo, et quelques tirages de tarot analysés par ma chérie, sans oublier le sacrifice d'un rat taupier dont ma chère Iris de la Loupette a examiné les entrailles avec soin (et bien entendu une consultation des oracles de Delphes, de Dodone, Ammon, Didymes et Claros) j'en ai conclu qu'il fallait nécessairement et impérativement choisir la station IC de La Bresse-Hohneck, dans les Vosges. https://www.infoclimat.fr/previsions-meteo/details/STA/000V2/la-bresse-hohneck.html (J'ai hésité avec Manglieu, pas loin de chez moi, mais j'avais déjà fait le coup, ou bien les Estables en Haute-Loire ou La Bourboule ou encore le Sancy, Mandailles etc. mais certaines sont déjà prises et les oracles ont fait pencher la balance : "Tu te tourneras vers le Levant, quoiqu'un peu au nord quand même, m'a confié Artémis, ma déesse favorite, et iras brandir ta fourchette sur un autre massif !" Je m’exécute donc. Nous sommes jeudi, et il est 18h08 !
  15. Cet après-midi c'était le jeu du chat et de la souris avec la bandes de nuages bas. En quelques minutes, durant la balade, on se trouvait au soleil ou dans les nuages, ça montait et ça descendait à vue d'oeil. Très rigolo. J'en causais avec un chasseur qui ne savait plus très bien où aller avec sa jeune Settler pas encore bien habituée à crapahuter partout. Si je m'enfonce dans le brouillard, je risque de la perdre, disait-il. Mais durant nos dix minutes de causerie, on a alterné au moins deux fois entre brouillard et ciel dégagé. Vraiment chouette. Les étangs et chemins à l'ombre sont évidemment gelés. Plus bas, à Billom, c'est stratus denses. Ils n'ont pas vu le soleil en bas. dans ces conditions, pas étonnant que les températures aient fait le yoyo, jugez plutôt : Et voilà en photo ces bandes de stratus en action :
  16. Sinon, bonjour et bon appétit et bonsoir (oui, je sais j'adore me faire du mal, très mal même) (Finse ce matin) Et mes élucubrations matinales (extrait de mon prochain livre, Moldanau, p. 195) "À Finse aussi, le temps paraît suspendu. Il est 8h46. Le train en provenance d’Oslo et en direction de Bergen n’arrive qu’à 10h13. Je l’attends. L’auberge de Finse n’a pas encore ouvert. C’est un établissement du bout du monde : je suis toujours ému à l’idée qu’on puisse encore boire une bière aux confins des terres inhabitées. Gilgamesh, rendu fou de douleur d’un impossible deuil commande à Siduri, la cabaretière une bière et le secret de l’immortalité : elle satisfait la soif du héros mais déçoit sa demande. Aux portes d’un désert mortel, le voyageur sans but de Masante prend une chambre dans une improbable auberge tenue par Maxine et son compagnon. Et c’est devant la très secrète Lanthana que j’ai conduit les errants qui s’échouent au café de la gare Moldanau. Dans ce genre d’endroit, il vaut mieux entretenir de bonnes relations avec les tenanciers. Ils sont at the Heart of the Heart of the Country. Ceux qui recueillent et lient entre eux les récits, les conservent et les disséminent. Sans eux, les tenanciers, Finse n’a aucune signification, aucune raison d’être, mais demeurerait livré aux fantasmes les plus absurdes des observateurs dépressifs de la webcam de Finse. J’imagine fort bien qu’à l’auberge de Finse, derrière le comptoir en bois, essuyant des verres, se tient, magistrale, désespérément magistrale, grandiose et pathétique, Maxine. La Maxine universelle des auberges aux confins du monde, depuis qu’Hildesheimer en a fait le portrait. Ou bien appelez-la Siduri, qui brassait alors la bière la plus ancienne de l’histoire des hommes. « Si c’est toi qui as mis à mort le gardien de la forêt ; Occis ce Humbaba qui demeurait en la forêt des pins, Tué des lions aux passes des montagnes, Vaincu et abattu le Taureau géant descendu du ciel, Pourquoi as-tu les joues si amaigries, Le visage aussi abattu, Le cœur si triste, les traits aussi exténués ? Pourquoi une pareille angoisse en ton ventre ? Pourquoi cette apparence d’un voyageur arrivé de très loin ? » Cela eut lieu il y a très longtemps. Vraiment. J’imagine fort bien qu’à l’auberge de Finse ait débarqué un jour une sorte de géant amaigri par la faim, pétri par l’orgueil, il se prénommait Knut, se disait écrivain, sa barbe dévorait son visage : lui aussi cherchait des réponses – il en trouvera plus tard, mais c’était de bien terribles réponses. Eh bien, figurez-vous que de l’auberge de Finse, on connaît aussi le nom de la tenancière. Je le sais, car je l’ai découvert, non sans peine, moi qui ne comprends pas le moindre mot de Norvégien, dans un livre écrit en ce langage. Je l’ajoute ici au livre que je n’ai pas écrit sur les tenancières d’auberge de bout du monde. Elle s’appelle Alice Fangen, la première femme de la montagne dit-on. Fille d’un meunier anglais, elle se mit en ménage avec un ingénieur ferroviaire Norvégien, Stener Fangen, qu’elle suivit lors de la construction de la ligne de chemin de fer, entreprise dantesque et fierté du royaume, qui devait relier Oslo à Bergen. Nous sommes à la fin du XIXᵉ siècle et cette conquête de l’ouest version Scandinave est aussi rude qu’on l’imagine, avec son lot de drames et de gestes héroïques, dans un pays hostile battu par le vent et la neige, à des altitudes qui s’élèvent au fur et à mesure que le rail entreprend l'ascension des hauts-plateaux et des montagnes.. Abandonné par son ingénieur d’époux, Alice, si loin de chez elle, se retrouve seule, embarrassée de ses cinq enfants, dans cet incroyable pays, et, pour survivre, travaille dans les cuisines ambulantes aux abords du chantier. Un autre homme, Josef Klem, lui vient en aide – à moins que ce ne soit le contraire à bien y penser. Tous deux, débarquant à Finse, au point le plus élevé de cette entreprise délirante, avisent une salle de stockage sans attrait particulier, bâtie en bordure de la petite gare tout juste émergée de la terre enneigée : ils en feront une boutique (en 1903) et une maison d’hôte, puis un hôtel (ouvert en 1909 en même temps que la ligne de Bergen), et les livres d’histoire de vanter les dons exceptionnels de cette incroyable Alice, qui sut gérer dit-on « fabuleusement » cet établissement, au point qu’il devint en quelques années une destination prisée, à la mode : on y vit même séjourner le prince de Galles – et nombre de touristes anglais, ce qui sans doute rappela à l’hôtesse son pays d’enfance."
  17. Là, techniquement, pour le nordique, en-dessous de 1400m, c'est compliqué (pour le Massif Central) Il y a des exceptions néanmoins, dues à des situations particulières, des chutes de neige plus importantes qu'ailleurs, comme sur les crêtes du Forez, par exemple au col de la Loge dont les pistes ne démarrent qu'à 1250 m (c'est l'altitude du Ché dans le Cantal) - le damage régulier a bien aidé aussi. Au col de Prat-de-Bouc, la couche de neige est restée d'une stabilité remarquable sur les pistes : 40 cm depuis des semaines. Mais il suffit de jeter un oeil à l'étage au-dessus, sur la face sud, sud-est du Plomb du Cantal et sur les crêtes pour se rendre compte qu'à bien des endroits c'est repassé à l'herbe : Damien ( @damien63) en avait fait la remarque : la couche n'est pas si épaisse sur les sommets du Sancy, et l'enneigement artificiel est assez trompeur. Pour les nordiques le damage sauvera la mise un certain temps tout comme la neige artificielle (et le damage) pour les Alpins. Mais bon, le principe même des stations de sport d'hiver c'est l'anthropisation des milieux enneigés, l'apprivoisement et la domestication de la neige Les machines et la technologie ont pris le pas sur d'autres techniques, comme celles-ci il y a un demi-siècle Maintenant c'est dameuse et canons à neige (sans parler de tout le reste, barrières à neige diverses et variées) L'enneigement naturel, sans intervention humaine, c'est une toute autre histoire (avec laquelle se confrontent les amateurs de ski hors piste, randonnée nordique ou alpine par exemple)
  18. -4,2°C et gelée blanche. Grand ciel bleu dégagé. Les inversions habituelles... Et toujours pas de tempête de neige à l'horizon, les vacances d'hiver commencent le 5 février. Etc.
  19. OK.. C'est l'effet de la défaite à la fourchette hier en Suisse. ça m'a fichu le bourdon hein. Bon, d'un autre côté j'étais à 10 cm du bord, donc, au pire, j'aurais eu les baskets trempées SINON Gros BUG sur Meteo France. regardez l’icône tout à fait à gauche. C'est quoi ce truc ? Une blague de météorologiste ? Je sais pas si ça le fait chez vous.. heureusement, peu après, tout rentre dans l'ordre : Re-Sinon Gros badamoum des températures ici également : -3,1°C actuellement. Mais bon.. le froid, là, comment vous dire, à part claquer des sacs de granulés bois hein..
  20. Il y a Dax aussi. Ça va jouer entre les deux capitales des Landes là !
  21. Moi j'assure le coup, j'attends d'avoir les modélisation un peu plus fines d'Arpège, être sûr qu'on n'aura pas d'inversions etc.. Vais faire dans le scientifique, le rationnel, le calculateur de probabilité, le scrutateur de phénomènes de basse couche et l'examinateur de masses d'air. ça va pas rigoler cette fois-ci je vous le dis !!
  22. Une photo de ma poto aussi ! Fait bien frais dans le creux des étangs, et pas beaucoup plus chaud sur le plateau (autour de 6°C) malgré le plein soleil. Ça paraît bien brumeux sous le PDD au niveau de l'agglo Clermontoise (smog de pollution ?) Et toujours ces étangs gelés, dont j'essaie de ne pas me lasser à défaut d'autres choses (genre par exemple, vous savez, la neige quoi) Bon, ça va pas le faire : Les crêtes du Forez pour finir :
  23. Si je retrouve ma doc, je vous ferais un topo sur la neige en Grèce et en Asie Mineure dans l'antiquité classique (y'a des passages chez Xenophon où tu vois les mecs grimper littéralement en short dans un mètre de poudreuse, enfin, avec des fringues pas vraiment adaptées quoi..) Bon. On va aller manger, ça fera une occupation du temps.
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