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L'Athabasca est désormais un désert où ne règne que la pollution et la prostitution. Les nappes phréatiques sont totalement polluées. Les sols et sous-sols sont devenus stériles, les cours d'eaux sont morts, les poissons sont gavés de mercure et autres métaux lourds. Il y a quelques années il y avait une magnifique exposition au centre Pompidou de Metz là-dessus. Je connaissais mal le sujet. C'était juste révoltant. C'est révoltant. C'est une honte de détruire ainsi notre bien commun. Bref, et je n'ai relevé que ça, j'ai l'impression que tu ne veux bien voir que ce qui t'intéresse.
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Suivi du temps dans les régions méditerranéennes-décembre 2021
slo a répondu à un sujet de Toulnono83 dans Le temps en France
Très belle inversion thermique ce matin sur le Roussillon. Il faisait 1.9°C à l'aéroport de Rivesaltes à 7h16 alors que dans le même temps à Clace, à 10km à vol d'oiseaux mais 200m plus haut, il faisait 7.7°C. -
J'ai un peu traîné mes guêtres dans ce coin là dans une autre vie il y a quelques années... Jamais je n'aurais cru y voir de la vigne...
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😮 Ceci dit, faut voir où sont les vignes!
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Le truc, c'est que plus ça va aller, plus les nouveaux passages en bio se feront par des exploitants qui sont de moins en moins convaincus (les plus convaincus le sont déjà depuis un moment). Et le problème c'est que de plus en plus de conversions se font avec des gens qui pensent que le bio c'est comme le conventionnel mais avec des produits phyto en moins. Sauf que ce n'est pas comme ça que ça marche. Avant de passer en bio, il faut une réflexion complète sur son exploitation et sur la façon de la mener. La gestion de l'herbe en est l'exemple parfait, dans les régions où la pluviométrie est suffisante pour qu'elle pousse. Avant, en conventionnel, le viti passait un pré-levée en hiver et gérait la pousse à coup de glyphosate. Soit de façon massive, soit de façon plus subtile en intervenant que sur les "tâches" d'herbe. La conséquence de ça, c'est que la vigne a développé un système racinaire superficiel, très près de la surface du sol, là où se trouvait l'eau. Or, il est vrai, qu'avec l'impossibilité de désherber chimiquement, les années propice à la levée des adventice, ça devient complexe. Et effectivement, la vigne se retrouve se retrouve avec beaucoup moins d'eau disponible puisqu'elle est utilisée par la couverture végétale et donc le rendement en pâti. Cependant, avec cette concurrence nouvelle, la vigne va développer un autre système racinaire, ou plutôt compléter l'ancien, par un système plus profond. Et l'erreur faite pas beaucoup de viti qui passent en bio est justement de vouloir travailler le sol trop profondément. ce travail va casser les racines superficielles et ce sera le double effet kiss-cool : moins d'eau disponible ET moins de racines pour l'absorber. Un des secrets (parce qu'il n'y a pas de solution unique en viti) est justement de travailler de façon très superficielle le sol les premières années où on se passe de chimie pour désherber. Ainsi on conserve les racines superficielles pour capter l'eau restante, mais en même temps, puisqu'il y a moins d'eau, un système plus profond va également se développer. Ainsi, on pourra conserver un rendement acceptable.
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6% en Champagne contre 17% en France. Arf! Les rendement et le bio, vaste débat... Il est vrai que les premières années, le rendement baisse (30 à 50%), mais ça dépend beaucoup de la façon dont était menée la vigne avant la conversion et les rendements qu'elles faisait. Plus une vigne était sous perfusion, plus la chute sera importante. Mais avant la conversion, si la vigne était conduite "raisonnablement", la chute n'est pas plus importante que la différence d'un millésime généreux à un juste dans la moyenne. En tout état de cause, la différence de rendement, une fois que la claque de la conversion est passée, oscille entre 5 et 20%. Mais il faut surtout voir de combien on part. Rares sont les régions où les rendements maximums autorisés ne sont pas atteints, y compris en bio.
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Suivi de la composition gazeuse de l'atmosphère
slo a répondu à un sujet de _sb dans Evolution du climat
Evidemment vous aurez compris que c'est l'évolution de la teneur en CO2 de l'atmosphère mesurée au Mauna Loa depuis mars 1958. Au delà du ralentissement de l'augmentation du début des années 90, sans doute due à la dislocation du bloc de l'est, il semble bien que nous prenons le chemin d'une exponentielle. Et voici l'évolution de la moyenne de l'année par rapport à l'année précédente : Ca confirme la "pause" de l'augmentation, surtout en 1992 et 1993, puis la reprise de l'augmentation en dépassant les 2 ppm quasiment tout les ans alors qu'avant ce n'était arrivé que 2 fois. -
Pour répondre à @boubou07, @tao, @mat51, @Thundik81 et @Ralala78 La nature est mal faite... La fermentation est depuis longtemps un outil pour la conservation. Pas de bol, le fructose/glucose se transforme en alcool. Encore moins de bol, l'alcool nous enivre... Moi je dis que c'est la faute à pas de chance!
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Merci pour les précisions complémentaires! Quelques autres précisions. Parce qu'il ne faut pas oublier que le Champagne est un vin, et un vin de terroir (enfin, pas toujours). Commençons par les cépages. Les cépages autorisés dans l'AOC Champagne sont au nombre de 7. Par ordre de surface plantée : Pinot Noir (38%), Pinot Meunier (32%), Chardonnay (30%) et beaucoup plus marginalement Arbane, Petit Meslier, Pinot Blanc et Pinot Gris Les 4 derniers cépages représentent moins de 100ha. Seule une poignée de vignerons exploitent les 7 cépages. La très grande majorité de la Champagne viticole est plantée sur des sols calcaires/argilo-calacaires du bassin parisien. Il y a 4 grands terroirs en Champagne : la Montagne de Reims plantée majoritairement de Pinot Noir, la Vallée de la Marne plantée de Pinot Meunier, la Côte des Blancs où règne le Chardonnay et la Côte des Bar plantée essentiellement de Pinot Noir. Les Champagne de la Montagne de Reims sont reconnus pour leur puissance, ceux de la Vallée de la Marne pour leur rondeur, leur souplesse, ceux de la Côte des Blancs pour leur délicatesse, leur finesse, leur élégance et ceux de la Côte des Bar pour leur fruité et leur rondeur. Sur certaines étiquettes, vous pouvez voir Grand Cru ou Premier Cru. La classification est encore différente qu'en Bourgogne (classement à la parcelle) ou que dans le Bordelais (classement au château). Ici, la classification se fait par village. Le village est entièrement classé. 10 villages dans la Montagne de Reims sont en Grand Cru, 6 dans la Côte des Blancs et 1 dans la Vallée de la Marne. Il y a 44 villages classés en 1er Cru. Le Champagne a une autre particularité. Comme l'a indiqué @mat51, c'est une des rare AOC viticole en France dont la très grande majorité n'est pas millésimée, plus de 80%. En général, un BSA (Brut Sans Année) est l'assemblage de la dernière vendange disponible (majoritaire) et "vin de réserve". Le très grand talent des oenologues champenois dans les grandes maison est justement de toujours trouver l'assemblage qui donnera le même goût à une cuvée. Si le millésime est indiqué sur l'étiquette, bien entendu, il n'y a pas d'assemblage de différents millésimes. Vous pouvez aussi voir "Blanc de Blanc" ou "Blanc de Noir" sur une étiquette. Ceci indique la couleur du raisin utilisé pour cette cuvée. Un "Blanc de Blanc" sera donc issu uniquement de raisins blanc (quasi exclusivement du Chardonnay) et un "Blanc de Noir" sera uniquement issu de raisins noirs (Pinot Noir ou Meunier). Sinon, on mange quoi avec un Champagne? Bah à peu près tout. En effet, différents Champagne peuvent accompagner tout un repas, de l'entrée au fromage (par pitié, arrêtez le Champagne avec le dessert!!!!!). Evidemment, si on souhaite faire un repas tout au Champagne, on évitera les viandes rouges et on visera plutôt la délicatesse que la puissance (quoi que...). Par exemple, on peut imaginer un foie gras avec un BSA de la Montagne de Reims que le côté fruité et puissant viendra chatouiller ou une belle volaille à la crème avec un beau Chardonnay de la Côte des Blancs ou si vous préférez truffer la volaille, un vieux Champagne d'au moins 15 ans issu de Chardonnay... Parce que oui, le Champagne se garde. Et longtemps. Evidemment, il vaut mieux viser les belles cuvées millésimées issues de beaux terroirs réalisée par un vigneron de talent. J'ai eu la chance de goûter un Champagne de 1986 en 2003 ou 2004 et un autre de 2001 à la sortie du 1er confinement. Je vous assure que ça reste gravé dans les mémoires...
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Les fêtes arrivent à grands pas... Alors, évidemment, des millions de bouchons de Champagne vont voler dans les semaines qui viennent. Pour commencer, quelques chiffres. En 2020, le Champagne c'est plus de 240 millions de bouteilles vendues (en baisse de presque 18% sur 2019), 54% en France, pour plus de 4 milliards d'euros de chiffre d'affaires. Mais comment ces bulles se retrouvent coincées dans la bouteille?? Pour commencer, les vendanges sont faites exclusivement à la main, comme pour tous les vins effervescents en AOC en France. Ensuite les raisins sont pressés et on vinifie un vin blanc classique. Lorsque les vins ont terminé leur fermentation alcoolique et/ou malolactique, ils sont ensuite assemblés, ou pas, et mis en bouteilles. La magie du champagne intervient à ce moment. En effet, lors de la mise en bouteille, la "liqueur de tirage" est ajoutée. Cette liqueur contient du sucre et des levures. Ainsi, une seconde fermentation se fera dans la bouteille, qui, par dégagement de CO2 (oui, on sait, c'est moche), formera les délicates bulles dans votre verre. Les bouteilles sont ainsi mise au repos pendant un minimum de 15 mois et qui peut durer plusieurs (jusqu'à 20) années pour les grandes cuvées. Les bouteilles sont bouchées avec des "bidules" qui sont de simples capsules, les mêmes utilisées pour les bouteilles de bières. Une fois ce repos terminé, il faut expulser les cadavres de levures produits par la seconde fermentation. Les bouteilles sont alors mises "sur pointe" à l'aide de pupitres (très marginal aujourd'hui) ou de gyropalettes. Une fois le dépôt descendu dans le goulot de la bouteille, le dégorgement permet d'expulser ce dépôt. Le goulot de la bouteille est alors plongé dans un bain d'azote liquide pour congelé le bouchon puis la bouteille est ouverte. La pression (entre 5 et 6 atmosphères) créée par la seconde fermentation permet alors d'expulser ce bouchon. Le niveau de la bouteille est alors complété par la "liqueur d'expédition". C'est cette liqueur qui permet une première classification du Champagne : Brut Nature (pas de sucre ajouté, juste du vin), Extra Brut (- de 6g/l de sucre), Brut (entre 6 et 12g/l), Extra-Sec (entre 12 et 17g/l), Sec (entre 17 et 32g/l), Demi-Sec (entre 32 et 50g/l) et Doux (+de 50g/l). Voilà, la bouteille est prête à être ouverte! Mais comment la choisir? Que manger avec? Si votre belle-mère ne veut pas ouvrir sa 6ème bouteille, peut-on la conserver?? Comme pour beaucoup de chose qu'on ingère, je déconseille très fortement la grande distribution, y compris les chaines de cavistes comme Nicolas. Le mieux est toujours de s'adresser soit à son caviste préféré, soit au vigneron directement. Mais si vous vous trouvez sans conseil, un petit tuyau. L'étiquette de Champagne contient obligatoire une information supplémentaire par rapport à toutes les autres bouteilles de vin. L'immatriculation du professionnel. Cette immatriculation est composé de 2 lettres qui renseigne sur la catégorie du professionnel puis un numéro permettant son identification. Ces 2 lettres parlent beaucoup. Voici les différentes catégories et ce qu'elles veulent dire : - RM : Récoltant Manipulant. C'est un vigneron, un vrai, un pur, un dur. Il exploite les vignes, vinifie et met en bouteille. Comme pour tous les vignerons, le meilleur côtoie le... moins meilleur... - NM : Négociant Manipulant. Il a des vignes, ou pas, et achète, ou pas, des raisins, des moûts ou des vins finis. Par contre, il met en bouteille. Toutes les grandes maisons que vous connaissez (Moët, Krug, Bollinger,...) sont dans cette catégorie. Le pire y côtoie le meilleur. - CM : Coopérative de Manipulation. C'est la bonne vieille cave coopérative. Une est plutôt pas mal, c'est celle de Mailly-Champagne. Les autres (dont Nicolas Feuillatte) sont de très grosses machines. - RC : Récoltant Coopérateur. C'est le coopérateur qui se fait payer en partie en bouteilles et qui colle son étiquette sur la bouteille. Bref, vous pouvez trouver le même vin sous différentes étiquettes... - ND : Négociant Distributeur. Il achète des vins terminés, en bouteille et colle juste son étiquette. - MA : Marque d'Acheteur. Le fabriquant, quel qu'il soit, colle des étiquettes au nom de l'acheteur. Je vous déconseille très fortement les 2 dernières catégories. Autre chose, lorsque vous voyez des Champagne à moins de 15€ la bouteille en GD, il y a un opérateur dans le processus de fabrication/distribution qui perd de l'argent. Et en général, ce ne sont pas derniers intervenants. En effet, le kg de raisin en Champagne se négocie au minimum à 6€ HT et qu'il en faut 1.2kg pour faire une bouteille, soit 7.20€ HT. A ce prix vous rajoutez l'ensemble des matières sèches (bouchon, bouteille, étiquette, muselet, plaque à muselet, coiffe, carton) ainsi que les marges des différents intervenants et la TVA (2.50€)... Autre chose. Nombreux sont les vignerons de Champagne à se tourner vers l'agriculture biologique et/ou bio-dynamique. N'hésitez-pas.
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Je viens de tomber de ma chaise...
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L'infographie synthétisant les 4 scénarios de l'ADEME aboutissant à une neutralité carbone en 2050 : L'intégralité de la synthèse de leur rapport est ici Ca risque d'être ma lecture de mes prochaines nuits... Bah pas tant que ça en fait. Le scénario 4 prévoit plus de 800Twh de consommation électrique en 2050 contre moins de 500 aujourd'hui. Je veux bien croire dans l'éolien et le PV mais sans nucléaire, je ne sais pas comment ils prévoient d'arriver à ce niveau.
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Suivi du temps dans les régions méditerranéennes-novembre 2021
slo a répondu à un sujet de Toulnono83 dans Le temps en France
Ça pèle dans les PO. Et ça souffle. Un petit tour à Argelès sur mer ce matin et les Albères blanchissent... -
Je te rassure, moi aussi! Je n'ai pas envie de vivre dans un monde comme ça. C'est pour ça que c'est aujourd'hui qu'il faut se bouger le cul sinon on y file tout droit.
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Je pense que le niveau global ici est assez élevé pour éviter des termes à la place d'autres. Quel sera le régime politique qui se mettra en place lorsque des 100aines de millions d'individus seront obligés de migrer et dont une part non négligeable viendra frapper à notre porte? Ce n'est pas demain. C'est l'horizon 2050. Quel sera le régime politique qui se mettra en place lorsque pour nourrir une population un Etat se verra dans l'obligation de demander à ses voisins de lui fournir la nourriture que son pays n'a pas été capable de produire alors que eux-mêmes en ont juste assez? Panem et circenses. Et on sait tous se qui se passe lorsqu'il n'y a plus pain...
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Voilà. Ce genre de choses est à bannir. Mais pour ça il faudra accepter des changements dans sa façon de consommer.
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Tiens, je me sens gentiment visé 😆 J'ai récemment sur je ne sais plus quel site calculé mon empreinte carbone. J'étais à 4.8T par an. C'est peu et beaucoup à la fois. Peu parce que bien en dessous de la moyenne française et beaucoup car il faudrait que je la divise au minimum par 2 dans les 8 ans qui viennent. Autant dire que j'ai, par choix et par conviction, fais une croix sur plusieurs choses. Il est vrai que ces choix ne sont absolument pas une contrainte pour moi. J'ai aussi des pistes d'amélioration évidemment. Et mes repas, assez carnés, en font partie. Cependant, est-ce une excuse pour me donner bonne conscience, je n'en sais rien, mais 80% de mon alimentation animale est locale (PO et départements limitrophes) et issue d'élevages extensifs. J'ai la faiblesse de croire que l'empreinte carbone de mon steak est moins importante que celle du steak acheté à Carrefour et dont la viande a été élevée je ne sais comment et venant de je ne sais où...
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Pessimisme partagé. Et merci pour ta réponse précédente, que je partage également, au message de @Hugo_HK que je n'ai pas eu le temps d'écrire. Le truc c'est que si on approche des +3°C, ce dont je ne doute pas, ça veut dire environ +4.5°C en France, +5°C autour du bassin méditerranéen. Les conséquences seront dramatiques pour notre agriculture (mais bon, on s'en fout, c'est moins de 2% de la pop active sauf qu'elle nourrit 67 millions de français), pour notre industrie (quid de l'état des cours d'eaux) et pour la "vivabilité" de nos villes. Paris à +4.5%, ça veut dire grosso-modo les températures Perpignanaises, les vagues de chaleurs en plus. Et les températures de Tunis à Perpignan... Tout le sud de L'Espagne ne sera quasiment plus habitable dans les terres, la Calabre et les Pouilles en Italie pareil... Bref, ce sera un bordel sans nom à nos frontières. Avec de grosses difficultés pour remplir le frigo. @Hugo_HK les technologies nouvelles sont un fantasme. L'accès à l'énergie, et donc également aux matières premières, sera de plus en plus contraint et donc toutes les innovations seront forcement lowtech. L'action gouvernementale, sauf révolution, consistera à conserver au minimum les acquis et à protéger sa population. La prise de conscience, il faut l'oublier, même si ça n'empêche pas de chercher à répandre la bonne information partout. Bref, c'est la merde.
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Il y a une très grosse limite (ou un très gros biais, au choix) sur cette étude de Lazard (une des plus grosses banque au monde). Le LCOE utilisé pour comparer les coûts n'est, en fait, pas comparable. En effet, les coûts des batteries ou autres installations pour compenser l'intermittence des systèmes éoliens ou solaires ne sont pas pris en compte. Bref, c'est vrai que lorsqu'une éolienne tourne, c'est l'électricité la moins chère au monde. Mais il faut qu'elle tourne. Et au bon moment.
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Malheureusement, je ne pense pas que ce soit une bonne idée. En effet, la taxation, telles qu'elles sont pensées aujourd'hui, est très peu égalitaire. Si on rajoute une taxe sur les carburants fossiles, ça va forcément plus peser sur les plus faibles. Sauf à mettre en place un plancher où la taxation ne serait applicable qu'au delà. Bref, ça serait un bordel sans nom à mettre en place (genre une carte personnelle avec x litres de carburant à utiliser sans taxe additionnelle). Par contre, taxer les transactions sur les marchés financiers pour financer une décarbonation massive de l'économie et donc des transports pourrait avoir un effet positif...
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Suivi du temps dans les régions méditerranéennes-novembre 2021
slo a répondu à un sujet de Toulnono83 dans Le temps en France
Ça commence à taper ici. Ça pleut fort avec 95mm/h il y a quelques minutes. Le ciel s'illumine temps en temps... -
Oui, XO ou Napoléon, c'est la Rolls du cognac. Cependant, attention. Certains n'hésitent pas à utiliser des eaux de vie de 10 ans pour faire du vsop. Grande Champagne n'est pas un cépage, mais un terroir. Le cépage principal dans le cognaciais est l’ugni blanc.
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Les bons domaines sont légions dans le Jura. En vrac et sans être exhaustif et tout en sachant que certains domaines n'auront pas de vins à vendre : Pierre Overnoy (le Pape des vins "natures", un pionnier en tout, bio-dynamie et sans souffre principalement. Goûter un de ses vins est toujours une émotion particulière), François Ganevat, Bénédicte et Stéphane Tissot, Ratapoil, Philippe Bornard, Labet, Pignier et si tu peux, le domaine de la Tournelle. Son propriétaire, Pascal Clairet, à fait le choix de se suicider il y a quelques mois. Acheter une de ses bouteilles c'est aussi aider sa famile... C'est de la grosse industrie Hennessy c'est quasiment 100 millions de bouteilles. VS est le plus "basique" des Cognac. Il s'agit d'un assemblage d'eaux de vie de 2 ans. Goûte un vrai cognac, fait par un vrai petit domaine. Je t'assure que ce n'est pas la même musique...
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Suivi du temps dans les régions méditerranéennes-novembre 2021
slo a répondu à un sujet de Toulnono83 dans Le temps en France
Dans le Roussillon il fait frais et c'est couvert. Moins de 10°C à Calce et à Ste Colombe. On dépasse à peine les 10°C en se rapprochant de la côte. On attend les premières pluies...