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kristopoff

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Tout ce qui a été posté par kristopoff

  1. Record de chaleur ce matin à Orly ! Avec 20,1 °C de Tn, ce 30 août 2015 nous offre la température minimale la plus élevée jamais enregistrée pour cette époque de l'année sur ce site ; et tout ça par une nuit claire et sans vent s'il vous plaît ! Par la même occasion, il s'agit aussi de sa Tn > 20 °C la plus tardive, l'ancienne étant les 20,0 °C de Tn du 22 août 1987. La journée d'hier était d’ailleurs assez étouffante ; le taux d'humidité de l'air, suite à la grande quantité d'eau tombée deux jours plus tôt, est resté bien élevé malgré le temps ensoleillé. En me rendant à une soirée entre amis à Brétigny-sur-Orge, j'ai même vu ce qu'on appelle communément des « éclairs de chaleur ». Il était environ 21 h 50 ; on roulait alors sur la D19, longue route qui traverse des champs et offre ainsi une vue superbement dégagée de tous côtés, et en regardant vers l’horizon nord-ouest, j'aperçois des flashs lointains de couleur orange qui illuminent un cumulonimbus. C'était ni plus ni moins que les orages sévissant au large des côtes normandes !
  2. Petit bilan définitif de l’épisode sur l’Essonne : 14,6 °C de Tx et 34,1 mm de précipitations à Orly. 14,4 °C de Tx et 38,1 mm à Brétigny. 14,3 °C de Tx et 41,7 mm à Courdimanche. 14,2 °C de Tx et 37,3 mm à Dourdan. Ce matin à 8 h, la Tx d'hier après-midi a été battue de 2 dixièmes à Orly, et égalée à Brétigny et à Courdimanche. Chez moi, la pluie, sans discontinuer, aura duré une vingtaine d'heures : de 5 h du matin à 1 h du matin ; et la température stagné autour de 14 °C pendant 24 heures ! de 8 h hier matin à 8 h ce matin. T’es sûr de n’avoir jamais fait mieux que 32 mm en août à Courcouronnes ? T’as eu combien de mm le 22 août 2007 ? et le 6 août 2008 ?
  3. Sympa comme journée ! Un mélange entre le 15 août 2010 pour la pluie et le 25 août 2013 pour la Tx. Petit bilan provisoire de l’épisode (à 20 h) sur l'Essonne : 14,4 °C de Tx et 25,2 mm de précipitations à Orly. 14,4 °C de Tx et 26,8 mm à Brétigny. 14,3 °C de Tx et 24,6 mm à Courdimanche. 14,2 °C de Tx et 29,2 mm à Dourdan. Si la Tx se maintient telle quelle – on vient d'améliorer de quelques dixièmes la performance d'il y a deux ans –, elle ne sera pas très éloignée du record de froid pour cette période de l'année, qui date du 25 août 1979 (13,3 °C de Tx à Orly et 13,6 °C de Tx à Brétigny ce jour-là). Merci Dame Nature pour cette petite parenthèse fraîche entre le presque 30 °C d'hier après-midi et les 32 °C de Tx prévus pour ce week-end.
  4. Bel arrosage ici entre 19 h et 19 h 20, et en deux temps : une première averse, d'intensité respectable, entre grosso modo 19 h et 19:10 ; et une seconde, entre 19 h 12 et 19 h 18, lâchant une forte pluie, avec même de la grêle vers 19 h 15. Côté activité électrique en revanche, c'était bien faible : que des intras, et assez espacés dans le temps.
  5. Pluie faible ici depuis environ un quart d'heure. Un coup de tonnerre a retenti à 18 h 17. La température dégringole, et ne va pas tarder à être plus basse que celle de ce matin.
  6. Orage sympa ici tout à l'heure, qui me permet de passer à 9 jours avec tonnerre pour cette saison 2015 – on va peut-être éviter l'humiliation de finir l'année avec un niveau kéraunique en dessous de 10. Par contre niveau pluie, c’est toujours la misère avec seulement deux averses (une faible à 16 h 50 et une autre, respectable, 20 minutes plus tard). La zone d'impacts m'a traversé vers 17 h-17 h 10, me lâchant 4 ou 5 coups de foudre assez proches. (Ça aurait été la nuit, j'aurais eu de belles photos à vous montrer ; mais là, les éclairs ont eu une durée de vie plus courte que mon temps de réaction.) Il a été refoulé à la porte du top 5 en région parisienne, mais à l'échelle nationale, juillet 2015 a fini en troisième position des mois de juillets les plus chauds depuis 1900. Source: http://www.meteofrance.fr/actualites/27520316-un-mois-de-juillet-record-dans-certaines-regions-europeennes
  7. Salut, Je n'étais pas spécialement confiant quant à la possibilité de vrais orages dignes de ce nom hier ; mais en sortant de ma soirée entre amis à Saint-Michel-sur-Orge vers 2 h 30, j'ai vu qu'il y avait des flashs et des coups de tonnerre. Arrivé chez moi 10 minutes plus tard, après un trajet en voiture durant lequel je n'ai pu voir aucun canal électrique (que des intras apparemment), je sors quand même l'appareil photo au cas où. Ça continue de flasher et de gronder ; rien de bien intéressant. Puis une averse tombe vers 2 h 50, et quelques segments d'éclair commencent à se montrer durant les flashs. À 2 h 52, je réussi à photographier un impact assez loin en direction du sud-est : Ensuite, grâce à ma vue assez dégagée sur le sud-est, j'ai tout le loisir d'observer de ma fenêtre l'orage qui s'abat sur la Seine-et-Marne. Et le spectacle est de toute beauté ! Pendant une bonne vingtaine de minutes, de nombreux coups de foudre se produisent, et le calme de la nuit me laisse les entendre jusqu'à 3 h 30. Qu'est-ce que j'aurais aimé être en dessous ! Côté pluie : une seconde averse a touché ma commune vers 5 h 50. Cumulé à la première, ça doit faire un total d’environ 2 mm pour cette nuit. Sinon, mine de rien, on a frôlé les 35 °C de Tx hier après-midi dans mon secteur (34,6 °C à Orly et 35,1 °C à Courdimanche), malgré un 14 °C de Tn. Je pensais être débarrassé de la forte chaleur pour plus longtemps que ça, mais Dame Nature en a décidé autrement ; tout comme elle a décidé de sortir notre mois de juillet 2015 du top 5 des mois de juillet les plus chauds depuis 1950 : 24,2 °C pour juillet 2006. 22,8 °C pour juillet 1994. 22,4 °C pour juillet 1983. 22,3 °C pour juillet 1995. 22,0 °C pour juillet 2013. 21,8 °C pour juillet 1976. 21,5 °C pour juillet 2015. Ce qui serait bien, ce serait qu'elle décide de nous sortir du top 5 des années les moins orageuses...
  8. Nuit assez sympathique chez moi, grâce à deux orages. Étant, en matière kéraunique, moins chasseur que pêcheur, j'installe mon matériel chargé près de la fenêtre de ma cuisine en attendant venir ce qui devait se produire plus à l'est d'après les prévisions. À la vue du ciel, mais aussi un peu du radar de précipitations, j'ai bon espoir, une fois n'est pas coutume en cette morne année 2015, d'observer des éclairs. Je dîne, puis scrute le ciel attentivement. Quelques minutes plus tard (il était 22 h 05) je vois deux flashs en direction du sud, puis entends gronder légèrement. Ça y est, c'est parti ! me dis-je dans un élan de naïveté qui ne me ressemble pas. Je vais enfin l'avoir, ma nuit orageuse photogénique ! En fait, non. Il n'y eut que de rares intranuageux lors de cet orage, qui m'a plus fait du bien en m'envoyant des rafales de vent fort vers 22 h 10 (un peu d'air frais dans ce monde de brutes caniculophiles !), pendant que la pluie commençait à tomber (quelle odeur agréable d'ailleurs à ce moment-là !). La pluie, la plupart du temps faible mais tantôt modérée, a continué jusqu'aux environs de 23 h – 23 h 30. Vers 0 h 30, j'ai droit à une brève averse. Une demi-heure plus tard, à nouveau des flashs et des grondements ; un nouvel orage arrive. Celui-ci sera un peu plus actif que son prédécesseur, mais ne m'offrira tout comme ce dernier que des intranuageux. Tant pis ! Au moins il pleut, c'est déjà ça, songeai-je, en regardant les pelouses grillées par toutes ces semaines de chaleur sèche. (Notons que de nombreux incendies de végétation ont été recensés dans l'Essonne ce mois-ci.) La pluie, de même intensité que lors du précédent orage, a duré une vingtaine de minutes. Vers 2 h 15 – 2 h 30, j'ai droit à plusieurs grondements, juste histoire de faire en sorte que cette d***e orageuse comptabilise deux « jours d'orage » dans les statistiques alors qu'elle ne le mérite clairement pas. (Je sais bien qu'il n'y a pas de mérite en météorologie, mais c'est toujours un peu rageant ce genre de truc.) Actuellement chez moi : température de 23,1 °C avec un ciel très nuageux et un petit vent, agréable après la chaleur d'hier (encore 30 °C de maximale). Quelle poisse le Pouic ! Puisque tu as cumulé les mésaventures hier soir, laisse-moi te proposer une modeste compensation à tes malheurs avec la lecture du résumé des miens avec les moustiques. Il s'agit d'une lutte plus intellectuelle que physique avec un suceur de sang particulièrement retors il y a deux nuits de cela. Usant de sophismes, insolent au possible, moralisateur à outrance, celui-ci a carrément tenté de me convaincre de le laisser me piquer ! Comme je sais que tu es très friand de mes récits de combats avec ces insectes volants pour qui j'éprouve une haine incommensurable, voici le dernier en date, rédigé sous la forme d'un dialogue en vers : Kristopoff Ah ! Te revoilà, scélérat ! Le moustique Scélérate. Chez nous autres moustiques, Seules les femelles, au besoin, vous piquent. Kristopoff Excusez, ma chère, de ma vision le manque d'acuité, Si je ne parviens point, lorsque je vous regarde voler, Dans les petits êtres qui composent votre espèce infâme, À distinguer entre eux les messieurs des mesdames. Le moustique Vous êtes, pour votre mauvaise vue, tout pardonné ; Mais cela ne dispense en rien votre sang d'être pompé ; Et ce que vous distinguerez clairement, soyez-en sûr, Sera, en les grattant longuement, vos futures piqûres. Kristopoff Juste ciel ! Voilà une chose qui de rage me remplit : Pourquoi, chaque fois que, dans ma chambre, en douce s'introduit, Une femelle formulant, de me sucer, le désir ardent, Faut-il que le propos soit d’un insecte et concerne mon sang ? Le moustique Je puis dans ce cas vous piquer, si votre souhait est tel, À cet endroit qui, chez vous les mâles, tient lieu de cervelle. Kristopoff C’est là toujours meilleure affaire que près du visage, Dont les oreilles, la nuit, vous savent dans les parages ; Quand, dans la pièce où je suis, elles vous entendent voler, Et que mon précieux sommeil s'en trouve écourté. Le moustique Troubler votre repos ne prend nulle part dans mes desseins, J'opère tout aussi bien sur les pieds comme sur les mains ; Mais ceux-ci étant, par une couette ou des draps, souvent couverts, Il ne me reste alors que le visage pour conclure l'affaire. Kristopoff Et qu'en est-il de toutes ces fois où, après une chaude journée, Dormant nu et sans draps, de ma tête, vous fûtes à côté ? Le moustique Nous sommes, mon espèce et moi, guidés par la chaleur, Et c'est dans la tête de la vôtre que règne le plus d'ardeur. J'ajoute que celui qui ne souhaite point nous voir paraître, N’a qu’à s’équiper en conséquence ou bien fermer ses fenêtres. Kristopoff Entrouvrir pour aérer ne veut pas dire Inviter en sa demeure le vampire. Le moustique Cessons donc ce débat et laisse-moi prélever Un peu de ton fluide et te débarrasser De mes va-et-vient pour le reste de la nuit, Où tu pourras ronfler jusqu'au jour sans souci. Kristopoff J'aime comme tu présentes la chose ; Avec bienveillance, tu habilles ton forfait. Sache que si tu t’avise de prendre ta dose, De mes mains ou d’un livre je t’écraserai. Le moustique À quoi te sert-il de vouloir m'occire ? Au prix d'une goutte cédée tu pourrais dormir. Tu éviterais ainsi un combat de trois heures, Qui par ma traque, en vain, fatiguerait ton cœur. Kristopoff De celui-ci, ma chère, ne feins pas de te préoccuper ; Il n’est pas des plus aguerris, et quoique fort épuisé, En lui se trouve toujours place pour un battement, Quand il faut, à celui qui me nuit, infliger mille tourments. Du reste, n’a droit de prendre mon sang, aucun animal, Excepté, et quand j'y consens, l’analyste médical. Le moustique Que fais tu du « vivre ensemble », de l’esprit du 11 janvier ? Nous sommes tous Charlie, dois-je te le rappeler ? Hommes et Moustiques sont frères, et doivent partager Le même sang, le même lieu et les mêmes idées. Kristopoff L'argument est vil, tu devrais avoir honte D'user de ce drame pour servir ta ponte. Il est triste de voir, par intérêt, les moustiques Ne guère mieux valoir que les hommes politiques. Le moustique Puisque, de mes propos de paix, tu n’entends rien, Faisons la guerre, mais je t’avertis bien, Que de ton fluide, je remplirai ma carafe, Quand, de ton côté, tu manqueras ton... PAF ! Kristopoff Je l’ai eu ! Et je conclue ce long message par ma petite /topic/86325-suivi-du-temps-en-ile-de-france/page-9#entry2562071'>rubrique littéraire, avec cette fois un extrait de La Guerre et la Paix de Tolstoï – avec ce temps insipide durable, j'ai eu tout le temps de lire ce pavé, et d'en prélever certains passages qui parlent de météo ; en voici un : Dans la nuit du 12 au 13 juillet, sévit un de ces gros orages, avec pluie et grêle, dont l'été 1812 se montra prodigue. Deux escadrons du régiment bivouaquaient dans un champ de seigle, entièrement piétinés par les chevaux et le bétail. La pluie tombait à torrents. Rostov, en compagnie d'un de ses subordonnés, le jeune Iline, qu'il avait pris sous sa protection, s'abritait sous un hutteau bâti en hâte. Surpris par la pluie, un officier du régiment, dont les joues étaient flanquées d'interminables moustaches, pénétra sous le hutteau. « Je sors de l'état-major, comte. Avez-vous appris l'exploit de Raïevski ? » Et il raconta en détail le combat de Saltanovka. Rostov, contractant son cou où la pluie avait coulé, fumait sa pipe et écoutait d'un air distrait en glissant de temps en temps un regard vers le jeune Iline, tapi auprès de lui. [...] « On ne peut plus y tenir, dit enfin Iline, à qui le mécontentement de Rostov n'avait point échappé. Mes chaussettes, ma chemise, tout est trempé. Je vais chercher un abri ailleurs. La pluie diminue, il me semble. » Iline sortit et Zdrjinski poursuivit sa route. Cinq minutes plus tard, Iline revint en courant et en pataugeant dans la boue. « Hourra ! Rostov, viens vite ! J'ai trouvé. À deux cents pas d'ici il y a une auberge ; les camarades y sont déjà, ainsi que Marie Henrikhovna. Nous pourrons au moins nous sécher. » [...] Rostov s'enveloppa de son manteau, cria à Lavrouchka de le suivre avec des effets et s'en alla avec Iline, louvoyant ici dans la boue, pataugeant là dans les flaques, sous la pluie qui s'apaisait dans le soir obscur, que zébraient de lointains éclairs. « Rostov, où es-tu ? - Ici. As-tu vu cet éclair ! » se disaient-ils entre eux.
  9. Tonnerre entre 19 h 50 et 20 h 05 ici, avec même un impact de foudre à moins d'un kilomètre – un coup de chance ! l'orage était trop au nord de ma position – et une averse de deux minutes vers 20 h 00. Comme quoi, il suffisait de râler un coup auprès de Dame Nature pour avoir un petit quelque chose.
  10. Hier : Tut... tut... tut... Bureau de Dame Nature, bonjour. Oui, bonjour, je vous appelle pour un renseignement. Je vous écoute, monsieur. Ce serait pour savoir si vous n'aviez pas oublié la distribution des orages cet été. Vous habitez où, monsieur ? En France, dans le département de l'Essonne. Veuillez patienter une minute je vous prie, je regarde dans mon ordinateur. Dix minutes de Vivaldi plus tard... Allô ? Oui, je suis toujours là. Il y a déjà eu des orages dans votre secteur, monsieur. Un coup de tonnerre en juin et quelques grondements en juillet, vous appelez ça des orages !? Je regrette, monsieur, mais en climatologie, un jour d'orage c'est quand vous entendez le tonnerre ; et vous l'avez entendu quatre fois sur votre commune d'après ma base de données. Oui, eh ben votre base de données, ce serait bien de lui apprendre la nuance ; un grondement n'est pas un orage ; pourquoi croyez vous que dans la langue française il y ait deux mots différents si ce n'est pour les distinguer ? Ah, je vous en prie, épargnez-moi vos leçons de français ! Épargnez-moi d'abord vos leçons de climatologie ! D'ailleurs, à ce propos, qu'est-ce qui se passe avec les précipitations ? Ça je ne sais pas, ce n'est pas moi qui m'occupe de la pluie. Faudra voir ça avec ma collègue mais elle ne travaille pas le mercredi. J'ai l'impression qu'elle ne travaille pas les autres jours non plus, votre collègue ! Pardon ? Je suis censé recevoir dans les 50 mm par mois et j'ai eu 4 mm en juin et 2 mm en juillet ! Vous pouvez toujours appeler ça du travail si ça vous amuse ; chez moi ça s'appelle du foutage de gueu.le ! Clac... Tut, tut, tut... Allô ? Connasse ! Aujourd'hui : La bande nuageuse évoquée dans vos messages est au-dessus de chez moi actuellement ; le radar y suggère de légères précipitations, mais il n'en est rien. 33,0 °C sur mon balcon, après une maximale – provisoire peut-être si le soleil se repointe derrière – de 33,4 °C.
  11. Le voici : Moyenne de 29,9 °C du 4 au 13 août 2003. Moyenne de 28,4 °C du 25 juin au 4 juillet 1976. Moyenne de 26,5 °C du 17 au 26 juillet 2006. Moyenne de 26,1 °C du 30 juillet au 8 août 1975. Moyenne de 25,3 °C du 27 juillet au 5 août 1990. Moyenne de 24,9 °C du 28 juin au 7 juillet 1957. Moyenne de 24,9 °C du 18 au 27 juillet 2013. Moyenne de 24,8 °C du 4 au 13 août 1997. Moyenne de 24,8 °C du 19 au 28 juin 2005. Moyenne de 24,7 °C du 28 juillet au 6 août 1995. Moyenne de 24,7 °C du 28 juin au 7 juillet 2015. Moyenne de 24,5 °C du 22 au 31 juillet 1994. Moyenne de 24,3 °C du 28 juin au 7 juillet 1952. Moyenne de 24,1 °C du 30 juillet au 8 août 1992. Moyenne de 24,1 °C du 9 au 18 juillet 1983. On voit qu’à Orly, malgré une Txx extraordinaire de 39 °C, notre vague de chaleur ne rentre même pas dans le top 10 (depuis 1950) – et je ne m'en plains pas –, la faute à son caractère peu durable. Pour des raisons contraires, celle de juillet 2013 en fait partie. La vague de chaleur de 1947 (moyenne de 26,8 °C du 24 juillet au 2 août), que je n'ai pas mise dans le classement en raison du manque de fiabilité des mesures de l'époque, vague de chaleur à laquelle on a souvent comparé celle de 2015, apparaît comme étant d'un niveau plus élevé que celle de cette année. « Extrêmes », peut-être pas ; mais disons « intéressants ». Et des événements intéressants dans le secteur depuis un an et demi, il y en a pas eu beaucoup. Actu : averse depuis quelques minutes, avec de bonnes rafales de vent.
  12. Ça y est, le gros de la chaleur est passé ; c'est agréable de retrouver un peu d'air frais (13 °C de Tn chez moi ce matin). Hier après-midi déjà on commençait à sentir le changement dans le fond de l'air. À la lourdeur de samedi (Tn de 23,4 °C et Tx de 31,9 °C sur mon balcon) a succédé un dimanche pas trop chaud et bien ventilé, qui m'a permis en aérant de faire baisser le taux d'humidité de ma chambre de près de 20 %. L'air y est devenu beaucoup moins étouffant, bien que la température n’eût perdu que 1 °C – c'est là qu'on se rend compte à quel point l'humidité joue un rôle important dans la sensation de confort. Côté précipitations, ma commune a réussi l'exploit de passer complètement au travers des pluies hier. Pas une goutte n'est tombée, et pas un coup de tonnerre n'a retenti. Le compteur pluviométrique de juillet est donc bloqué à 0 mm pour l'instant, après un mois de juin à 4 mm seulement. Conséquence : l'herbe, chez moi, a plus la couleur de la peau d’Homer Simpson que celle du Géant Vert. D'ici deux jours, je pourrai établir la position de notre vague de chaleur dans mon classement par la méthode de la décade glissante la plus chaude, tout comme je l'avais fait pour les vagues de froid il y a quelques années (/topic/76661-suivi-du-temps-en-le-de-france/page-85'>http://forums.infoclimat.fr/topic/76661-suivi-du-temps-en-le-de-france/page-85 ). C’est une méthode bien plus représentative de l'intensité que celle des journalistes qui consiste à comparer les Txx. « Il a fait jusqu’à 39,7 °C à Paris en 2015 contre 39,5 °C en 2003 ; la vague de chaleur de 2015 a donc été plus forte que celle de 2003 », disent les sots. Sinon, puisque c'est l'anniversaire de Pouicpouet et qu'il s'amuse de mes tribulations face aux insectes volants suceurs de sang, j'en profite pour lui communiquer les résultats du dernier match entre Kristopoff et les moustiques : Moustiques : 3 – Kristopoff : 2 Informations complémentaires : Le combat s'est déroulé vendredi matin à l'aube. Je suis alors, comme très souvent, réveillé par les bruits de mes voisins, qui n'étaient, ce me semble, pas présents le jour où l’on a distribué la politesse et le respect des autres. J'ai chaud, j'ouvre la fenêtre de ma chambre, deux moustiques rentrent et m'attaquent. Je fais de grands gestes pour les éloigner, ils se replient (le temps d'établir, je suppose, une stratégie militaire pour la seconde offensive). Je parcours l'étendue du terrain dans le but de déterminer la position de l'ennemi, lorsque j'en vois un posé au plafond. Tout en me félicitant d'avoir eu la bonne idée il y a 15 ans d’avoir opté pour du papier peint très clair et un plafond blanc (un moustique peut ainsi difficilement se dérober à ma vue), je saisis alors un album des Tuniques Bleues dans ma bibliothèque et lui lance en pleine face. Splatch ! Tué sur le coup, un point pour moi. Le deuxième fut plus dur à vaincre, et eut le temps de me piquer deux fois, dont l'une au majeur de la main droite – comme si par cet acte il m'adressait un message : celui qu'on profère lorsqu’on lève ce doigt du milieu à quelqu'un, le fameux doigt d'honneur. Je me sens insulté et humilié, mais tiens le coup. Patiemment, les mains prêtes à frapper, j'attends sans bouger qu'il passe dans mes parages. C'est le cas au bout de plusieurs minutes ; je frappe, je le rate, je re-frappe, je le re-rate, et ainsi de suite à trois ou quatre reprises, pendant lesquelles j'ai l'impression de faire partie du public d'une émission de Ruquier, à qui le chauffeur de salle, par sa pancarte « applaudissez », intime l'ordre d’encenser par des claquements de mains chaque jeu de mots pourri de l'animateur. Au bout d'un certain temps, le moustique ne donne plus signe de vie. Croyant à une tactique de sa part – peut-être a-t-il formé le dessein d'éprouver ma patience, me dis-je, et de venir prélever mon fluide corporel quand, dans l'attente d'une nouvelle agression, je me serai assoupi –, je baisse un peu ma garde lorsque tout à coup je remarque une trace noire sur mes deux mains à peu près au même endroit. J'avais réussi à le tuer sans m'en apercevoir ! durant l’un de mes claquements. Et si plus tard dans le courant de la journée je n'avais pas remarqué une piqûre dans mon cou, j'aurais fait match nul – les règles du jeu sont simples ; pour les moustiques : 1 point par piqûre, pour les humains : 1 point par moustique tué (et pas le contraire).
  13. Quelques coups de tonnerre vers 20 h 30 ici, et puis rien d’autre. Journée étouffante sinon (Tn de 22,6 °C et Tx de 32,1 °C sur mon balcon), et nuit particulièrement pénible (combat de deux heures entre Kristopoff et un moustique*). * Résultat du match : Moustique : 1 - Kristopoff : 0
  14. 37,0 °C de Tx sur mon balcon, situé à l'ombre ! Par expérience, je sais qu'à cette période de l'année et avec ce type de temps il faut rajouter 2 °C à ce chiffre pour obtenir la température réelle de l’air – ou plutôt celle que j'aurais eue avec des conditions de mesure optimales. Il a donc fait 39 °C à Sainte-Geneviève-des-Bois cet après-midi, et c’est un record de chaleur pour un mois de juillet. Cela semble confirmé par la valeur d'Orly (à 10 km au nord de chez moi), qui bat son record mensuel également avec 39,0 °C de Tx, mettant une fessée au précédent qui n’affichait « que » 37,3 °C (1er juillet 1952). Certains m’objecteront que le 28 juillet 1947 (39,2 °C à Orly) reste en tête ; mais en climatologie, où il ne faut comparer que ce qui est comparable, on ne va pas mettre en parallèle un relevé effectué sous abri ancien – qui pouvait surchauffer les Tx de plusieurs degrés par les chaudes journées peu venteuses – avec un autre effectué sous abri moderne. C'est pareil pour Paris-Montsouris : il est fort probable que le fameux 40,4 °C de ce 28 juillet 1947 ne soit en réalité qu’un 38 °C, et qu’à l’inverse le 39,5 °C d'août 2003, s'il n'y avait pas eu l'arrosage du parc, soit en réalité un 41 °C. Sinon, Courdimanche, dont je considère les relevés comme fiables, affiche 38,7 °C de Tx pour aujourd’hui.
  15. Dans l'Essonne, les minimales sont restées inférieures à 20 °C : 18,2 °C de Tn à Orly. 16,4 °C de Tn à Brétigny. 14,3 °C de Tn à Courdimanche. Ce qui donne, avec le rapport aux distances, environ 17 °C pour Sainte-Geneviève-des-Bois ce matin à l'aube (20,4 °C de Tn sur mon balcon surchauffé). À suivre pour la Tx... Le record à battre pour cette époque de l'année, et qui est aussi le record mensuel pour un mois de juillet depuis 1950, est de 37,3 °C le 1er juillet 1952 à Orly. Actuellement : très beau temps, aucun nuage.
  16. Je me joins à vous pour le jeu des pronostics, et mise sur un 38 °C à Orly demain après-midi.
  17. Il pleut ! Pour l'instant : pas de quoi noyer un chat, mais il pleut ! et c'est un événement suffisamment rare en ce mois de juin, dont les trois premières semaines affichent chez moi un total pluviométrique de 1 mm, pour qu’on puisse le signaler. Jusqu'ici, j'avais eu droit à un peu de pluie le matin du 3 juin vers 9-10 h, et un peu de pluie le soir du 11 juin vers 0 h – avec en prime un coup de tonnerre lors un flash plus fort que les autres, trop lointains vers l'ouest pour être audibles cette soirée-là. Question orages : ce n'est pas beaucoup mieux, puisque j'en suis à 3 jours d'orage depuis le début d'année (un orage l'après-midi du 25 avril ; un autre, mais faible, dans la nuit du 4 au 5 mai vers 3 h 30 ; et puis mon fameux coup de tonnerre du 11 juin à 0 h 18). Il s'agit de mon plus mauvais début de saison depuis que je m'intéresse à la météo. Un truc qui sort de l'ordinaire cependant ce mois-ci, c'est la Tx du 5 : 33,1 °C à Orly, quand le record pour cette période de l'année est de 33,7 °C (7 juin 1996). Une bouffée d'air très chaud qui s’en est allée aussi vite qu'elle est venue. Je termine ce message par ma petite /topic/84556-suivi-du-temps-en-ile-de-france/page-10#entry2365020'>rubrique littéraire – ça faisait un bail –, avec cette fois un extrait de Madame Bovary de Flaubert, qui dans ce passage nous décrit une averse : Madame Bovary avait ouvert sa fenêtre sur le jardin, et elle regardait les nuages. Ils s'amoncelaient au couchant du côté de Rouen, et roulaient vite leurs volutes noires, d'où dépassaient par derrière les grandes lignes du soleil, comme les flèches d'or d'un trophée suspendu, tandis que le reste du ciel vide avait la blancheur d'une porcelaine. Mais une rafale de vent fit se courber les peupliers, et tout à coup la pluie tomba ; elle crépitait sur les feuilles vertes. Puis le soleil reparu, les poules chantèrent, des moineaux battaient des ailes dans les buissons humides, et les flaques d'eau sur le sable emportaient en s'écoulant les fleurs roses d'un acacia. EDIT : environ 3 mm pour cette perturbation.
  18. kristopoff

    Orthographe

    Ce n'est pas le truc de beaucoup de monde visiblement. Preuve en est de l'utilisation du point virgule, qui est devenu une espèce en voie de disparition dans l'écriture de beaucoup de gens, ou encore des guillemets " " fréquemment mis à la place des guillemets « ». Aussi, dans ma grande générosité, vous ai-je concocté un petit exercice sur cette discipline. Pour ceux que ça intéresse, j'ai rédigé un texte – ne prenez pas l'histoire racontée pour la réalité – comprenant un grand nombre de type de signes de ponctuation que j’ai ensuite retirés. À vous de les retrouver. Pouicpouet à l'instar de Kristopoff est chanceux quand il chasse seul mais lorsque ces deux-là chassent ensemble l’infortune est loi Durant leur dernière traque à l'orage commune tout semblait pourtant jouer en leur faveur les appareils photos étaient chargés la connexion aux radars de pluie opérationnelle l'activité kéraunique prometteuse etc Il ne manquait plus qu'ils trouvassent admirez ce beau subjonctif imparfait un point de vue adéquat et que ni l'un ni l'autre ne se trompât dans les réglages photographiques pour que cette chasse fût un succès À quatre heures du matin Pouicpouet vint réveiller Kristopoff puis lui montrant l'écho radar lui dit Alors qu'est-ce que tu penses de ça Au signe de tête approbateur de Kristopoff ils montèrent en voiture et partirent vers l'ouest Ils se postèrent en bordure d'un champ et attendirent l'arrivée des éclairs J'espère qu'on aura le temps de photographier des impacts avant que la zone de pluie forte débarque dit Kristo à Pouic pendant que ce dernier luttait pour installer son trépied Tu devrais t’abstenir de ce genre de phrase lui répondit Pouic La dernière fois tu m'as dit J'espère que la cellule orageuse ne va pas se diviser en deux et c'est exactement ce qu'elle a fait Soudain un beau coup de foudre s'abattit à quelques centaines de mètres Oh non cria Kristopoff dépité que l’impact se fût produit hors de sa zone de cadrage Quelques secondes plus tard une pluie forte se mit à tomber et nos deux amis essuyèrent un échec de plus Sur le trajet du retour ils croisèrent plusieurs photographes à qui la chance avait souri Météo78 dont la carte mémoire de l’APN ne comptait pas moins de cinquante photos d’éclairs réussies Henri Bubuff grand chasseur devant l'Éternel qui avait réalisé un magnifique cliché d'un double impact proche ce matin-là et Arkus qui de passage dans la région avait ajouté à sa collection déjà bien remplie de très belles images Quelle chasse dit Jérémie c'était le prénom de Météo78 Ce fut un bonheur de pouvoir photographier la foudre sans que la pluie vienne Il n'eut pas le temps d'achever sa phrase que Pouicpouet pas d'humeur à l'entendre étaler sa joie lui lança son trépied au visage Pour voir la solution, cliquez sur le spoiler :
  19. Salut à vous, Orage (entre 16 h 55 et 17 h 10) plutôt sympa pour un premier de la saison ici : de la pluie forte, un peu de grésil / grêle, huit coups de tonnerre, dont quelques-uns étaient issus d'impacts de foudre, l'un d'entre eux à moins de 500 m ; bref, une petite dose d'agitation météorologique au sein d'un printemps qui jusque-là nous a accoutumé plus qu'à tout autre chose au tandem soleil / pollution.
  20. Je n'ai pas vu ce qui s'est passé ici, car après une semaine à se le lever à 6 h 30 pour le travail je n'avais pas envie de rempiler le samedi pour observer ce qui ne devait être, d'après les prévisions, que quelques pluies verglaçantes. Je me suis donc levé vers 10 h 30 pour constater... qu’il avait neigé. Il restait à ce moment-là une fine couche de neige sur la terre et les voitures, vestige d’une épaisseur plus importante tôt ce matin (1 cm ? 1,5 cm ?).
  21. Moi, je me demande comment ma sonde a fait pour monter jusqu'à 2,5 °C aujourd'hui. J'ai toujours eu des petites surchauffes sur mes Tx par temps embrumé, mais d'habitude c'est plutôt de l'ordre de 0,5 °C et ça ne dépasse pas le degré. Et comme ce n'est pas la première fois que ça se produit depuis cette fameuse nuit de mi-décembre où un voisin qui avait oublié ses clefs a tenté d'utiliser mon abri comme marchepied pour pouvoir accéder à la cage d'escalier en passant par une de ses fenêtres, je me demande si ce sombre crétin n'est pas à l'origine de cette bizarrerie thermique. Ceci mis à part, le temps fut relativement intéressant aujourd'hui avec ce brouillard qui est subitement apparu vers 11 heures (et disparu vers 14 heures) ainsi qu’hier matin avec de la neige qui s'est mêlée à la pluie – il s'agissait d'ailleurs de mon deuxième jour de neige du mois puisque j'avais eu un peu de neige en grains le matin du 6, qui avait déposé un léger saupoudrage sur les voitures et la végétation. Ce n'est pas grand-chose mais c'est toujours ça de pris. Hier : 1,4 °C de Tn et 3,1 °C de Tx sur mon « balcon ». Aujourd'hui : -0,5 °C de Tn et 2,5 °C de Tx. Actuellement : -0,5 °C.
  22. Salut à tous, Tout d'abord, je vous souhaite une excellente année 2015, qui, normalement, devrait être météorologiquement plus intéressante que l'année qui vient, pour notre plus grand plaisir, de s'achever. Si j’affirme cela avec autant d'assurance, c'est en raison du fait que produire pire que cette dau.be céleste de 2014 relève de l'impossible, du moins dans un avenir proche. Toutefois, je ne peux m'empêcher de conserver une certaine méfiance quant à cette assertion. En 2011 déjà, nous pensions avoir vécu les heures les plus insipides de toute l'histoire de la climatologie ; et 2014, année qui lui ressemble curieusement, nous a montré qu'il n'en était rien. Aussi ne mettrai-je pas Dame Nature au défi de nous pondre une telle abomination car il se pourrait bien qu'elle y arrive aisément cette garce. En attendant, soyons optimistes en ce qui concerne notre hiver. Le petit coup de froid de dimanche / lundi (0 °C de Tx dimanche et -7 °C de Tn lundi chez moi), ordonné « vague de froid » par nos médias, quoique banal pour cette époque de l'année, nous a offert quelque chose qui fut totalement absent l'hiver précédent. Et pour la neige c'est encore plus simple : il me suffira d'un seul flocon pour faire mieux que toute la saison froide 2013-2014. Actuellement : ciel dégagé, avec un brouillard qui ne veut pas prendre, température de 3,1 °C sur mon balcon.
  23. Temps assez insipide en ce lundi, a contrario des trois jours qui l'ont précédé. Les pluies de vendredi & samedi, dont j'ai pu apprécier l'intensité des passages les plus actifs, étant en dessous quelques minutes vendredi soir, ont apporté un cumul conséquent pour la saison sur mon secteur, où l'on relève : 31,3 mm à Orly. 30,7 mm à Brétigny. Étant donné qu’il n’est tombé que 1,4 mm à Orly et 1,2 mm à Brétigny durant la journée de vendredi, les quantités citées plus haut sont quasiment tombées en l'espace de 24 heures (de vendredi soir 19 h à samedi soir 19 h). Pas mal ! Ensuite, bon refroidissement avec 11 °C vendredi soir vers 19 h, 7 °C samedi matin vers 7 h, 3 °C samedi après-midi, -2 °C dimanche matin... Sur mon balcon, où les températures ont été fiables pendant l'agitation et un peu surestimées après, je relève : 7,3 °C de Tn et 10,9 °C de Tx vendredi. 3,1 °C de Tn et 6,8 °C de Tx samedi. -0,1 °C de Tn et 2,5 °C de Tx dimanche. Et puis dimanche matin à l’aube, un épais brouillard s'est formé et a persisté tout au long de la journée, ainsi qu'une grande partie de la nuit suivante. C’est ou c'est devenu assez rare dans ma commune que j'observe un brouillard diurne qui persiste du matin au soir sans discontinuité ; la dernière fois, c'était le 14 décembre 2004, soit il y a pile 10 ans ! Mais en termes de rapport épaisseur / durée, celui d'hier était bien plus beau. Actuellement : bruine et température de 4,6 °C sur mon balcon.
  24. Non, les coups de fouet, au demeurant très à la mode dans les milieux libertins du XVIIIe siècle, c'est seulement si tu exagères une épaisseur de neige (/topic/82609-suivi-du-temps-en-le-de-france/page-8#entry2192625'>rappelle-toi) ; aussi me contenterai-je seulement de te corriger une faute d'orthographe : Oh, c'est pas grand-chose : c'est « grand-chose » et pas « grand chose ». Côté météo, l'ambiance hivernale se poursuit, même si la première gelée se fait attendre (MF me prévoit du gel pour dimanche matin ; s'il n'a pas lieu, je pourrais bien battre 2002, où j'ai dû attendre le 9 décembre). Sur mon balcon : Tn de 3,2 °C et Tx de 5,6 °C lundi. Tn de 2,6 °C et Tx de 3,8 °C mardi. Tn de 1,8 °C et Tx de 3,2 °C mercredi. Tn de 2,1 °C et Tx de 4,8 °C aujourd'hui. Rien d'extraordinairement froid pour un début décembre – n’est pas 2010 qui veut –, mais bien vivifiant après cet automne extraordinairement doux.
  25. En général, sur un forum météorologique, on parle d'hiver météorologique. http://www.cnrtl.fr/definition/hiver Le mot « hiver » a plusieurs significations : il peut désigner l'hiver astronomique, l'hiver météorologique, le froid, la vieillesse, etc. Dans ma phrase qui t’a tant perturbé (« L'hiver est arrivé pile à l'heure, en même temps que le mois de décembre »), « l’hiver » désigne évidemment le froid. Quant au sujet des horaires de relevés de température, je ne vais pas réexpliquer que relever les Tn de 0 h à 0 h équivaut à relever les Tx de 12 h à 12 h ; j'ai déjà démontré en quoi le système MF, quoique imparfait, est plus logique et plus représentatif des variations naturelles que le 0 h - 0 h dans un débat avec Mét’ sur /topic/61503-tn-et-tx/page-3#entry1391070'>ce topic. Actuellement : ciel couvert par stratocumulus et température de 3,8 °C sur mon balcon.
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