boudha

Ce que je te conseille car ça fonctionne plutot pas mal, c'est de vider le datalogger (aussi souvent que possible) et dès que le transfert est terminé, vide manuellement (xnet branché). Au sujet des secondes qui apparaissent dans ton log, elles viennent du fait que tu as certainement lancé xnet à une certaine heure et 8sec. En travaillant en live (y compris pdt le transfert depuis le datalogger), xnet ajoute une ligne au log toutes les 60s. Toutes les lignes auront alors les 8s du démarrage (c'est clair ça????)

Au sujet des heures: On dirait qu'il y a eu un trou dans les données, de plus de 24h... C'est la seule chose qui me parait étrange dans ton log. Les éléments que tu donnes sont insuffisants pour y comprendre davantage. Précise si tu fais systématiquement un vidage manuel, s'il ya eu un plantage dans le transfert de données, etc... Dans son fonctionnement, xnet fait la guerre aux données fantômes. Il supprime systématiquement les données dont la date est antérieure à celles du log (avec apparition d'un message d'erreur en rouge). Ces données fantômes sont simplement des mesures qui sont antidatées, et pour les éviter il faut systématiquement vider manuellement le datalogger. Dans ton cas, si ce type de données est apparu au cours du transfert, elles ont peut être tout simplement été supprimées...

Il peut y avoir deux explications à ton pb. Le premier est lié directement au datlogger, qui enregistre les nouvelles mesures avec une ancienne date... C'est ce qu'on appelle des données fantômes, la solution consiste à effacer manuellement le datalogger après chaque transfert. Le second, toujours lié au datalogger, est un arrêt dans le transfert des données. Du coup Xnet croit que le transfert est terminé et ajoute les mesures effectuées en temps réel pendant le transfert. Si tu relances Xnet après ça, les données encore présentes dans le datalogger sont dirigées vers le log, mais Xnet les bloque car elles sont plus anciennes que les dernières mesures du log (celles du temps réel). C'est, je pense, la solution que Job a choisie pour supprimer les données fantômes... Si ce second pb se produit, il faut avant de relancer le transfert, copier les données temps réel dans un autre fichier, puis les rajouter au log lorsque le datalogger est bel et bien complètement vidé!

Pas exactement... D'abord, si tu utilises le logiciel d' OS, tu n'auras strictement rien, ce logiciel ne sert à rien... Faberb et Job ont chacun développé leur logiciel qui fonctionne avec la wmr200, et permet entre autre de récupérer les données assez simplement. Pour ce qui est de la représentation graphique, graphweather apporte de très bons résultats. Ces trois logiciels sont absolument gratuits. De plus, les 2 premiers permettent également de faire du temps réel, et de récupérer la totalité des infos transmises par les capteurs. C'est très appréciables, notamment pour la mesure de vent, où tu récupères en moyenne 6 mesures par minutes (la plus forte rafale étant enregistrée), au lieu d'une seule mémorisée dans le datalogger (arbitrairement enregistrée à chaque minute ronde) . Donc un gain en précision non négligeable...

Tout dépend évidemment de ton intérêt et de ce que tu souhaites faire... Les capteurs sont (il me semble) les mêmes, dont il n'y aura pas de différence dans les mesures. La wmr200 possède un datalogger, dont le rôle est d'enregistrer les données lorsque la station est déconnectée du pc, du coup aucune perte, même si les logiciels développés par Faberb et Job permettent de gagner en précision et en cohérence en live.

Non pas que je défende cette graduation, 1mm de pluie équivaut à 1l/m²... Je pense que c'est tout ce qu'il faut y comprendre.

D'abord, il me semble que j'ai lu cette info, sur ce forum ou dans la notice, à confirmer... Pour ce qui est de la cohérence par rapport aux USA, chaque zone climatique ne réagit pas tout à fait de la même manière pour les mêmes variations de pression. Une chute violente de pression au milieu du Sahara ne présage pas forcémént de fortes précipitations (je sais, c'est un peu tiré par les cheveux...) L'algorithme qui permet à la station de faire ses "prévisions" est un ensemble de modèles météo plus ou moins récurrents. La station analyse "bêtement" les variations de pression et recherche dans sa mémoire le modèle qui se rapproche le plus de l'observation du moment, et peut alors déduire le temps qu'il fera (ou plus exactement le modèle la renseigne sur le temps qui a suivi lors de l'observation source de ce modèle...). En règle général, ce sont les passages de fronts qui sont plus facilement détectables et interprétables.

Comme ça a déjà été expliqué, la wmr200 se base essentiellement sur des phases de chutes ou montées de la pression, mais pas uniquement. Elle utilise aussi la tempé et l'hygro. c'est plus exactement des taux de montée et descente par rapport à la pression absolue qui lui servent. En revanche, elle n'indique pas de prévision, mais simplement une tendance. Pour faire une prévision, MF se base sur des images sat, des champs de pression et un tas d'autres paramètres (dont ne dispose pas la wmr200), qu'un super calculateur ingurgite pour les comparer à des modèles, puis établir une prévision... La WMR200, comme indiqué dans la notice je crois, affiche une tendance pour les 12/24h, qui a un maximum de cohérence aux Etats Unis... Toujours est il que chez moi, en Bretagne, elle s'avère souvent juste. L'évolution météo y est peut être plus proche de ses modèles ici que dans d'autres régions (???)

Avant de faire un reset totale de ta station, essaye comme l'a mentionné thierry33 de placer un petit morceau d'alu entre les connectiques des piles et la lame/ressort. Suivant le type de piles utilisées (lithium en particulier), la borne + est très légèrement plus courte que sur d'autres... Le pb est connu sur la wmr200 depuis longtemps, et pas mal d'utilisateurs l'ont réglé avec cette solution. Ensuite, tu devras peut être effectuer simplement une recherche de capteurs, comme indiqué dans la notice.

Je sais pas si c'est la solution, mais il faudrait (si c'est pas déjà fait) que tu supprimes (ou renommes) le log de xnet, et tu relances le logiciel puis que tu forces le vidage du datalogger. Tu pourras alors déjà tester le fonctionnement en live avec un datalogger vide, ce qui pourrait te permettre de savoir si c'est ton datalogger qui pose pb. Si le pb persiste, il y a un moyen de sortir un log particulier qui retrace les "avaries" constatées. A partir de là, Job y verra peut être plus clair que nous...

Sauf erreur de ma part, les coordonnées que tu mentionnes correspondent bien à celles de l'aéroport. Or il arrive souvent que les stations MF y soient implantées directement, l'aéronautique et la météo étant très liées. Une stations météo est systématiquement installée sur un aéroport, pour connaître certains paramètres nécessaires à la sécurité des vols (entre autre).

Tout d'abord, si tes coordonnées sont bien celles que tu mentionnes, il faut vérifier l'affirmation de chris38 (désolé, moi j'ai pas de VP /emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20">...) Il suffit ensuite de ne conserver la que la partie décimale, et de la multiplier par 60. Pour ta latitude: 0,021052x60=1,26312; ce résultat correspond au nombre de minutes, en décimal... soit 01,2632. De la même manière, une nouvelle fois, tu conserves uniquement la partie décimale, et tu multiplies par 60. Tu obtiens 0,26312x60=15,7872, correspondant aux secondes, que tu arrondiras alors à 16. Ta latitude en degrés, minutes, secondes sera alors: 47°01'16" N Et le même calcul pour ta longitude donnera: 006°25'35" E A savoir tout de même qu' en plus du format d'affichage des coordonnées (mentionné par chris38), le système GPS utilise une multitude de modèles de représentation terrestre (appelés systèmes géodésiques), pas vraiment compatibles les uns avec les autres, notamment les systèmes américain (vraisemblablement utilisés par Davis, le WGS84) et européen (que tu retrouves sur beaucoup de cartes françaises, le ED50) présentent des écarts allant jusqu'à environ 150m. Sachant qu'une sec équivaut à 31m, il n'est pas nécessaire de chercher davantage de précision que la seconde... Désolé toulnono, je viens de m'apercevoir que tu avais fourni un lien pour effectuer le calcul, j' étais en train de rédiger ma réponse... Heureusement, les résultats sont identiques!

On peut aussi remarquer sur le graphique que lorsque le serveur est coupé, non seulement le "hachage" est moins marqué, mais aussi qu'il y a nettement moins d'écart entre le vent moyen et la rafale...

C'est pas aussi simple que ça y paraît... En fait la station reçoit beaucoup plus de rafales que ce qui est marqué dans la notice et Xnet en live permet de s'en rendre compte aisément. En fait l'intervalle entre 2 mesures de rafales est tout sauf figé, le pas évolue de seulement 2s à près de 50s, sans que l'on ne sache pourquoi. Beaucoup de théories ont été écartées (comme un cycle ou un rapport avec la vitesse elle même etc...). Pour ma part, ce pas me semble tout à fait aléatoire... Ce qui est sûr, c'est que la rafale enregistrée dans le dataloger est la dernière mesurée au moment de l'enregistrement ( chaque minute ronde), alors que Xnet en live conserve la plus forte rafale sur la minute. On gagne donc énormément en travaillant en live... La vitesse moyenne, quant à elle, ressemble à une moyenne des rafales de la dernière minute, donc ne serait pas vraiment une vitesse moyenne au sens météo du terme. Cette fois-ci, le nombre réduit de mesures de rafales, permet de se rapprocher de la valeur vraie de la vitesse moyenne du vent

L'orientation de ce capteur fait effectivement débat sur ce même forum... Certains pensent qu'il est nécessaire d'incliner la sonde en fonction de la hauteur du soleil, d'autres, dont je fais partie, pensent que c'est une hérésie. Si on voulait maintenir cette sonde orientée "face" au soleil, il serait nécessaire de tenir compte en permanence de sa déclinaison (qui varie de plus de 46° au cours d'une année), celle ci n'évoluant pas de manière linéaire, avec de plus grosses évolutions aux équinoxes et de moindres aux solstices. De plus, avoir une sonde inclinée signifie certes percevoir plus de rayonnement au zénith, mais moins le reste de la journée (effet de masquage)... Comme tu le dis, aux pôles le problème se complique, tout comme en région intertropicale, où une partie de l'année le soleil a son zénith au sud, et le reste au nord... De plus, je serais vraiment surpris qu'une station météo professionnelle fasse évoluer l'inclinaison de ses capteurs au cours de l'année. Quoiqu'il en soit, certains utilisateurs de cette même sonde l'ont montée verticalement (comme indiqué dans le mode d'emploi) et obtiennent des résultats cohérents... Il me semble qu'incliner cette sonde pour mesurer plus de rayonnement revient à incliner un pluviomètre pour mesurer davantage de précipitations lorsque la pluie ne tombe pas verticalement /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">

Au regard des différents témoignages concernant cette sonde, c'est loin d'être le cas de tout le monde...Renseigne toi auprès de l'observatoire que tu mentionnes, je serais surpris qu'il modifie l' orientation de son capteur... C'est là justement tout le problème... La déclinaison du soleil n'évolue pas du tout de façon linéaire au long de l'année, avec par ex de faibles évolutions au moment des solstices et de plus fortes aux équinoxes, d'ailleurs cette évolution est proportionnelle à l'allongement de la journée. Cette méthode est plus démonstrative que justifiée, d'ailleurs comment ferais tu si tu devais installer ta station aux pôles?

Effectivement, je ne vois absolument aucune logique à incliner cette sonde... Tout d'abord car si on voulait l'avoir "face au soleil" en permanence, il faudrait faire évoluer son inclinaison chaque jour, en fonction de la déclinaison du soleil, et c'est quasiment impossible... Si la station était située sur l'équateur, il faudrait orienter la sonde au sud 6 mois de l'année, et au nord le reste du temps!... De plus, sauf erreur de ma part, la partie sensible de la sonde est relativement directive, le fait de l'incliner vers le sud limite donc fortement sa capacité à mesurer dans les autres directions. Cette manip, selon moi, revient à incliner un pluviomètre lorsque la pluie ne tombe pas verticalement, pour en mesurer davantage... En météorologie, l'installation des instruments est "normalisée" de manière à mesurer les éléments de façon "standard". Cette sonde est loin d'être fonctionnelle, pour s'en convaincre il suffit de comparer les relevés avec une vraie station (Davis par ex), et même avec une sonde inclinée, les résultats sont très loin d'être concluants!

Moi non plus je ne connais pas cette station, mais je m'y étais intéressé avant d'acheter ma WMR200. Il me semble que les 14s mentionnées sont bien un pas de transmission, non pas de mesure... Ce qui changerait tout! De plus, Vion est une marque utilisée depuis toujours (ou presque) en aéronautique pour la grande qualité de ces capteurs. De là à dire que la station a héritée de cette fiabilité...

Attention à ne pas aller trop loin, une maison est bien loin d'être, ou même seulement de ressembler, à une cage de faraday!... Il est pourtant vrai que tout obstacle est susceptible de gêner une transmission, mais comme le mentionne Nikos777, il ne faut pas faire de généralité... Tout dépend essentiellement des matériaux des murs, des vitrages, du toit, etc... mais pas seulement. La propagation peut aussi, et même seulement ponctuellement, être perturbée par une atmosphère radio-électrique chargée. Même l'environnement météo peut jouer un rôle perturbateur. Donc il est indispensable de considérer la situation de chacun, à un moment donné, et il est à mon sens risqué de dire que la station ne fonctionne pas correctement. Ce que je peux te conseiller, dans un premier temps, serait de placer ta station à l'extérieur de ta maison, simplement pour vérifier s'il y a encore des déconnexions aussi fréquentes. Puis de déplacer ta base à l'intérieur de ton domicile, afin de déterminer un endroit où tout fonctionne. Malheureusement, avec cette station comme avec beaucoup d'autres, tu ne pourras peut être pas choisir l'emplacement de ta station, mais son fonctionnement risque de te l'imposer...

Pas de panique, du moins, pas tout de suite... Il est vrai que malgré une portée de transmission annoncée à 100m, il vaut mieux compter sur un 50m max... Il est aussi nécessaire de trouver le meilleur emplacement pour la station, cad dégagée de tout rayonnement électromagnétique. Il a déjà été signalé également un meilleur fonctionnement sans connexion USB (câble débranché), ce qui est aussi le cas chez moi. J'ai aussi qq déconnexions depuis que j'ai déplacée ma base (seulement 1m), en général tout revient à la normale après qq minutes, et sans lancer de recherche des capteurs. Plutôt que d'essayer de déplacer individuellement tes capteurs, je te conseille de déplacer la base de la station, en l'éloignant des objets métalliques, en cherchant une transmission "visuelle" (au travers de vitres), etc... Tu finiras par trouver un emplacement idéal...

Tu peux sans aucun problème supprimer l'abri d'origine, qui soit dit en passant, ne sert absolument pas à grand chose...

On l'a déjà dit ici, mais il peut être bon de le rappeler: OS, dans la notice, informe que le panneau solaire ne sert qu'à prolonger la durée de vie des piles le jour, et ne mentionne nulle part la présence de la batterie... Il apparaît pourtant que cette batterie chargée sert justement à alimenter les capteurs pendant la nuit... A ma connaissance, personne n'a encore fait le test d'enlever les piles et de voir ce que ça donnait la nuit. Mais vu la faible consommation des capteurs (ma sonde thermo fonctionne sur les mêmes piles depuis plus d'un an, alors qu'elle n'est pas connectée au panneau solaire), je suis persuadé qu'elles sont presque inutiles...

Un roulement roule, oui, mais il peut ou doit être lubrifié... En mécanique tu en trouves partout, du dérailleur de vélo au roulement de roue d'une voiture et autre, tous sont remplis de graisse, qu'ils soient intérieurs ou extérieurs. Lorsqu'il y a gommage (effet dû à une graisse qui sèche par ex, et qui augmente alors le frottement), il est souvent nécessaire d'ouvrir, de tout nettoyer, graisser et remonter. Il y a souvent une alternance de billes et de petits axes (maintenant l'espacement entre les billes dans la cage) qui eux glissent...

Dans la réponse que tu mentionnes, il y avait une tentative d'explication à 2 pb différents... Le premier était une légère différence entre différentes interprétations de mesures, ce que j'explique par un changement d'unité et de nombreuses conversions. En revanche, nous avons tous constaté de grandes différences entre les records enregistrés par la station et l'aperçu que l'on en voit à l'aide de différents logiciels. Là, c'est une quasi certitude, le pas d'enregistrement en est responsable! La station effectue en moyenne 6 mesures de vent par minute, mais n'en enregistre qu'une seule dans le data logger (celle de la minute ronde), qui n'est pas forcément la plus forte de la minute. Ce raisonnement appliqué chaque minute explique à lui seul qu'il y ait de grosses différences sur les rafales mesurées par la station et celles enregistrées. Si tu utilises Xnet ou W200 en live, la logique est différente, puisque le logiciel ne conserve que la plus grande valeur de rafale sur la minute (moins de perte...).

En tout cas le fait de lubrifier ne peut pas faire de mal... Ce qui est sûr, c'est qu'une vraie station effectue un entretien régulier des capteurs, y compris roulements, et les change il me semble tous les ans... Il en va de même des sondes de tempé et autres qui sont ré étalonnées régulièrement.