Quercus

L'hiver se termine comme il avait commencé... avec des conditions de vent merdiques ! Après une période octobre 2023-octobre 2024 très favorables à l'éolien, on vient de signer un sixième mois consécutif de dévente sur la mer du Nord. Ainsi va la vie... La météo et ses récurrences ! On va maintenant rentrer dans une période où il n'y aura rien d'extraordinaire à attendre de l'éolien (sauf sur GB éventuellement où il peut y avoir des conditions "hivernales" toute l'année ;D ). C'est plutôt les excès de la production solaire qui risquent de faire l'actualité. L'été est en revanche la période des grands travaux pour l'éolien offshore. C'est d'ailleurs bien lancé en mer du Nord avec des mégas-chantiers à la pelle. Un exemple, la semaine dernière un bateau a quitté les cotes anglaises avec 7 éoliennes à son bord pour les installer sur le Dogger Bank sur le parc de Sofia (1.4 GW tout de même !). Il va ainsi faire des aller-retour pendant toute la belle saison et le parc sera déjà en grande partie entré en production l'hiver prochain. WTIV Wind Peak On Its Way to Sofia Offshore Wind Farm Site to Install First Turbines | Offshore Wind Situé à 195 km des côtes au beau milieu de la mer du Nord, il ne risque pas de gâcher la vue ! EDIT: Pour freiner l'explosion du solaire sans stockage et favoriser l'autoconsommation, le prix d'achat de l'électricité a été divisé par trois depuis mercredi. Il n'est désormais que de 4 centimes... : Panneaux photovoltaïques - Les conséquences de la diminution des tarifs de rachat et des aides - Actualité - UFC-Que Choisir

Alerte à la production photovoltaïque de malade cet après-midi sur l'Allemagne, les pays-bas, le RU et la Belgique. Sûrement des records à la clef ! Edit : A 13h UTC : 44,8 GW en Allemagne 20,3 GW au RU 18,2 GW aux Pays Bas 6,8 GW en Belgique Mais aussi 16,3 en France ou les nuages ont finalement été discrets au Sud. Rien que sur ces 5 pays, cela fait 106,4 GW... Heureusement que l'Espagne était sous les nuages (seulement 10,2 GW) pour absorber une partie des excédents venus du Nord ! On attend impatiemment les interconnexions à venir pour soulager (un peu) les réseaux devant affronter ces tsunamis quotidiens d'électrons.

Oui, le mur de rentabilité du solaire que j'annonçais il y a deux ans (et qui m'avait valu bien des critiques) est désormais clairement une réalité. Dès les premiers jours de mars on se retrouve contraint de délester avec des prix négatifs... Il y a plus que jamais urgence de créer des solutions de stockage et de proposer des contrats favorisant la consommation entre 11h et 16h. On pourrait aussi envisager de ne soutenir les nouvelles installations que sous conditions : - Conditions de stockage comme le préconise Bill, - Conditions d'orientations également (il faut à tout prix éviter les toits à faible pente orientés Sud qui produisent surtout au midi solaire estival, c'est à dire exactement lorsque l'on est en surproduction). Les implantations sur des pentes fortes (au Sud pour l'hiver, ou Est-Ouest pour les début de matinée et fin de journée en été) gardent un certain intérêt. - Les parcs photovoltaïques en zone rurale sont un non sens maintenant, parkings et toitures suffisent amplement. HS VE : Retour d'expérience sur le VE que j'ai acheté depuis que je suis en maison. Comme Bill, j'ai longtemps été favorable aux VE légers avec faible autonomie. Mais ma femme a souhaité acheter un véhicule avec grosse autonomie (Scenic 87 KWh). Il faut reconnaître que ça correspond bien à nos usages (peu d'utilisation au quotidien, mais de temps à autre de longs voyages). Finalement, la grosse batterie ne me paraît pas sans intérêt, y compris d'un point de vue écologique. En effet, avec 450-500km d'autonomie réelle on a une marge de manœuvre importante pour choisir nos périodes de charge et on peut presque exclusivement se charger sur des créneaux d'heure creuse à notre domicile, c'est à dire au moment ou l'électricité est la plus décarbonée (< 30g CO2). La semaine dernière nous sommes ainsi allé de Grenoble à St-Véran dans le Queyras. Avec le "plein" réalisé la nuit la veille de notre départ nous avons pu faire l'aller-retour + quelques bricolages sur place (environ 500 bornes au total) sans se recharger. De retour à notre domicile ce week-end nous avons refait le plein exactement au moment où il y avait de l'électricité en quantité excédentaire. Finalement, cette grosse batterie nous a permis à la fois de payer peu cher notre électricité (tarif heures creuses à domicile, environ 13 euros pour 500 km) et à la fois d'utiliser une électricité très propre dont les producteurs ne savaient que faire. Finalement, on rejoint là la problématique du solaire évoquée précédemment. Pendant les longs voyages d'été cette grosse batterie est également intéressante. Nous réalisons régulièrement (3 fois/an) le trajet Grenoble - Bordeaux (750km). Avec cette grosse batterie ont peut faire le plein à la maison puis rouler plus de 400 bornes avant de recharger. En partant le matin vers 9h on charge donc vers 12-13h à un horaire où, à nouveau, l'électricité est très décarbonée et peu cher. Une batterie plus petite nous obligerait à charger plus fréquemment et donc nous imposerait des charges à des horaires ou la production peine à suivre sans recourir aux fossiles. En seconde voiture (nous n'en avons qu'une) pour aller au boulot, une batterie de 40 kWh est bien suffisante cependant.

Peut-être un épisode sympa sur la frontière côté Queyras ce week-end. Il semblerait que ça ne rentrera pas très profondément dans le massif. Gaet a peut-être un avis ?

Quand je dis que la Chine va commencer à faire baisser sa consommation de charbon, je parle pas de jeudi prochain... On a peut-être pas la même notion des échelles de temps. Pour moi 2030 c'est demain. Le simple fait que cette experte envisage peu ou prou une stabilisation dans les 5 prochaines années montre bien que la dynamique n'est plus celle des dernières décennies quand ça augmentait de 10 % /an ! A échéance 2050, je suis certain que l'on aurait du mal à trouver un expert n'annonçant pas une réduction massive de la consommation de charbon en Chine. Idem pour la consommation de pétrole d'ailleurs qui va s'effondrer d'ici peu en Chine (il me semble que la consommation chinoise de pétrole à d'ailleurs déjà baissé en 2024 par rapport à 2023). Dans un autre domaine et pour alimenter le moulin (à vent !) des anti éolien, deux études qui font le lien entre réchauffement climatique et vitesse des vents : En été : certains modélisation annoncent 10 % de vent en moins sur l'Europe (Europe moins venteuse à cause du réchauffement climatique : les énergies renouvelables à la peine ?). En même temps, comme on est déjà en situation de surproduction estivale avec les PV, on s'en balance un peu. En hiver : Plus embêtant (pdf), les wind drought hivernales pourraient s'aggraver en cas de réchauffement intense (scénario RCP8.5 dans l'étude) sur le Nord-Ouest de l'Europe (GB Norvège notamment). Localement (plutôt au Sud-est de l'Europe), il pourrait en revanche y avoir un peu plus de vent en hiver. Statistiquement, ce qui est annoncé c'est que les "sécheresses de vent" ayant une fréquence de retour de 10 ans actuellement pourrait survenir à une fréquence de 6.6 ans. Ce n'est pas une bonne nouvelle pour la zone la plus équipée du continent. Pour autant, je n'y vois pas une catastrophe et pour deux raisons principales : 1- Au rythme où les technologies de l'éolien progressent (efficacité des machines), on peut s'attendre à ce que cette perte de puissance soit compensée par les gains d'efficacités de manière à conserver au final un facteur de charge assez semblable à celui d'aujourd'hui. 2- Si on y réfléchi un peu, cette réduction des vents est envisagé dans un climat très réchauffé (RCP8.5) ce qui mécaniquement en hiver fait fortement baisser la consommation (7 % par degrés en France, de mémoire).

Tu as totalement raison. La France n’a pas le niveau d’industrialisation de la Chine, de l’Allemagne ou du Japon. Une part non négligeable de notre « bonne » performance vient de la… Pour la Chine, il faut aussi avoir en tête qu’elle sort d’une longue période de croissance industrielle à deux chiffres. Ils ont simplement développé toutes les énergies possibles pour y faire face et ainsi sortir plus d’un milliard d’habitants de la pauvreté en un temps record. Ils n’ont pas pu faire la fine bouche sur les énergies fossiles. maintenant que la croissance chinoise est plus faible, ils vont commencer à pouvoir se débarrasser des fossiles.

En 2011 la France était donc devant la Chine…

La prochaine en mars ?

https://www.lemonde.fr/economie/article/2025/02/14/porsche-face-a-la-rupture-technologique-majeure-de-la-voiture-electrique-la-question-de-la-survie-du-constructeur-de-legende-se-pose_6546307_3234.html Changement de monde… J’ai aussi lu par ailleurs que pour installer 1 GWc de solaire dans le monde il fallait : 1 an en 2004 1 mois en 2010 1 semaine en 2015 1 jour en 2023

C'est pas tant sur les hivers que la différence s'est jouée, mais bien plutôt sur les étés. D'ailleurs on l'a bien vu au cours des derniers mois, un excellent hiver n'empêche pas une fonte des glaciers si l'été est torride. Il y a eu des années à la fin des années 1970 où les glaciers chargeaient quasiment 12 mois / 12 ... Par contre, revers de la médaille, ça voulait aussi dire se cogner des étés pourris à répétition...Ca, on l'oublie un peu !

"Faiblard" !! On a jamais lu un truc pareil concernant La Rosière !! 😜

Bonjour, Je chercher à adhérer à infoclimat mais pour une raison qui m'échappe (blocage sur le mot de passe), je n'y parviens pas... Si quelqu'un voit où se trouve le soucis...

« Définition de hiver nom masculin La plus froide des quatre saisons de l'année (dans les zones tempérée et polaire), qui succède à l'automne et qui, dans l'hémisphère Nord, commence au solstice de décembre (vers le 21) et se termine à l'équinoxe de mars (vers le 20). » source:https://dictionnaire.lerobert.com/definition/hiver#google_vignette Autre domaine dans lequel il est bon de revenir aux fondamentaux… Le mois de novembre n’a rien d’hivernal dans aucune définition…. Climatiquement on admet souvent un début d’hiver au premier décembre même si officiellement il ne commence qu’au solstice

« Climat : qu’est-ce qu’une normale ? Les normales climatiques sont des produits statistiques calculés sur des périodes de 30 ans. » Source : https://meteofrance.com/comprendre-climat/etudier-climat-passe/comprendre-les-outils-statistiques Un peu court, mais parfois, il faut savoir revenir aux fondamentaux…

Je voulais dire que le volume des prochaines avalanches sera moins important que ce qu'il aurait pu être si ces couches fragiles avaient persisté jusqu'en avril. Bien entendu, il en retombera au même endroit probablement d'ici au mois de juin, mais au moins ces versants auront été allégés de gros volume avec la crue avalancheuse d'hier.

En permettant de purger les couches fragiles proche du sol en milieu d’hiver, ça évite peut-être des avalanches encore plus grosse qui aurait probablement eu lieu au printemps…

En faisant le tour des nivoses, l'impression est que l'épisode a été globalement positif au-dessus de 1500m environ (+/- 200m selon massif) pour les deux tiers nord des Alpes (74, 73, 38, 05). Les grosses intensités de la nuit ont souvent permis à la limite PN (ou à différentes formes de météores gelées !) de s'abaisser avant même que le froid synoptique ne déboule. En plein dans l'advection chaude, la nivose d'Orcières (2294m) n'a observé qu'une fonte / tassement de 5cm environ pendant la période la plus chaude avant que la neige ne revienne (et le bilan final y est positif d'une vingtaine de centimètres). Celle du Gua à seulement 1600m (et encore plus exposée au chalumeau) s'en sort avec un bilan neutre à cette heure, mais qui sera finalement positif d'ci à demain. Les domaines de Méaudre / Autrans sont blancs jusqu'en bas... on a déjà vu pire !

Ça clignote comme en plein été sur Grenoble. Dingo !

Assainissement jusqu’à quelle altitude selon toi ?

Mouai. Avalanches, sans aucun doute, mais pour la réaction hydro, je continue d'avoir de gros doutes... Sur les Préalpes du Nord on est toujours au sec et dans 12h seulement le froid déboule en ramenant la limite pluie-neige sous 1500m au moment des plus fortes intensités. A moins qu'un orage n'éclate d'ici à 23h (ce qui ne peut être totalement exclu en effet), je vois vraiment pas ce qui pourrait se produire de notable. D'ailleurs, si orage il y a, il a bien peu de chance d'être stationnaire sur les AN. Dans le 05, la pluviométrie devrait être plus importante, mais en même temps, le vent se fait moins sentir et il y a très peu de neige à fondre en moyenne montagne. Du coup, là aussi il va falloir sortir la loupe pour trouver des débordements. Quand aux hauts massifs des Alpes centrales (Ecrins, Grandes Rousses, Vanoise etc.), benh ils sont hauts... et finalement, même s'ils se feront mouiller les pieds, la très grosse majorité des bassins versants verra l'épisode passer essentiellement en solide.

Pour la climato de janvier c’est peut-être hors norme mais le ruissellement se moque que l’on soit en janvier ou en novembre non ? 30 a 50 mm ça reste 30 à 50 mm selon moi.

Je ne trouve pas que les quantités de précipitations attendues et leurs étalement dans le temps ne soient particulièrement inquiétantes. Je peux me tromper mais je ne vois rien que du très ordinaire dans ce qui est annoncé.

Pas le temps de lire (et encore moins de commenter les posts des dernières semaines). CLIMATO: Cette première moitié d'hiver n'aura décidément pas été très favorable aux bilans carbones européens (sauf Scandinavie). La tendance aux HP sur la France, l'Allemagne et la mer du Nord est à cette saison ce que l'on fait de pire. Froid en basse couche, nébulosité et absence de vent. On avait vu cette configuration dès les premiers jours de novembre et elle est revenu régulièrement depuis (peut-être un changement dans les prochains jours ???) Lorsque l'on compare avec l'année dernière cela donne des résultats d'autant plus médiocres que l'effet de base est peu flatteur... L'année dernière c'était du zonal plein pot tout l'hiver ou presque ! BILAN EUROPE: Du coup, cela pèse forcément un peu sur les bilans (autant quelques journées ou semaines ne pèsent pas lourd sur les moyennes, autant quand on commence à parler en mois, ce n'est plus la même histoire). Le rapport annuel d'EMBER est tombé hier :EER_2025_20012025 Toujours riche d'information, il montre les tendances de fond. Le rapport montre bien -une nouvelle fois- l'efficacité des énergies renouvelables intermittentes pour faire baisser le recours aux fossiles. En 2023 l'éolien était passé devant le gaz (performance renouvelée et amplifiée cette année). En 2024, le solaire est passé devant le charbon. C'est une tendance de long terme. Depuis 2008, le recours aux fossiles a quasiment été divisé par deux en Europe pour produire de l'électricité. Le recours au nucléaire a également baissé, mais dans une moindre mesure. Cette année, l'éolien signe une performance assez médiocre (+7 TW) en raison d'une seconde moitié d'année météorologiquement défavorable, d'une effet de base peut flatteur et de nouvelles capacités de production moins élevées qu'en 2023 ou 2022. Ceci dit, pas d'inquiétude sur la tendance. L'effet de base n'en sera que plus favorable au moment du bilan de l'année 2025 et, surtout, les nouvelles capacités de production devraient être bien supérieures cette année, surtout offshore. En 2025, l'éolien européen (sans GB) devrait produire 25 à 60 TW de plus qu'en 2024 (selon météo) puis il devrait croitre en moyenne de 50 à 70 TW/an jusqu'à la fin de la décennie grâce (notamment) à la montée en puissance des installations offshore. L'hydro a connu une superbe année (+32 TW) en raison d'une météo très favorable au cours de l'hiver précédent (stock nival exceptionnel en fin d'hiver). Il sera difficile de rééditer la performance en 2025 (sauf changement météorologique durable). Il faut s'attendre à perdre 10 à 20 TW au bilan de l'année prochaine. Le solaire a explosé les compteurs avec + 54 TW. C'est la puissance installée qui explique cette performance record (le solaire est moins volatile que l'éolien à l'échelle annuelle. Cette tendance devrait se poursuivre en 2025. Au final pour 2025, je m'attends à une centaine de TW supplémentaires sur ces trois énergies. Le nucléaire devrait rester assez stable. La hausse des enri devrait sans difficulté couvrir une probable hausse de la consommation (hausse observée de 31 TW en 2024) et au final, on devrait pouvoir effacer 50 à 70 TW de thermique. Ce sera à peine moins bien qu'en 2024 (-75Tw) où le nucléaire a connu une belle progression (+29 TW) et donc contribué a améliorer encore la performance générale. BILANS ET PERSPECTIVES AILLEURS : USA: Avec Trump difficile d'y voir clair, mais il a un tropisme fossile qui fait aucun doute... CHINE : La Chine a installé 277 GW de panneaux solaires soit deux fois la puissance totale installée aux Etats-Unis !! La Chine possède désormais 887 GWc de puissance photovoltaïque installée mais aussi 520 GW d'éolien (+18% par rapport à l'année précédente) China's solar, wind power installations soared to record in 2024 | Reuters UKRAINE : Les Ukrainiens avaient déjà montré leur intérêt pour le solaire. En temps de guerre et dans l'urgence, c'est un bon moyen d'avoir de l'électricité. Malheureusement, l'hiver, ce n'est pas très performant. Ils se lancent donc dans l'éolien: «Elles (les éoliennes) sont plus difficiles à détruire qu’une grosse centrale ou un transformateur, observe Timchenko. Et puis est-ce que ça vaut le coup de tirer un missile à un million de dollars pour viser avec incertitude une éolienne ?» À Davos, l’Ukraine annonce un investissement de 450 millions d’euros dans les éoliennes

A part dans le Sud des Alpes du Sud, cet hiver n'est franchement pas mauvais hivernalement parlant. Sur certains massifs (Vercors, chartreuse), il est même dans le top des meilleurs hivers des 20 dernières années. On ne peut pas dire qu'on a pas de froid non plus, notamment à basses altitudes où on a peut-être le début d'hiver le plus froid des 10 dernières années dans de nombreuses stations météo. Quand à cette pluie, sans cesse évoquer pour parler de lessivage, faut-il une nouvelle fois rappeler que la pluie ne fait rien fondre ? C'est le chaud (souvent associé à la pluie) et le vent (lui aussi souvent associé à la pluie) qui posent problème. En décembre sur l'Est grenoblois il est tombé 3 cm de neige en fin de nuit puis 25mm de flotte dans la journée par 2 degrés sans vent... eh bien en fin de journée il y avait encore 1 à 2cm !!

je m’auto cite pour faire une sorte de suivi. La version CFS de décembre pour janvier se confirme avec une tendance anticyclonique avec froid de basse couche. Pour février et mars il persiste à voir des HP vers la mer du Nord. Froid de basse couche et sécheresse à la clef pour la France et probabilité assez élevée de vague de froid.