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rems

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  1. /!\ ALERTE TROLL SCEPTIQUE /!\ La température global actuel ne peut pas êtres interpréter sur 2 ans, beaucoup pense que nous avons franchi un palier mais ceci n'est pas sure du tout, en constatant les périodes neutre de l'ENSO suivant les années qui les correspondes nous pouvons établir le constat suivant : A l'heure actuel y faut bien le dire le fort el nino de décembre 2015 est parti beaucoup plus rapidement que prévu, l'épisode la nina annoncé s'annonce sévère d'aprés les dernières prévisions de la NOAA pour début 2017. En visualisant les différentes évolution de l'ENSO on peut effectivement s'apercevoir une augmentation de la température entre 2005 et 2015 d'environ 0.15°C, un ralentissement à bien eu lieu par rapport au décennie passer où une augmentation de 0.35°C par decennie a bien eu lieu, nous pouvons tout à fait penser à l'heure actuel que le réchauffement en cette année 2016 c'est stabiliser aux alentour de 0.8°C. Nous verrons d'ici 2020 si la moyenne entre le maximum et le minimum d'anomalie de la température global à continuer à progresser, mais j'en doute fort, la température global peut tout à fait baisser graduellement jusqu'au minimum de 2008 durant les 3 années à venir, c'est désormais maintenant que nous allons savoir ce que vos une fluctuation de l'activité solaire sur le climat.
  2. On peux désormais constater une forte baisse de la température du pacifique EST équatorial en se mois de février 2016 ayant perdu 1°C des eaux de surface par rapport a la mi-décembre. Cette baisse rapise se poursuivra le mois prochain en atteignant finalement une situation neutral assez rapidement.
  3. Rien à attendre pour les 2 semaines à venir, douceur anticyclonique pour la france avec un vortex stratosphèrique qui décide finalement de rester vers l'europe de l'ouest, l'aspect du vortex n'est pas en notre faveur pour le moment, pour que nous puissions avoir de réelle condition hivernal sur tout le pays, il faut absolument que le vortex stratosphèrique en se déplacent vers l'atlantique prenne une allure allonger du nord au sud entre les açores et l'islande avec une pousser chaude qui débute davantage vers l'europe de l'ouest se serai idéal pour des conditions froide et humide. A l'heure actuel ses conditions ne son pas improbable mais cela ne pourra pas se produire avant le 15 février au moins...
  4. La stratosphère semble vouloir se désorganiser avec des réchauffements stratosphèrique de plus en plus important, le vortex qui est solicité à se diriger vers l'atlantique nord puisque l'océan atlantique nord garde ses anomalies fraiche et pousser chaude du pacifique amplifier par el nino permettant son déplacement, une configuration en displacement event semble envisageable à long terme, un flux EST nord EST nous serais donc favorable pour une possible arriver d'une vague de froid modéré pour la toute fin de mois et début février, nous avons actuellement un changement dans la troposphère et la stratosphère, nous passons progressivement à une situation de plus en plus fraiche, à voir les prochaines réactualisation si elle continu d'aller dans se sens .
  5. Effectivement l'arrivé d'une vague de froid n'est pas encore d'actualité, le vortex stratosphérique reste trop concentrer, et ne permettra pas à la troposphère de faire déplacer les masses d'air arctique permettant d'avoir des conditions hivernal franche pour l'europe de l'ouest, il faut absolument avoir un vortex stratosphérique qui se désorganise franchement pour avoir une possibilité réelle de condition hivernal à proprement parler, pour la fin du mois de janvier cela peut-être possible via les réchauffements stratosphèrique qui tendent à être de plus en plus important pour le moment il ne fond qu'entretenir le vortex mais par compensation d'énergie cela peut encore évoluer malgrés un QBO positif qui nous facilite pas la tache. Néanmoins l'air froid n'est pas bien loin la scandinavie, le danemark ainsi que l'europe central connaisse un mois de janvier relativement froid...
  6. Il est probable que la moyenne des températures global en se mois d'octobre 2015 pour GISS et NCDC affiche +1,1°C d'anomalie, ce n'est qu'une prédiction cela peut encore évoluer, néanmoins se sera le premier mois affichant une hausse franche par rapport à 1998. Ce mois présenterai alors à l'échelle global un évènement historique depuis le début des relevées météorologique. Je ne présage pas à ce que nous ayons franchi un palier pour autant je préfère attendre l'évolution de ses 10 prochaines années avant d'affirmer cette thése. Car aprés se réchauffement soudain et passager on pourrais s'attendre à quelques surprise, en attendant de janvier à juin 2016 sera dans les record avant une baisse probable de la température.
  7. La circulation thermoaline c'est un fonctionnement qui s'établit grâce à plusieurs éléments naturel pouvant ainsi faire évoluer son débit et sa direction dans le temps,Nous savons que les efforts de Coriolis dû à la rotation de la planète permet la progression des eaux chaude des tropiques vers les plus haute latitudes afin que la terre équilibre au mieux sa température, c'est le principe de fonctionnement des courants que j'appellerai courant océanique principal comme le gulf stream dans l'Atlantique.Viens ensuite le fonctionnement des courants que j'appellerai les courant océanique secondaire comme la dérive nord atlantique dans l'atlantique nord, elle est influencer en permanance par l'évolution de la température des hautes latitudes, l'évolution de la circulation atmosphèrique comme pour exemple le jet stream qui devient linéaire ou ondulatoire en fonction de l'évolution du vortex. La salinité n'est je pense que l'une des composantes des eaux de mer mais pas la cause tangible de la variation de son débit. Une situation de blocage des pressions atmosphèrique doit avoir beaucoup plus d'impact, le changement durable de la direction des vents, modifient la trajectoire du courant océanique, et avec un jet stream trés ondulatoire permettrai d'avoir aussi les capacités de faire freiner sa circulation. Je vous propose de regarder l'évolution de ses dernières année (qui reflète par ailleurs ce qu'il s'est passer pour les années précédentes) sur l'anomalie de la température des eaux de mer et l'évolution du jet stream, on peut effectivement s'interroger...
  8. Un constat assez intéressant que j'ai pu observer durant ses 15 dernières années, c'est l'évolution du courant jet en fonction de l'activité solaire, Je n'ai malheureusement pas de graphique à proposer comme constat de corrélation car je ne suis pas parvenu à trouver d'indice sur l'évolution du jet stream, mais je distingue sur les modéles de prévision une ondulation du courant jet qui se désorganise lorsque l'activité solaire s'affaiblit et un jet plus linéaire est bien organisé lorsque l'activité solaire devient plus importante et cela sur tout l'hémisphère. Ils se trouve qu'actuellement l'activité solaire baisse drastiquement et l'ondulation du courant jet reprend de vigueur en se désorganisant, cette situation n'expliquera pas si notre hiver sera froid ou doux, mais elle signifie qu'à l'échelle hémisphèrique la circulation atmosphèrique de notre hiver 2016 sera désorganiser et sollicitera par conséquent des situations de blocage par les centres d'action. Du même titre que nous avons pu observer en décembre 2010 comme exemple, un vortex désorganiser alors que nous étions en QBO positif, dû probablement à la faible activité solaire ne parvenant pas à dynamiser suffisamment le vortex et laisser, par le manque de dynamique, les réchauffements stratosphèrique le destabiliser concluant ainsi à un jet ondulatoire. Les anomalies de température des océans en fin d'automne peuvent déterminer la position des centres d'action des situations de blocage lorsque le courant jet devient trés ondulatoire et que l'activité solaire reste faible pour la saison qui suit,dans la mesure ou dans ses conditions aucune situation durable de la circulation atmosphèrique peut contribuer à balayer rapidement une anomalie froide ou chaude par effet de blocage. De se fait, l'anomalie froide actuel sur l'atlantique nord peut contribuer à faire plonger le courant jet jusqu'au portugal, notre hiver se caractériserai par de nombreux conflit de masse d'air important générant beaucoup d'instabilité, j'envisage par conséquent un hiver avec une moyenne saisonnière conforme à la normal pour les températures et excédentaire pour les précipitations, en accord avec LCM.
  9. Je pense que l'augmentation de température est la conséquence du vortex polaire moins chahuter que l'an dernier, moins de réchauffement au contrait du vortex ceux qui dynamise celui-ci en limitant les coulées froide vers les basse latitude dynamisant davantage le flux d'ouest et apportant davantage de douceur par absorption dû au dépression vers le cercle polaire antarctique. Se phénomène est classique, ce que je trouve plus étrange c'est que nous nous trouvons dans une configuration a établir une faible étendu de banquise et nous constatons malgrés sa forte diminution une superficie trés proche des moyennes, ce qui signifierai que l'extension record de 2014 n'est qu'un début... On ne battera peut-être pas se record dans les 3 ou 4 ans qui viennent au vu de la moyenne d'évolution du refroidissement, mais aprés c'est tout à fait probable. Encore plus étonnant, jusqu'en 2005 la superficie de la banquise était relativement stable mais depuis cette date un emballement assez soudain de l'étendu de la banquise s'établit. Nous pouvons évaluer aujourd'hui au vu de la baisse de cette année à environ 500 000 km­² d'extension suplémentaire en moyenne, ceux qui est en 10 ans un refroidissement rapide. De plus un constat tout aussi surprenant peut se faire à partir de la même date (aux alentour de 2005), l'arctique stop assez nettement la perte de la banquise dont les minima mensuel de superficie ne descende plus davantage. (j'en avais fait un commentaire il y a peu de temps sur ce topic) 2005 date à laquelle nous parlions déja du début d'un ralentissement de l'activité solaire.
  10. L'antarctique poursuit son refroidissement, il est normal que des fluctuation relativement importante subsiste. Nous pouvons apercevoir sur le graphique que de grandes fluctuations sont arrivées plusieurs fois ses dernières décennie, la superficie de la banquise en dessous de la moyenne de référence étant de -0.617 est un minimum plus haut que les minimums précedent ceux qui caractérise en fait le refroidissement de l'antarctique. La banquise aprés une longue stagnation tend à reprendre de l'envergure et devraient au final être possiblement dans la moyenne de cette decennie.
  11. Les 3 années qui viennent seront déterminante elles répondrons trés certainement a beaucoup de question notamment si le réchauffement se stabilise ou si il poursuit son réchauffement. Précisons tout de même que les moments chaud du réchauffement depuis 98 ne se sont pas réchauffer davantage ou trés peu de l'ordre de 0.05°C, ce qu'il sera intéressant de voir c'est lorsque le prochain épisode la nina arrivera peut être d'ici 2017, c'est de savoir si à se moment bas du réchauffement nous arriverons au même niveau que 2008, si cela se réalise nous connaitrons la réponse... Je pense pour ma part que c'est ce qu'il se produira puisqu'il y a peu d'évolution sur les moment chaud lors des el nino. D'ici la fin de cette decennie tout devrait être remis en question notamment le réchauffement anthropique bien trop surestimer pour ma part, une année 2015 qui sera l'année la plus chaude depuis 1880 au moins mais qui pourrait peut-être être aussi l'année la plus chaude de ce 21ème siècle.
  12. Effectivement vu le graphique ci-dessus on peut constater qu'aucune perte de superficie d'extension de glace supplémentaire n'est observer depuis 2006. L'extension tend à vouloir se stabiliser, l'épaisseur de glace reste mince pouvant êtres lier à un manque d'humidité et à la température de l'eau plus élever des mois précédents lier au réchauffement des années passer. Mais nous pouvons constater une stabilisation de la température de l'arctique. Les températures moyenne sont au même niveau que depuis 2005, l'imprécision des relever satellite peut être remis en cause, je pense trés honnètement que si nous corrigions l'imprécision sa ne changerai pas grand chose, je dirai même que c'est de nos jour l'outil le plus juste et le plus précis que nous ayons. Je pense que nous sommes désormais dans une situation de compensation qui permet à l'arctique de se maintenir dans un niveau d'englacement faible mais qui ne fond pas davantage. Je tiens à rassurer les plus sceptiques sur le sujet, nous ne verrons pas l'arctique libre de glace durant l'été de notre vivant, 2012 avec 2.8 millions de kilomètre carré infèrieur à la moyenne de référence sera l'année record et le restera pour longtemps liée en parti par une anomalie climatique faisant réchauffer le pole en peu de temps de manière exceptionnel. Le record de 2012 de la plus faible extension en septembre pourrait toutefois être égaler cette année (c'est peu probable) et peut êtres même battu à l'avenir ceux qui n'empéchera pas les moyennes d'extension à se stabiliser voir même augmenter dans un future proche, pour cause d'une activité solaire trés faible.
  13. Je trouve pour ma part que nous avons un ralentissement de la perte de la banquise en hiver voir même en stablilisation depuis prêt de 10 ans, dans la mesure ou les modéles ne s'accorde pas tous à dire que le maximum de 2014 est le plus faible depuis 1979, il permet à plus juste titre de comprendre ainsi que les années minimum d'englacement de la saison hivernal se stabilise comme le fait la température global, dans la mesure ou la chaleur est moins importante provenant du sud, certainement refroidit par les oscilations de plus en plus ondulante du jet stream qui refroidirai progressivement les latitudes moyenne.
  14. Le RSS estime une diminution de la température globale d'environ 0.1°C depuis environ une décennie. Le GISS estime une stabilisation de la température sans aucune diminution perceptible avec une stagnation de la température depuis 2005 environ. Ce qui est surprenant c'est que nous avons une fluctuation de la température jusqu'en 1997 qui se ressemble relativement bien entre les 2 courbes puis les années suivante les écarts de température devienne de plus en plus importante alors que nous devrions bien au contraire avoir une ressemblance plus significative avec la précision dont laquelle nos appareil modernes sont capable d'effectuer... Plus honnêtement je crois que aujourd'hui il faut se mettre à l'évidence certaine courbe semble être réhausser ...
  15. Les différents relevés de température global ne donnent pas tous le même résultat, certain pense même que des graphiques de température sur estime le réchauffement, si je prends pour exemple le graphique du RSS et celui du GISS de grandes différences de relevés de température subsiste au cours de cette dernière décennie, je souhaitai par conséquent savoir quel graphique de relevé de température est fiable faisant la moyenne de température des surfaces terrestre et océan.
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