-Romain-

J'étais persuadé d'avoir entendu la même chose que toi mais en réalité William Leymergie dit : "Vous savez maintenant que les ingénieurs qui alimentent les bulletins de France 2 et d'autres viennent de là". Il fait donc la distinction entre celui qui présente et celui qui "alimente" le bulletin même si ça reste pas forcément très clair... Sinon je suis complètement d'accord avec toi sur le fait que tout n'a pas été montré et qu'en tant que passionné on a l'impression de rester un peu sur sa faim. Mais pour le grand public qu n'a aucune connaissance en météo, filmer un cours d'adaptations statistiques ne sera pas aussi visuel qu'une image sat sur une console Synergie ou un abri météo. Il y a plein de choses qui, en tant que passionnés, nous semblent évidentes mais que beaucoup ignorent je pense. Le fait que l'on mesure la température dans des abris normalisés partout sur terre ou qu'il existe des instruments qui déterminent la hauteur des nuages pour l'aéronautique, ce n'est pas quelque chose que les gens savent forcément. Il faut vraiment parler de sujets simples et compréhensibles de tous dans ce genre d'émission qui n'est pas à vocation scientifique. Le reportage met l'accent sur les bulletins de prévision parce que c'est ce sujet qui va intéresser le grand public et pas un autre. Le citoyen lambda veut savoir le temps qu'il va faire, c'est tout. Télématin n'est pas une émission scientifique donc le type de reportage s'adapte au public cible. La chronique dure seulement quelques minutes et se doit d'apporter quelques informations très simples, sans chercher à rentrer dans les détails. Du coup tu trouves ce reportage trop léger et tu penses qu'il ne va pas montrer toute la complexité de la météorologie, mais dans son introduction la journaliste insiste dès le début sur le fait que la météo est une science exacte et que ça ne s'improvise pas. Ensuite le directeur adjoint fait un point très clair sur le fait que la météo ce n'est pas que la prévision du temps et qu'il existe des filières civiles et fonctionnaires à l'ENM. Mais encore une fois, il y a la contrainte du temps donc difficile d'aller plus loin. Pour l'inversion des noms, je suis d'accord, grossière erreur...

Bon courage à vous tous ! ;-)

Je ne suis pas tout à fait d'accord avec toi sur les critiques formulées sur ce reportage. L'objectif n'était pas de faire un reportage complet et précis sur l'école, les métiers ou Météo France. Les contraintes de temps et le type d'émission font qu'on ne peut que survoler le sujet, ce n'est pas un reportage à caractère scientifique ni destiné à ceux qui voudraient intégrer l'école. Donc parler du fait que l'ENM fait partie du réseau INP, ça n'intéressera pas la très grande majorité des gens. C'est une petite chronique de télématin qui s'adresse à un public qui ne connait la météo que par les bulletins télévisés et dont le but est de faire découvrir aux téléspectateurs que Météo France possède une école, chose que beaucoup ignorent. Il faut donc montrer ce qui parle aux gens comme les images sat, l'observation du ciel, les instruments...pas des équations ou de la programmation. Commencer à parler de sujets complexes qui sont enseignés à l'école n'aurait été d'aucune utilité. Il ne faut pas oublier que quasiment tous les gens qui ont regardé ce type d'émission n'ont absolument aucune connaissance en météo. Concernant le fait que seuls les techniciens ont été filmés, il s'agit uniquement du hasard du calendrier qui a fait que nous avions les cours les plus adaptés ce jour là. Mais, pour toute la partie sur Synergie/Briefing, le même reportage aurait pu être réalisé avec une promo d'ingénieurs ou de militaires. Pour avoir discuté avec la journaliste qui présente le reportage sur le plateau de télématin, elle m'a dit que les gens n'imaginent pas qu'on fait tout ça à Météo France alors qu'on lui a seulement montré les activités qui sont présentées dans le reportage, rien de plus. Les passionnés, les scientifiques, les curieux et les futurs étudiants iront creuser le sujet si ça les intéresse, mais ce n'est pas la vocation de télématin d'aller au delà de ce qui a été présenté.

Pour rappel, la journée portes ouvertes à l'ENM c'est samedi !

Effectivement, le concours sera désormais accessible aux élèves de terminale sous réserve qu'ils obtiennent le bac avant le début de la formation.

Inscriptions ouvertes à partir de lundi 18 février : http://www.enm.meteo.fr/spip.php?rubrique50

Tu as la réponse en page précédente.

Il n'est pas encore disponible, consulte régulièrement le site de l'ENM.

"Par décision du président-directeur général de Météo-France en date du 29 janvier 2013, est autorisée au titre de l'année 2013 l'ouverture d'un concours externe pour le recrutement de techniciens supérieurs de la météorologie de 1re classe. Le nombre total de postes offerts au concours est fixé de la manière suivante : 4 postes dans la spécialité « exploitation » ; 5 postes dans la spécialité « instruments et installations ». La date de clôture des inscriptions est fixée au vendredi 22 mars 2013. Les dates des épreuves sont fixées ainsi qu'il suit : -épreuves écrites : lundi 13 mai 2013 ; -épreuves orales : à partir du lundi 15 juillet 2013." http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000027037818&fastPos=1&fastReqId=1770621486&categorieLien=id&oldAction=rechTexte

Quelques photos de mauvaise qualité prises tout à l'heure sur mon téléphone :

Dans l'arrêté qui précise les conditions d'accès au concours de TSPDD (nouveau nom pour le recrutement des TSE de l'ENTE), il est précisé qu'il faut être titulaire d'un diplôme sanctionnant au moins 2 années de formation au niveau III. Donc dans ce cas là, il faut vraiment être titulaire d'un diplôme Bac +2. Pour l'ENM, c'est un diplôme qui sanctionne 2 années au niveau IV minimum qui est demandé. Si je ne dis pas de bétises, le Bac n'est pas un diplôme qui sanctionne uniquement l'année de Terminale. C'est donc un diplôme qui sanctionne 2 années de formation au moins. Cette formulation permettrait également aux détenteurs d'un diplôme de niveau III autre que le Bac de s'inscrire au concours. Ce n'est qu'un avis personnel et comme beaucoup, j'ai eu des doutes...

La Haute Garonne ainsi que le Tarn et Garonne sont effectivement en vigilance innondations mais toujours en vigilance neige/verglas. C'est confirmé par le site interne de la vigilance de Météo France.

Aucune idée... Révise avec les deux

En n'oubliant pas que les épreuves vont changer à la prochaine session qui sera organisée uniquement par Météo France.

Je viens de voir que sur l'appli mobile de MF, le picto neige est de retour pour demain matin à Toulouse..

Je pense qu'il mentionnait le rouge "avalanches" et pas la couleur rouge en général qui a bien sûr déjà été déclenchée plusieurs fois.

La vigilance rouge c'est pour les avalanches.

Les bulletins de vigilance sont en cours de rédaction.

Vigilance rouge avalanche pour les Hautes Pyrénées et Pyrénées Atlantique.

Il faut, comme indiqué dans l'arrêté, être titulaire d'un diplome sanctionnant deux années de formation au niveau IV. Donc je suppose qu'un simple bac suffit pour passer le concours.

Ce que je ne comprends pas bien c'est que le niveau IV c'est équivalent bac. Les bac +2 c'est du niveau III...

L'arrêté du 27 décembre 2012 relatif à l'organisation du nouveau concours externe de recrutement des techniciens supérieurs de la météorologie a été publié : http://www.legifranc...ction=rechTexte Voici un extrait concernant la nature des nouvelles épreuves du concours qui sera accessible aux candidats titulaires d'un titre ou d'un diplôme sanctionnant deux années de formation classée au moins au niveau IV (http://www.legifranc...tegorieLien=cid) ou d'une qualification reconnue comme équivalente à l'un de ces titres ou diplômes: "I. Epreuves écrites d'admissibilité : Epreuve n° 1 : réponse à une série de questions à partir d'un ou plusieurs documents portant sur un sujet d'actualité et rédaction d'un commentaire (durée 3 heures ; coefficient 3). Cette épreuve est destinée à apprécier les facultés d'analyse et de synthèse du candidat, sa qualité rédactionnelle et son aptitude au raisonnement. Epreuve n° 2 : questionnaire composé de 25 questions maximum, fermées ou ouvertes, portant sur l'ensemble du programme correspondant aux prérequis de formation pour la spécialité choisie par le candidat et dont le contenu est défini en annexe au présent arrêté (durée 3 heures ; coefficient 5). II. Epreuve orale d'admission : Entretien avec le jury à partir d'un texte ou d'une citation de portée générale tiré au sort par le candidat, permettant d'apprécier ses qualités de réflexion, ses connaissances et ses motivations (durée totale : 35 minutes, dont 15 minutes de préparation et un entretien de 20 minutes ; coefficient 7)." On note la disparition de l'épreuve de langue et la fusion des épreuves de math et de l'épreuve à option en une seule épreuve.

Très belles photos, bravo !

Un passage en risque d'avalanche 5/5 est envisagé sur de nombreux massifs des Alpes du Nord à partir de demain soir...

En tout cas l'enneigement est désormais remarquable pour un début décembre sur les massifs de Savoie. MF Bourg Saint Maurice parle de 2ème à 4ème plus fort enneigement depuis 1950 aux alentours de 1000m d'altitude (bulletin avalanches Savoie).