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Philippe66

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Tout ce qui a été posté par Philippe66

  1. La neige remplace la pluie à Perpignan Pas de tenue pour l'instant... La pluie reprend ses droits finalement... À suivre
  2. Il flotte faiblement sur Perpignan depuis plus d'une heure maintenant mais la température chute bien ça se ressent ... 4C a la station MF... Quoi qu'il arrive pas de déception ici 😉
  3. Oui aux alentours de 13h d'après Wrf 2km et gros paquet en mer nous verrons bien pour l'intensité !
  4. Première averse pluvieuse sur Perpignan...quel gâchis cette eau liquide! 😄 l'air froid n'est pas encore arrivé me direz-vous sur la pointe du Roussillon 5 C. À suivre le front principal dans la matinée...ici on n'attend que quelques miettes.
  5. Concernant notre beau Roussillon les chutes de neige devraient se généraliser selon MF (Aude et PO) mais d'après les modèles la plaine des PO et le littoral semblent à sec dans ce type de configuration. C'est bien dommage mais nous ne serions pas en reste avec tout de meme une fine couche de neige prévu jusque sur le littoral jusqu'à 3cm...de quoi semer la pagaille...les routes vont surement etre salées? A noter l'Aude qui semble mieux placé pour les précipitations que les PO A suivre en direct en toute fin de nuit jusqu'en début d'aprés midi de mardi... Voici l'article de l'indépendant : http://www.lindependant.fr/2015/02/02/aude-et-p-o-la-neige-attendue-en-plaine-demain-matin,1987079.php Aude et P.-O., la neige attendue en plaine demain matin http://images.lindependant.fr/images/2015/02/02/aude-et-p-o-la-neige-attendue-en-plaine-demain-matin_515461_516x343.jpg?v=1 Le 02 février à 11h38 par G. C. / lindependant.fr | Mis à jour il y a 6 minutes PHOTO/capture Meteo France La direction des routes du conseil général des Pyrénées-Orientales vient de nous alerter sur l'épisode neigeux qui devrait toucher la plaine demain matin dans les P.-O., mais aussi dans l'Aude. Météo France annonce un épisode neigeux venant de la mer pour demain matin. De faibles quantités sont annoncées : jusqu'à 3 cm en plaine et sur le littoral et 5 cm à lintérieur des terres vers 200 / 300 m. On pourrait avoir une dizaine de centimètres supplémentaires en montagne.
  6. Je dois vous avouer que je reviens de Port la Nouvelle et quelle n'a pas été ma grande surprise de retrouver un déluge "exceptionnel" sur l'autoroute au niveau de Rivesaltes et nord de Perpignan (du jamais vu pour moi) accompagné d'eclairs inondant le ciel. Heureusement pour moi j'ai pris l'autoroute et non la route!
  7. Bonjour, Toujours beaucoup de vent sur Perpignan et quelques gouttes. En effet cette ligne très pluvieuse est à surveiller d'autant plus que ça remonte d'Espagne à présent. Editon speciale sur France Bleu Roussillon pour ceux que ça intéresse qui indique notament des routes inondées entre Toulouges et Ponteilla. Situation compliquée à ST Paul de Fenouillet! Le match de l'USAP sera t-il maintenu sur Aimé Giral cet après-midi?
  8. Philippe66

    Keraunos

    Bonjour, Comme prévu tout fonctionne à nouveau naturellement depuis hier chez moi sans effectuer la moindre opération (redémarrage divers, vider le cache,...) juste un peu de patience ;-) Bonne journée
  9. Philippe66

    Keraunos

    Bonsoir, C'est curieux car chez moi cela ne fonctionne toujours pas 😔. C'est pas un drame mais bien embettant... Je vais tenter un redémarrage de la box puisque c'est conseillé plus haut..
  10. Bonsoir, Juste un petit passage pour dire que ce fut une nuit... mémorable. La foudre a frappé à de nombreuse reprises (trois orages en tout) . Dans ma rue les disjoncteurs se sont déclenchés dans de nombreux foyers (j'ai fait ma petite enquête de voisinage) et deux box internet ont grillées dont la mienne , c'était lors du troisième et dernier orage vers 07h à peu près. Un claquement si intense! Je relève 60,5mm pour ma part au quartier de la gare...j'ai encore les oreilles qui bourdonnent....
  11. Bonsoir, je relève à mon pluviomètre 25mm pour cet épisode à Perpignan (Saint-Assiscle, quartier de la Gare). De l'orage (faible mais souvent bien audible) tout au long de cette journée avec quelques éclairs ce matin en début d'épisode et une pluie forte par moments.
  12. Bonsoir, merci pour votre travail. Je note cependant que la flèche de direction du vent n'apparait pas lorsque l'on imprime le tableau d'une journée d'observation d'une station. C'est dommage car avant tout s'imprimait... Voilà pour ma petite remarque /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">.
  13. Petit HS : je vois souvent que Ciel et Espace est cité sur IC quand il s'agit d'astronomie et du cosmos, je comprend car je suis accro à ce magazine depuis des années et à titre personnel je le conseille à tous les amateurs d'astronomie! Il est édité par l'Association française d'astronomie. Fin du HS.
  14. Je te remercie beaucoup pour tes claires précisions .
  15. Merci pour vos réponses qui apportent plus de précisions et merci d'avoir pris le temps de lire mon résumé interminable... Tout d'abord, Smercz, pour en revenir sur le fonctionnement des modèles numériques. J'en retiens qu'il y a, d'une part, les modèles globaux (ECMWF par exemple) à maille large (dizaines de km). Le maillage large permet d'englober toute la sphère terrestre (pour reprendre tes termes) dans les calculs qu'ils effectuent. Sinon cela prendrait trop de temps avec un maillage plus fin d'après ce que j'avais lu en raison de la trop importante masse de calculs. Mais pour le coup la précision risque de manquer pour des phénomènes de plus petite dimension? Donc pour cela il y a, d'autre part, les modèles à aire limitée (dits régionaux également non?) comme WRF par exemple qui, eux, ayant une maille bien plus fine (quelques km) couvrent une zone plus limitée que les modèles globaux mais avec plus de précisions. Cependant, il faut être prudent car ils utilisent les données des modèles globaux (Hirlam celles de CEP et WRF celles de GFS ?) donc la fiabilité des modèles à aire limitée dépend de celle du modèle global. Le modèle à maille fine (à aire limitée) dispose donc des données de l'état de l'atmosphère (du modèle global) autour de la région qu'il étudie. C'est bien ça? Par ailleurs, j'ai pu lire que l'état réel de l'atmosphère est très irrégulier et qu'il est donc impossible, par les équations qu'effectuent les modèles, de calculer des solutions exactes. Est-ce que cela veut dire que plus l'on va aller loin dans le temps (LT et TLT) et plus le modèle va calculer des approximations d'autant plus grossières? Et que plus il y aura du jeu et des incertitudes dans les scénarios? Sinon concernant l'utilité de la Z500, je lis vos précisions concernant son utilité sur le long terme et la comprend car ce qui nous intéresse à ces échéances là (vu la fiabilité parfois très médiocre) c'est déjà la position des principaux centres d'action (anticyclones et dépressions) on utilise donc la Z500 des déterministes (GFS, CEP, NAEFS,...) et des ensemblistes (GEFS, ENSCEP,...). On regarde également les diagrammes de GEFS par exemple ou encore des spaghettis chers à certains . Il s'agit également d'apprécier l'orientation des flux généraux, pour reprendre l'expression de Damien49, comme par exemple apprécier la latitude à laquelle se positionne le courant-jet. On à tendance à regarder la masse d'air à 850 hPa aussi. Donc on n'est pas dans une logique d'affinage à ces échéances ou de la compréhension de la mécanique qui pourrait s'opèrer, au sein d'un thalweg traversant la France par exemple, aux travers des paramètres de la 1,5PVU ou de la ThêtaE 850 mais on est dans l'optique de définir la synoptique de grande échelle qui interviendra à ces échéances lointaines. Je dois avouer que j'ai exagéré ma pensée quand j'évoque une "mise à mal de la Z500 et de la carte des précipitations" car comme vous le dîtes toutes les cartes ont leur utilité à différentes étapes de la prévision. Ce que je souhaitais évoquer c'est l'obstination que l'on peut avoir au début à seulement regarder les cartes de Z500 et précipitations même à de courtes échéances lorqu'une dégradation du temps plus ou moins sérieuse se profile (passage d'un thalweg sur la France ou encore d'un Cut-Off qui s'isole par exemple) alors qu'il y a lieu à analyser la situation avec d'autres paramètres qui commencent à s'affiner quelques jours et heures avant l'événement (cartes CAPE & LI, VV, Thêta E 850, 1,5 PVU, cisaillements). Il y a de toute façon des intervenants expérimentés dans les topics régionaux pour expliquer tout ça et qui font partager leur analyse. J'essaye juste de justifier, avec mes faibles connaissances, qu'il est intéressant de passer le cap de certaines cartes pour pousser son analyse personnelle et, par la même occasion, mieux comprendre les mécanismes qui se mettent en place au dessus de nos têtes et que l'on suit au niveau du sol et sans s'arrêter à "c'est la dépression et ses faibles hPa qui font tomber la pluie..." Donc lorsqu'il ne s'agit plus de dégager une tendance à LT (positon des anomalies positives et négatives ainsi que l'orientation générale des flux) on se retrouve à moyen puis court terme à analyser la situation à la loupe avec les paramètres à notre disposition (Thêta E couplée à la 1,5PVU, les axes de fort TA à 850 hPA synonymes de forts cisaillements et ascendances, la MUCAPE et le MULI, les VV, etc...). On dispose aussi des radiosondages qui permettent de sonder verticalement l'état de toute la couche troposphérique jusqu'à la stratosphère. Les coupes verticales de GFS sont à notre disposition également. J'en ai fait un autre résumé pour le coup et je me répète un peu...
  16. Le titre a sauté : Comprendre le mécanisme d'un Thalweg dynamique d'altitude ou d'une cyclogénèse à partir des paramètres des modèles numériques. Bonjour, Je suis très régulièrement le forum d'IC (tous les jours) depuis de nombreuses années, même avant mon inscription. Pour la petite anecdote, il m'arrive souvent d'imprimer les topics car je passerais trop de temps sur l'écran et bonjour les migraines . Du topic LT aux prévisions saisonnières et jusqu'aux lamentations de temps à autres, je suis la plupart des intervenants des moins confirmés aux autres ayant acquis de l'expérience et des connaissances ou même qui travaillent dans cette branche scientifique. Je souhaite donc vous faire part de ma vision des choses dans ma compréhension des phénomènes météorologiques afin de faire examiner mes connaissances à d'autres et m'améliorer. Je suis parti de pas grand chose, seulement ma grande passion pour la meteorologie et de tous ses phénomènes de toute beauté, parfois tragiques, certes, mais qui me captivent depuis tout petit. Jusqu'au jour ou j'en arrive sur ce forum météo où l'on se sert des outils numériques à notre disposition (les modèles météo par exemple ou encore les données climatologiques pour chaque ville) et où l'on passe des heures à commenter le temps passé et futur. Ce n'est pas rien... d'où ma petite introduction hors sujet, je m'en excuse. J'aimerai être repris pour chaque bêtise que je dirai afin de progresser comme beaucoup sur ce forum! Et peut-être que cela aidera à la compréhension de certains qui sont plus ou moins novice comme moi par exemple. Ayant lu le sujet (ou topic) : AMORCE DE CYCLOGENESE DANS UN ANTICYCLONE, j'ai souhaité créer ce topic dans cette section du forum, afin de clarifier de nombreuses interrogations que je me pose ou pour combler des vides, des lacunes.. Je n'ai pas le désir d'être expert en la matière mais tout simplement de passer des étapes dans la compréhension de cette "science" qu'est la météorologie. J'essaye donc de comprendre, à mon niveau, les différents paramètres des modèles numériques de prévision et ainsi de comprendre par la même occasion une partie du fonctionnement de notre atmosphère terrestre, celle qui nous concerne pour la météo : la troposphère et la stratosphère. Pour en revenir aux modèles, ils sont, si j'ai bien compris, des simulateurs de l'état d'une partie de notre atmosphère, où se produisent les phénomènes météorologiques à un instant donné (jour et heure). Pour cela, ces supercalculateurs exécutent des milliards de milliard de calculs pour chaque run afin de déterminer les données que l'on retrouvera dans les paramètres du modèle numérique (T850, T500, Z500 Géopotentiel, Jet Stream, Thêta E, CAPE & LI, Vent XXX hPa,...etc Ces modèles bénéficient de données relevées par les satellites mais également des stations météorologiques situées partout à travers le monde et même jusqu'en Antarctique (station de Vostok). Nous avons donc ensuite toute une panoplie de paramètres : du sol à la stratosphère (jusqu'à environ 12 000 mètres d'altitude en France, et beaucoup plus haut près de l'équateur où les orages culminent bien plus haut d'après ce que j'ai compris. Pour en revenir à mon introduction et donc au topic que j'ai mentionné. J'en retiens pour commencer que les cartes à isobares (lignes d'égale pression atmosphérique) représentant la pression au niveau de la mer, se révèlent peu riches en informations (peu d'informations concernant l'état de l'atmosphère) et elles prêtent à croire que les champs de pression sont les causes du temps beau ou mauvais sans en comprendre le mécanisme. Pourtant elles semblent très utilisées en général. Elles présentent simplement la position des principaux centres d'action (à grande échelle, à l'échelle synoptique donc et non la méso-échelle) c'est-à-dire la positions des anticyclones (anomalies positives) et des dépressions (anomalies négatives). Elles peuvent présenter des anticyclones bien affirmés (1030hPa) par exemple mais des pressions plus intermédiaires semblant à une zone plutôt anticyclonique (1020 hPa par exemple) alors que l'on est plus proche d'un marais barométrique plutôt que d'une pulsion anticyclonique solide, et même si elle est entourée par des isobares comme un anticyclone...comme le dit Cotissois31 dans le topic que je cite au début. Et il est donc difficile de discerner la zone cyclonique et celle anticyclonique dans une étendue de champs de pression à 1020 hPa que l'on a tendance à prendre pour un anticyclone. Je crois donc comprendre, d'après les personnes confirmées, que l'on peut aller directement au but sans passer par cette carte de géopotentiel qui manquent cruellement d'informations notamment dans le cas évoqué ci-dessus. Il s'agit pour cela d'utiliser d'autres paramètres bien plus riches comme la Thêta E 850hPa (ou Thêta'w ou encore TPE toujours à 850 hPa) et de la 1,5 PVU. Comme le précisent Cotissois31, Hailstone et Damien49 dans l'autre topic, le couplage de ces deux paramètres , à savoir la Thêta E 850 hPa couplée à la 1,5 PVU serait plus appropriée pour déceler les zones cycloniques ou anticycloniques notamment dans les étendues à 1020 hPa comme dit plus haut mais pas seulement. On en conclut donc que la carte du Z500 géopotentiel (avec les isobares représentant la pression au niveau de la mer) ne fait pas l'anticyclone ou la cyclogénèse et Damien49 conclut très bien à ce sujet que le champ de pression est vu comme une cause et non comme une conséquence dans l'autre topic. Donc maintenant que la carte du Z500 a été mise à mal, il faut comprendre pourquoi l'on doit s'orienter vers le duo Thêta E et la 1,5 PVU : afin de déceler des intéractions en les couplant. La Thêta E (850 hPa) représente grosso modo la température et l'humidité de la masse d'air en basses couches c'est-à-dire à 1500 mètres d'altitude environ et il faut la couplée à la carte de la 1,5 PVU représentant, elle, le niveau de la tropopause c'est-à-dire : - qu'une tropopause à la hausse ou haute signifie qu'un air stable et moins froid rejoint la stratosphère mais pas trop à cause de la stabilité verticale à ce niveau, comme j'ai pu le lire ailleurs ; - qu'une tropopause à la baisse ou en "décrochage" signifie qu'une infiltration d'air froid stratosphétique (ou advection froide?) se produit plus ou moins profondément dans la troposphère. Il faut comprendre que plus l'advection douce et humide de Thêta E 850 hPa (en basses couches) est importante et d'autant plus qu'elle est couplée à un décrochage de la tropopause plus ou moins virulent, plus cela créera un conflit de masse d'air important. Par exemple, pour disposer de hautes valeurs de ThêtaE 850, un creusement positionné sur l'atlantique peut très bien faire l'affaire car il advecte ce que l'on appelle un flux de sud-ouest cyclonique (s'il est bien positionné) vers la France, avec en basses couches, une importante advection chaude et humide (entre 15 et 18°C à 850 hPa en été pour donner un exemple au pif). On parlera alors d'air d'origine tropical ou subtropical provenant du sahara par exemple. Et pour peu que ce Thalweg finisse en cut-off en s'isolant et en advectant à son passage un air frais et instable à l'arrière, cela provoque un décrochage de tropopause et un conflit important peut se produire sur la zone couplée aux deux paramètres cités. Le mois de juin en est le parfait exemple si j'ai bien suivis avec de violent orages sur la France (des mono, des multi, des MCS, de la grêle jusqu'à 8 cm de diamètre dans le Nord-Est et des tornades). La Bretagne n'a pas pu profiter de dégradations orageuses dignes de ce nom car elle se trouvait bien souvent à l'arrière dans l'air frais (jusqu'en basse couche) si j'ai bien compris grosso modo ? Donc une fois ces deux paramètres réunis (même si ce n'est pas très stable et que cela bouge au fil des runs des modèles avec des mauvais phasages ou des meilleurs) on va s'intéresser à l'instabilité disponible à ce moment où les paramètres précédents sont corrélés. Pour cela on consulte les paramètres relatifs aux indices d'instabilité. Entre autres, la MUCAPE et la MULI font très bien l'affaire. Cependant j'ai pu lire qu'en journée, il fallait se méfier de la SBCAPE de GFS (représentant les basses couches) qui exagère les valeurs de CAPE par effet diurne. J'ai donc compris que l'on va utiliser plutôt la MUCAPE où Keraunos la définie comme "la mesure de l'énergie convective sur toute la profondeur de la troposphère". Puis le MULI , toujours selon Keraunos, "exprime le degré d'instabilité entre le sol et l'altitude géopotentielle 500 hPa (5500 mètres environ). Comme on le sait, plus les valeurs sont négatives mieux c'est où plutôt "plus l'instabilité latente est importante". La MUCAPE et le MULI ne me posent pas de problèmes même si j'avoue ne pas comprendre comment ils sont calculés. Pour la grêle, Keraunos utilise la HCAPE entre autres. Il ne faudra pas oublier de regarder les VV (Vitesses Verticales) dont vous parlez beaucoup et qui représentent les ascendances et les subscidences de l'air. Je sais qu'une forte ascendance de l'air couplée aux autres paramètres signifie que l'air se condense en montant en altitude et cela renforce le potentiel humide et instable, c'est bien ça? On va souvent rechercher le noyau de fortes ascendances, souvent à l'avant du cut-off lors du balayage de l'air chaud par l'air frais? La subsidence se situe à l'arrière laissant un air plus frais jusqu'en basses couches après le passage de la perturbation mais pas toujours sec pour autant (ciel de traîne actif)? Et puis il y a les paramètres utilisés pour déterminer le cisaillement des vents dans les basses couches ou très basses couches afin de déterminer une probabilité d'occurrence d'un phénomène tourbillonnaire, à savoir la survenue d'une tornade par exemple (niveau de condensation qui doit-être faible d'après Keraunos) ou de fortes rafales convectives. J'espère avoir bien résumé ma façon de comprendre les phénomènes de façon générale sans trop avoir mélangé de choses, notamment en combinant la question de Traqueurdefoudres sur le topic que je cite au départ. Encore une fois, l'intérêt, le but de ce topic et de mon résumé est d'essayer de mieux comprendre les mécanismes qui composent les différents phénomènes météorologiques et de passer quelques étapes en arrêtant d'abuser des cartes Z500 ou encore celles des précipitations. Mais cela ne peut se faire sans un minimum de compréhension et comme chacun a une façon différente de recevoir une explication ou plutôt de la comprendre cela peut vite devenir laborieux pour un débutant et même pour celui qui explique . Pour conclure et être en phase avec le topic qui m'a incité à créer celui-ci, je citerais les posts très instructifs de Cotissois31, Hailstone ou encore Damien49 qui me permettent de comprendre le pourquoi du comment il vaut mieux utiliser ou plutôt abuser plus de certains paramètres que d'autres qui donnent bien plus d'informations afin, je cite hailstone, d'apréhender les phénomènes météo. J'incite donc ceux qui souhaitent progresser à s'y mettre car ils s'apercevront que ces deux cartes offrent beaucoup plus d'informations que de consulter seulement le Z500 couplé à la carte de précipitations comme on peut avoir tendance à le faire au début et même longtemps parfois. Rien que les deux cartes de ThêtaE 850 hPa et de 1,5 PVU permettent de comprendre le mécanisme de formation de la cyclogénèse qui est le résultat d'une anomalie de tropopause et d'une anomalie chaude de ThêtaE 850 (dans les basse couches donc) bien phasées et avec une amplification des vitesses verticales (VV) comme l'explique Hailstone si je reprend bien ses termes. Ce qui fait varier la pression (la cause de cette variation de pression) est due à l'intéraction de 2 champs, celui de la ThêtaE à 850 hPa (basses couches) et celui de l'anomalie de tropopause (en altitude). J'espère avoir bien compris... Du moins c'est l'impression que j'ai. A plus .
  17. Shizzu 66000 Perpignan Pyrénées-Orientales.
  18. Bonsoir, Un temps bien frais aujourd'hui, on atteint péniblement les 20°C avec une Tx de 20,3°C à cause du vent d'Est bien frais ! Le METAR n'y arrive pas : 17°C environ. Pourtant le soleil a brillé toute la journée sauf en cette fin d'Après-midi où les nuages bas se font nombreux. Au soleil il a, cependant, fait bien bon! Le dép. des PO n'est pas vernis depuis quelques jours niveau pluies orageuses (depuis le 24/04 environ) et est en permanence foehné par un vent de Sud, pas une goutte d'eau donc... . Bonne soirée.
  19. Un orage faible voire modéré vient de passer, bilan : quelques éclairs et du tonnerre parfois modéré mais pas de foudre sur Perpignan. Pluie modérée voire presque forte très temporairement et donc seulement 4 mm en 5-8minutes. Déjà le retour d'éclaircies. Température : 17,5°C.
  20. Oui, cette fois c'est bien noir côté pyrénées, plus classique... Le sud du dép. et la plaine pourrait prendre quelque chose...à suivre. Température : 21,1°C. La douceur persiste donc ça sent bon pour a minima de la pluie. ça gronde même actu... Edit 17h34 : ça gronde plutôt bien sur Perpi et il se met à pleuvoir.
  21. Deuxième cellule actu passant tout juste au Nord de ma position. Le ciel est donc bien noir au Nord, Nord-Est de Perpignan. le reste du ciel est ensoleillé. Le vent s'est nettement calmé et la température remonte. Quelques grondements à signaler et grosses gouttes, rien de plus ...
  22. Comme prévu longuement par GEFS entre autres, la plaine des PO est sous effet de foehn avec une TX de 25,7°C , Tx atteinte durant le passage de cette cellule au nord du dép. Seulement à quelques kilomètres de Perpi et Rivesaltes . Actu, le vent souffle en rafales assez modérément et la température chute pour le coup à 21,5°C.
  23. Bonsoir, Ciel limpide également sur Perpignan aujourd'hui avec une Tn de 12,6°C et une Tx de 23,6°C.
  24. Bonsoir, le marin a fait son retour aujourd'hui et a ainsi limité quelque peu la hausse du mercure sans trop d'excès car elle a atteint 24.6°C. Tn de 12.6°C. Pas le moindre nuage. C'est bientôt la fin....
  25. Bonsoir, Plein soleil toute cette journée du 30/03 avec une tramontane modérée tout au long de la journée. A noté les températures, sans surprise, très douces avec une Tn descendant tout juste sous les 15 °C avec 14.6°C et une Tx de 26°C tout rond.
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