Marc09

Ah, je n'en peux plus, je meurs ! Ici sur Ramonville, journée ensoleillée mais fraiche Température:12,4°C Bonne soirée

Intempéries: quatre passagers d'un avion retrouvés morts, début de la décrue LYON (AFP) — Les corps des quatre occupants d'un avion porté disparu après avoir décollé dimanche dans la Drôme malgré les intempéries ont été retrouvés mardi, alors que la décrue commencait lentement dans le centre de la France, sauf dans la Nièvre. L'épave de l'aéronef a été localisée aux environs de 09H00 au Col des Corbières, à une quinzaine de kilomètres de Nyons (Drôme), dans une zone de moyenne montagne, très escarpée, du sud de la Drôme. Le pilote, un jeune contrôleur aérien d'Aix-en-Provence, et ses passagers, trois de ses amis originaires des Bouches-du-Rhône, âgés de 21 à 31 ans, ont été tués dans l'accident, a indiqué la préfecture. "Une enquête est en cours mais on peut déjà affirmer que les conditions climatiques très défavorables ont joué dans cet accident", a déclaré à l'AFP la directrice de cabinet du préfet de la Drôme, Corinne Minot. "Le pilote avait été dissuadé de s'engager dans un vol nocturne dans ces conditions, à la fois par l'aéroport de départ et par celui d'arrivée", a-t-elle ajouté. L'avion de tourisme avait décollé de Saint-Paul-lès-Romans (Drôme) dimanche, vers 18H00, à destination d'Aix-les-Milles (Bouches-du-Rhône), alors que Météo France avait placé la Drôme en alerte orange en raison des orages et que le secteur était la proie de pluies diluviennes. Sur le front des inondations, cinq départements restaient mardi en alerte orange en raison du risque de crues de la Loire et de l'Allier. En revanche, les eaux commençaient à baisser très lentement dans le Puy-de-Dôme, l'Allier, la Loire et la Saône-et-Loire alors que le pic des crues était attendu dans la nuit de mardi à mercredi dans la Nièvre, a-t-on appris auprès des préfectures des départements concernés. Dans la Nièvre, le niveau maximum d'eau devrait être atteint mercredi à 2h00 du matin dans la commune de Decize où le niveau de l'Allier, principal affluent de la Loire, sera équivalent à celui enregistré lors de la crue de 2003, selon la préfecture. Cependant, les communes concernées ne devraient pas être trop touchées grâce "à leur haut niveau de préparation" avec le plan de sauvegarde mis en place après 2003, a estimé le directeur de cabinet du préfet, Philippe Nucho. Dans la Loire, l'eau baissait mais le fonctionnement de la ligne ferroviaire Saint-Etienne-Lyon devrait rester perturbé pendant encore un mois, à la suite de glissements de terrain et d'inondations ayant endommagé les voies pendant le week-end. Dans le Puy-de-Dôme, une canalisation d'eau a cédé sous la pression à Issoire, menaçant l'alimentation en eau potable de la ville. Dans l'Allier, la Loire a inondé principalement des zones agricoles. A Villefranche (Rhône), la sous-préfecture était fermée jusqu'à mercredi et la production de farines infantiles a été arrêtée dans l'usine Blédina en raison des dégâts liés aux inondations. Des routes départementales restaient coupées dans la Loire, l'Ardèche et la Haute-Loire.

Peut-être parce que personne n'était allé voir le site des pépinières depuis EDIT: C'est quoi le rapport ?

Averse de bulletins météo Par Gaël VAILLANT leJDD.fr Dimanche a été mouillé pour le centre et le sud de la France. Les pluies orageuses ont fait monter dangereusement les cours d'eau des départements du Rhône et de la Haute-Loire. L'Allier, la Loire et leurs affluents ont inondé plusieurs villages. Un pêcheur de 25 ans est toujours porté disparu. Plus de 800 personnes ont dû être évacuées et des axes routiers majeurs ont été coupés. Marseille n'a pas été épargné par les intempéries: des quartiers entiers du centre-ville ont été inondés. (Maxppp) Les bulletins pleuvent sur l'hexagone. Dimanche après-midi, Météo France a déclaré cinq départements en alerte rouge (Haute-Loire, Loire, Allier, Nièvre, Saône-et-Loire), et neuf autres en alerte orange, en raison des risques de crue de la Loire et de son affluent, l'Allier. Le fleuve a déjà fait une victime: un pêcheur de Haute-Loire a été porté disparu après les fortes pluies qui se sont abattues dans la nuit de samedi à dimanche dans le Centre-Est. Cet homme de 25 ans a été porté disparu alors qu'il pêchait samedi à Bas-en-Basset (Haute-Loire) sur un étang des bords de la Loire. Des centaines de personnes ont dû être évacuées dans le Rhône, notamment à l'Arbresle, Brignais et Châtillon d'Azergues. Dans ce dernier village, la préfecture s'est inquiétée que le relais téléphonique, soit sous 80 centimètres d'eau, laissant les habitants sans téléphone. A Saint-Bel, situé dans le Rhône, la rivière Brévenne a emporté une passerelle. Environ 200 personnes ont du être relogées, dont une cinquantaine qui se trouvait dans un hôtel à la Grand-Croix. Une centaine d'autres personnes ont été évacuées d'une salle des fêtes à Farnay. Quelque 200 personnes ont également été évacuées dans l'après-midi dans la plaine du Forez. Dans plusieurs de ces communes, l'électricité et le téléphone ont été temporairement coupés. De nombreux véhicules ont été emportés ou inondés par les cours d'eau dévastateurs. Ces évacuations massives ont aussi touchées la Haute-Loire, où 311 n'ont pas pu rejoindre leur domicile. Aucune victime n'a toutefois été recensée. L'A6, qui relie Paris à Lyon, a été coupée au niveau de Belleville pendant toute la matinée. L'A47, entre Saint-Etienne et Lyon est toujours fermée dans les deux sens à hauteur de Givors. Le Sud n'a pas été épargné. A Marseille, les abords de la Canebière, près du Vieux Port, ont été inondés à la suite de violentes pluies orageuses qui ont frappé l'ensemble des Bouches-du-Rhône. Dimanche, en fin d'après-midi, le bas du célèbre axe marseillais et les rues avoisinantes ont été transformées en rivières, les bouches d'égout débordant de l'eau qui s'est très vite accumulée à cause des violentes pluies orageuses, qui ont duré environ trois quarts d'heure. Les pompiers ont multiplié les interventions dans les départements du sud-est, notamment en raison de dégâts matériels. L'alerte orange a été maintenue ou déclenchée sur les départements de l'Hérault, du Gard, de la Lozère, de l'Ardèche, de la Drôme. Les alertes, rouge et orange, dans l'ensemble des départements devraient durer jusqu'à lundi matin.

La cellule est pile entre béziers et agde et se dirige vers bédarieux

A Castres, j'ai 19,5mm d'eau depuis le début des pluies ici (ce matin vers 4H environ) décomposée en 4 parties: 5,5mm de 4H à 11H 10mm de 11h à 14h 3mm de 14h à 15h15 1mm de 15h15 à 16h30 Actuellement il ne pleut plus

A Rive-de-Gier, dans le Rhône, la rivière en crue a emporté ou inondé quelque 200 véhicules, ainsi que de nombreux commerces. © FRED DUFOUR / AFP. Des voitures renversées par la crue à Rive-de-Gier, près de Lyon. Plus de photos: http://www.zoom42.fr/phototheque/PHO_index.asp?ZoPhotoId=856 SAINT-ETIENNE, 2 nov 2008 (AFP) - Le niveau des eaux atteignait dimanche entre un et deux mètres dans certaines rues de Rive-de-Gier (Loire), touchée par les fortes précipitations de la nuit et où de nombreux dégâts matériels étaient à déplorer, a-t-on appris auprès de la municipalité. Selon le directeur du cabinet du maire de cette commune de quelque 14.000 habitants de la basse vallée du Gier, "environ 200 le nombre de voitures qui ont été déplacées et, pour certaines, retournées". Les services municipaux, les pompiers et la police étaient à pied d’oeuvre dimanche matin pour dégager les rues de nombreux débris et permettre le rétablissement de la circulation dans le centre-ville, où de nombreux commerces sont inondés. L’alimentation électrique et le téléphone devraient être rétablis à la mi-journée dans cette ville, qui constitue le principal point noir du département. Environ 200 personnes ont été évacuées par les pompiers, dont une cinquantaine qui se trouvaient dans un hôtel à la Grand-Croix (Loire), ville où un glissement de terrain a coupé l’autoroute A47. Une centaine d’autres personnes ont été évacuées d’une salle des fêtes à Farnay (Loire). En dépit de l’arrêt des précipitations, de nouvelles inondations sont à prévoir dans les prochaines heures en aval de Saint-Etienne, dans la plaine du Forez, car, du fait de la crue de la Loire, les vannes du barrage de Grangent ont dû être ouvertes. Contactée à plusieurs reprises, la préfecture de la Loire n’était quant à elle pas joignable dimanche matin. Informations France Info: Beaucoup de dégats dans le centre est , éboulements, routes inondées, villages isolés . Plus de 300 interventions des pompiers. Le centre ville de Villefranche-sur-Saone a été envahi par la rivière Le Morgon,une petite rivière qui est sortie de son lit, nombreuses inondations de cave, de magasins et de bâtiments publics. De nombreux automobilistes cherchant à rentrer chez eux ont étés pris dans des torrents et ont étés délivrés par les sapeurs pompiers

Inondations : un pêcheur porté disparu NOUVELOBS.COM | 02.11.2008 | 15:10 Un pêcheur a disparu dans les inondations provoquée par la crue de la Loire. Environ 500 personnes ont été évacuées en raison des inondations dues aux violentes intempéries depuis hier. Un pêcheur de Haute-Loire est porté disparu dimanche 2 novembre après les fortes pluies qui ont causé des inondations dans le centre-est, visé par une alerte orange, et qui ont entraîné la coupure d'axes routiers, l'évacuation de centaines d'habitants et d'importants dommages matériels. C'est un ami de l'homme, qui pêchait samedi à Bas-en-Basset (Haute-Loire) en bord de Loire, en crue à cause des fortes précipitations, qui a donné l'alerte dimanche matin. 400 interventions des pompiers A Rive-de-Gier, commune la plus touchée, l'électricité et le téléphone ont été coupés. Et la rivière en crue a emporté ou inondé quelque 200 véhicules, ainsi que de nombreux commerces. En Ardèche, les interventions des pompiers se sont concentrées sur le centre du département, autour notamment de la commune de Saint-Etienne-de-Lugdarès, où ont été recensés une dizaine de glissements de terrain. En Lozère, quatre communes - Langogne et La Bastide-Puylaurent dans le nord, Villefort et Florac dans les Cévennes - étaient touchées par la montée des eaux et 650 foyers privés d'électricité. Par ailleurs, la RN106, qui relie Alès à Mende, était coupée à la hauteur de Saint-Julien-des-Points à la suite d'un éboulement dû aux intempéries. Les pompiers sont intervenus 400 fois et ont évacué 200 personnes dans la Loire et une centaine a été relogée. Une centaine d'autres personnes ont été évacuées d'une salle des fêtes à Farnay (Loire). En Haute-Loire également, 311 personnes ont dû être évacuées dans la nuit Zone orageuse au-dessus des Pyrénées Dans un communiqué Météo France explique que les pluies se sont fortement atténuées sur le département de la Loire, même si d'autres inondations sont à craindre en raison de l'ouverture des vannes du barrage de Grangent (en contrebas de Saint-Etienne). En revanche, une nouvelle zone pluvieuse et particulièrement orageuse remontant de l'Espagne aborde les Pyrénées. Les pluies continues parfois orageuses devraient par conséquent se prolonger toute la journée de dimanche, jusqu'à 21h. Météo France a par ailleurs relevé sur les dernières 36 heures un cumul maximal de 463mm d'eau à Villefort en Lozère. Des routes coupées dans le Rhône Le fort épisode pluvieux qui a traversé dans la nuit de samedi à dimanche le Rhône, a eu comme conséquence la coupure de nombreux axes routiers, a-t-on appris auprès du CRICR. L'A6 était coupée dans le sens nord-sud (Paris-Lyon) à Saint-Georges-de-Reneins (Rhône), suite à une inondation, tandis que l'A47, entre Lyon et Saint-Etienne, était coupée à Givors dans les deux sens de circulation à la suite du débordement de la rivière le Gier. La RN6, à Limonest (Rhône) et la RN7, à l'Arbresle (Rhône), étaient également coupées, précise-t-on au centre régional d'information et de coordination routière Rhône-Alpes. Météo France conseille aux personnes habitant dans les départements concernés d'être vigilants en cas de déplacement et d'éviter de prendre les réseaux routiers secondaires. Pour ceux vivant en zones inondables, elle conseille de prendre "les précautions d'usage". Quel cumul! /emoticons/ohmy@2x.png 2x" width="20" height="20"> Peut-être ce pécheur est il la première victime de cet épisode.

Voila deux articles de presse sur la tornade de Moelan sur Mer: Moëlan-sur-Mer. Une mini-tornade fait des dégâts Une mini-tornade a secoué le secteur de Porz-Moëlan, mercredi soir à Moëlan-sur-Mer. Le toit d’un cabanon de jardin s’est envolé, a cassé une véranda avant de se retrouver, à 50 m de son lieu de départ, contre le pignon d’une maison. Une cabane de chantier s’est retrouvée sur la route. Des tôles de la salle de tennis se sont envolées. Quatre véhicules ont subi des dégradations, telles que des vitres brisées par des branches. Des antennes de télévision ont souffert également. Le maire, Nicolas Morvan, s’est renseigné auprès du préfet pour savoir si ce type d’événement pouvait donner lieu à une déclaration de catastrophe naturelle. Réponse négative. La pluie et, par moments, la grêle sont tombées entre 22 h 30 et 0 h 30 environ, par vent fort. Dans la région de Quimperlé, les pompiers ont ôté des branches de certaines routes et asséché six caves inondées. Source: Le Télégramme-30 oct 2008 Une mini tornade a secoué Moëlan-sur-Mer Le toit de ce grand abri de jardin s'est envolé en quelques secondes, et sa course n'a été stoppée que par les arbres tout proches. Ses propriétaires ont passé la journée d'hier à vider tout ce qu'il contenait. Mercredi soir, vers minuit les habitants d'un quartier entier ont eu une belle frayeur. En dehors d'un couloir très limité, rien n'a bougé. « Heureusement que ça c'est passé en pleine nuit... imaginez ces panneaux de bois volant au-dessus des maisons et s'abattant dans les jardins... c'est incroyable ! » Cette habitante du quartier de Porz Moelan, en Moëlan-sur-Mer, n'en revient toujours pas. Dans la nuit de mercredi à jeudi, alors qu'un violent orage illumine le ciel, cette dame entend soudain son abri de jardin s'envoler et le voit disparaître au-dessus des maisons voisines. Il est minuit, et le phénomène ne dure que quelques secondes. À quelques pas de là, d'autres Moëlanais entendent des craquements sinistres et des bruits de verre brisé : leur véranda vient d'éclater sous la force des raflaes et d'objets divers tournoyant dans les airs. En face, à deux pas d'un terrain de sport, occupé par de nombreux gamins pendant la journée, le toit d'un gymnase prend aussi la voie des airs. Le vent s'est engouffré sous les tôles des parois. Au 3e coup de tonnerre Dans ce quartier pavillonnaire d'ordinaire paisible, le spectacle était accablant hier matin. Les habitants constataient les dégâts des uns et des autres, proposant leur aide pour dégager et mettre à l'abri ce qui pouvait l'être. « Ça c'est passé tellement vite. Il y a eu trois coups de tonnerre. C'est au 3e que tout s'est déchaîné, confiait ce Moëlanais, On a commencé à entendre une cabane de chantier qui bougeait de son socle. Elle a fini par se renverser sur la route toute proche. Et puis c'est notre abri qui s'est envolé... On l'a retrouvé au petit matin, à trois maisons de chez nous. » Le passage de cette mini tornade était clairement identifié hier. Une bande de 50 m de large sur 200 à 300 m de long. De part et d'autre de ce tracé, pas un seul dégât n'est constaté : « Regardez ces pots de fleurs, ils n'ont pas bougé. Alors que l'abri mitoyen n'a plus de toit... » Et pour confirmer qu'il s'agissait bien d'une mini tornade, à quelques centaines de mètres de là, en ligne droite, le centre équestre de Quilimar a lui aussi été touché. Une rangée d'arbres s'est abattue peu avant minuit. Mais les propriétaires avaient senti le vent venir : « Vers 22 h 30, on s'est décidé à rentrer tous les poneys. Bien nous en a pris, car une heure plus tard les premiers arbres tombaient... Ils ont barré la route jusqu'au petit matin. Pompiers et services municipaux sont venus nous donner un coup de main pour rouvrir la route. Maintenant il reste plus qu'à tout dégager... » Dominique MESGOUEZ Ouest-France

Comme tu l'a dit clem beaucoup de pluie a prévoir. Je suis passé au CDM81 ce matin et les cumuls d'Aladin sur 48h se rapprochent des cumul de WRF-NMM (dans le sud-ouest): http://www.meteociel.fr/modeles/wrfnmm.php...=48&mode=25 Ils sont quand même impressionants sur la ligne aude-lozère!

Actuellement sur Castres (81) vent d'autan (sud-est) assez violent, les bourrasques font plier les arbres. Journée nuageuse même si le soleil a percé dans l'après-midi. Bonne soirée

Ils parlent de 34m/s (122 km/h) dans un des articles mais ça a du souffler plus fort comme le montre l'image dans cet article (le pont est fermé a cause de rafales à plus de 35 m/s) http://translate.google.fr/translate?u=htt...fr&ie=UTF-8

Quelques images: Articles sur la tempête (traduction automatique google): http://translate.google.fr/translate?u=htt...fr&ie=UTF-8 http://translate.google.fr/translate?u=htt...fr&ie=UTF-8 Vidéo: http://66.102.9.104/translate_c?hl=fr&...PXrUegEziHta_-w

Conférence très interressante à la Cité de l'Espace sur le rechauffement climatique. Christophe Cassou (CNRS) nous a fait parvenir les dernières nouvelles sur le réchauffement et à bien marqué la différence entre pourquoi pouvait-on simuler le climat dans 80 ans (simulation) et pourquoi ne pouvait-on pas prévoir précisement le temps de dans 2 semaines (prévision). Il a également contré de nombreux arguments des gens qui ne reconnaissent pas le RC. Environ 65 personnes présentes durant deux heures dix de conférence. Vivement le prochain "Autour d'un micro" qui sera le 20 novembre 2008 et qui parlera des réserves d'eau profondes dans les océans.

Ce topic (que j'ai ouvert avant la grêve) était consacré aux disparitions des CDM est devenu un topic greve avec l'actualité (ce qui est normal) car la grêve portait sur la suppression de ces postes. Simplement, un autre topic a été crée au lieu de continuer la discution sur celui-ci.Il serait donc mieux de les rassembler ce qui permettrait de ne pas double poster.

Le problème c'est que les notifiés, si ils ne viennent pas sont sanctionnés.Article de l'AFP: Un autre notifié interviewé est sans enthousiasme : http://jt.france2.fr/13h/ JT Mercredi 15; à la 18ème minute

Météo France : poursuite du conflit social Réforme. À Toulouse, le mécontentement s'accentue. Jeudi 16 Octobre Après la Poste, les casernes ou les tribunaux. La Révision générale des politiques publiques (RGPP) cache d'autres réformes dans son sac. Depuis deux ans, le personnel de Météo France voit se profiler une restructuration plutôt discrète avec la suppression à terme des deux-tiers des stations météo inscrites depuis 25 ans dans l'histoire de la prévision départementale. Des coupes claires qui ne passent pas dans les rangs du personnel. L'intervention des CRS lundi en dit long sur l'exaspération des salariés réunis en intersyndicale. Il faut remonter à 1989, au moment du changement de statut de Météo France, pour rencontrer une telle résistance. Du coup, pour tenter de débloquer un conflit fait pour durer, la direction est descendue de Paris dans l'après-midi pour rencontrer les délégués du personnel. « On discute des marges de manœuvre dont nous disposons à l'échelon territorial. Nous ne fermerons pas de sites pendant trois ans, mais, à l'horizon 2016, on ne conservera que 40 centres sur 115 », rappelait hier encore la directrice de la stratégie Claire de Mazancourt. Les jeux sont faits, même si les stations « victimes » ne sont listées sur aucun document public. Le personnel, lui, espérait le maintien d'un centre par département. « Pas possible », répond la direction, soulignant au passage que la Grande Bretagne, pour ne citer qu'elle, n'a conservé que deux centres. « Météo France est un établissement public subventionné par l'Etat. Avec la RGPP, nous sommes tenus de réduire nos effectifs. Il nous faut redéployer nos moyens. Certains agents devront évoluer dans leur fonction et bouger », souligne la directrice qui, visiblement, ne peut plus concéder grand-chose. Le personnel, lui, ne se berce déjà plus d'illusions. Le « prévi » du Tarn contre la réforme Il a derrière lui 21 ans d'histoire météorologique. La tournure que prennent les événements suscite l'incompréhension de Jacques Cartiaux, le délégué départemental de Météo France dans le Tarn qui créa le centre le 1er septembre 1987. « Avant mon arrivée, les gens recevaient un petit bulletin météo envoyé par la station de Blagnac à la chambre d'agriculture du Tarn. Ce bulletin était interrogé 36 000 fois par an. Avec la réalisation du centre, on a très vite atteint le chiffre de 300 000, puis 600 000 appels ! Puis, ça a baissé progressivement, tout le monde vendant de la prévision », précise-t-il. Un phénomène encore accentué par la baisse accélérée du nombre d'agriculteurs. Pour Jacques Cartiaux, c'est clair, la population exige que les stations conservent cet ancrage local : « Les gens ont besoin de nous, à commencer par la Sécurité civile, le préfet et le directeur de cabinet. N'oublions pas que le département du Tarn est le plus souvent touché par les phénomènes météo. Il n'y a qu'à observer les cartes de vigilance établies sur une année. Certes, les calculs sont élaborés dans les grands centres comme Toulouse, mais il faut pouvoir adapter les sorties de modèles mathématiques aux besoins du public. La technologie de Météo France permet d'opérer à distance, mais pourquoi alors envoyer une équipe de météorologues lors des épreuves de Roland Garros ou pour une course de Formule 1 ? Les météos pourraient travailler depuis Toulouse ? C'est bien la preuve qu'il faut être sur place pour affiner des prévisions… Et ne parlons pas de cette perte évidente de la mission de service public », conclut Jacques Catiau, par ailleurs maire d'une petite commune. Une réflexion qui rejoint celle exprimée hier par les délégués du personnel. Pour Serge Taboulot (FO), élu au conseil d'administration de Météo France : « C'est grâce aux gens de terrain qu'on a pu développer des services très pointus, comme les dispositifs d'alerte et les coups de vent. Ce sont les stations qui ont la dernière main sur la validation de la prévision. » 500 emplois concernés C'est la question qu'on ne peut éluder et que ne manquait pas de poser, hier encore, la direction de la stratégie. Les stations locales ont-elles encore leur utilité quand Météo France, grâce à ses supercalculateurs, ses radars, ses satellites, sa mise en réseau, peut élaborer de la prévision fine pour préparer des expéditions dans l'Himalaya ou pour router les navigateurs du Vendée Globe, ou encore pour servir les lointains intérêts stratégiques du ministère de la Défense ? Des arguments qui ne convainquent pas la base. La réalité est brutale: d'ici 2017, c'est 500 emplois qui devraient ainsi disparaître. Où, quand, comment, autant d'interrogations restées en suspens. Après la charge des CRS, le personnel est à cran « Ahurissant ! » Jean-Pierre, prévisionniste marine n'en revient toujours pas. Comme ses collègues, il ne pouvait imaginer une seule seconde la tournure lacrymale qu'allaient prendre les événements. A 22 h 30, mardi soir, il était là lorsque les CRS ont forcé l'entrée du site de Météo France à grands jets de gaz lacrymogène pour y faire pénétrer l'équipe de nuit. Jean-Pierre a le pénible sentiment qu'on prend le personnel pour de « vulgaires délinquants ». « On en veut davantage à notre direction qu'aux CRS. Ils font leur travail… Je pensais que le dialogue serait plus constructif ». Car voilà bien quelque chose qu'ils ne pouvaient prévoir, les prévisionnistes : que la direction choisisse la force. « La seule négociation, c'est envoyer les CRS », déplore Yannick Mur, délégué du syndicat Spasmet Solidaires. Le tout pendant que le grand patron de Météo France, Pierre-Etienne Bisch prend du bon temps en Chine, regrette Éric, prévisionniste polyvalent à Bordeaux. Pour lui, l'envoi des CRS « témoigne d'un climat général. Tout est fait pour casser les fonctionnaires ». Celui qui a été hospitalisé mardi soir, les yeux brûlés par les gaz policiers, est sorti de l'hôpital hier. « Situation illégale » Pourquoi en arriver à de telles extrémités ? Daniel Roux, directeur général adjoint de Météo France a demandé au préfet l'intervention des forces de l'ordre. Il estime que la sécurité était à ce prix : « Ce n'est pas de gaieté de cœur que nous avons déclenché cette procédure. Les manifestants empêchaient les personnes notifiées (l'équipe d'astreinte, N.D.L.R.) d'entrer. Ces personnes ont des missions de sécurité aérienne et maritime. La situation était illégale et pouvait devenir dangereuse. » Propos confirmés par Claire Mazoncourt, la directrice de la stratégie chez Météo France. Grenouille de mauvais augure grimpée à l'échelle des lendemains sociaux qui coassent, Daniel Roux fourbit un dernier argument justifiant l'envoi des CRS : « Il fallait laisser entrer les notifiés. Nous ne pouvons pas nous permettre de ne pas assurer la sécurité aérienne. Si nous ne le faisons pas, d'autres pays peuvent la faire à notre place », prévoit-il. ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ Comme le dit Jacques Cartiaux, Directeur du CDM Tarn, lors de phénomènes météo dangereux, c'est le personnel des CDM qui est solicité dans les cellules de crise, lors d'évènements culturels, musicals ou autres (exemple Jazz in Marciac dans le Gers ou 2 prévi sont solicités durant 15 jours) ce sont les CDM qui assurent l'envoi de personnels. Les bulletins audio, prévisions locales, communications médias, bulletins locaux France3...etc Tout ce boulot devra donc être fait par d'autres prévisionnistes qui auront moins de temps pour faire autre chose (climato, contact avec le public, participation à des conférences météo...) Faible ? Il ya quand meme souvent des cas: exemple chute de grêle sur Albi ,115 km/h relevés à la station: http://www.ladepeche.fr/article/2007/09/18...e-sur-Albi.htmlGros Orage +grêle+inondations ponctuelles sur Toulouse:http://www.ladepeche.fr/article/2008/05/16...r-Toulouse.html Pour les Stations automatque montagneuses, il suffit d'une avalanche ou une accumulation de neige pour que la station n'émette plus rien (Nivose Port d'Aula ou Maupas par exemple qui sont soit emportés par des avalanches, soit qui tombent en panne) d'ou l'importance des CDM de montagne aussi qui sont chargés de les remettre sur pied.

Puis de toute façon même si la cellule faisait grêve, certains seraient notifiés. Effectivement, c'est par des actions coup de poing comme le blocage de cette cellule qu'il pourraient se faire entendre (néanmoins les CRS seraient vite envoyés vu les contrats avec les médias)

Pour voir les photos de l'intervention des CRS :http://snitm.fo.free.fr/photos/oct08/ Pour suivre l'évolution de la mobilisation et les AG: http://snitm.fo.free.fr/

Le résumé de la soirée (nottement l'arrivée des CRS): France 3 Midi-Pyrénées D'ailleurs un des cameraman de France 3 filmant la scène a été aspergé de gaz lacrymogène Oui car c'est le premier mouvement de grêve d'une telle ampleur chez MF depuis les grêves pour le changement de statut de la Météo (autour de 1990)

J'espère qu'elle aura les moyens sinon il nous restera quoi... les centres interrégionaux ? (et encore je suis gentil)

Le formulaire est en train d'être rempli chez moi ! +1 pour 2009

Météo-France: poursuite de la grève et blocage à Toulouse Il y a 1 heure TOULOUSE (AFP) — Une assemblée générale d'environ 450 salariés de Météo-France, de l'établissement de Toulouse ou venus de toute la France, a voté massivement mardi après-midi pour la reconduction de la grève avec blocage des entrées du site, a constaté un journaliste de l'AFP. Les agents de Météo-France, rassemblés à Toulouse dans le cadre d'une grève nationale contre un "plan stratégique de restructuration", se sont prononcés à l'appel de l'intersyndicale rassemblant CGT, CFDT, FO et Spasmet-Solidaire. Seules deux voix se sont élevées contre l'occupation du site et une dizaine d'agents se sont abstenus. Cette action de blocage, qui a débuté peu après 17H00, vise notamment à empêcher l'entrée des agents de Météo-France réquisitionnés en cas de grève, les "notifiés", en particulier pendant la nuit. Les organisations syndicales ont déposé un préavis de grève depuis lundi et pour toute la semaine contre un projet qui prévoit la fermeture de 60% des 115 centres départementaux de Météo-France (CDM) d'ici à 2017 pour ramener leur nombre à une quarantaine et supprimer au moins 500 postes sur 3.700 par non-remplacement d'un départ à la retraite sur deux. Toulouse est le plus gros centre de Météo-France avec près de 1.000 salariés. De nombreux représentants des centres départementaux, venus de toute la France (Bordeaux, Poitiers et même de Boulogne-sur-Mer), ont participé au rassemblement national et à l'assemblée générale et ont fortement appuyé la décision de bloquer le site toulousain. "On n'est pas venu là pour dire +bonjour+ aux copains et pour repartir mercredi dans nos CDM, il faut bloquer même si c'est illégal", a déclaré un prévisionniste de Rennes, tandis qu'un militant CFDT soulignait l'importance de bloquer Toulouse, "symbole de la centralisation des ressources" de Météo-France. Yannick Mur, pour le Spasmet, a dénoncé "l'irresponsabilité" du PDG, Pierre-Etienne Bisch, parti dimanche pour un déplacement d'une semaine en Chine, tandis qu'un délégué de l'Orne a mis en cause la compétence de la direction "qui ne sait même pas ce que nous faisons dans les centres départementaux, et pas davantage ce qu'elle veut faire de Météo-France". "Les attaques contre le personnel durent depuis deux ans. La RGPP (Révision générale des politiques publiques, NDLR) prévoit déjà 131 suppressions d'emplois en trois ans, dont 44 l'an prochain", a expliqué à l'AFP Michel Gouverneur, délégué FO.

Bonsoir, Journée mitigée, ensoleillée et agréable ce matin avec une couche de cirrostratus puis arrivée d'averses vers 17H. A 12H40: Température:22°C Nébulosité:6/8 Actu:Nuageux, Il fait bon, on sort en T-Shirt sans avoir froid Température:19,4°C Nébulosité: 7/8

Le col des Tempêtes près de Carpentras en PACA, La ville Rivière des Pluies à la Réunion près de Saint-Denis : je sais pas si j'y mettrais ma maison /emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20">