Eté 2003

[emmanuel69]

Ok merci , c'est moindre que 2003 mais ça reste bien chaud quand même , je n'avais plus sovenir de cet episode de chaleur .

Et pour mettre en perspective juillet 1983, il faut aussi se souvenir qu'il est resté le mois le plus chaud jamais mesuré à Lyon entre 1921 (début des mesures) et aout 2003 !

Mais depuis 2006, ce n'est même plus le mois de juillet le plus chaud !

TOP 4 des mois les plus chaud à Lyon:

1- Aout 2003 = 26,8°C

2- Juillet 2006 = 26,2°C

3- Juillet 1983 = 26,1°C

4- Juin 2003 = 25,9°C

[ricos]

Et pour mettre en perspective juillet 1983, il faut aussi se souvenir qu'il est resté le mois le plus chaud jamais mesuré à Lyon entre 1921 (début des mesures) et aout 2003 !

Mais depuis 2006, ce n'est même plus le mois de juillet le plus chaud !

TOP 4 des mois les plus chaud à Lyon:

1- Aout 2003 = 26,8°C

2- Juillet 2006 = 26,2°C

3- Juillet 1983 = 26,1°C

3- Juin 2003 = 25,9°C

Et 2003 placé deux fois dans les mois les plus chauds , decidement /emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20"> !

[th38]

En Juin / Juillet / Aout 2003 à Lyon Bron c'est :

2 Tx au dessus de 40 °C

22 Tx au dessus de 35 °C

/emoticons/ohmy@2x.png 2x" width="20" height="20">

62 Tx au desssus de 30 °C

, 23 en Juin , 15 en Juillet et 24 en Aout , bref des valeurs que l'on voit très très très rarement dans un siecle .

OUI, c'est clair que c'est plus que 47, où il y a eu à Lyon Bron

15 Tx au dessus de 35°C

46 Tx au dessus de 30°C

Mais c'est la canicule centrale qui est comparable (en mettant de coté d'une part le pb de la mesure et d'autre part le réchauffement urbain) . Voici les valeurs relevées (J = 27 07 en 47 et 4 08 en 03)

Tn 47 / Tn 03 / Tx 47 / Tx 03

J . . 19.7 / 20.2 / 38.8 / 38.7

J+1 21.0 / 22.3 / 39.4 / 39.3

J+2 21.0 / 23.2 / 39.5 / 38.8

J+3 22.6 / 22.7 / 38.8 / 38.3

J+4 21.6 / 20.8 / 38.0 / 38.3

J+5 20.0 / 22.2 / 38.6 / 38.0

J+6 21.0 / 22.5 / 39.7 / 39.6

J+7 23.2 / 22.5 / . / 39.3

J+8 . / 21.6 / . / 40.2

J+9 . / 21.8 / . / 40.5

Canicules strictement semblables, et le réchauffement urbain a du bien joué sur les Tn en 2003, bien autant que la surchauffe de l'abri en 47 pour les Tx... 2003 a toutefois duré 3 jours de plus.

Il n'y a pas eu d'autres vagues équivalentes à Lyon Bron depuis le début des relevés (fin 1920).

[ricos]

OUI, c'est clair que c'est plus que 47, où il y a eu à Lyon Bron

15 Tx au dessus de 35°C

46 Tx au dessus de 30°C

Mais c'est la canicule centrale qui est comparable (en mettant de coté d'une part le pb de la mesure et d'autre part le réchauffement urbain) . Voici les valeurs relevées (J = 27 07 en 47 et 4 08 en 03)

Tn 47 / Tn 03 / Tx 47 / Tx 03

J . . 19.7 / 20.2 / 38.8 / 38.7

J+1 21.0 / 22.3 / 39.4 / 39.3

J+2 21.0 / 23.2 / 39.5 / 38.8

J+3 22.6 / 22.7 / 38.8 / 38.3

J+4 21.6 / 20.8 / 38.0 / 38.3

J+5 20.0 / 22.2 / 38.6 / 38.0

J+6 21.0 / 22.5 / 39.7 / 39.6

J+7 23.2 / 22.5 / . / 39.3

J+8 . / 21.6 / . / 40.2

J+9 . / 21.8 / . / 40.5

Canicules strictement semblables, et le réchauffement urbain a du bien joué sur les Tn en 2003, bien autant que la surchauffe de l'abri en 47 pour les Tx... 2003 a toutefois duré 3 jours de plus.

Il n'y a pas eu d'autres vagues équivalentes à Lyon Bron depuis le début des relevés (fin 1920).

Et il y a surtout le ressenti , j'ai connu 2003 , j'etais pendant la premiere quinzaine d'Aout en Haute Savoie à 1000 m ( second lieu de mon avatar ) , le soleil se couche vers 19 h là haut , et la veste est très vite de rigueur dans la soirée , même avec un bon 35 °C a Lyon en journée , et bien là ce ne fut pas le cas , on etait bien , en petite tenue même vers 21/22 h , les Tx ont eté au maxi de 34 °C sur l'episode là haut , la Tnx de de 20 °C , du jamais vu , ça monte d'ailleurs très rarement à 30 °C la haut .

[emmanuel69]

OUI, c'est clair que c'est plus que 47, où il y a eu à Lyon Bron

15 Tx au dessus de 35°C

46 Tx au dessus de 30°C

Mais c'est la canicule centrale qui est comparable (en mettant de coté d'une part le pb de la mesure et d'autre part le réchauffement urbain) . Voici les valeurs relevées (J = 27 07 en 47 et 4 08 en 03)

Tn 47 / Tn 03 / Tx 47 / Tx 03

J . . 19.7 / 20.2 / 38.8 / 38.7

J+1 21.0 / 22.3 / 39.4 / 39.3

J+2 21.0 / 23.2 / 39.5 / 38.8

J+3 22.6 / 22.7 / 38.8 / 38.3

J+4 21.6 / 20.8 / 38.0 / 38.3

J+5 20.0 / 22.2 / 38.6 / 38.0

J+6 21.0 / 22.5 / 39.7 / 39.6

J+7 23.2 / 22.5 / . / 39.3

J+8 . / 21.6 / . / 40.2

J+9 . / 21.8 / . / 40.5

Canicules strictement semblables, et le réchauffement urbain a du bien joué sur les Tn en 2003, bien autant que la surchauffe de l'abri en 47 pour les Tx... 2003 a toutefois duré 3 jours de plus.

Il n'y a pas eu d'autres vagues équivalentes à Lyon Bron depuis le début des relevés (fin 1920).

La canicule centrale n'est pas strictement identique, puisqu'elle a duré 3 jours de plus voir 4 en comptant le 03 Aout 2003 (il y faisait encore 35°C à 20H, c'est dire qu'à Lyon Ville, on était plutôt vers 37°C).

Sur le plan sanitaire, c'est justement les 3 jours supplémentaires (11, 12 et 13 Aout) qui ont été fatals ....pour des milliers de personnes en France.

A lyon Bron, le Tx moyen de ces 3 jours terribles est de 40,0°C, et cela ne s'était jamais vu, surtout pas en 1947.

[ChristianP]

Je fait un rapide petit point en arrière: pour bien connaître ce magnifique parc de Paris,je ne suis pas certain que les arrosages automatiques marchaient en pleine journée (le matin ou le soir, je veux bien, mais en pleine journée, j'ai un doute).

Là je n'en parle même pas, ce serait vraiment très grave au niveau pro d'arroser sous et autour d'un abri pendant les horaires des Tx de la belle saison. L'erreur se chiffrerait en degrés en moins sur les Tx. (fais l'expérience d'arroser en pleine Tx sous et autour d' un abri sur la surface dans un rayon de 10 m autour de l'abri, avec un sol bien sec jamais arrosé artificiellement et qui n'a pas vu la pluie depuis des semaines. La courbe de T devient sympa pour les amateurs de fraicheur des Tx )

L'eau dans le sol (ou dans les végétaux) refroidit la T de surface du sol et de l'air, ce n'est plus à démontrer, c'est la base. (l'eau d'un sol souvent saturé sous une pelouse arrosée, ne s'évapore pas en seulement quelques heures mais sur des jours, ce n'est pas parce qu'un sol parait sec en surface à la vue, que l'eau toujours présente dessous et dans l'herbe, ne s'évapore pas )

Pour Th38

Bron n'est pas comparable à Montsouris, l'évolution de l'urbanisation n'est pas la même et je ne parlais pas des Tn mais des Tx l'été par temps sec et ensoleillé. On a déjà discuté de Bron avec photo aérienne dans un autre sujet quelque part dans ves forums (il y a pas mal de temps).

De plus Les Tx sont bien moins concernées par l'urbanisation en dehors des stations qui ont vu leur sol changer (surtout dans le rayon de 30 m autour de l'abri) et leur cloisonnement augmenter au point de changer et de limiter trop la circulation d'air au niveau de l'abri (hauteur d'obstacles passant par ex de moins de 14° à 26° et surtout moins).

Pour Montsouris, MF l'avait montré il y a des années sur son site en comparant les Tx et les Tn avec une autre station du coin (je ne sais plus laquelle), ce sont les Tn qui se sont réchauffées à cause de l'ICU (en plus du réchauffement naturel)

Quelques infos sur le fonctionnement des Tx en ville, dans spacialisation de l'ICU :

Les températures maximales

Si l'ICU est notable sur les Tn estivales, il est intéressant d'observer la dynamique des

températures à travers les températures maximales (Tx) moyennes. Les Tx estivales sont

généralement enregistrées au moment où l'insolation est la plus importante, entre 13h TU et

16 h TU [Charabi, 2001]. En été, la capacité du sol en milieu rural à absorber le rayonnement

solaire est particulièrement faible. La végétation et l'importante évapotranspiration

réfléchissent une grande partie du flux solaire. En ville, la densité du bâti et l'artificialisation

des sols favorisent le stockage de l'énergie, donc de la chaleur [Conrads, 1975 ; Endlicher,

1981 ; Escourrou, 1991]. Dans une étude récente menée dans différentes villes des Etats Unis,

l'auteur s'appui essentiellement sur l'albédo et l'évapotranspiration pour interpréter l'ICU et

souligne l'importance des surfaces végétales au sein du centre-ville [Haider, 1997].

A travers l'interpolation des Tx moyennes sur les deux agglomérations, l'ICU

n'apparaît pas aussi franchement que sur les analyses faites avec les Tn. Sur la ville de Tours,

les écarts entre les extrêmes n'excèdent pas 1.5° alors que sur Orléans, l'unité urbaine ne se

dissocie pas de la campagne environnante (Figure 5). L'absence d'écarts significatifs

s'explique en partie par le caractère des stations de mesure. Celle de la Préfecture (Orléans)

est située à proximité immédiate d'espaces végétalisés au même titre que la station de Fleury-

les-Aubrais et de Saint-Jean-de-Braye. Ces espaces suffisent à réfléchir l'énergie solaire et à

favoriser des Tx sans excès par rapport à la campagne. L'influence des espaces verts est très

importante dans la dynamique de l'ICU. Au sein du pôle urbain de grandes différences

peuvent apparaître entre les stations situées en zone de bâti resserré et les stations situées à

proximité d'un espace vert. Dans une étude menée sur Mexico, les Tx mesurées à proximité

du parc de Chapultepec pouvaient être jusqu'à 4° inférieures à celles situées en zone bâtie

[Jauregui, 1997]. De la même manière à Paris, le parc de Montsouris, provoque une baisse

moyenne de 1°, plus sensible sur les Tx en été [Cantat, 1989].

En T brute, Il n'y a rien de plus douteux qu'un record de Txx d'été du passé avec l'ancien abri d'autant plus quand il n'est pas bien ventilé naturellement dans un site au top en classe 1 ou 2 comme pendant les comparaisons de cet abri (qualité de site optimale pas souvent présente à l'époque de l'abri, site qui limite les erreurs relevées pourtant déjà importantes)

[ricos]

A lyon Bron, le Tx moyen de ces 3 jours terribles est de 40,0°C, et cela ne s'était jamais vu, surtout pas en 1947.

Tout a fait , en esperant egalement que 2003 ne se reproduise pas avant un grand nombre d'années !

[th38]

La canicule centrale n'est pas strictement identique, puisqu'elle a duré 3 jours de plus voir 4 en comptant le 03 Aout 2003 (il y faisait encore 35°C à 20H, c'est dire qu'à Lyon Ville, on était plutôt vers 37°C).

Sur le plan sanitaire, c'est justement les 3 jours supplémentaires (11, 12 et 13 Aout) qui ont été fatals ....pour des milliers de personnes en France.

A lyon Bron, le Tx moyen de ces 3 jours terribles est de 40,0°C, et cela ne s'était jamais vu, surtout pas en 1947.

3 jours, pas 4 : les Tx des 2 jours qui précedent ces jours "fous " ont été de 33.1°C et 36.5 °C pour 2003, et de 35.0°C et 36.0 °C pour 1947; là encore, très ,très proche.

Mais il est vrai que les conséquences sanitaires croissent de façon exponentielles au fil des jours, et que les dégats des 3 derniers jours de la canicule de 2003 ont été les plus meurtriers.

[Tomar]

3 jours, pas 4 : les Tx des 2 jours qui précedent ces jours "fous " ont été de 33.1°C et 36.5 °C pour 2003, et de 35.0°C et 36.0 °C pour 1947; là encore, très ,très proche.

Mais il est vrai que les conséquences sanitaires croissent de façon exponentielles au fil des jours, et que les dégats des 3 derniers jours de la canicule de 2003 ont été les plus meurtriers.

Th38, ça tourne en rond là.

ChristianP nous a expliqué plus haut que :

1) les capteurs et abris utilisés en 1947 surévaluaient nettement les Tx par rapport au matériel actuel, de plusieurs degrés en cas de canicule

2) l'effet d'ilot urbain joue très peu sur les Tx, c'est démontré par plusieurs études et au quotidien en RP - en particulier en période de canicule.

La conclusion est que même au niveau intensité de chaleur durant la canicule, août 1947 est détrôné par 2003, y compris à Lyon.

[ricos]

Th38, ça tourne en rond là.

ChristianP nous a expliqué plus haut que :

1) les capteurs et abris utilisés en 1947 surévaluaient nettement les Tx par rapport au matériel actuel, de plusieurs degrés en cas de canicule

2) l'effet d'ilot urbain joue très peu sur les Tx, c'est démontré par plusieurs études et au quotidien en RP - en particulier en période de canicule.

La conclusion est que même au niveau intensité de chaleur durant la canicule, août 1947 est détrôné par 2003, y compris à Lyon.

C'est vrai qu'il a vraiement du mal à le reconnaitre l'ami Th /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> , et pourtant on se repete /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> , 2003 c'est quand même autre chose que 1947 !

[Cotissois 31]

Pour les possibles explications, c'est plutôt bien résumé en première page. Les chercheurs ont montré un lien avec la sécheresse en Méditerrannée.

Et ça peut être assez logique : les sols humides favorisent l'humidification de l'air, donc des conditions dépressionnaires qui retardent une canicule avec blocage de hautes pressions. C'est un peu un cercle vicieux si on suit ce raisonnement. Ca peut expliquer la dynamique souvent récurrente des étés : il n'est pas rare d'avoir 2 mois juillet et août qui se ressemblent fortement.

[th38]

Pour les possibles explications, c'est plutôt bien résumé en première page. Les chercheurs ont montré un lien avec la sécheresse en Méditerrannée.

Et ça peut être assez logique : les sols humides favorisent l'humidification de l'air, donc des conditions dépressionnaires qui retardent une canicule avec blocage de hautes pressions. C'est un peu un cercle vicieux si on suit ce raisonnement. Ca peut expliquer la dynamique souvent récurrente des étés : il n'est pas rare d'avoir 2 mois juillet et août qui se ressemblent fortement.

Il y a un peu de vrai dans ce que tu dit.

Si je prend la station de Lyon Bron, entre 1921 et 2007, il y a eu 40 mois de juillet au dessus de la normale de la période.

22 de ces 40 mois de juillet ont été suivi par un mois d'aout plus chaud que la normale, et 18 par un mois d'aout plus frais; donc pas de corrélation pour l'instant.

Par contre, si l'on prend les 13 mois de juillet très chaud, c'est à dire supérieurs à 2 °C au dessus de la normale.

11 de ces 13 mois de juillet ont été suivit par un mois d'aout plus chaud que la normale (il ne manque que 1921 et 2006). La corrélation ici me parait avoir une certaine pertinence.(étés concernés : 23, 28, 45, 47, 49, 50, 52, 83, 94, 95 et 03)

[weather.bordeaux]

Comparaisons entre 1947/2003

Exemple de températures maximales moyenne dans quelques villes des deux ppales vagues de chaleur de ces 2 étés:

STATIONS ; DU 3 AU 13 AOUT 2003 ; DU 25 JULT AU 4 AOUT 1947

Strasbourg ; 37.0°C ; 33.5°C

Rennes ; 34.7°C ; 29.8°C

Lyon ; 38.9°C ; 37.7°C

Toulouse ; 39.2°C ; 36.3°C

Marseille-Marignane ; 36.0°C ; 34.9°C

Paris ; 37.4°C ; 34.2°C

Bordeaux ; 38.2°C ; 32.2°C

[th38]

Comparaisons entre 1947/2003

Exemple de températures maximales moyenne dans quelques villes des deux ppales vagues de chaleur de ces 2 étés:

STATIONS ; DU 3 AU 13 AOUT 2003 ; DU 25 JULT AU 4 AOUT 1947

Strasbourg ; 37.0°C ; 33.5°C

Rennes ; 34.7°C ; 29.8°C

Lyon ; 38.9°C ; 37.7°C

Toulouse ; 39.2°C ; 36.3°C

Marseille-Marignane ; 36.0°C ; 34.9°C

Paris ; 37.4°C ; 34.2°C

Bordeaux ; 38.2°C ; 32.2°C

Aller, je vais me faire encore le défenseur de l'été 47, même si je sais qu'il n'arrive qu'en 2ème position derrière 2003

Il serai honnete de ne prendre pour 47 que les jours réels de canicule soit du 27 07 au 3 08. 8 jours consécutifs au lieu de 11 en 2003. La comparaison sera plus parlante, et d'autre part, pour adoucir les remarques sur la surchauffe des apareils , faire la comparaison des minis ; l'effet de réchauffement urbain sera ainsi cette fois en faveur de 2003.

[Neigement]

Quelqun peut m'indiquer les plus chaudes températures qu'il y a eux en Alsace pendant l'été 2003 ?

[Canada Goose]

Quelqun peut m'indiquer les plus chaudes températures qu'il y a eux en Alsace pendant l'été 2003 ?

40.9° à Colmar.

[alex67]

Quelqun peut m'indiquer les plus chaudes températures qu'il y a eux en Alsace pendant l'été 2003 ?

- 38,5° à Strasbourg-Entzheim le 9 (record de chaleur absolu)

- 39,1° à Bale-Mulhouse le 13 (record de chaleur absolu)

- 40,9° à Colmar-Meyenheim le 13 (record de chaleur absolu) .

C'était la première fois que la température dépassait les 40° en Alsace avec ce joli 40,9° de Colmar...

[judd]

- 38,5° à Strasbourg-Entzheim le 9 (record de chaleur absolu)

- 39,1° à Bale-Mulhouse le 13 (record de chaleur absolu)

- 40,9° à Colmar-Meyenheim le 13 (record de chaleur absolu) .

C'était la première fois que la température dépassait les 40° en Alsace avec ce joli 40,9° de Colmar...

Oui, et ici, c'était étouffant et franchement, j'espère que cela ne se reproduira plus !

Regardez encore ces images :

Le 5 Août :

Le 10 Août :

Le 13 Août :

Ici, c'était l'enfer !