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Le réchauffement climatique selon Leroux


Damien49
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Posté(e)
La-Chapelle-Saint-Florent - 49 (proche 44, bord Loire)

Je suis tombé par hasard sur un article de Leroux sur le RC du 05 février dernier. Je l'ai lut et malgré mes lacunes dans ce domaine, il ne m'a pas été difficile de relever quelques abérations.

Pour ceux ne connaissant pas Leroux, c'est un "géographe" qui est le père de la théorie des AMP, théorie aujourd'hui totalement rangé aux oubliettes par la communauté météorologiste (je parle pas des climatologues, car ce sont bien 2 disciplines différentes).

http://www.agriculture-environnement.fr/sp...p3?id_article=1

Il n'est pas difficile de voir sa position absolument non objective, dès le début lorsqu'il "souhaite qu'il y est un réchauffement". Un scientifique ne souhaite rien. Il observe.

Je crois que le pompom c'est quand il compare un modèle météorologique avec un modèle climatique. Ca c'est du pure sophisme de bas étage...

Enfin je vous laisse lire et critiquer, bien mieux que moi. Je trouve dangereux qu'on puisse accorder du crédit dans la presse à un personnage aussi peu compétent dans sa propre discipline et aussi décrié. Pour un article de Leroux en comparaison, il faudrait 4000 articles inverses (à la louche). Mais ce n'est pas le cas.

________________

Là où je peux répondre :

Les modèles annonçaient alors que le réchauffement allait nous apporter une plus grande clémence climatique : « Les tempêtes aux latitudes moyennes (...) résultent de l’écart de température entre le pôle et l’équateur (...). Comme cet écart s’affaiblira avec le réchauffement (...), les tempêtes aux latitudes moyennes seront plus faibles », écrivait le GIEC en 1990. Mais aujourd’hui, puisque le temps n’est pas conforme aux prévisions, le même GIEC oublie ses propres dires et récupère la violence - plus médiatique - du temps, en annonçant qu’il est précisément dû au réchauffement.

Alors là je vois pas où il veut en venir, mais cela prouve vraiment sa mauvaise foi. Le GIEC a eut totalement raison de dire cela et j'ignorais qu'elle était abouti à cela dès 1990, mais nous sommes arrivés de façon totalement autonome à la même conclusion ici sur IC, soit 17 ans après et après sans doute qu'il ait écrit cet article, bien que cela soit un domaine encore de recherche. Le faisceau de présomption pour une diminution des tempêtes dans l'atlantique est assez bon.

"Le temps n'est pas conforme aux prévisions" : c'est du pure foutage de g****e de dire ça et avancé sans aucune preuve. Il n'a été relevé aucun changement de récurence pour l'instant. Il fait sans doute mention à la tempête de 1999, comme si un cas unique sur une durée relativement longue renversait toutes les prévisions. C'est encore une fois un sophisme grossier et un mélange entre météo et climato. D'autant que compte tenu que le RC possède une amplitude encore faible, il serait présomptueux d'enregistrer un changement aujourd'hui sur cela. Il se contredit donc puisqu'il affirme qu'aucun RC n'a lieu. En affirmant cela, il met en doute donc sa propre thèse car il sous-entend qu'il y a eut un changement dans la récurence des tempêtes. Tout ça n'a ni queue ni tête...

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Je suis tombé par hasard sur un article de Leroux sur le RC du 05 février dernier. (...)

C'est un article d'octobre 2004. Beaucoup d'erreurs factuelles, en effet (la troposphère ne se réchauffe pas, les régions polaires se refroidissent, etc.).
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Après réchauffement (donc en "régime permanent"), on peut imaginer que l'augmentation des GES homogénéisera plus les T et donc diminuera le gradient de T et les phénomènes violents.

Mais nous sommes en régime transitoire de réchauffement pour des siècles voire des millénaires avec formation de "points chauds", dans ces conditions on peut facilement imaginer que les phénomènes violents vont s'amplifier.

Leroux, épave climatique, ne retient que ce qui l'arrange.

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Posté(e)
Sainte-Croix-aux-Mines (68) - 340 m

Le réchauffement de ces dernières décennies est loin d'être un mythe ...c'est un fait avéré et indiscutable ! Tout montre que le réchauffement est bien réel.

Bien réel et loin d'être terminé default_flowers.gif
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Pour ceux ne connaissant pas Leroux, c'est un "géographe" qui est le père de la théorie des AMP, théorie aujourd'hui totalement rangé à la poubelle

Pour ceux qui ne connaissent pas Leroux, c'est aussi le directeur du Laboratoire de Climatologie, Risque et Environnement et il a même un thésard qui est passé sur IC.Et pour ce qui est de la théorie des AMP, je ne savais pas que c'était "rangé à la poubelle" ?!? Je croyais qu'on l'avait introduite en douce dans les cours de l'ENM depuis 2002 avec force schémas à l'appui. default_blink.png

Peut-être que Damien pourrait nous fournir de plus amples informations sur ce qu'il avance ????

Je crois que le pompom c'est quand il compare un modèle météorologique avec un modèle climatique. Ca c'est du pure sophisme de bas étage...

Ce n'est certainement pas plus "bas étage" que le sophisme qui oppose météo à la climatologie pour tenter de démontrer a contrario que la prévision climatologique a une quelconque prédictibilité, ni le sophisme qui consiste à faire croire que la modélisation climatologique dépend des conditions aux limites et non des conditions initiales. On en a suffisamment discuté sur divers fils et je ne me souviens pas t'avoir vu y participer ni y avancer une quelconque raison sérieuse qui te permettrait de balayer d'un revers de la main la critique de Leroux sur ce sujet default_wub.png
Alors là je vois pas où il veut en venir, mais cela prouve vraiment sa mauvaise foi. Le GIEC a eut totalement raison de dire cela et j'ignorais qu'elle était abouti à cela dès 1990, mais nous sommes arrivés de façon totalement autonome à la même conclusion ici sur IC, soit 17 ans après et après sans doute qu'il ait écrit cet article, bien que cela soit un domaine encore de recherche. Le faisceau de présomption pour une diminution des tempêtes dans l'atlantique est assez bon.

"Le temps n'est pas conforme aux prévisions" : c'est du pure foutage de g****e de dire ça et avancé sans aucune preuve.

Je ne vois pas où tu vois un "foutage de g****e". Le GIEC a bien prévu moins d'événements extrêmes avec un RC en 1990 puis s'est ravisé et a insisté longuement sur plus d'événements extrêmes (innondation, sécheresse, tempêtes...), notamment dans le TAR en 2001: il y a qu'à voir ici http://www.grida.no/climate/ipcc%5Ftar/wg1/008.htm et il faut avoir vécu sur une île déserte pendant des années pour ne pas être au courant de cette longue liste de catastrophes hypothétiques qui a fait les choux gras des médias de masse. Désolé mais sur ce coup, tu as totalement tort et le Professeur M. Leroux semble mieux connaître ce qu'a écrit le GIEC que toi.
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Posté(e)
Sainte-Croix-aux-Mines (68) - 340 m

les mêmes principes que ceux utilisés pour la prévision météorologique. Or, ces derniers se trompent constamment : ils n’ont pas été capables de prévoir les tempêtes de 1999, les inondations de Nîmes ou Vaison la Romaine, la canicule de 2003 et l’été pourri de 2004.

default_blink.png Ce personnage ne mérite même pas qu'on s'y intéresse... Vous lui faite trop de pub en lui consacrant un topic.

Il n’y a rien de moins objectif qu’une telle affirmation ! Mettre l’accent sur les gaz à effet de serre donne une vision très simpliste du climat, alors que d’autres facteurs sont beaucoup plus importants ; en particulier, ceux qui déterminent la dynamique de l’atmosphère, les transferts méridiens d’air et d’énergie, et pour faire simple, les transferts d’air froid et d’air chaud.

Ha bon, les transferts d'énergie sont indépendants et prépondérants sur l'ES? default_w00t.gif Bizarre, dans les bouquins de climato, on commence toujours par le role du soleil et l'ES avant de développer les transferts, sans doute sont-ils écrits par des membres du GIEC... default_shifty.gif
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Posté(e)
Sainte-Croix-aux-Mines (68) - 340 m

C'est un article d'octobre 2004. Beaucoup d'erreurs factuelles, en effet (la troposphère ne se réchauffe pas, les régions polaires se refroidissent, etc.).

Tiens, tu n'es pas très bavard sur ces "erreurs factuelles", bien moins que lorsqu'il y en a à trouver dans d'autres articles. Une petite analyse des approximations Leroux comme tu sais si bien en faire? default_shifty.gif
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Pour ceux qui ne connaissent pas Leroux, c'est aussi le directeur du Laboratoire de Climatologie, Risque et Environnement et il a même un thésard qui est passé sur IC.

Et pour ce qui est de la théorie des AMP, je ne savais pas que c'était "rangé à la poubelle" ?!? Je croyais qu'on l'avait introduite en douce dans les cours de l'ENM depuis 2002 avec force schémas à l'appui. default_shifty.gif

Peut-être que Damien pourrait nous fournir de plus amples informations sur ce qu'il avance ????

Ce n'est certainement pas plus "bas étage" que le sophisme qui oppose météo à la climatologie pour tenter de démontrer a contrario que la prévision climatologique a une quelconque prédictibilité, ni le sophisme qui consiste à faire croire que la modélisation climatologique dépend des conditions aux limites et non des conditions initiales. On en a suffisamment discuté sur divers fils et je ne me souviens pas t'avoir vu y participer ni y avancer une quelconque raison sérieuse qui te permettrait de balayer d'un revers de la main la critique de Leroux sur ce sujet default_w00t.gif

Je ne vois pas où tu vois un "foutage de g****e". Le GIEC a bien prévu moins d'événements extrêmes avec un RC en 1990 puis s'est ravisé et a insisté longuement sur plus d'événements extrêmes (innondation, sécheresse, tempêtes...), notamment dans le TAR en 2001: il y a qu'à voir ici http://www.grida.no/climate/ipcc%5Ftar/wg1/008.htm et il faut avoir vécu sur une île déserte pendant des années pour ne pas être au courant de cette longue liste de catastrophes hypothétiques qui a fait les choux gras des médias de masse. Désolé mais sur ce coup, tu as totalement tort et le Professeur M. Leroux semble mieux connaître ce qu'a écrit le GIEC que toi.

Tiens voilà un sbire de M Leroux et un négateur du RC. Sa position est intenable et franchement ne dessert pas la cause de ceux qui emettent des doutes sur les conclusions du GIEC. Demande à charles.muller. Entre émettre des doutes sur les conséquences du RC et carrément nier celui ci en faisant son marché car il prend ce qu'il l'arrange ou en faisant de drôles de raccourcis ou pire en faisant de la désinformation, y plus un fossé mais un gouffre.

Ces écrits datent de 2004 et on ne peut pas dire que 2005 et 2006 lui ont donné raison default_blink.png (c'est bien parti pour 2007).

Comme l'écrit Damien 49, il se tire une balle de pied dans son exposé car on comprend le chevinement de sa pensée " et puis si le réchauffement climatique existait, ça serait une énorme chance pour notre bonne vieille planéte". ELF total ne pourrait pas trouver mieux comme porte parole.

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Posté(e)
Parigny les Vaux 250m d'alt

Voila ce que j'ai trouvé au mois de décembre dernier dans mon journal local.

C'est du même tonneau. default_sad.png/emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20">default_sad.png/emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20">default_sad.png/emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20">

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Tiens, tu n'es pas très bavard sur ces "erreurs factuelles", bien moins que lorsqu'il y en a à trouver dans d'autres articles. Une petite analyse des approximations Leroux comme tu sais si bien en faire? default_sad.png/emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20">

Si tu veux. C'est de toute façon plus utile de se livrer à une critique point par point que d'insulter les gens, comme certains se croient autorisés à le faire avec Leroux. Voici donc quelques critiques. Le reste, soit je n'ai aucune idée pertinente (AMP) soit je suis à peu près d'accord avec Leroux.

(A charge de revanche, bien sûr, quand on postera la enième pleurnicherie alarmiste devant laquelle chacun verse sa larme de contrition sans le moindre début d'esprit critique).

En me parlant de réchauffement, vous voulez sûrement me faire peur, moi qui ai vécu 40 ans en Afrique ! Personnellement, je souhaite que la terre se réchauffe. C’est d’ailleurs la position de la Russie, qui considère qu’un réchauffement serait bénéfique.

Il y aura des gagnants et des perdants, insister sur les seuls bénéfices n'a pas plus de sens que de ne mettre en avant que les coûts. Et puis tout dépend de l'amplitude du RC, de toute façon. Leroux est libre de souhaiter ce qu'il veut par ailleurs.

Car lors de toute période chaude, à l’échelle paléoclimatique comme à l’échelle récente, les pluies tropicales sont plus abondantes. Ce qui veut dire que paradoxalement, si le réchauffement était effectif, la sécheresse cesserait dans le Sahel ! Mais malheureusement, ce n’est pas le cas.

Si, après les pires période de sécheresse des années 1970 et début 1990, le Sahel a tendance à reverdir semble-t-il (Herrmann 2005, Olsson 2005).

Parce ce que tout le monde accorde foi à la courbe de température globale publiée tous les ans par l’OMM (Organisation Météorologique Mondiale) et le GIEC (Groupe intergouvernemental sur le changement climatique). Or, cette courbe n’est autre qu’une moyenne des températures mesurées dans 7.000 stations de la planète, traitées à l’Université d’East Anglia, à Londres, sous la direction de Philipp Jones.

C'est plutôt 4300 stations terrestres pour le CRU. Sinon, il est normal qu'une moyenne globale soit faite à partir des moyennes locales. Le CRU inclue d'ailleurs diverses marges d'erreur dues au défaut d'échantillonnage, aux homogénéisations, aux interpolations, etc. A la limite, la critique vaut pour la zone arctique et la zone antarctique, très médiocrement couvertes par rapport aux régions industrialisées, alors que leur comportement est assez crucial (et pèse dans la moyenne pour l'Arctique). De plus, l'équipe du CRU reconnaît que le réchauffement est loin d'être significatif dans toutes les grilles.

L’augmentation serait de 0,6° de 1860 à nos jours, soit la différence de température qu’on observe à l’échelle moyenne annuelle entre Nice et Marseille.

0,75°C en mis à jour.

Cette courbe n’est d’ailleurs pas validée par les mesures récentes effectuées par les capteurs de satellites qui, depuis 1978, ne montrent au contraire aucune évolution notoire, pas plus que les mesures issues de millions de radio-sondages.

Si, il y a réchauffement pour les bases satellites et radiosondes (en basse tropo), mais à des rythmes différents selon les bases, moindre que la surface pour UAH, équivalent pour RSS.

En outre, comment parler de moyenne à l’échelle globale en mélangeant des températures marines, continentales, urbaines et surtout des températures de régions qui se refroidissent alors que d’autres se réchauffent ? Par exemple, l’Arctique occidental (au nord du Canada) se refroidit, alors que l’Arctique au nord de la mer de Norvège se réchauffe. Que fait-donc alors vraiment l’Arctique ? On ne peut pas du tout dire avec certitude que la terre se réchauffe.

Si on prend la dernière période trentenaire 1977-2006, je ne vois pas de zones qui se refroidissent. En revanche, le Sud et l'Ouest du Groenland reste équivalent ou un peu plus frais que par rapport à 1951-80.

Un modèle n’est qu’un super calculateur qui dépend entièrement des données qu’on lui fournit et de la démarche qu’on lui impose pour traiter ces données. Il ne faut pas prêter aux modèles des vertus « magiques », d’autant plus qu’ils ne donnent qu’une vision très incomplète et déformée de la réalité météorologique. En particulier, ils ne tiennent pas compte de la circulation générale de l’atmosphère, de son organisation et de son mouvement.

Si, ils en tiennent compte, c'est la différence entre les AOGCM et les premiers RCM ou ERB. Cela ne veut pas dire qu'ils simulent bien, mais il est faux de dire qu'ils ne tiennent pas compte de la circulation.

Les modèles utilisés pour la prédiction climatique sont fondés sur les mêmes principes que ceux utilisés pour la prévision météorologique. Or, ces derniers se trompent constamment : ils n’ont pas été capables de prévoir les tempêtes de 1999, les inondations de Nîmes ou Vaison la Romaine, la canicule de 2003 et l’été pourri de 2004. Comment pourraient-ils être fiables à l’horizon de 2100 ?

On a déjà débattu de cela. Les modèles climatiques ont une sensibilité aux conditions initiales, mais elle n'affecte pas leur projection dans les mêmes proportions qu'un modèle météo.

Ensuite, il y a plusieurs sortes de « climatologues ». Prenons le GIEC, présenté comme l’autorité en la matière. En réalité, il s’agit d’un groupement intergouvernemental, c’est-à-dire que la nomination de ses membres est politique, et ne répond pas à des critères scientifiques. D’ailleurs, la grande majorité de ses membres ne sont pas climatologues, à l’instar de Michel Petit, ingénieur en télécommunications, ou bien Jean Jouzel, qui est un excellent chimiste glaciologue, mais dont les connaissances scientifiques sur le climat sont limitées.

C'est jouer sur les mots et les compétences, le GIEC rassemble bel et bien des scientifiques du climat.

Mettre l’accent sur les gaz à effet de serre donne une vision très simpliste du climat, alors que d’autres facteurs sont beaucoup plus importants ; en particulier, ceux qui déterminent la dynamique de l’atmosphère, les transferts méridiens d’air et d’énergie, et pour faire simple, les transferts d’air froid et d’air chaud.

En météo. dynamique, peut-être, mais en climato. ce n'est pas vraiment le débat. Si l'on détecte un réchauffement décennale / séculaire et qu'on veut l'attribuer, ce n'est pas le mouvement des masses d'air qui est pertinent.

en revanche, sur le long terme, la variation dépend de l’activité solaire (tâche, magnétisme, éruption et vent solaires), des projections volcaniques, de la turbidité de l’air, des paramètres astronomiques, etc... Comment voulez-vous que leur responsabilité dans le climat puisse être mise en évidence dans des modèles qui ne prennent tout simplement pas en compte l’ensemble de ces paramètres ?

Ils les prennent (plus ou moins bien) en compte, en même temps que les différents forçages anthropiques, et reconnaissent de toute façon leur bas niveau de compréhension sur la plupart des forçages. C'est plutôt la variabilité intrinsèque du climat aux longues échelles de temps (pluridécennale à séculaire) qui reste un point assez aveugle des modèles.

Dans l’Atlantique Nord, on observe un refroidissement de la façade ouest (Canada, Etats-Unis à l’est des Rocheuses), alors que l’Europe occidentale se réchauffe, notamment la Scandinavie. L’Europe centrale, elle, se refroidit, comme la Méditerranée orientale, ou comme la Chine. Ces différences de comportement résultent de la dynamique aérologique.

Je ne vois aucun refroidissement en Europe centrale, Chine, etc. En partie l'Est et le Centre des Etats-Unis ont des tendances moins marquées, sans doute non significatives depuis trente ans.

En outre, ils pointent du doigt le comportement particulier et l’importance des régions polaires qui, contrairement aux prédictions des modèles, ne se réchauffent pas, mais au contraire se refroidissent. (...)Le refroidissement des pôles a atteint 4 à 5°C pendant la période 1940-90 - c’est-à-dire plus de la moitié, mais en négatif, de la valeur prévue pour 2100 !

Le pôle Nord se réchauffe. Le pôle Sud se refroidit (légèrement).

Vous voulez dire qu’il n’y a pas de fonte des calottes glaciaires ?

C’est un fait incontestable ! Cependant, évitons de généraliser : dans le détail, la glace de mer fond au nord de la mer de Norvège ou dans la région des Aléoutiennes dans le Pacifique nord, où arrivent de l’eau marine et de l’air chauds. En revanche, la banquise ne varie pas au Nord du Canada.

Dans le cas de l'océan arctique, si, elle diminue tendanciellement depuis l'observation précise par satellite (1979).

Au Groenland, certaines régions fondent, notamment sur les pourtours, mais la masse de glace augmente au centre de l’île, comme la masse de la plupart des glaciers scandinaves. C’est le démenti le plus flagrant apporté aux prévisions des modèles.

Les mesures récentes donnent un bilan de masse négatif, ce qui n'était pas encore le cas dans la décennie 1980 ou 1990. Région très variable de toute façon, et il semble que les modèles y prévoient un réchauffement limité par rapport au reste de l'HN.

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Je vais faire une critique de ta critique Charles !

Car lors de toute période chaude, à l’échelle paléoclimatique comme à l’échelle récente, les pluies tropicales sont plus abondantes. Ce qui veut dire que paradoxalement, si le réchauffement était effectif, la sécheresse cesserait dans le Sahel ! Mais malheureusement, ce n’est pas le cas.

Si, après les pires période de sécheresse des années 1970 et début 1990, le Sahel a tendance à reverdir semble-t-il (Herrmann 2005, Olsson 2005).

Certaines parties du Sahel reverdissent, d'autres non. Et cela a été trouvée dans des études plus récentes que les déclarations de Leroux.
Parce ce que tout le monde accorde foi à la courbe de température globale publiée tous les ans par l’OMM (Organisation Météorologique Mondiale) et le GIEC (Groupe intergouvernemental sur le changement climatique). Or, cette courbe n’est autre qu’une moyenne des températures mesurées dans 7.000 stations de la planète, traitées à l’Université d’East Anglia, à Londres, sous la direction de Philipp Jones.

C'est plutôt 4300 stations terrestres pour le CRU.

Le nombre de stations au sol a chuté de manière dramatique avec l'avènement des mesures satellites puis l'effondrement de l'URSS et est passé de 6000 à 2000 (réseau GHCN, voir ici). Pour parler d'un historique de plusieurs décennies sur laquelle on a conclu à un réchauffement, le chiffre de Leroux serait plus précis que le tien.
L’augmentation serait de 0,6° de 1860 à nos jours, soit la différence de température qu’on observe à l’échelle moyenne annuelle entre Nice et Marseille.

0,75°C en mis à jour.

Non, la valeur de 0,75°C concerne l'augmentation sur "le siècle" et a "augmenté" tout simplement parce qu'on a décalé le temps t0. On aurait pu croire que par rapport à 2001 où le TAR a avancé 0,6°C, la température a augmenté de 0,15°C (0,75-0,6). Or il n'en est rien puisque la température moyenne a baissé depuis 1998. Tu peux voir le détail de cette supercherie sur climateaudit.org où l'on constate que dernièrement, les bases de données de température sont "corrigées" pour rendre les températures du passé plus froide default_sad.png/emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20">
On a déjà débattu de cela. Les modèles climatiques ont une sensibilité aux conditions initiales, mais elle n'affecte pas leur projection dans les mêmes proportions qu'un modèle météo.

Quelles "proportions" ? Entre les 2, il n'y a pas du tout la même résolution spatiale et temporelle !?!Un modèle météo ne se hasarde pas à faire une "projection" plus loin que 2 semaines, comment peut-on comparer ses résultats avec ceux d'un modèle climatique ?

Ensuite, il y a plusieurs sortes de « climatologues ». Prenons le GIEC, présenté comme l’autorité en la matière. En réalité, il s’agit d’un groupement intergouvernemental, c’est-à-dire que la nomination de ses membres est politique, et ne répond pas à des critères scientifiques. D’ailleurs, la grande majorité de ses membres ne sont pas climatologues, à l’instar de Michel Petit, ingénieur en télécommunications, ou bien Jean Jouzel, qui est un excellent chimiste glaciologue, mais dont les connaissances scientifiques sur le climat sont limitées.

C'est jouer sur les mots et les compétences, le GIEC rassemble bel et bien des scientifiques du climat.

Absolument pas! Je trouve que la remarque de Leroux est centrale. Qu'est ce que Jouzel connaît des mécanismes physiques du climat, de la météo, des cycles océaniques ou de l'hydrologie ? Et pourtant, on le voit sur toutes les antennes parler des projections climatiques puis des impacts du changement climatique ? Nulle part on ne voit ça en science. Est ce qu'un spécialiste lancement de fusée s'aviserait il de prodiguer des conseils en matière de trajectoire météoritique sous prétexte que ça concerne l'espace? Est ce qu'un spécialiste des hormones du criquet donne son avis devant la presse sur la grippe aviaire sous prétexte que ça concerne des animaux ? Certains s'indignent du rôle de chien de garde des sceptiques, fussent-ils amateurs mais ils trouveraient normal que des scientifiques sortent allègrement de leur spécialité pour aller empiéter sur le terrain de la politique pour jusqu'à nous sermoner sur notre manière de consommer et notre niveau énergétique ? Bah !
Mettre l’accent sur les gaz à effet de serre donne une vision très simpliste du climat, alors que d’autres facteurs sont beaucoup plus importants ; en particulier, ceux qui déterminent la dynamique de l’atmosphère, les transferts méridiens d’air et d’énergie, et pour faire simple, les transferts d’air froid et d’air chaud.

En météo. dynamique, peut-être, mais en climato. ce n'est pas vraiment le débat. Si l'on détecte un réchauffement décennale / séculaire et qu'on veut l'attribuer, ce n'est pas le mouvement des masses d'air qui est pertinent.

Ce n'est pas pertinent si on prend l'hypothèse centrale des GES. Mais supposer que le bilan radiatif TOA est indépendant de la convection est un pis-aller conceptuel.
en revanche, sur le long terme, la variation dépend de l’activité solaire (tâche, magnétisme, éruption et vent solaires), des projections volcaniques, de la turbidité de l’air, des paramètres astronomiques, etc... Comment voulez-vous que leur responsabilité dans le climat puisse être mise en évidence dans des modèles qui ne prennent tout simplement pas en compte l’ensemble de ces paramètres ?

Ils les prennent (plus ou moins bien) en compte

Bah non, ça m'étonnerait que les modèles GCM prennent en compte le magnétisme (<=> rayon cosmique) ou les paramètres astronomiques.
En outre, ils pointent du doigt le comportement particulier et l’importance des régions polaires qui, contrairement aux prédictions des modèles, ne se réchauffent pas, mais au contraire se refroidissent. (...)Le refroidissement des pôles a atteint 4 à 5°C pendant la période 1940-90 - c’est-à-dire plus de la moitié, mais en négatif, de la valeur prévue pour 2100 !

Le pôle Nord se réchauffe. Le pôle Sud se refroidit (légèrement).

Leroux parle d'un refroidissement des Pôles entre 1940 et 1990.Pour conclure, on voit les détracteurs de Leroux le traiter de tous les noms (j'ai même vu le terme "d'épave", venant d'un habitué du genre default_sad.png/emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20"> ), mais des critiques argumentées où on peut discuter factuellement des choses, il n'y que CM qui le fait (plus 1 critique par Damien dan son post initial mais qui a été facilement contredite).

A ce jeu là, on peut alors faire pareil avec Jouzel, Le Treut & co mais dans ce cas, il ne faudrait pas venir se plaindre des attaques ad-hominem default_sad.png/emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20">

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Je vais faire une critique de ta critique Charles !

J'y réponds sur quelques points.
Non, la valeur de 0,75°C concerne l'augmentation sur "le siècle" et a "augmenté" tout simplement parce qu'on a décalé le temps t0. On aurait pu croire que par rapport à 2001 où le TAR a avancé 0,6°C, la température a augmenté de 0,15°C (0,75-0,6). Or il n'en est rien puisque la température moyenne a baissé depuis 1998.

Je ne prenais pas là 1901-2000 ou 1906-2005, mais bien 1860-présent, comme Leroux.
Quelles "proportions" ? Entre les 2, il n'y a pas du tout la même résolution spatiale et temporelle !?! Un modèle météo ne se hasarde pas à faire une "projection" plus loin que 2 semaines, comment peut-on comparer ses résultats avec ceux d'un modèle climatique ?

C'est Leroux qui les compare, justement. Un modèle doit calculer des moyennes à long terme sur une résolution spatiale grossière, l'autre établir des prévisions exactes avec une résolution précise et un pas de temps court. Même si la physique de base est la même, l'exercice n'est pas vraiment comparable. Quant à la sensibilité aux conditions initiales ou les trajectoires chaotiques, il me semble qu'elles existent dans les modèles climatiques mais qu'elles sont de toute façon effacées par l'approche probabiliste et ensembliste (ce qui ne fait que repousser le débat d'ailleurs sur la crédibilité des prévisions, présentées par certains comme un produit robuste des premiers principes de la physique alors qu'il s'agit en grande part d'un jeu sur des paramétrisations empiriques).
Absolument pas! Je trouve que la remarque de Leroux est centrale. Qu'est ce que Jouzel connaît des mécanismes physiques du climat, de la météo, des cycles océaniques ou de l'hydrologie ? Et pourtant, on le voit sur toutes les antennes parler des projections climatiques puis des impacts du changement climatique ? Nulle part on ne voit ça en science. Est ce qu'un spécialiste lancement de fusée s'aviserait il de prodiguer des conseils en matière de trajectoire météoritique sous prétexte que ça concerne l'espace? Est ce qu'un spécialiste des hormones du criquet donne son avis devant la presse sur la grippe aviaire sous prétexte que ça concerne des animaux ? (...)

Plusieurs points. D'abord, Leroux développe un propos général sur le GIEC depuis deux exemples particuliers (Petit, Jouzel). Je me contente de dire que les 500 auteurs principaux sont ce que l'on peut appeler des scientifiques du climat (c'est-à-dire des chercheurs ayant publié sur les questions climatiques, tout simplement). Ensuite, Jouzel publie dans le domaine où il est pertinent (l'analyse des glaces et le paléoclimat) et c'est à mon avis une question indépendante de ce qu'il dit aux médias comme porte-parole du GIEC (la langue de bois habituelle consistant à réciter le SPM). Enfin, je cerne mal l'identité de la "climatologie" que Leroux semble opposer au GIEC. L'analyse du climat rassemble nécessairement des disciplines très différentes en physique, chimie, biologie, etc. En poussant à l'absurde, on peut dire qu'un océanographe ne connaît rien d'autre que les océans, un atmosphéricien l'atmopshère, etc. donc que plus personne ne peut s'exprimer sur l'objet "climat".
Bah non, ça m'étonnerait que les modèles GCM prennent en compte le magnétisme (<=> rayon cosmique) ou les paramètres astronomiques.

Il y a plein de choses que les modèles prennent (potentiellement) mal en compte parce qu'elles sont mal connues (cas du soleil ou des aérosols), ou qu'ils ignorent parce que les hypothèses ne sont pas suffisamment étayées pour le moment (cas du RCG). Dans le cas des paramètres astronomiques, c'est en revanche couramment implémenté dans les modèles paléo. Mais c'est différent de dire "les modèles ignorent ces paramètres" et "les modèles maîtrisent mal ces paramètres".
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Et pour ce qui est de la théorie des AMP, je ne savais pas que c'était "rangé à la poubelle" ?!? Je croyais qu'on l'avait introduite en douce dans les cours de l'ENM depuis 2002 avec force schémas à l'appui. default_biggrin.png/emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">

Peut-être que Damien pourrait nous fournir de plus amples informations sur ce qu'il avance ????

J'te propose de nous faire une prévision météo de la situation actuelle avec la théorie des AMP Minitax, on va bien se marrer. Essaye avant avec la théorie Norvégienne, les fronts polaires et les anticyclone-dépression pour te faire les dents, on rigolera aussi un peu (surtout Gombervaux ^^)

Ensuite :

- trouve moi une validation publiée de l'hypothèse avec statistique.

- trouve moi une utilité des concepts explicatifs dans la prévision du temps.

- trouve moi une mise en pratique du concept dans une prévision météorologique

- trouve moi un corrolaire avec les équations fondamentales de la dynamique des fluides que tout le milieux de la météorologie scientifique utilise.

- trouve moi un seul centre météo prévisionnel qui utilise la théorie des AMP ou l'étudie sérieusement en dehors de quelques cas isolés en France - au cas où. (Va pas aux USA parler de ça, ils vont te regarder comme un extraterrestre, je ne suis même pas sûr qu'ils connaissent qui est Leroux.)

Et je commencerais à regarder la théorie des AMP d'un autre oeil.

Quant à l'ENM, oui et j'imagine qu'ils apprennent aussi la théorie Norvégienne, ce qui est normal dans un cours de l'histoire de la météorologie par exemple. J'avais aussi ça dans les cours de climatologie et j'ai même appris également la théorie des AMP à l'Université moi aussi, "force shémas à l'appui". C'était en l'an de grâce 2001. Donc tu vois je suis bien placé pour en parler. Et leroux à pas à rougir, il est passé à la postérité contrairement aux contributeurs de l'école norvégienne dont on oublie les noms comme Bjerknes surtout et quelques autres contributeurs comme Rossby, Bergeron et bien d'autres au noms norvégiens plus compliqués...

Pour le reste je répondrais plus tard...

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Absolument pas! Je trouve que la remarque de Leroux est centrale. Qu'est ce que Jouzel connaît des mécanismes physiques du climat, de la météo, des cycles océaniques ou de l'hydrologie ? Et pourtant, on le voit sur toutes les antennes parler des projections climatiques puis des impacts du changement climatique ? Nulle part on ne voit ça en science. Est ce qu'un spécialiste lancement de fusée s'aviserait il de prodiguer des conseils en matière de trajectoire météoritique sous prétexte que ça concerne l'espace? Est ce qu'un spécialiste des hormones du criquet donne son avis devant la presse sur la grippe aviaire sous prétexte que ça concerne des animaux ? Certains s'indignent du rôle de chien de garde des sceptiques, fussent-ils amateurs mais ils trouveraient normal que des scientifiques sortent allègrement de leur spécialité pour aller empiéter sur le terrain de la politique pour jusqu'à nous sermoner sur notre manière de consommer et notre niveau énergétique ? Bah !

Belle tirade, qui frise la diffamation.

Pour ta gouverne personnelle, je copie ci-dessous un petit extrait (récupéré sur ISI Web of Knowledge) de quelques-unes des publications scientifiques de Jouzel ayant trait aux spécialités dont tu clames son ignorance :

Jouzel J, Masson-Delmotte V, Stievenard M, et al.

Rapid deuterium-excess changes in Greenland ice cores: a link between the ocean and the atmosphere

COMPTES RENDUS GEOSCIENCE 337 (10-11): 957-969 AUG 2005

Masson-Delmotte V, Jouzel J, Landais A, et al.

GRIP deuterium excess reveals rapid and orbital-scale changes in Greenland moisture origin

SCIENCE 309 (5731): 118-121 JUL 1 2005

Jouzel J

Deuterium in the terrestrial water cycle: Present-day distribution and paleoclimatic applications

GEOCHIMICA ET COSMOCHIMICA ACTA 66 (15A): A373-A373 Suppl. 1 AUG 2002

Jouzel J, Hoffmann G, Parrenin F, et al.

Atmospheric oxygen 18 and sea-level changes

QUATERNARY SCIENCE REVIEWS 21 (1-3): 307-314 JAN 2002

Delaygue G, Jouzel J, Masson V, et al.

Validity of the isotopic thermometer in central Antarctica: limited impact of glacial precipitation seasonality and moisture origin.

GEOPHYSICAL RESEARCH LETTERS 27 (17): 2677-2680 SEP 1 2000

Masson V, Braconnot P, Jouzel J, et al.

Simulation of intense monsoons under glacial conditions

GEOPHYSICAL RESEARCH LETTERS 27 (12): 1747-1750 JUN 15 2000

Hoffmann G, Jouzel J, Masson V

Stable water isotopes in atmospheric general circulation models

HYDROLOGICAL PROCESSES 14 (8): 1385-1406 JUN 15 2000

Delaygue G, Masson V, Jouzel J

Climatic stability of the geographic origin of Antarctic precipitation simulated by an atmospheric general circulation model

ANNALS OF GLACIOLOGY 29: 45-48 1999

Delaygue G, Masson V, Jouzel J, et al.

The origin of Antarctic precipitation: a modelling approach

TELLUS SERIES B-CHEMICAL AND PHYSICAL METEOROLOGY 52 (1): 19-36 FEB 2000

Jouzel J, Hoffmann G, Koster RD, et al.

Water isotopes in precipitation: data/model comparison for present-day and past climates

QUATERNARY SCIENCE REVIEWS 19 (1-5): 363-379 JAN 2000

Jouzel J, Froehlich K, Schotterer U

Deuterium and oxygen-18 in present-day precipitation: data and modelling

HYDROLOGICAL SCIENCES JOURNAL-JOURNAL DES SCIENCES HYDROLOGIQUES 42 (5): 747-763 OCT 1997

Jouzel J, Koster RD

A reconsideration of the initial conditions used for stable water isotope models

JOURNAL OF GEOPHYSICAL RESEARCH-ATMOSPHERES 101 (D17): 22933-22938 OCT 20 1996

JOUZEL J, KOSTER RD, SUOZZO RJ, et al.

STABLE WATER ISOTOPE BEHAVIOR DURING THE LAST GLACIAL MAXIMUM - A GENERAL-CIRCULATION MODEL ANALYSIS

JOURNAL OF GEOPHYSICAL RESEARCH-ATMOSPHERES 99 (D12): 25791-25801 DEC 20 1994

CIAIS P, JOUZEL J

DEUTERIUM AND OXYGEN-18 IN PRECIPITATION - ISOTOPIC MODEL, INCLUDING MIXED CLOUD PROCESSES

JOURNAL OF GEOPHYSICAL RESEARCH-ATMOSPHERES 99 (D8): 16793-16803 AUG 20 1994

JOUSSAUME S, JOUZEL J

PALEOCLIMATIC TRACERS - AN INVESTIGATION USING AN ATMOSPHERIC GENERAL-CIRCULATION MODEL UNDER ICE-AGE CONDITIONS .2. WATER ISOTOPES

JOURNAL OF GEOPHYSICAL RESEARCH-ATMOSPHERES 98 (D2): 2807-2830 FEB 20 1993

KOSTER RD, JOUZEL J, SUOZZO RJ, et al.

ORIGIN OF JULY ANTARCTIC PRECIPITATION AND ITS INFLUENCE ON DEUTERIUM CONTENT - A GCM ANALYSIS

CLIMATE DYNAMICS 7 (4): 195-203 JUN 1992

La pertinence de ton commentaire... Se passerait finalement bien de commentaire tellement elle frise le ridicule.

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Pour ceux qui ne connaissent pas Leroux, c'est aussi le directeur du Laboratoire de Climatologie, Risque et Environnement et il a même un thésard qui est passé sur IC.

Oui c'est donc un climatologue géographe, tout comme moi, à la différence qu'il doit avoir une thèse et moi juste une maitrise. L'autre différence étant qu'il a profité de l'âge d'or de la géographie climatologique et qu'il enseigne et surement contribué à cette science d'une manière ou d'une autre, avec ou sans les AMP. Cela serait réducteur de ne voir en lui que cette théorie. Il a aussi fait d'autres choses. Son poste de Directeur en témoigne. Je sais pas s'il enseigne par contre. J'espère en tout cas qu'il n'enseigne pas que les AMP sinon ses éleves sont sans avenir. Déjà que cette voie là est une voie de garage par rapport à la toute puissance de MF.

Je vois que tu à l'air de connaitre le sophisme.

On en a suffisamment discuté sur divers fils et je ne me souviens pas t'avoir vu y participer ni y avancer une quelconque raison sérieuse qui te permettrait de balayer d'un revers de la main la critique de Leroux sur ce sujet default_biggrin.png/emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">

Argumentum ad nauseam.

Aussi dit. : J'étais absent donc j'ai tord ou Je n'ai pas lut les 36000 références, donc j'ai tord.

Dans le même paragraphe tu critiques le sophisme et arrives à en faire 1 en même temps. Chapeau mon gars...

Ce n'est certainement pas plus "bas étage" que le sophisme qui oppose météo à la climatologie pour tenter de démontrer a contrario que la prévision climatologique a une quelconque prédictibilité, ni le sophisme qui consiste à faire croire que la modélisation climatologique dépend des conditions aux limites et non des conditions initiales.

Je suis désolé, mais tu n'arriveras pas à me faire croire que météo et climato sont la même chose et impose le même raisonnement. Ce n'est pas moi qui fait l'amalgamme et qui se sert de la non prédilicté au-delà de 7 jours en météo pour critiquer les modeles climato. Finallement tu es d'accord avec moi, et tu critiques la façon d'argumenter de Leroux si je piges bien.

Pour les conditions initales, je suis d'accord avec toi sur ce coup là. D'ailleurs je n'ai pas critiquer Leroux là-dessus. Mais ca ne prouve rien. Juste qu'il est important de faire attention à ce qu'on rentre comme données. Mais cela ne prouve pas qu'il y a erreur, juste qu'il faut faire attention. Nuance, mais importante.

Je ne vois pas où tu vois un "foutage de g****e". Le GIEC a bien prévu moins d'événements extrêmes avec un RC en 1990 puis s'est ravisé et a insisté longuement sur plus d'événements extrêmes (innondation, sécheresse, tempêtes...), notamment dans le TAR en 2001: il y a qu'à voir ici http://www.grida.no/climate/ipcc%5Ftar/wg1/008.htm et il faut avoir vécu sur une île déserte pendant des années pour ne pas être au courant de cette longue liste de catastrophes hypothétiques qui a fait les choux gras des médias de masse. Désolé mais sur ce coup, tu as totalement tort et le Professeur M. Leroux semble mieux connaître ce qu'a écrit le GIEC que toi.

Ah bon j'ai totalement tord ? Rien que ça. Et le GIEC a tout faux également. Et Leroux lui il a tout raison. C'est ça ?

Ah parce que toi tu crois encore que le GIEC et les médias c'est la même chose. Toi qui connais si bien les rapports du GIEC, j'aimerais que tu me cites exactement cela. Et pas un truc tiré des médias, sauf si tu veux perdre toute crédibilité bien sûr.

Et encore une fois tu fais un sophisme réducteur visant à mélanger les choux et les roses. On parle de baisse du gradient thermique et de ses conséquences (tempêtes baroclines) et toi tu me parles d'innondation, de sécheresse, de cyclone et de je ne sais quoi d'autres dont la seule baroclinité ne suffit pas à expliquer. J'imagine que tu dois avoir ta théorie là-dessus en l'expliquant avec les AMP. Je t'écoutes dans ce cas...

Franchement Minitax, je veux bien croire que tu sois calé au niveau des questions du RC et que tu ai lut de A à Z tout les rapports du GIEC, mais un peu de sérieux et d'esprit objectif te ferais pas de mal. La climato t'intéresse surement plus que moi, mais avant de parler de météo (différent de climato), relis bien tes cours et l'ANASYG-PRESYG par exemple...

Là où je reconnais cependant mon tord, c'est au niveau de mon premier post où je semble en effet faire comme une sorte de lynchage maladroit sur Leroux, croyant qu'il avait récidivé récemment avec cet article alors qu'il date apparemment de plus vieux que cela. Il était donc inutile que je déterre la hache de guerre et m'excuse auprès de monsieur Leroux s'il me lit aujourd'hui. Bien qu'il ait le droit à la parole publique, il s'expose cependant à la critique tout comme moi actuellement.

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Belle tirade, qui frise la diffamation.

...

La pertinence de ton commentaire... Se passerait finalement bien de commentaire tellement elle frise le ridicule.

Euh, j'ai été chercheur, je sais comment on publie un article, alors tes arguments indignés sur Jouzel, désolé mais ils ne valent rien. Mais comme apparemment tu n'es pas chercheur, inutile que je développe.Merci ! default_biggrin.png/emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">
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Je ne vois pas où tu vois un "foutage de g****e". Le GIEC a bien prévu moins d'événements extrêmes avec un RC en 1990 puis s'est ravisé et a insisté longuement sur plus d'événements extrêmes (innondation, sécheresse, tempêtes...), notamment dans le TAR en 2001: il y a qu'à voir ici http://www.grida.no/climate/ipcc%5Ftar/wg1/008.htm et il faut avoir vécu sur une île déserte pendant des années pour ne pas être au courant de cette longue liste de catastrophes hypothétiques qui a fait les choux gras des médias de masse. Désolé mais sur ce coup, tu as totalement tort et le Professeur M. Leroux semble mieux connaître ce qu'a écrit le GIEC que toi.

Ah parce que toi tu crois encore que le GIEC et les médias c'est la même chose. Toi qui connais si bien les rapports du GIEC, j'aimerais que tu me cites exactement cela. Et pas un truc tiré des médias, sauf si tu veux perdre toute crédibilité bien sûr.

Avant de me demander de citer une référence que j'ai pourtant donnée sous tes yeux, il serait bien que tu lises correctement mes posts non ?Au passage, je n'ai jamais réfuté qu'avec un réchauffement climatique, le moteur des tempêtes, à savoir le gradient de T pôles-tropique diminue ce qui réduit la fréquence et l'ampleur des événements météo extrêmes.

Pourtant, ce n'est pas ce qu'on voit dans le Résumé pour Décideurs du GIEC (tu sais dans le lien que j'ai donné plus haut et que tu n'as PAS lu) et encore moins les médias de masse qui ne manquent pas une seule occasion pour attribuer au RC la cause de la moindre tempête un peu violente.

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Oui c'est donc un climatologue géographe, tout comme moi, à la différence qu'il doit avoir une thèse et moi juste une maitrise. L'autre différence étant qu'il a profité de l'âge d'or de la géographie climatologique et qu'il enseigne et surement contribué à cette science d'une manière ou d'une autre, avec ou sans les AMP. Cela serait réducteur de ne voir en lui que cette théorie. Il a aussi fait d'autres choses. Son poste de Directeur en témoigne. Je sais pas s'il enseigne par contre. J'espère en tout cas qu'il n'enseigne pas que les AMP sinon ses éleves sont sans avenir. Déjà que cette voie là est une voie de garage par rapport à la toute puissance de MF.

(...)

Ce que je regrette surtout (on en avait déjà parlé), c'est l'absence d'une discussion scientifique des AMP, et de ce qu'il y a derrière (la critique par Leroux du schéma "cellulaire" tropiques-pôles, de la focalisation sur les hautes couches, etc. mes souvenirs de lecture de son livre sont cependant lointains), histoire que l'on essaie de se faire une idée. Sur le site de son Labo, je lis : "Mais, depuis la première présentation de l'AMP dans les années 1980, 1983 et 1986, pas un seul article documenté, argumenté et signé, n'a mis en cause le concept AMP." Est-ce exact? Et si cela l'est, est-ce normal? La démarche habituelle en science est de critiquer les hypothèses émergentes, les chercheurs de MF ou du CNRM devraient donc avoir livré une critique en règle des papiers de Leroux.
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La démarche habituelle en science est de critiquer les hypothèses émergentes, les chercheurs de MF ou du CNRM devraient donc avoir livré une critique en règle des papiers de Leroux.

D'un autre côté on peut également concevoir que MF ou le CNRM aient autre chose à faire que de critiquer toutes les théories plus ou moins farfelues qui sortent de temps à autre.

Je ne dis pas que c'est le cas pour la théorie des AMP mais je suis loin d'être spécialiste de la chose.

Ce qui n'est pas le cas des gens faisant partie des organismes cités.

De plus, les théories actuelles s'appuient sur des équations et des démonstrations théoriques que seul un physicien peut comprendre et établir.

Ce n'est pas le cas de Leroux je pense.

A moins que quelqu'un ait en sa possession les équations qui sous-tendent la théorie des AMP.

Mais entre nous, celà m'étonnerait fort.

J'avais lancé il y a quelque temps un sujet là-dessus.

A mon souvenir seul Meteofun (quel courage!) avait commencé à analyser ligne par ligne la théorie telle qu'exposée par Leroux.

Le sujet s'était éteint tout seul malgré la présence sur ce forum de théoriciens de la météo chevronnés.

Il est donc difficile de déclamer ici que la théorie des AMP est complètement fausse.

édit: ce n'était pas moi qui avait lancé le sujet mais meteofun lui-même.

Je n'avais fait que lui suggérer ceci:

Meteofun

Je suis quasi-nul en météo fondamentale, mais toi, ainsi que quelques-uns, semblent toucher leur bille, comme on dit.

Cette théorie des AMP est exposée sur ce site.

Au lieu de toujours parler dans le vague sur l'impossibilité des AMP, ce dont je suis absolument persuadé mais sans démonstration, pourrais-tu reprendre les différents paragraphes de l'article cité et les commenter?

C'est du boulot certes, mais ce serait une opération qui permettrait d'évacuer une bonne fois pour toutes ce problème.

Après si d'autres veulent continuer à divaguer c'est de la responsabilité des modérateurs.

voir ce lien :/index.php?showtopic=16520'>dynamisme/AMP

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Ah parce que toi tu crois encore que le GIEC et les médias c'est la même chose. Toi qui connais si bien les rapports du GIEC, j'aimerais que tu me cites exactement cela. Et pas un truc tiré des médias, sauf si tu veux perdre toute crédibilité bien sûr.Avant de me demander de citer une référence que j'ai pourtant donnée sous tes yeux, il serait bien que tu lises correctement mes posts non ?

Au passage, je n'ai jamais réfuté qu'avec un réchauffement climatique, le moteur des tempêtes, à savoir le gradient de T pôles-tropique diminue ce qui réduit la fréquence et l'ampleur des événements météo extrêmes.

Pourtant, ce n'est pas ce qu'on voit dans le Résumé pour Décideurs du GIEC (tu sais dans le lien que j'ai donné plus haut et que tu n'as PAS lu) et encore moins les médias de masse qui ne manquent pas une seule occasion pour attribuer au RC la cause de la moindre tempête un peu violente.

J't'en pris, épargnes moi le "tiens lit tout ça en anglais et derm****s toi". Cites moi la phrase exacte plutôt disant que le GIEC a changé son point de vue concernant l'augmentation des tempêtes puisque c'est de ça que Leroux parle et pas autre chose.

Tiens je te remet la phrase en question pour t'aider à comprendre :

Les modèles annonçaient alors que le réchauffement allait nous apporter une plus grande clémence climatique : « Les tempêtes aux latitudes moyennes (...) résultent de l’écart de température entre le pôle et l’équateur (...). Comme cet écart s’affaiblira avec le réchauffement (...), les tempêtes aux latitudes moyennes seront plus faibles », écrivait le GIEC en 1990. Mais aujourd’hui, puisque le temps n’est pas conforme aux prévisions, le même GIEC oublie ses propres dires et récupère la violence - plus médiatique - du temps, en annonçant qu’il est précisément dû au réchauffement.

____________________

J'avais lancé il y a quelque temps un sujet là-dessus.

A mon souvenir seul Météofun (quel courage!) avait commencé à analyser ligne par ligne la théorie telle qu'exposée par Leroux.

Le sujet s'était éteint tout seul malgré la présence sur ce forum de théoriciens de la météo (ou déclarés comme tels) chevronnés.

Oui quel courage franchement.

EDIT : je tiens quand même à signaler qu'après une intense recherche sur le net pour trouver un rapport critiquant le concept d'AMP, ma pêche n'a pas été bien fructueuse. Je n'ai vu de constructif que ce fameux post sur Infoclimat dont parle météor (avec une brillante analyse de Météofun en effet, aidé un peu de Gombervaux - mais non terminé), une critique assez succinte sur le site de Jancovici et des critiques de Joly et de l'ENM trouvé sur le site de Leroux même. Ce qui à mon sens est un sérieux manque. Je ne m'en explique pas la raison. Internet n'intéresse pas les chercheurs ? Leroux lui s'en donne en tout cas à coeur joie. Moi-même n'y aurait il pas eut les interventions de Gombervaux-Météofun, je commencerais à douter. Tout n'est peut être pas à jeter après tout... ????Je doute et me questionne de ce silence????

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Euh, j'ai été chercheur, je sais comment on publie un article, alors tes arguments indignés sur Jouzel, désolé mais ils ne valent rien. Mais comme apparemment tu n'es pas chercheur, inutile que je développe.

Merci ! default_dry.png

Belle façon de répondre à coté de la plaque. Tu sous-entends que Jouzel ne connait rien au climat, à l'océano ou à l'hydrologie, je te liste un paquet d'articles de rang A de Jouzel qui traitent spécifiquement de climat, d'océano et d'hydrologie, et tu me réponds que tu a été chercheur (sans blague... Spécialisé en recherches bibliographiques ??! default_flowers.gif ) et que mes arguments ne valent rien.

No comment. Heureusement que la mauvaise foi ne tue pas.

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Belle façon de répondre à coté de la plaque. Tu sous-entends que Jouzel ne connait rien au climat, à l'océano ou à l'hydrologie, je te liste un paquet d'articles de rang A de Jouzel

Non, c'est toi qui ne connaît pas le principe des publications default_smile.png/emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">Jouzel est directeur de l'Institut Simon Laplace, c'est d'usage qu'il soit cité en 2e, 3e place dans une publi même si son seul rôle aurait consisté à assister à la thèse ou à signaler les fautes de grammaire du rapport. Là où l'on repère sa spécialité, c'est dans les publis où son nom figure en premier et sa spécialité, c'est sûrement l'instrumentation & mesure, le dosage isotopique ou la chimie de l'atmosphère mais en aucun cas la modélisation atmosphérique ou l'océanographie, sauf s'il a le don d'ubiquité d'un Dieu ce dont je me permets de douter.

Jouzel qui en apparaissant à longueur d'antenne pour parler des catastrophes hypothétiques du RC a franchi la ligne jaune qui sépare la science de l'activisme politique. On peut débattre en longueur du rapport entre politique et science si tu veux, encore faut-il partir sur quelques bases communes minimum.

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Pourtant, ce n'est pas ce qu'on voit dans le Résumé pour Décideurs du GIEC (tu sais dans le lien que j'ai donné plus haut et que tu n'as PAS lu) et encore moins les médias de masse qui ne manquent pas une seule occasion pour attribuer au RC la cause de la moindre tempête un peu violente.

il ne faut pas tout mélanger non plus.

Le GIEC parle de l'augmentation des phénomènes extrèmes suivants:

-cyclones tropicaux

-canicules et sécheresses

-pluies très fortes et inondations

-..

En revanche il ne parle pas d'un renforcement des tempêtes extra-tropicales mais d'une migration de celles-ci vers le nord et d'un changement de leurs caractéristiques.

Extra-tropical storm tracks are projected to move poleward, with consequent changes in wind, precipitation, and temperature patterns, continuing the broad pattern of observed trends over the last half-century. {3.6,

10.3}

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