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Une récurrence des étés caniculaires au 19ème et début 20ème siècle


adri34
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Messages recommandés

Bonsoir à tous,

je lance le sujet pour comprendre pourquoi, dans cette période du 19ème et 20 ème siècles, les vagues de chaleures sont généralisées en France et de manière très fréquente (surtout à montpellier, ville qui score le plus à chaque fois en fin d'épisode, alors qu'aujourd'hui c'est le contraire, Fréjorgues n'est pas en mesure pinch.gif ) ?

Voici un petit extrait de passion météo :

"

1859, — Le mois de juillet 1859 est, dans toutes les régions de la France, le mois qui a eu la plus forte moyenne thermique du 19eme

siècle. Les maxima ont atteint des valeurs voisines de 36° à Paris,- Tours et Lyon, de 37° à Marseille et de 41° à Montpellier;

1870, c'est dans le Centre et le Midi qu'on observe des maxima particulièrement élevés : 37° 8 à Toulouse, 38° 6 à Lyon, 39° 7 à Saint-Martin-de-Hinx (Landes), 41°2 à Poitiers. En 1874, le thermomètre atteint 36° 0 à Vendôme et 37° 6 à Paris; il reste au-dessus de 30° pendant quatorze jours à Paris et dix-neuf jours à Angers. En 1876, on enregistre dix-sept jours à température supérieure à 30° à Paris et vingt-trois jours à Angers.

1881. — Très fortes chaleurs dans toute la France, en particulier dans le Nord, le Centre, l'Est et le Sud : on note en juillet 35° 0 à Lille, 38° 4 à Paris, 38° 7 à Nantes, 40° 5 à Toulouse, 41° 0 à Montpellier. Les maxima dépassent 30° au cours de. vingt-huit journées à Marseille, trente-cinq à Bordeaux et trente-huit à Perpignan.

1892. — Août est remarquablement chaud dans le Centre et le Sud-ouest : dans ces dernières régions, les maxima de ce mois dépassent en général 40°.

1904. — Le maximum absolu de l'année a été noté : a. Le 17 juillet avec 36° 9 à Paris, 39° 0 à Angers, 40° 0 à Arcachon, 41° 0 à Charleville ; b. Le 18 juillet avec 39° 3 à Tours, 40° 6 à Rennes ; c. Le 19 juillet avec 40° 8 à Brive, 42° 9 à Montpellier. A Marseille, on a enregistré quarante-deux journées durant lesquelles la température maxima a dépassé 30°.

1911. — C'est la seule année de toute la série d'observations de Paris dans laquelle le maximum de température a dépassé 35° en chacun des mois de juillet (35° 7), août (36° 5) et septembre (35° 8). Au total, on compte pendant cet été trente-deux journées à Paris et cinquante-trois journées à Marseille où le maximum a dépassé 30°. Le thermomètre a atteint 39° 4 à Châteauroux, 39° 5 à Limoges, 39° 8 à Nîmes et Montpellier, 40° 1 à Aix-en-Provence.

1923. — C'est au mois d'août de cette année que dans le Centre, le Sud et le Sud-ouest de la France ont été notés les maxima de température les plus hauts qui aient été encore observés dans notre pays. Le 8 ou le 9 août, suivant les régions, le thermomètre a atteint 40° 3 à Clermont-Ferrand, 40°,

5 à Cahors, 41°,1 à Bourges, 41°,4 à Angoulême, 41°,6 à Nîmes, 42°,2 à Châteauroux et Carcassonne, 43° à Castres, 44° à Toulouse. La sécheresse de cet été fut fort préjudiciable aux vignobles du Midi.

1933. — Les derniers jours de juillet et la première quinzaine du mois d'août sont particulièrement chauds. Pendant cette période le thermomètre atteint 36°,

2 à Tours et Paris, 36°,3 à Nantes, 36° 8 à Bordeaux, 36°,9 à Bourges, 37° à Montélimar, 37° 2 à Marseille, 38°,7 à Perpignan, 38°,9 à Toulouse, 39°,3 à Nîmes, 40°,1 à Montpellier. Au total, pendant cet été, on a compté vingt-six jours à Bordeaux, vingt-sept à Toulouse, trente-trois à Marseille, quarante-deux à Montélimar et cinquante et un à Nîmes pendant lesquels le maximum a dépassé 30°.

1945 - Dans le Midi, les températures moyennes du mois de juin ont dépassé la normale de 2 à 3° : pendant ce mois, les maxima ont atteint 42° 0 à Montpellier, 37° 8 à Toulouse et 36° 1 à Lyon. En juillet, on a noté 38° 2 à Toulouse, 38° 0 à Lyon, 37° 0 à Tours, 36° 6 à Paris et 35° 0 à Nancy.

1947 - A la sécheresse sont venues s'ajouter des chaleurs anormalement fortes jusqu'au 15 septembre; la température moyenne mensuelle d'avril à septembre a dépassé la normale de 1° à 3° (août et septembre). A la fin de juin et de juillet et au début d'août, le thermomètre s'est élevé à des valeurs absolues constituant un record pour de nombreuses stations : 39° 8 à Paris-Saint-Maur; 40° 4 à Paris-Montsouris, 39° 6 à Paris-Le Bourget, 40° 1 à Chartres, 40° 4 au Mans, 41°4 à Tours, 40° 8 à Poitiers, 40° 2 à Châteauroux, 43° 0 à Mont-de-Marsan, 41° 9 à Toulouse (Observatoire), 41° 0 à Agen, 40° 4 à Bordeaux-Floirac, 39° 9 à Pau, 41° 1 à Clermont-Ferrand (observatoire), 40° 6 à Lyon-Saint-Genis-Laval, 38° 6 à Strasbourg (ville). A Paris-Saint-Maur, d'avril à septembre, la température moyenne a été à peu près équivalente à la normale de Carcassonne.

A Paris-Saint-Maur, le nombre de jours de grande chaleur (T* > 30° 0) est le plus grand de la série : 39 (précédent maximum : 32 en 1911) ; celui de très grande chaleur (Ta; S* 35° 0) : 8, dépasse un peu celui de 1911 (sept jours). A Nantes (observatoire), Besançon, Bordeaux-Floirac, ces nombres de jours sont plus élevés en 1911 qu'en 1947.

merci d'avoir lu laugh.png

Après plus rien ! Jusqu'en 1982 ou 83 je ne sais plus, puis 2003 !

J'ai mis en gras les maximas à chaque fois, et on peut noter une récurrence certaine pour Montpellier, 4 fois cité thumbup.gif !

qu'en pensez vous ? Des vagues de chaleur qui n'arrivent plus aujourd'hui, pourtant les températures moyennes augmentent ? confused1.gif

confused1.gif

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Posté(e)
Nice (06)-Corniche Fleurie / parfois Saint-Félix de Lodez (34)

Sans doute parce que les abris étaient peu fiables et que les surchauffes de plusieurs °C étaient monnaie courante avant les années 50 default_whistling.gif Au delà des abris à voir aussi les emplacements, était-ce aussi rigoureux que ça l'est maintenant ?

Réponse un peu simpliste, mais sans doute réaliste.

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Dans les années 30 les abris type stevenson sont apparus sur le réseau donc a partir de cette date environ les données étaient aussi fiables qu'aujourd'hui avec des emplacements fiables. Les terrains hors de la ville ne manquaient pas et n'étaient pas comme aujourd'hui mangés par l'urbanisation. Avant oui les surchauffes étaient assez grande. Il faudrait faire un test pour les évaluer, je suis curieux de savoir si ça a déjà été fait sur un nombre de posts suffisant et sur une période suffisante, et bien sur de connaitre les résultats.

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Dans les années 30 les abris type stevenson sont apparus sur le réseau donc a partir de cette date environ les données étaient aussi fiables qu'aujourd'hui avec des emplacements fiables. Les terrains hors de la ville ne manquaient pas et n'étaient pas comme aujourd'hui mangés par l'urbanisation. Avant oui les surchauffes étaient assez grande. Il faudrait faire un test pour les évaluer, je suis curieux de savoir si ça a déjà été fait sur un nombre de posts suffisant et sur une période suffisante, et bien sur de connaitre les résultats.

Ceci est faux. La généralisation des abris Stevenson est apparue après la IIe GM, vers 1947. Il est généralement admis que les données antérieures sont surestimées, que ce soit dans un sens (chaleur) ou dans l'autre (froid). Même si je suis toulousain - et un peu chauvin -, les 44 °C relevés à Francazal étaient très probablement surestimés, comme tant d'autres valeurs. Renseigne-toi un peu mieux avant de tirer des conclusions. default_wink.png/emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">
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Ceci est faux. La généralisation des abris Stevenson est apparue après la IIe GM, vers 1947. Il est généralement admis que les données antérieures sont surestimées, que ce soit dans un sens (chaleur) ou dans l'autre (froid). Même si je suis toulousain - et un peu chauvin -, les 44 °C relevés à Francazal étaient très probablement surestimés, comme tant d'autres valeurs. Renseigne-toi un peu mieux avant de tirer des conclusions. wink.png

Je ne tirais pas de conclusions, mais en 1945 à montpellier ct un Stevenson ! Donc relevé fiable. Mais bon toute observation a ses limites. Il n'y avais pas 3° de trop quand même (1 à 1.5 je pense) ?? Tu dis aussi que ça sur estimait les tn, pourquoi, à l'air libre c'est le mieux non ? pour les maxis c'était bon pour l'aération et les thermo verre mercure ça chauffe pas des masses avec le rayonnement. Même au soleil ça monte pas ! J'avais été très surpris. Qu'en dis tu ?

y a-t-il eu des tests, notamment en terre méditerranéenne ?

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Je ne tirais pas de conclusions, mais en 1945 à montpellier ct un Stevenson ! Donc relevé fiable. Mais bon toute observation a ses limites. Il n'y avais pas 3° de trop quand même (1 à 1.5 je pense) ?? Tu dis aussi que ça sur estimait les tn, pourquoi, à l'air libre c'est le mieux non ? pour les maxis c'était bon pour l'aération et les thermo verre mercure ça chauffe pas des masses avec le rayonnement. Même au soleil ça monte pas ! J'avais été très surpris. Qu'en dis tu ?

Les relevés ont débuté en 1946 à Fréjorgues, et voici les records absolus : http://www.lameteo.org/index.php/climatologie/1411-records-meteo-montpellier

Avant les Stevenson, c'étaient des abris ouverts, qui surchauffaient largement en cas de grosse chaleur, et tiraient les Tn vers le bas par grand froid (les -23,9 °C de Montsouris en sont un bon exemple...). Par grand froid, une sonde non protégée (par un abri aux normes) va trop rayonner et trop se refroidir.

post-1797-0-37075700-1409523263_thumb.jpg

Quelques infos à ce sujet : /applications/core/interface/file/attachment.php?id=15736'>Mesure T et précipitations.pdf

Mesure T et précipitations.pdf

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Oui je connais ce genre d'abri, mais il est dommage que des relevés n'aient pas été faits côte à côte pour une comparaison directe, ou peut être n'est elle pas disponible ? Les abris faisait 1m de large et 2m50 de haut, la sonde était à 2m. mais un thermo verre je ne savais pas que ça tirait les valeurs vers le bas si ce n'était pas dans un abris ? Il y avait toujours le toit.Ce n'est pas une sonde quand même ? Je ne suis pas spécialiste j'essaie d'apprendre et de comprendre.

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Au fait il y a une station fixe depuis 1865 à montpellier qui a arrêté (au malheur) de fonctionner après la création de Mauguio ! Et ca se dit montpellier, pas fichu de relever 40 c'est pas misérable ! biggrin.png enfin ! et tu ne saurais pas où on pourrait trouver ce genre de données quotidiennes anciennes ? J'en cherche.

Pour en revenir au sujet, j'ai trouvé un 41.5 en 1705 à montpellier, exposé façade nord, sans réverbération par des murs ! donc c'est même un peu sous estimé, mais d'après les récits il est douteux. Un 40.3 je crois sûr, un autre jour à un autre endroit dans les mêmes conditions. Les étés quoi qu'on en dise étaient plus chaud en extrême !

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Mais moins durables, moins régulier, et à Paris Montsouris on a atteint 35°C au moins une fois la 6e année consécutive cette année, même si à part les 38,4°C du 18/8/12 et 38,1°C du lendemain puis 36,8°C le 27/6/11, globalement c'est du 35,X°C. Ca n'est jamais arrivé de l'histoire de Montsouris voire avant et les données citées tant qu'on n'a pas les relevés quotidiens, c'est pas crédible. Genre, ils parlent de certaines valeurs à Paris atteintes un tel jour, j'ai été voir dans des archives lien de PSNCF, bah en fait ça a atteint moins que ce qui était dit.

Les abris surchauffaient un peu mais si on compare au comparable, utilisons ACH pour comparer avec le Montpellier d'avant aux 42,9°C, bah on verrait que là ça reste crédible facile. 35,4°C un 8 Avril, surchauffe ok mais avant on ne cherchait pas la surchauffe.

Et si je disais qu'en Août 2009, à Conqueyrac il y a eu plus de 35°C de Txm et 3 Tx entre 40°C et 41°C et qu'en 2012 plus de 42°C dans l'Indre.

Juste que les années 50/60/70/80 ont globalement manqué d'étés hormis des exceptions (1950, 1952, 1957, 1959 record à Berlin avec 39°C vers le 10 Juillet, 1975, 1976, 1982, 1983 notamment) peut être aussi à cause des tests nucléaires répétitifs et aux cycles.

Je vous file les relevés de Louis Morin et vous verrez le nombre d'années sans forte chaleur à Paris (30°C), vous verrez.

A noter qu'à Montsouris si on bat peu de Txx c'est comme pour la Death Valley, l'arrosage qui limite les Tx, on peut rajouter les chemtrails aussi qui limitent les écarts.

En 1874, déjà il a fait 38,4°C à Montsouris mais les fortes chaleurs n'étaient pas consécutives contrairement à ce qu'ils disent, j'ai les relevés.

Dans la passé, on citait surtout les valeurs les plus élevées relevées et non les stations, c'est comme si je disais qu'il avait fait 38°C à Nantes fin Juillet car j'avais relevé 38°C à l'ombre aux Moutiers localement et un Td de 26°C à Nantes.

En 2003, toutes les valeurs extrêmes du passé ont été battues quasiment (A part à Montpellier) comme près de 43°C à Saint Maur, et des valeurs supérieures à 43°C à la pelle qui sont comparables aux relevés de l'époque et ce sur plusieurs jours.

Autre chose, à la fin du 19e début 20e il y a eu des pics d'activité solaire où l'on sortait d'un minimum (Dalton), ça a pu jouer.

Tes valeurs ne sont en rien supérieures globalement à celles: d'Août 2012 voire dans le sud en 2011, bien sûr de 2003 ou des coups de chaud de 1982 et 1983. Et d'autres années se glissent.

Pour la Bretagne, en Juin 1976 ça a été historique par exemple.

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Si les moyennes augmentent, c'est aussi qu'on oublie les étés pourris de cette époque comme 1879, 1912 par exemple, qui pouvaient avoir des moyennes mensuelles très basses et les Tn+les Tx. Et en dehors des vagues de chaleur, on pouvait avoir de la grosse fraîcheur facilement. Même en Juillet 1947, il y a eu une Tx de 16°C à Paris un jour par exemple et en Août 1923 à Toulouse, après les 44°C du 8 Août, les 39,9°C du 21, et plus que 15,4°C de Tx le 31.

Et aussi les Tn ont augmenté avec l'urbanisation (Mais qui joue moins sur les Tx et a plutôt tendance à limiter les Tx extrêmes parfois mais surtout les Tn extrêmes froides).

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Saint Leu La Foret (95), altitude 70 mètre.

Effectivement les abris Stevenson ont remplacés les anciens abris ouvert après la guerre, il avait la réputation de surchauffer..

Pourtant en regardant au plus près les relevés effectués a Paris a la fin du 19ème siècle, il est très difficile de trouver une

surchauffe des txx estivales, la barre des 36°c est rarement atteinte et le maximum n'a été que de 38,4°c en 1881 et 38,6°c en 1900.

Entre 1951 et 1985 les txx estivales sont similaires voir un peu plus hautes.

La série de l'observatoire de Paris dont on connais précisément la nature de l'abri en 1815, "les anciens thermomètres maxi-mini sont placés dans une cage dans la masse d'ombre projeté par le bâtiment a 8 mètres du sol, ils montent moins vite moins haut le jour que le thermomètre de Montsouris, ils descendent par contre moins bas pendant la nuit" on estime l'écart entre les deux stations a environ 1°.

les conditions de mesure des températures a l'observatoire de Paris sous estimait les températures maximales en été et surestimait les températures minimales par nuit claire et sans vent.

On ne trouve pas dans la série de Paris Montsouris "1869-2014" des relevés extravagants comme les 44°c relevé a Toulouse en 1923.

Le nombre moyen des journées ou la température dépasse le seuil des 25°c et 30°c est similaire a la période 1951-80 qui est l'une des plus fraîche du 20ème siècles..et le maximum absolu dans les diverses localités du réseau MF en IDF en 2003 dépasse de 2° tous les records de chaleur antérieurs a 1947 mesurés dans les abris ouvert.

Phil

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Mais ces postes qui relèvent 43 sont uniquement du réseau secondaire, le maximum en juillet est 42.7 au luc et en août 42.6 à orange, le reste sont assez souvent mal placés avec des abris parfois très douteux comme les cimel, et du coup la température s'envole !

Merci psncf de ton explication fort instructive. Que peut-on en déduire ? Est-ce que le sol de paris était moins sec que toulouse à ce moment là et renvoyait moins la lumière ? Les abris étaient standardisés en France, c'étaient tous les même non ? Peut être que les 44 ont été réalisés sans vent, et que ça a un peu surchauffé, même aujourd'hui les abris surchauffent quand il n'y a pas de vent.

Pour montpellier, la station Fréjorgues a remplacé l'ancienne et s'est rapproché de 8/10 km de la mer, au milieu des étangs, donc totalement incomparable !

Au début les deux étaient en marche et elles avaient parfois en TX 5/6 degrés de différence, puisque l'un avait vent de terre faible et l'autre brise marine modérée. On comprend dans ce contexte comme on a pu avoir de telles valeurs. mais le 42.0 de 45 a surement été réalisé par retour de vent de terre et les 40 à Fréjorgues ont du être dépassé ! pour un an ! En 2003 la T aurait été de 39 ou 40 guère plus je pense. Prades le lez, plus au nord enregistrait 42.0

Merci fantomon d'avoir répondu, l'ACH explose complètement en Tx par brise marine, parfois 2 à 4° d'écart avec les stations environnantes et 3/5 avec moi. Celle de l'EDF a quelques centaines de mètres a 2/3° de moins. La station qui représente bien, mais qui est je trouve trop proche de parcs et d'endroits vert, pour représenter la ville même, mais bien l'endroit sans ville, est celle du CEFE.

http://www.cefe.cnrs.fr/d_meteo/

Mais c'est une erreur d'avoir enlevé un poste ancien, c'est comme nimes courbessac et garon, aéroport et station plus ancienne de référence.

Petit récap de ce mois d'août :

ACH : 30.7° (tx 36.0)

Prades le lez : 29.8° (tx 34.7)

CEFE : 28.7 (tx 33.0)

Moi, plus au sud de la ville : 28.5 (32.3)

Donc ACH -> 0, l'avant fréjorgue était placé dans un champs, à l'école d'agriculture au NO de la ville de l'époque, aujourd'hui dans les murs.

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Posté(e)
Saint Leu La Foret (95), altitude 70 mètre.

Mais ces postes qui relèvent 43 sont uniquement du réseau secondaire, le maximum en juillet est 42.7 au luc et en août 42.6 à orange, le reste sont assez souvent mal placés avec des abris parfois très douteux comme les cimel, et du coup la température s'envole !

Merci psncf de ton explication fort instructive. Que peut-on en déduire ? Est-ce que le sol de paris était moins sec que toulouse à ce moment là et renvoyait moins la lumière ? Les abris étaient standardisés en France, c'étaient tous les même non ? Peut être que les 44 ont été réalisés sans vent, et que ça a un peu surchauffé, même aujourd'hui les abris surchauffent quand il n'y a pas de vent.

Pour montpellier, la station Fréjorgues a remplacé l'ancienne et s'est rapproché de 8/10 km de la mer, au milieu des étangs, donc totalement incomparable !

Au début les deux étaient en marche et elles avaient parfois en TX 5/6 degrés de différence, puisque l'un avait vent de terre faible et l'autre brise marine modérée. On comprend dans ce contexte comme on a pu avoir de telles valeurs. mais le 42.0 de 45 a surement été réalisé par retour de vent de terre et les 40 à Fréjorgues ont du être dépassé ! pour un an ! En 2003 la T aurait été de 39 ou 40 guère plus je pense. Prades le lez, plus au nord enregistrait 42.0

Merci fantomon d'avoir répondu, l'ACH explose complètement en Tx par brise marine, parfois 2 à 4° d'écart avec les stations environnantes et 3/5 avec moi. Celle de l'EDF a quelques centaines de mètres a 2/3° de moins. La station qui représente bien, mais qui est je trouve trop proche de parcs et d'endroits vert, pour représenter la ville même, mais bien l'endroit sans ville, est celle du CEFE.

http://www.cefe.cnrs.fr/d_meteo/

Mais c'est une erreur d'avoir enlevé un poste ancien, c'est comme nimes courbessac et garon, aéroport et station plus ancienne de référence.

Petit récap de ce mois d'août :

ACH : 30.7° (tx 36.0)

Prades le lez : 29.8° (tx 34.7)

CEFE : 28.7 (tx 33.0)

Moi, plus au sud de la ville : 28.5 (32.3)

Donc ACH -> 0, l'avant fréjorgue était placé dans un champs, à l'école d'agriculture au NO de la ville de l'époque, aujourd'hui dans les murs.

A la fin du 19ème siècles, la station de Paris Montsouris présentait deja les conditions idéales pour relever la température.

La station était dans un parc gazonné et respectait les normes en vigueur que l'OMM imposera dans le futur, a l'exception de l'abri qui devait surchauffer quelques peux dans une fourchette de quelques dixièmes, l'ICU était déjà présent et augmentait artificiellement la température minimale mais pas dans les proportions que l'on observes de nos jours.

Dans quelle conditions les relevés de Toulouse était fait au début du 20ème siècles ? comment était placé l'abri ouvert quel était l'environnent etc...? y compris les stations douteuses.

Phil

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Oui, mais en tout cas la réalité est qu'il y a toujours eu des canicules même au PAG (Septembre 1680 record de Tmm à Paris Tn allant jusqu'à 21,9°C, Juillet 1757 Tn de 25°C une fois mieux qu'en 1976 le 4, et plein d'autres), j'avais retapé des relevés du milieu du 19e et il y avait quelques belles valeurs mais pas plus monstrueuses, les habituels cycles de chaleur, les habituelles remontées Sahariennes, du classique, avec simplement des valeurs plus basses en cas de froid et plus fréquentes néanmoins, d'où une moyenne plus basse. Disons qu'il ne faut pas exagérer le changement climatique, on reste quand même dans des moyennes relativement proches, le PAG c'est pas une glaciation lol. 2°C de différence en moyenne n'empêchent pas de faire mal, 38,4°C=40,4°C-2°C d'ailleurs pour anecdote. On a bien eu aussi le 1er Mars 2005 avant qu'on parle de refroidissement des valeurs abusives (Dans des villes, seul en 1845 ou en 1785 on a pu faire mieux parfois) ou même en Février 1999 en dessous de -20°C à Bâle Mulhouse en plein hiver doux, au coeur de la période des hivers très doux.

Une moyenne n'est pas une extrême, il a déjà fait 30°C au Groenland localement, près de 40°C au delà du cercle polaire arctique en Sibérie et en Alaska, il a déjà fait 47°C à Melbourne (Pour une Txm de 26°C et quelques) et inversement, on a déjà eu -16,8°C le 29 Novembre 1890 à Saint Brieuc pourtant doux en Novembre et Madrid y avait connu son record absolu de froid à -11,3°C il me semble. Il a fait 30°C en Mars 2012 en Nouvelle Ecosse aussi.

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Ca on ne le saura pas, à moins de dépenser une fortune dans les archives de météo France ^^ je pense que c'était un champs bien placé, l'abri était ce qu'il était mais normalement tous étaient identiques. Le sol sec peut je pense influencer la mesure en réfléchissant les rayons solaires. ^mais ça améliore l'aération

On va demander à christian de nous faire cette étude pour l'été prochain ^^ même cet automne ^^

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C'est aussi que Fréjorgues est mal placée, les stations sont placées un peu comme ils veulent et ne sont PAS représentatives souvent. A Clermont Aulnat il y a déjà eu -29°C (14/2/1929) et -21,3°C encore un 11 Mars (1931 avec 36,6°C 3 mois après jour pour jour record de deuxième décade) par exemple alors que Clermont n'est pas si froid. Grenoble est située dans les terres froides de l'Isère, au temps de MétéoIsère (Hommage), les valeurs étaient totalement différentes aux relevés du site par exemple. Brest est située déjà presque dans le massif Armoricain pour sa réputation pluvieuse mais la rade est bien plus sèche et l'observatoire était plus chaud l'été. Les stations sont situées stratégiquement et donc on critique le réseau secondaire censé être indisponible.

Autres exemples: Millau située sur les hauteurs et Mende aussi baissant donc les Tx pour donner une plus grande impression de froid, on cherche à donner une idée plus froide du Massif Central (Il y a aussi le Puy, Clermont et Vichy) voire des Alpes, une idée plus humide de la Bretagne et fraîche l'été, une idée plus parfaite de la Méditerranée, une idée plus continentale du NE etc...

Mais beaucoup de stations ne sont pas représentatives, et encore moins des conditions qui règnent en ville. Un aéroport et même un Parc (Même si c'est mieux) bien arrosé, ça ne représente pas les rues. Et moi quand je dis mes T°C à Paris, ce sont en plein Paris et les pharmacies sont dans les rues, ce que les gens ont comme température. Et en 2003, en plein Paris, les Tn ont du frôler les 30°C dans les rues et les Tx atteindre peut être les 42°C.

Je me souviens d'une journée d'Août 2008 où il faisait 25/26°C à Nantes où j'étais à l'ombre parfaite (Balade à Nantes) et Tx bien plus basse à la station à peine plus de 20°C-21°C.

Saviez-vous par anecdote que la Tm annuelle est la même à Clermont qu'à Orly en 71/00 et 81/10 et aucun écart de plus de 0,5°C pour un mois?

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Oui le réseau secondaire est là pour représenter le climat d'une région, petite généralement, d'une particularité que lissent les aéroports qui pour moi ne représentent pas le climat. On est sur un espace artificiel et non naturel, ça n'a donc plus rien à voir avec ce qu'il y avait il y a 100 ans ! Certaines stations secondaire, bien que pas toutes bien placées, et avec des abris de plus ou moins bonne qualité, représente le climat et on est parfois surpris de valeurs extrêmes, mais réelles, donc si les stations étaient bien placées, je pense que c'est le cas, les températures à 1 maxi 2 dans les pires conditions, sont justes, et comparables ! Ces relevés anciens ont été bannis et beaucoup sont introuvables, pourquoi ? Les donnés contestent-elles ce que nous pensons aujourd'hui ? Car beaucoup de mensonges, dans le monde scientifiques sont faits, par certains pseudo scientifique, pour aller dans le sens commun, sorte de propagande on va dire.

Pour te répondre fantomon, en ville d'une rue à l'autre il peut y avoir 3/4 degrés d'écart, suivant l'exposition au soleil. Par exemple, les ruelles de montpellier sont fraîches, et les places et grands boulevards brûlants ! Surtout par jour de brise la différence est énorme, le démontre la station de l'ACH bien que mal placée, représente une rue ensoleillée et cloisonnée de montpellier, je ne sais pas si l'abri surchauffe, je ne connais pas le modèle. Demandons aux spécialistes. 30 de Tn ne poussons pas le bouchon trop loin ! 2

/28 je veux bien 30 non. C'est impossible en France. La ville renvoie le rayonnement pendant la nuit et se refroidit à son rythme mais longtemps.

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La station était dans un parc gazonné et respectait les normes en vigueur que l'OMM imposera dans le futur, a l'exception de l'abri qui devait surchauffer quelques peux dans une fourchette de quelques dixièmes, l'ICU était déjà présent et augmentait artificiellement la température minimale mais pas dans les proportions que l'on observes de nos jours.

Phil

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Paris vers 1900

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C'est aussi que Fréjorgues est mal placée, les stations sont placées un peu comme ils veulent et ne sont PAS représentatives souvent. A Clermont Aulnat il y a déjà eu -29°C (14/2/1929) et -21,3°C encore un 11 Mars (1931 avec 36,6°C 3 mois après jour pour jour record de deuxième décade) par exemple alors que Clermont n'est pas si froid. Grenoble est située dans les terres froides de l'Isère, au temps de MétéoIsère (Hommage), les valeurs étaient totalement différentes aux relevés du site par exemple. Brest est située déjà presque dans le massif Armoricain pour sa réputation pluvieuse mais la rade est bien plus sèche et l'observatoire était plus chaud l'été. Les stations sont situées stratégiquement et donc on critique le réseau secondaire censé être indisponible.

Autres exemples: Millau située sur les hauteurs et Mende aussi baissant donc les Tx pour donner une plus grande impression de froid, on cherche à donner une idée plus froide du Massif Central (Il y a aussi le Puy, Clermont et Vichy) voire des Alpes, une idée plus humide de la Bretagne et fraîche l'été, une idée plus parfaite de la Méditerranée, une idée plus continentale du NE etc...

Mais beaucoup de stations ne sont pas représentatives, et encore moins des conditions qui règnent en ville. Un aéroport et même un Parc (Même si c'est mieux) bien arrosé, ça ne représente pas les rues. Et moi quand je dis mes T°C à Paris, ce sont en plein Paris et les pharmacies sont dans les rues, ce que les gens ont comme température. Et en 2003, en plein Paris, les Tn ont du frôler les 30°C dans les rues et les Tx atteindre peut être les 42°C.

Je me souviens d'une journée d'Août 2008 où il faisait 25/26°C à Nantes où j'étais à l'ombre parfaite (Balade à Nantes) et Tx bien plus basse à la station à peine plus de 20°C-21°C.

Saviez-vous par anecdote que la Tm annuelle est la même à Clermont qu'à Orly en 71/00 et 81/10 et aucun écart de plus de 0,5°C pour un mois?

Belle prose, Fantomon, j'approuve wink.png

C'est pourquoi, des voisins originaires de Belfort ont cru, en arrivant à Clermont Ferrand, trouver un climat tout à fait comparable à celui de leur ville d'origine.

Quelle ne fut pas leur surprise devant les Tn bien plus élevées, la neige rare (sauf en nb de jour "avec chute de neige"), les Tx au dessus de 20°C possibles toute l'année et j'en passe... C'est ainsi que nous vendons très mal notre climat à l’extérieur.

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Je ne tirais pas de conclusions, mais en 1945 à montpellier ct un Stevenson ! Donc relevé fiable. Mais bon toute observation a ses limites. Il n'y avais pas 3° de trop quand même (1 à 1.5 je pense) ?? Tu dis aussi que ça sur estimait les tn, pourquoi, à l'air libre c'est le mieux non ? pour les maxis c'était bon pour l'aération et les thermo verre mercure ça chauffe pas des masses avec le rayonnement. Même au soleil ça monte pas ! J'avais été très surpris. Qu'en dis tu ?

y a-t-il eu des tests, notamment en terre méditerranéenne ?

Pour Montpellier, l'explication est simple : comme le signale Canada Goose, la station de Montpellier-Fréjorgues n'a été ouverte qu'en 1946; or cette station est située très près de la mer sur la commune de Mauguio, et elle bénéficie de l'effet modérateur de la brise de mer. Avant cela, la seule station montpelliéraine pour laquelle existent des relevés relativement fiables est celle de l'Ecole d'Agronomie (ENSAM), implantée en centre ville, et donc beaucoup plus éloignée du littoral. Par ailleurs, on ne sait rien de la qualité de la mesure sur ce site dans les années 1920-1940. Les relevés indiquent en tout cas des températures maximales moyennes supérieures de 2°C à 3°C en été à celles de Fréjorgues. Et le maximum absolu annuel a dépassé 8 fois les 36°C à Montpellier - ENSAM entre 1933 et 1942 (année d'arrêt des mesures) contre seulement 1 fois à Fréjorgues entre 1946 et 1955.

Tout ceci pourrait expliquer la disparition de Montpellier dans les chroniques de canicule.cool.png

Désolé je n'avais pas lu toutes les réponses....tout avait déjà été dit!!

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Forcément, la récurrence des étés chauds augmente avec la température générale, et inversement pour les hivers.

L'hiver du siècle, 62/63, plus de 4°C inférieurs aux normes pour les 3 mois, ne s'inscrit pas par hasard dans le rafraichissement des années 50/80. Pour le retrouver aujourd'hui, il faudrait du 5.5°C en dessous des normes sur trois mois. La chance est proche de zéro.

Pour les étés, 2003 qui propose un écart similaire ne pouvait arriver dans les années 60 : il aurait fallu là aussi un écart dépassant les 5°C pour la saison entière.

Je tiens pourtant à situer le caractère exceptionnel de l'été 47, et dont se rappellent d'ailleurs tous ceux qui ont connu cette période.

La surchauffe des appareils à cette époque est bien possible, mais dans la plupart des stations, les Tn ont été en 47, durant la canicule qui a duré du 22 juillet au 4 août, aussi exceptionnelles que les Tx....et il n'y a pas de surchauffe la nuit...

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Je tiens pourtant à situer le caractère exceptionnel de l'été 47, et dont se rappellent d'ailleurs tous ceux qui ont connu cette période.

C'est-à-dire pas grand monde, aujourd'hui... default_tongue.png/emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20">

La surchauffe des appareils à cette époque est bien possible, mais dans la plupart des stations, les Tn ont été en 47, durant la canicule qui a duré du 22 juillet au 4 août, aussi exceptionnelles que les Tx....et il n'y a pas de surchauffe la nuit...

Il n'y a pas de surchauffe si la station est bien implantée. Si elle est entourée de béton - comme celle de Saint-Maur (94) -, tu oublies...
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Pour Montpellier, l'explication est simple : comme le signale Canada Goose, la station de Montpellier-Fréjorgues n'a été ouverte qu'en 1946; or cette station est située très près de la mer sur la commune de Mauguio, et elle bénéficie de l'effet modérateur de la brise de mer. Avant cela, la seule station montpelliéraine pour laquelle existent des relevés relativement fiables est celle de l'Ecole d'Agronomie (ENSAM), implantée en centre ville, et donc beaucoup plus éloignée du littoral. Par ailleurs, on ne sait rien de la qualité de la mesure sur ce site dans les années 1920-1940. Les relevés indiquent en tout cas des températures maximales moyennes supérieures de 2°C à 3°C en été à celles de Fréjorgues. Et le maximum absolu annuel a dépassé 8 fois les 36°C à Montpellier - ENSAM entre 1933 et 1942 (année d'arrêt des mesures) contre seulement 1 fois à Fréjorgues entre 1946 et 1955.

Tout ceci pourrait expliquer la disparition de Montpellier dans les chroniques de canicule.cool.png

Ou as-tu eu ces données ? Ca m'intéresse énormément ! les années 30/40 étaient quand même nettement plus chaudes que les années 50, les étés caniculaire y étaient très rapprochés, 33, 39 ou 41, 45,47 !! Et après plus rien. Ce sont deux périodes peu comparables mais il est certain que Fréjorgues aurait été entre 3 et 4 txx>36°, l'écart est non négligeable !

Il y a une dizaine de km d'écart entre les 2 donc par brise marine l'écart est non négligeable et peut atteindre 2 à 4/5 degrés exceptionnellement en cas de vent de mer ne rentrant pas jusqu'à montpellier ! Par vent de terre c'est la même température, et il fait plus froid l'hiver.

Mais je connais, certains aussi, il était sur le forum, qui a connu cette station et ma certifié y avoir toujours vu un abri Stevenson, en 45 il y était et bien placé, avant on ne sais pas, surement placé à l'identique avec une cabane ^^

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Il y a aussi le 12 Juillet 1949, 40,3°C à Nantes vers 35°C à Groix et Brest je crois, 40,6°C à Agen et d'autres valeurs comme ça sur le centre ouest.

Et le 30 Juin 1952, 36,8°C à Nantes (1 dixième de plus que le 26/6/1976) et le lendemain 38°C à Paris.

Et en Août 1955, une moyenne des Tx bien elevée à Nantes.

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Je repose ma question a meteoc, où a tu trouvé ces données ? Je recherche depuis déjà quelques années ces données, que je ne trouve malheureusement nulle part, et si tu as de telles moyennes tu as peut être la série, ou une partie complète je me disrolleyes.gif . Si quelqu'un d'autre les a (pas Fréjorgues, avant) je suis un heureux preneurwink.png

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