anecdote Posté(e) 25 janvier 2005 Partager Posté(e) 25 janvier 2005 http://www.revuefusion.com/spip/fusion_art...3?id_article=72 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Torrent Posté(e) 26 janvier 2005 34230 Paulhan - Centre Hérault Partager Posté(e) 26 janvier 2005 Vu l'oscillation actuelle du Soleil trés prés du barycentre du système solaire, je prévois une phase de trés faible activité jusqu'en 2017, je pèse bien mes mots et donne rendez vous pour les dates, cette baisse entrainera un refroidissement trés notable des temperatures sur tout le globe. Non seulement 2006 mais aussi 2007 et sans doute au delà verront des hivers rigoureux, je ne pense pas qu'il y ait de remontée globale de la temperature du globe avant 2040. Tout ceci parce que nous entrons dans une configuration des cycles du soleil quasi identique à celle des minima de Maunder et de Wolf, l'occurrence de ce cycle qui depend de la position sur leur orbite des planètes géantes par rapport au soleil est de 179 ans. Le minimum de Maunder 1640-1710 a ete une des plus longues periodes de mini glaciation recentes avec une baisse de 3 à 4 degrés des temperatures Europeennes, s'y est ajouté un quasi arrêt de la derive Nord Atlantique du Gulf Stream, cause de lien à effet? sans doute mais on n'en sait pas encore assez là dessus. Une autre donnée est celle de l'evolution de la constante solaire elle explique une variation sur cette période de 0,8° environ au plus, elle est donc insuffisante à elle seule pour expliquer le phenomène. Sans doute l'action des UV qui varient beaucoup plus en periode d'activité solaire forte est sous estimée et a surement des effets thermiques plus importants que l'on ne pense sur la stratosphère avec evidemment des repercussions dans la troposphère. Enfin il convient aussi de citer l'action des rayons cosmiques qui penetrant plus le système solaire en periode d'activité basse du Soleil favoriseraient la nebulosité. Il ne s'agit pas ici de previsions saisonnières detaillées, mais d'une tendance climatique globale, de plus l'action du soleil etant necessairement plus perceptible dans les regions tropicales j'en ai tiré l'hypothèse de consequences directes sur la hauteur des geopotentiels sur ces zones là, mon hypothèse est que cela conduirait à un ralentissement du système convectif et donc à un affaiblissement de la cellule de Hadley. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
adrenaliner Posté(e) 26 janvier 2005 Partager Posté(e) 26 janvier 2005 Vraiment tres interessant comme hypothese. Pourrais tu nous indiquer de quelle manière tu faias ce type de prevision?Sommes nous certain qu'il s'agisse d'un cycle? J'entends plusieurs personne dire que l'Hiver 2005/2006 sera rigoureux, justement du a cette baisse d'intensité solaire. Quelles sont les raisons d'un telle baisse? Peux tu nous detailler l'impact de cause a effet sur notre climat européen? (je sais j'en demande beaucoup mais je suis curieux ) Merci d'avance /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
williams Posté(e) 26 janvier 2005 Partager Posté(e) 26 janvier 2005 Ca peus aussi bien etre l'hiver 2005/2006 que l'hiver 2006/2007 qui risque d'etre froid a cause la variation du cycle solaire. Car le minimum de l'activite risque d'etre vers la fin de l'annee 2006. Quelles sont les raisons d'un telle baisse? Le soleil a plusieur cycle : 11 ans, 80 ans, 200 ans et 2300 ans. Ces variations de l'activité du Soleil sont liée aux cycles de l'oscillation irrégulière de la masse du centre du système solaire. Pour plus d'infos sur les cycles solaires et les liens avec le climat : http://la.climatologie.free.fr/ cette baisse entrainera un refroidissement trés notable des temperatures sur tout le globe. Un refroissement des temperatures sur tout le globle pourait ne pas etre ressentit mais plutot une diminution du rechauffement du au consequence de l'humanite, voir une une stabilite des temperatures. Williams Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Torrent Posté(e) 26 janvier 2005 34230 Paulhan - Centre Hérault Partager Posté(e) 26 janvier 2005 En fait c'est bien Williams qui a ete le premier à chercher de ce coté là, nous avons cherché à approfondir et sommes allés demander aux astronomes d'astrosurf une methode de calcul astronomique pour reconstituer des courbes correspondant à ces oscillations autour du barycentre. Williams a mis au point les macros sous Excel et a pu sortir les graphiques correspondants, ce sont eux qui m'ont donné à penser que la correlation etait même plus forte que nous le pensions et nous n'avons pas tout fini encore. Ma theorie s'appuie sur les travaux en question. L'essentiel du travail a ete fait par Williams, à ce sujet je vais regarder ce que tu m'as envoyé, je suis vraiment enfin revenu en Europe maintenant... Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Guest Posté(e) 26 janvier 2005 Partager Posté(e) 26 janvier 2005 Ca peus aussi bien etre l'hiver 2005/2006 que l'hiver 2006/2007 qui risque d'etre froid a cause la variation du cycle solaire. Car le minimum de l'activite risque d'etre vers la fin de l'annee 2006. Quelles sont les raisons d'un telle baisse? Le soleil a plusieur cycle : 11 ans, 80 ans, 200 ans et 2300 ans. Ces variations de l'activité du Soleil sont liée aux cycles de l'oscillation irrégulière de la masse du centre du système solaire. Pour plus d'infos sur les cycles solaires et les liens avec le climat : http://la.climatologie.free.fr/ cette baisse entrainera un refroidissement trés notable des temperatures sur tout le globe. Un refroissement des temperatures sur tout le globle pourait ne pas etre ressentit mais plutot une diminution du rechauffement du au consequence de l'humanite, voir une une stabilite des temperatures. Williams Il sera passionnant de suivre ce cycle des hivers rigoureux, car il s'agira d'un excellent marqueur pour vérifier où en est le réchauffement climatique pour l'Europe occidentale. On verra si ces hivers se montreront aussi durs que le trio 85/86/87. Mais il faudra patienter jusqu'en 2007 voire 2008 /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Torrent Posté(e) 26 janvier 2005 34230 Paulhan - Centre Hérault Partager Posté(e) 26 janvier 2005 Peut être 2008 car le cycle 23 qui s'achève a marqué des prolongations, mais tout depend du synchronisme entre le cycle solaire et l'oscillation du barycentre or nous allons avoir une oscillation tres courte et de faible amplitude correspondant quasiment à une stabilité du soleil sur le barycentre. Theoriquement dans ces conditions la baisse de l'activité sera tres forte et elle ne devrait pas remonter avant 2009/2010, le cycle suivant serait egalement un cycle de peu d'amplitude bien que deja plus conséquente et qui se terminerait en 2017. Ce qu'on ne connait pas c'est la dynamique propre du soleil qui se cale sur une periode comprise entre 8 et 14 ans. Je pencherai pour une phase apparente de peu d'amplitude allant de 2007 à 2017, un minimum prolongé de l'activité solaire et un faible maximum vers 2010. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cube Posté(e) 26 janvier 2005 Nice Partager Posté(e) 26 janvier 2005 Bonsoir, J'aurais une question à poser concernant ces cycles solaires. Williams vous dites : Ces variations de l'activité du Soleil sont liée aux cycles de l'oscillation irrégulière de la masse du centre du système solaire. J'aurais souhaité connaitre par quel(s) processus l'activité solaire peut-elle être liée à la position ainsi qu'aux variations de masse du barycentre du système solaire ? Epsilon30 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Torrent Posté(e) 27 janvier 2005 34230 Paulhan - Centre Hérault Partager Posté(e) 27 janvier 2005 Par les phenomènes de marées du plasma interne du soleil causées par les modifications du centre de gravité du système solaire, la distance et la frequence des oscillations engendrerait des perturbations dans le flux montant du noyau qui se traduiraient par des modifications des champs magnetiques qui sont la cause des taches solaires et auxquelles sont associées une augmentation du rayonnement, surtout en UV et en flux de particules. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
florent76 Posté(e) 27 janvier 2005 Partager Posté(e) 27 janvier 2005 Peut être 2008 car le cycle 23 qui s'achève a marqué des prolongations, mais tout depend du synchronisme entre le cycle solaire et l'oscillation du barycentre or nous allons avoir une oscillation tres courte et de faible amplitude correspondant quasiment à une stabilité du soleil sur le barycentre. Theoriquement dans ces conditions la baisse de l'activité sera tres forte et elle ne devrait pas remonter avant 2009/2010, le cycle suivant serait egalement un cycle de peu d'amplitude bien que deja plus conséquente et qui se terminerait en 2017. Ce qu'on ne connait pas c'est la dynamique propre du soleil qui se cale sur une periode comprise entre 8 et 14 ans. Je pencherai pour une phase apparente de peu d'amplitude allant de 2007 à 2017, un minimum prolongé de l'activité solaire et un faible maximum vers 2010. La stabilité de la distance du soleil par rapport au barycentre des masses planétaires du système solaire permet de dire que l'on va vers un cycle faible et relativement long de 2007 à 2017. Pour résumer : Ce sont ainsi les variations dans la distance du barycentre des masses planétaires par rapport au centre du soleil qui permet d'avoir une idée de son activité comme tu le montres. On commence ici à comprendre les variations de l'intensité de l'activité solaire, mais cela permet-il d'en connaitre le calendrier ? Que connait-on de la dynamique propre du soleil ? La dynamique propre du soleil est reliée à ces positions relatives du barycentre ; les cycles s'allongent en moyenne lorsque l'activité solaire résultante est faible et se font plus courts quand le soleil est très actif. La difficulté réside dans le fait que la relation entre l'activité solaire et la durée des cycles solaires n'est pas linéaire et que si on observe les cycles un par un, leur durée varie considérablement entre 8 et même 17 ans ! Avec une baisse de l'activité solaire, on peut néammoins s'attendre à l'intercallation d'un cycle beaucoup plus long : ainsi, le prochain cycle solaire pourrait éventuellement se prolonger jusqu'à 2019. Florent. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
xav28 Posté(e) 27 janvier 2005 Partager Posté(e) 27 janvier 2005 bravo Torrent et william.... Je suis tt à fait de votre coté! ça fait plaisir à entendre de telle vrai recherche et interprétation! Mais voyant que tt le monde s'inquiète sue des hivers rigoureux, je me demandais pour ce qui en ait des étés????? Moins d'orages ou plus d'orages? (personnellement je dirais moins) Plus de sécheresse en été?? Des canicules??? (ça métonnerait) Ou donc des étés pourii froid avec flotte sans orage /emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20"> ???? Merci d'avance pour vos réponses /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Torrent Posté(e) 27 janvier 2005 34230 Paulhan - Centre Hérault Partager Posté(e) 27 janvier 2005 Attention car une chose nous a surpris Williams et moi c'est que trés peu de monde n'a cherché dans cette direction pour tenter de trouver une logique aux cycles solaires et dès les premières courbes de Williams reliant variations du barycentre et activité solaire ca nous a sauté aux yeux tellement c'etait évident. Williams a trouvé des travaux de chercheurs Tchèques s'etant aussi penchés sur cette même relation, il semble que cela n'ait pas eu d'echo ni n'ait percé dans la communauté scientifique. Par ailleurs quand j'ai tenté de me mettre en rapport avec Hubert Reeves qui est à la fois astrophysicien et qui a ecrit un livre alarmant sur le rechauffement climatique, je suis passé par son fils que je connaissais personnellement et me suis presque fait envoyer sur les roses, la reponse etant de passer par le site d'Hubert Reeves, etrange, cavalier et j'ai trés peu apprecié, peut etre est ce du à un problème personnel ancien entre lui et moi, sinon c'est tout simplement l'evacuation d'une theorie dont on ne veut pas entendre parler. Or un astrosphysicien aussi mediatique etait la personne indiquée pour etudier la relation entre ce que nous supposons et le climat, mais voila il est aussi un fait qu'Hubert Reeves dans son livre "mal de Terre" dresse un constat apocalyptique du rechauffement climatique et le relie à l'effet de serre. A mon avis pour avoir acheté son livre il extrapole au dela de toute raison, parler d'un scenario "desert" avec des temperatures moyennes du globe de 40 ou 60° ou d'un scenario "Venus" avec plus de 100 degrés n'est pas credible. Sinon ce que j'ai pu trouver comme liens sur les cycles solaires et leur cause c'est une vague theorie d'un effet dynamo variable ... je veux bien mais c'est trés fumeux et ne me convainc absolument pas, surtout en voyant les correlations entre activité solaire passée et climat passé, pour ce qu'on en connait. Florent a eu les données de Williams entre les mains et a tres bien compris ce que je voulais dire en parlant d'un cycle faible de 2007 à 2017, maintenant il est un peu tôt pour affirmer que le retour du froid cet hiver ci est bien du à cette baisse du cycle, en tout cas il n'est pas idiot de se poser la question. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Torrent Posté(e) 27 janvier 2005 34230 Paulhan - Centre Hérault Partager Posté(e) 27 janvier 2005 bravo Torrent et william.... Je suis tt à fait de votre coté! ça fait plaisir à entendre de telle vrai recherche et interprétation! Mais voyant que tt le monde s'inquiète sue des hivers rigoureux, je me demandais pour ce qui en ait des étés????? Moins d'orages ou plus d'orages? (personnellement je dirais moins) Plus de sécheresse en été?? Des canicules??? (ça métonnerait) Ou donc des étés pourii froid avec flotte sans orage /emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20"> ???? Merci d'avance pour vos réponses /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Là dessus je peux avancer une idée et je pense que ce sont surtout les hauts geopotentiels tropicaux qui sont affectés et s'affaiblissent lors d'une baisse de l'activité solaire, du coup les cellules de Hadley sont plus faibles et la circulation generale entre equateur et pôles est reduite, ce qui amenerait un refroidissement plus important aux pôles et des incursions plus frequentes du froid dans les zones temperées. Parrallelement il est aussi possible que la chaleur accumulée sous les tropiques et moins bien evacuée soit la cause de phenomènes cycloniques plus frequents et plus violents mais je me garderai de me prononcer là dessus car en cas de baisse moins de chaleur serait genérée aussi. Voila pour l'etat de ma reflexion actuelle... Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Aldo29 Posté(e) 27 janvier 2005 Partager Posté(e) 27 janvier 2005 Un hiver rude intervient souvent 1 an avant le minimum solaire, me trompe-je ? Donc hiver 2005/2006 bien placé ? Car on commence à être pressé ! Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
tintin et milou Posté(e) 27 janvier 2005 Verrières-le-Buisson (91) Partager Posté(e) 27 janvier 2005 Torrent, tu dis qu'il est encore trop tôt pour savoir si le retour du froid depuis une quinzaine de jours cet hiver est en rapport avec l'évolution de ce cycle solaire. Mais à l'inverse, qu'en est-il de "l'anomalie" très douce de décembre 2004 globalement (hors zone d'inversion) et de début janvier 2005 ? Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Torrent Posté(e) 27 janvier 2005 34230 Paulhan - Centre Hérault Partager Posté(e) 27 janvier 2005 Torrent, tu dis qu'il est encore trop tôt pour savoir si le retour du froid depuis une quinzaine de jours cet hiver est en rapport avec l'évolution de ce cycle solaire. Mais à l'inverse, qu'en est-il de "l'anomalie" très douce de décembre 2004 globalement (hors zone d'inversion) et de début janvier 2005 ? C'est trop tôt parce qu'il en faudra plus d'une vague de froid et sur plus d'une année pour estimer que la theorie est valable. Qu'il y ait des vagues de douceur il y en aura toujours, la question se tranchera en faisant ensuite la moyenne annuelle sur l'Europe et sur out le globe. Et là rien n'est tranché, c'est encore beaucoup trop tôt, je dirai pas avant fin 2006 voire fin 2007, on en saura alors un peu plus. Une evolution climatique même sur une courte periode est d'une autre echelle que celle de la meteo y compris saisonnière, cela c'est plutot le domaine de Florent. Mais si les scenarios actuels se maintiennent la moyenne de l'hiver va bien redescendre en Europe Occidentale (et en Amerique du Nord d'ailleurs) seule zone sans doute plus chaude que la moyenne la Russie Centrale, mais au final cet hiver pourrait donner une moyenne inferieure à la normale... Wait and see ... Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cube Posté(e) 27 janvier 2005 Nice Partager Posté(e) 27 janvier 2005 Par les phenomènes de marées du plasma interne du soleil causées par les modifications du centre de gravité du système solaire, la distance et la frequence des oscillations engendrerait des perturbations dans le flux montant du noyau qui se traduiraient par des modifications des champs magnetiques qui sont la cause des taches solaires et auxquelles sont associées une augmentation du rayonnement, surtout en UV et en flux de particules. Merci beaucoup pour ces explications Torrent Ceci implique indirectement que les étoiles dépourvues de système planétaire ne possèderaient pas de cycles naturels. Pourquoi ne verions-nous pas ces phénomènes de marées à la surface du soleil ? Pourquoi ne serait-ce qu'à l'intérieur ? En considérant ce phénomène comme hypothèse, on pourrait ajouter que le barycentre implique également que le système solaire en lui-même ne doit pas être isolé, avec par exemple, de la Voie Lactée. On peut en effet penser que les autres systèmes sont loins mais cela pèse également dans la balance. A dire vrai, je ne sais pas quoi penser de cette relation entre le barycentre et les cycles. Les intéractions entre les masses des planètes du système solaire et le soleil ne paraissent à première vue pas suffisamment significatives pour perturber le flux énergétique montant du noyau. Le noyau du soleil en lui-même est encore très mal connu. On sait qu'il se produit des fusions thermonucléaires à l'intérieur de celui-ci, mais ne pourrait-il pas y avoir "autre chose" qui permettrait une variation énergétique cyclique dans la zone radiative puis dans la zone convective du soleil ? Néanmoins, je vais attendre les résultats de cette étude avec impatience /emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20"> Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tomar Posté(e) 27 janvier 2005 Partager Posté(e) 27 janvier 2005 Un hiver rude intervient souvent 1 an avant le minimum solaire, me trompe-je ? Donc hiver 2005/2006 bien placé ? Car on commence à être pressé ! Oui, et même deux ou trois, comme en 1940, en 1963, en 85. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tomar Posté(e) 27 janvier 2005 Partager Posté(e) 27 janvier 2005 Vu l'oscillation actuelle du Soleil trés prés du barycentre du système solaire, je prévois une phase de trés faible activité jusqu'en 2017, je pèse bien mes mots et donne rendez vous pour les dates, cette baisse entrainera un refroidissement trés notable des temperatures sur tout le globe. Non seulement 2006 mais aussi 2007 et sans doute au delà verront des hivers rigoureux, je ne pense pas qu'il y ait de remontée globale de la temperature du globe avant 2040. Tout ceci parce que nous entrons dans une configuration des cycles du soleil quasi identique à celle des minima de Maunder et de Wolf, l'occurrence de ce cycle qui depend de la position sur leur orbite des planètes géantes par rapport au soleil est de 179 ans. Le minimum de Maunder 1640-1710 a ete une des plus longues periodes de mini glaciation recentes avec une baisse de 3 à 4 degrés des temperatures Europeennes, s'y est ajouté un quasi arrêt de la derive Nord Atlantique du Gulf Stream, cause de lien à effet? sans doute mais on n'en sait pas encore assez là dessus. Une autre donnée est celle de l'evolution de la constante solaire elle explique une variation sur cette période de 0,8° environ au plus, elle est donc insuffisante à elle seule pour expliquer le phenomène. Sans doute l'action des UV qui varient beaucoup plus en periode d'activité solaire forte est sous estimée et a surement des effets thermiques plus importants que l'on ne pense sur la stratosphère avec evidemment des repercussions dans la troposphère. Enfin il convient aussi de citer l'action des rayons cosmiques qui penetrant plus le système solaire en periode d'activité basse du Soleil favoriseraient la nebulosité. Il ne s'agit pas ici de previsions saisonnières detaillées, mais d'une tendance climatique globale, de plus l'action du soleil etant necessairement plus perceptible dans les regions tropicales j'en ai tiré l'hypothèse de consequences directes sur la hauteur des geopotentiels sur ces zones là, mon hypothèse est que cela conduirait à un ralentissement du système convectif et donc à un affaiblissement de la cellule de Hadley. Crois tu que la situation soit comparable à celle des années 1800 à 1820, où les 2 maxima solaires ont été très faibles ? Ces années ont été froides effectivement, mais curieusment c'est une période qui n'est marquée par aucun hiver vraiment froid ici. Il faut attendre le retour à un cycle un peu plus actif après 1825 marqué par une petite augmentation des T moyennes, pour trouver un hiver très froid, et sans doute le plus froid depuis au moins 2 ou 3 siècles dans toute l'Europe d'ailleurs : 1830, exactement au maximum solaire ! Comme 1929 et 1947, les 3ème et 4éme hivers les plus froids après 1830 et eux aussi en plein maxima solaires. Toutefois, l'hiver 1963, le deuxième le plus froid depuis 1830, est situé deux ans avant un minima solaire et juste après le cycle solaire le plus actif sans doûte depuis le minimum de Maunder. J'ai fait une moyenne des mois d'hivers DJF depuis la fin du XVIIIème S pour Paris, De Bilt aux Pays-Bas, Milan, Vienne et Berlin pour couvrir une zone européenne du centre-ouest significative. Evidemment, les chiffres sont de moins en moins précis pour les dates les plus anciennes. A part les hivers froids de 1830, 1929 et 1947, les hivers froids depuis 1780 sont 1784, 1795, 1823, 1956, 1963, 1985-87, ces derniers étant moins froids par rapport aux autres mais la courbe de T moyenne étant ascendante ils se détachent quand même du lot. Il y a une longue période, de 1835 à 1928, qui ne présente pas d'hiver particulièrement froids, et pas d'hiver spécialement doux non plus comme il y en a eut plus tard voir plus tôt (1834); l'amplitude de 1835 à 1928 est plus limitée qu'avant et après cette période. Depuis 1987, ont sait qu'on a eu un peu de froid en 1991 et 1997 mais je n'ai pas les moyennes et je ne crois pas que les hivers ait été significativement froids d'après ce que je vois sur les anomalie de T calcules par http://www.giss.nasa.gov/data/update/gistemp/maps/. J'ai essayer de chercher une corrélation simple avec les minima et le maxima des cycles solaires. Voilà la liste des cycles solaires ayant présenté un maximum élevé : 1779, 1789, 1838, 1849, 1938, 1948, 1958, 1981, 1991. Le dernier cycle culminant vers 2000 est lui un peu moins intense, disons moyen plus. Hors, que voit-on ? Tous les hivers froids à part 1823 et à part ceux cités plus haut (et situés en plein sur un maximum solaire) se situent entre 5 et 8 ans après un maximum de cycle solaire intense soit proche du minimum qui suit le pic : 1779 et 1784; 1949 et 1956; 1958 et 1963; 1980 et 1985-87. Il y a aussi 1789 et 1795 mais 1795 est encore loin du minima (1800), ce cycle étant particulièrement long. Par contre il y a des pics solaires intenses non suivi d'hivers froids 1838, 1849, 1991. Voilà, ça me paraît une corrélation plus nette que celle des minima solaires directement avec les hivers froids. En résumé, l'occurence des hivers vraiment froids chez nous semble d'avantage lié : soit aux périodes de maxima solaire comme en 1830, 1929 et 1947 soit, plus fréquemment, 5-8 ans après un cycle intense comme en 1784, 1795, 1956, 1963 et 1985-87 1823, qui est relativement froid (mais pas spécialement à Paris, surtout à Berlin et De Bilt), se détâche des deux lots. 2000-2002 a été d'intensité moyenne, comme pour le cycle de 1969 qui n'a pas donné lieu à un hiver particulèrement intense, ni au moment du pic solaire ni 5 à 8 ans après le pic. Réactions bienvenues, je ne sais pas ce qu'il faut penser de cela. Je sais que ce n'est pas évident de juger de cela sans avoir les courbes mais je ne peux pas les soumette ici, je n'ai pas de site personnel pour les enregister. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Torrent Posté(e) 27 janvier 2005 34230 Paulhan - Centre Hérault Partager Posté(e) 27 janvier 2005 Attends, on ne parle pas de la même chose là, ce que tu enumères relève plus des prévisions saisonnieres ou des cycles courts, ce dont je parle porte sur des cycles longs et des tendances lourdes, que dans une phase d'activité solaire en hausse il y ait des hivers plus froids en Amerique du Nord et plus doux en Europe semble avoir ete remarqué mais je ne pense pas qu'on puisse en tirer des conclusions climatologiques définitives. Le but de la recherche etait : 1 De comprendre les mecanismes de ces cycles solaires à la fois courts et longs, l'occurence est que chaque oscillation autour du barycentre correspond à deux cycles dits de 11 ans, appelés cycle de Schwabe et que le cycle de Suess correspondrait à une occurence globale de retour des planètes en gros sur la même position tous les 179 ans, le cycle de Gleissberg de 90 ans serait une demi periode à mon avis. 2 De verifier si au long de ces cycles on retrouve une correlation entre l'activité solaire et le climat, ce que nous avons decouvert est que ca colle parfaitement pour tout l'Hemisphère Nord, la frequence des oscillations etant d'ailleurs determinante et non leur amplitude, aux cycles longs correspondraient des periodes de rechauffement. 3 Et les courbes montrent aussi que ce qui se passe au niveau de l'hemisphère nord ne se traduit pas au niveau de l'Europe Occidentale, nous atteignons là les limites entre climatologie globale et regionale du moins au niveau des cycles courts. J'en reste donc à une methode predictive qui ne se base que sur le long cycle celui de Suess et nous entrons dans la periode de retour des minima de Maunder et de Dalton, là par contre l'Europe a ete affectée de façon importante par ce moment du cycle. Ceci dit ta piste est interessante et nous allons voir si nous pouvons y trouver quelque chose. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Torrent Posté(e) 28 janvier 2005 34230 Paulhan - Centre Hérault Partager Posté(e) 28 janvier 2005 Par les phenomènes de marées du plasma interne du soleil causées par les modifications du centre de gravité du système solaire, la distance et la frequence des oscillations engendrerait des perturbations dans le flux montant du noyau qui se traduiraient par des modifications des champs magnetiques qui sont la cause des taches solaires et auxquelles sont associées une augmentation du rayonnement, surtout en UV et en flux de particules. Merci beaucoup pour ces explications Torrent /emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20">Ceci implique indirectement que les étoiles dépourvues de système planétaire ne possèderaient pas de cycles naturels. Pourquoi ne verions-nous pas ces phénomènes de marées à la surface du soleil ? Pourquoi ne serait-ce qu'à l'intérieur ? En considérant ce phénomène comme hypothèse, on pourrait ajouter que le barycentre implique également que le système solaire en lui-même ne doit pas être isolé, avec par exemple, de la Voie Lactée. On peut en effet penser que les autres systèmes sont loins mais cela pèse également dans la balance. A dire vrai, je ne sais pas quoi penser de cette relation entre le barycentre et les cycles. Les intéractions entre les masses des planètes du système solaire et le soleil ne paraissent à première vue pas suffisamment significatives pour perturber le flux énergétique montant du noyau. Le noyau du soleil en lui-même est encore très mal connu. On sait qu'il se produit des fusions thermonucléaires à l'intérieur de celui-ci, mais ne pourrait-il pas y avoir "autre chose" qui permettrait une variation énergétique cyclique dans la zone radiative puis dans la zone convective du soleil ? Néanmoins, je vais attendre les résultats de cette étude avec impatience Faut pas aller si vite à propos d'astrophysique, avec ou sans cortège planetaire on peut dire qu'il y a des dizaines de categories d'etoiles, selon leur masse et leur age qui determine la composition des noyaux atomiques qui le composent essentiellement. Même dans la categorie des etoiles jaunes comme le soleil il y a les cepheides qui ont des variations d'activité qui d'ailleurs sont bien plus importantes et bien plus rapides, le soleil n'est pas du tout une cepheide, il est au contraire d'une remarquable stabilité, la variation moyenne entre le bas et le sommet d'un cycle de 11 ans est de 1/1000e dans l'infrarouge, contre il est vrai 7 à 8% dans les ultraviolets. Sans cette tres grande stabilité la vie n'aurait pu se developper sur Terre, savoir s'il peut y avoir des causes internes n'est pas tranché, nous avons simplement fait la constatation des variations de son activité selon sa position par rapport au barycentre, n'y a t il que cela? peut être pas, on tient simplement une piste. Pour la question des marées, pourquoi ne seraient elles pas visibles à la surface du soleil, la surface du soleil est tout sauf calme, ce sont des gaz incandescents qui sont à des temperatures de 6000° environ. Il faut savoir que la pression est enorme prés du noyau, ce qui engendre la reaction thermonucleaire du deuterium, lors de cette reaction l'energie emise sous forme de photons chemine et rebondit entre les atomes pendant 1 million d'années avant d'arriver à la surface. Les marées se produisent à la frontière de ces deux zones, au dessus la matiere est de nature gazeuse et les gaz sont soumis à un bouillonnement thermique qui ne peut pas rendre compte de ces phenomènes de marées. Une comparaison sur la Terre le mouvement des marées est perceptible au niveau de l'eau des oceans mais pas au niveau de la croute terrestre solide et pas non plus au niveau de l'atmosphère et apparemment pas non plus dans le noyau interne liquide encore que ca reste à prouver. Quant à la periode de revolution du soleil autour de la Voie Lactée qui dure environ 250 millions d'années la periode est trop lente pour qu'il y ait une action quelconque sur la periodicité du soleil lui même, par contre cette orbite du soleil se fait non pas de manière circulaire mais en sinusoide un peu comme une vague qui monte et descend et à certains moments le soleil traverse un bras galactique, actuellement il est en dehors, lorsqu'il traverse un bras galactique il se trouve dans une zone ou regnent davantage de poussieres qui conduisent à un obscurcissement partiel du flux radiatif recu sur Terre, toutes les precedentes extinctions d'espèces et les supr grandes glaciations ont eu lieu lorsqu'il se trouvait dans un bras galactique. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tomar Posté(e) 28 janvier 2005 Partager Posté(e) 28 janvier 2005 Torrent, J'ai bien compris que le travail que vous avez fait est basé sur des donnés et des causes astro-physiques, et que tu cherches à comprendre et prévoir les cycles (longs) d'activité solaire et leur corrélation éventuelle avec le climat général. De moncôté, je me suis juste limité à chercher les liens entre les cycles solaires courts et l'ocurrence d'hivers froid en Europe moyenne. Et il me semble que les corrélations ne sont pas forcément celles que j'ai pu lire par ailleurs (soit un minima solaire sur deux corrélé avec des hivers froids). Donc effectivement, ces sont des choses bien différentes et sans doûte complémentaires. Sinon, je reprends ma première question : qu'en est-il pour la période 1800-1820 ? Attends-tu quelque chose de similaire pour les années qui viennent, avec des cycles de très faible amplitude ? Ou alors une période encore beaucoup plus calme de plusieurs décennies sans aucune tâche solaire ? Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
lc30 Posté(e) 28 janvier 2005 Partager Posté(e) 28 janvier 2005 d'une façon générale je suis d'accord avec les travaux de Williams et de Torrent ( et de quelques autres qui vont dans le même sens) . En ce qui concerne la variation de l'activité solaire en relation avec sa place par rapport au barycentre du système solaire, elle parait fortement corrélée avec les périodes de Jupiter et de Saturne. On ne peut oublier que la période de rotation du soleil sur lui-même est de l'ordre de 28 jours, donc qu'il existe une force de Coriolis laquelle, dans un repère fixe ( celui du barycentre du système solaire) doit encore être composée avec celle du mouvement relatif du soleil par rapport au barycentre. En ce qui concerne les astrophysiciens, ils sont beaucoup nettement moins tournés vers le soleil que vers des centres d'intérêts plus lointains et théoriques ( exobiologie, exoplanètes, trous noirs et autres conséquence de la relativité générale comme quasars, matière sombre, etc.... ) -- lc30 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cube Posté(e) 28 janvier 2005 Nice Partager Posté(e) 28 janvier 2005 Faut pas aller si vite à propos d'astrophysique, avec ou sans cortège planetaire on peut dire qu'il y a des dizaines de categories d'etoiles, selon leur masse et leur age qui determine la composition des noyaux atomiques qui le composent essentiellement. Même dans la categorie des etoiles jaunes comme le soleil il y a les cepheides qui ont des variations d'activité qui d'ailleurs sont bien plus importantes et bien plus rapides, le soleil n'est pas du tout une cepheide, il est au contraire d'une remarquable stabilité, la variation moyenne entre le bas et le sommet d'un cycle de 11 ans est de 1/1000e dans l'infrarouge, contre il est vrai 7 à 8% dans les ultraviolets. Oui je suis d'accord. Je souhaitais simplement préciser ce qu'impliquerait la contraposée de l'explication initiale.Sans cette tres grande stabilité la vie n'aurait pu se developper sur Terre, savoir s'il peut y avoir des causes internes n'est pas tranché, nous avons simplement fait la constatation des variations de son activité selon sa position par rapport au barycentre, n'y a t il que cela? peut être pas, on tient simplement une piste. OK de ce côté-là.Pour la question des marées, pourquoi ne seraient elles pas visibles à la surface du soleil, la surface du soleil est tout sauf calme, ce sont des gaz incandescents qui sont à des temperatures de 6000° environ. Il faut savoir que la pression est enorme prés du noyau, ce qui engendre la reaction thermonucleaire du deuterium, lors de cette reaction l'energie emise sous forme de photons chemine et rebondit entre les atomes pendant 1 million d'années avant d'arriver à la surface. Les marées se produisent à la frontière de ces deux zones, au dessus la matiere est de nature gazeuse et les gaz sont soumis à un bouillonnement thermique qui ne peut pas rendre compte de ces phenomènes de marées. Une comparaison sur la Terre le mouvement des marées est perceptible au niveau de l'eau des oceans mais pas au niveau de la croute terrestre solide et pas non plus au niveau de l'atmosphère et apparemment pas non plus dans le noyau interne liquide encore que ca reste à prouver. Merci pour ces informations, j'ignorais que le soleil était si bien connu.Quant à la periode de revolution du soleil autour de la Voie Lactée qui dure environ 250 millions d'années la periode est trop lente pour qu'il y ait une action quelconque sur la periodicité du soleil lui même, par contre cette orbite du soleil se fait non pas de manière circulaire mais en sinusoide un peu comme une vague qui monte et descend et à certains moments le soleil traverse un bras galactique, actuellement il est en dehors, lorsqu'il traverse un bras galactique il se trouve dans une zone ou regnent davantage de poussieres qui conduisent à un obscurcissement partiel du flux radiatif recu sur Terre, toutes les precedentes extinctions d'espèces et les supr grandes glaciations ont eu lieu lorsqu'il se trouvait dans un bras galactique. Oui la période est lente en effet. Ceci dit, je ne pensais pas à l'action gravitationnelle seulement mais à d'autres paramètres qui pourraient être mis en jeu dans la galaxie, comme dans le système solaire.L'idée de croire qu'une planète n'aurait qu'une influence purement gravitationnelle avec d'autres corps me semblerait tronquée. En effet, on pourrait penser notamment aux effets magnétiques des différents corps en intéraction dans le système solaire, sachant que la magnétosphère solaire s'étend au delà de l'orbite de Pluton, des effets énergétiques, thermiques (dans l'absolu), etc... Je ne parlerai pas de matière exotique dite noire voire d'énergie noire (dans le cas plus général) car les théories actuelles ne sont pas suffisamment avancées à ce sujet mais je dirais "pourquoi pas". Ce que je veux dire par là, c'est que tout dans l'univers et lié. A partir de là, il est hasardeux de tronquer des éléments qui pourraient, dans certains cas, déterminer pourquoi l'on observe tel ou tel phénomène. Pour revenir sur le thème initial, la position du barycentre pourrait être un début d'explication. Epsilon30 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
williams Posté(e) 29 janvier 2005 Partager Posté(e) 29 janvier 2005 Autour du systeme solaire les seul corps pouvant avoir des effets sur le climat sont les supernovaes comme lors de leur explosions ce sont parmis les corps qui envoie le plus de rayons cosmique. Mais il faut pas qu'elles soit tres loins aussi. Les etoiles doivent avoir aucun effets sur le soleil comme elle sont trop loins. Proxima du Centaure une nain rouge de 0,08 fois la taille du soleil est la plus proche est a 4,28 annees lumiere soit 270.000 UA (distance terre-Soleil). Donc vu la distance, sa temperature et sa masse elle ne peut avoir aucun effet sur le soleil. Mais les 4 planetes joviennes pourait bien d'apres ce site http://fr.arxiv.org/abs/astro-ph/0201308 Le soleil est ausi un corps bien connu grace aux satellite qu'on envoit. Sa 1ere observation depuis l'espace date de 13/10/1959 avec le Satellite Exploer 7 (En orbite terrestre, il a étudié le champ magnétique et les tempêtes solaires). Avec le satellite Soho envoye depuis 02/12/1995 on arrive meme a prevoir la formation d'une tache solaire de l'autre cote du soleil. Le champ magnetique du Soleil est observe depuis ces poles grace a la sonde europeen Ulysse qui a ete envoye le 06/10/1990. Il y a une longue période, de 1835 à 1928, qui ne présente pas d'hiver particulièrement froids, A Paris il y a des hiver froids entre ces 2 dates. Voici quelques exemples avec la moyenne de l'hiver pour Paris, proche d'un mini du cycle solaire : 1840/1841 0.50°C, 1844/1845 0.40°C, 1879/1880 -1.40°C, 1890/1891 -5.50°C,... Sinon, je reprends ma première question : qu'en est-il pour la période 1800-1820 ? Cette periode qui correspond a une periode froide et une diminution de l'activite du soleil pourait etre ce qui va arrive dans quelque decennies. Mais ceci risque de moins ce recentir comme l'effets de serre n'est pas et ne se sera pas comparable avec cette periode. C'est plutot une augmentation moins importante ou un stabilite des temperatures qu'on risque d'avoir. Concernant l'activite solaire elle pourait dinume comme de 1944 a 2021 la Fréquence de la variation Barycentre va chute tout comme lors de la periode 1800-1820. Williams Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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