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Blocage hivernal 2012-2013.


Paul1305
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Messages recommandés

Posté(e)
Marseille (13) (alt : 40m) et Gap (05) (alt : 780m)

Comme l'a proposé Phoenix dans la partie prévision à long terme, il est probablement judicieux d'ouvrir ce topic afin de débattre de cette situation exceptionnelle qui perdure depuis Octobre 2012 environ. Date à laquel notre récurrence s'est mise en place pour ne plus nous lâcher jusqu'à présent.

Les synoptiques se répêtent presque comme des copier/coller et nous ne voyons plus le bout de ces anomalies de hautes pression au pôle nord ainsi que de basses pressions sur notre bon vieux continent Européen.

L'air froid ne cesse de s'écouler vers nous tel un toboggan de nord-est empéchant toute perspective d'un temps plus printanier.

Quelques cartes pour illustrer tout ça :

Anomalie Z500 haute au Pôle nord et basse par chez nous :

123891ECH101241.png

Courant JET repoussé en Afrique du nord :

421295gfs51021.png

Ajouté à cela nos indices AO et NAO toujours dans le négatif et nous avons notre blocage 2012-2013.

321871aosprd21.gif

651134naosprd21.gif

Simple cycle ? ou boulersement durable dans notre hémisphère ?

Pour répondre à ces questions, je laisse place à présent à tout ceux qui voudraient faire part de leur hypothèse ainsi que de leurs analyses. Car très franchement cette situation est à la fois autant incroyable que passionnante. Ne nous le cachons pas flowers.gif

Ce topic est aussi là pour permettre de comprendre et de chercher si une tel situation s'est déjà produite par le passée. Car si la réponse est oui, j'aimerai bien savoir depuis combien de temps cela n'est pas arrivé.

En fouillant un peu dans les archives, il est vraiment difficile de trouver une situation qui a duré aussi longtemps. Car c'est bien ce dernier point qui rend si marquant ce blocage : La durée du phénomène.

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Posté(e)
Buhl-lorraine, Moselle ( 260 m )

Comme l'a proposé Phoenix dans la partie prévision à long terme, il est probablement judicieux d'ouvrir ce topic afin de débattre de cette situation exceptionnelle qui perdure depuis Octobre 2012 environ. Date à laquel notre récurrence s'est mise en place pour ne plus nous lâcher jusqu'à présent.

Les synoptiques se répêtent presque comme des copier/coller et nous ne voyons plus le bout de ces anomalies de hautes pression au pôle nord ainsi que de basses pressions sur notre bon vieux continent Européen.

L'air froid ne cesse de s'écouler vers nous tel un toboggan de nord-est empéchant toute perspective d'un temps plus printanier.

Quelques cartes pour illustrer tout ça :

Anomalie Z500 haute au Pôle nord et basse par chez nous :

123891ECH101241.png

Courant JET repoussé en Afrique du nord :

421295gfs51021.png

Ajouté à cela nos indices AO et NAO toujours dans le négatif et nous avons notre blocage 2012-2013.

321871aosprd21.gif

651134naosprd21.gif

Simple cycle ? ou boulersement durable dans notre hémisphère ?

Pour répondre à ces questions, je laisse place à présent à tout ceux qui voudraient faire part de leur hypothèse ainsi que de leurs analyses. Car très franchement cette situation est à la fois autant incroyable que passionnante. Ne nous le cachons pas flowers.gif

Ce topic est aussi là pour permettre de comprendre et de chercher à trouver une situation semblable dans les archives. Et si oui, depuis combien de temps n'est-ce pas arrivé ? Car dans les archives récentes, il est vraiment difficile de trouver une situation qui a duré aussi longtemps. Car c'est bien dans la durée que ce phénomène de blocage se démarque.

Je rajouterais surtout que cette situation ( blocage à répétition en NAO/AO-) a démarré réellement en avril 2012 exactement au même moment que le QBO était rentré en phase Est à tous les étages et comme le soleil est resté affaiblit toute l'année 2012, cela a déclenché des situations de blocages nordiques costaud de manière constant
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Merci lefan c'est un très bonne initiative.

Il est intéréssant de débattre de ce sujet car je pense qu'il risque de faire parler de lui (ça a déja commencé) surtout si cette situation continue.

Si le froid persiste cela aura des conséquences directe sur l'économie mais aussi sur l'ensemble de la société mais bon si ça devait prendre une grande ampleur, on fera un sujet dans météo et société mais pour le moment ça n'a pas pris cette ampleur.

En effet la NAO et surtout l'AO ont pris des proportion très négative surtout en ce mois de Mars.

Les blocages a répétitions ont comme le dit Mike eté favoriser par la QBO-.

Cependant ce blocage a pris une ampleur impresionnante en ce mois de Mars comme en témoigne cette image.

z500_nh_30d_anim.gif

Déjà fin février, on a une synoptique de blocage mais on remarque qu'en Mars, le blocage a pris des proportions telles que le HG ont envahit litérralement le pôle (du coté Nord Atlantique). L'air froid est systématiquement cantoné dans nos régions sans laissé aucune chance à un retour à la normale et le Blocage est sans cesse réalimenté par les HG subtropicaux.

Donc on peut se demander si une QBO+ à tous les étages pourra prochainement inverser la situation?

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Posté(e)
Buhl-lorraine, Moselle ( 260 m )

Merci lefan c'est un très bonne initiative.

Il est intéréssant de débattre de ce sujet car je pense qu'il risque de faire parler de lui (ça a déja commencé) surtout si cette situation continue.

Si le froid persiste cela aura des conséquences directe sur l'économie mais aussi sur l'ensemble de la société mais bon si ça devait prendre une grande ampleur, on fera un sujet dans météo et société mais pour le moment ça n'a pas pris cette ampleur.

En effet la NAO et surtout l'AO ont pris des proportion très négative surtout en ce mois de Mars.

Les blocages a répétitions ont comme le dit Mike eté favoriser par la QBO-.

Cependant ce blocage a pris une ampleur impresionnante en ce mois de Mars comme en témoigne cette image.

z500_nh_30d_anim.gif

Déjà fin février, on a une synoptique de blocage mais on remarque qu'en Mars, le blocage a pris des proportions telles que le HG ont envahit litérralement le pôle (du coté Nord Atlantique). L'air froid est systématiquement cantoné dans nos régions sans laissé aucune chance à un retour à la normale et le Blocage est sans cesse réalimenté par les HG subtropicaux.

Donc on peut se demander si une QBO+ à tous les étages pourra prochainement inverser la situation?

ca pourrait effectivement inverser la situation mais en nettement moins extrême que pendant l'année 2011 pour faute d'absence de Nina. Les conditions neutres dans le Pacifique devraient prédominer toute l'année, on va perdre simplement les extrêmes et revenir à une situation un peu plus classique. On va cependant attendre encore un peu avant d'affirmer quoi que ce soit car il se pourrait bien que la phase cycle QBO Ouest ne dure que très peu de temps ( de plus en plus court à cause du cycle solaire faible)
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Posté(e)
Buhl-lorraine, Moselle ( 260 m )

en attendant, voici les anomalies stt actuelles:

anomnight3282013.gif

en 1, les anomalies négatives centrées sur ce rail est du au jet circulant très au sud avec la basse pression

en 2, les anomalies positives sur le nord atlantique provoqué par la récurrence des hautes pressions à ces endroits

en 3, les anomalies positives le long du Maroc provoqué par les hautes pressions constant ( déjà le cas l'année dernière à la fin du printemps) qui ne devraient pas être centrés à ces endroits la mais proche des acores en circulation normale de longue durée

en 4 et 5, l'anomalie négative à l'ouest du pacifique et positive à l'Est signe d'un ENSO neutre malgré que El Nino aurait tendance à croire légèrement actuellement

tout ceci montre bien la situation d'une NAO- ( même si elle était neutre cet hiver mais négative de avril à octobre 2012 constamment et depuis début février) et vu donc les anomalies actuelles, c'est pas près de s'arranger dans le futur. Il va falloir un brusque changement de circulation atmosphérique pour que tout change et ainsi ensuite modifier les anomalies Stt

voici un exemple d'une situation inversée à celle qu'on subit actuellement:

anomnight12102007.gif

en 1, l'anomalie fortement positive autour des acores bien répandues

en 2, l'anomalie négative sur les cotes du Maroc

en 3, la forte Nina poussant les extrêmes inverses de cette situation

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Posté(e)
Marseille (13) (alt : 40m) et Gap (05) (alt : 780m)

Depuis hier les médias relaient un article qui met en cause le réchauffement climatique dans nos synoptiques actuelles.

L'article est consultable par ici >> http://www.ladepeche.fr/article/2013/03/28/1593513-vague-froid-mars-si-etait-rechauffement-climatique.html

Très intéressant en tout cas !

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Depuis hier les médias relaient un article qui met en cause le réchauffement climatique dans nos synoptiques actuelles.

L'article est consultable par ici >> http://www.ladepeche...climatique.html

Très intéressant en tout cas !

Je cite un extrait de l'article :

"L'un des effets est l'affaiblissement du vortex polaire, ce cyclone permanent situé à proximité du pôle, moins capable de retenir les masses d'air froid et humide en provenance de l'Arctique, qui se déversent ainsi sur des latitudes plus basses."

1) Il n'y a pas de cyclone permanent, mais des cyclones mobiles.

2) Si on suit ce raisonnement, un climat plus froid donnerait "un" cyclone mieux capable de retenir les masses d'air froid, donc celles-ci auraient plus de mal à se diriger vers le sud où finalement il ferait moins froid ?!

3) Comment un cyclone peut-il "retenir" des masses d'air froid ? Il faut préciser qu'ils parlent d'un cyclone d'altitude alors que l'air froid se forme en surface du fait de la perte de chaleur par radiation (fort albédo, faible inclinaison des rayons du soleil, etc.). Mécanisme non décrit, donc.

4) A la fin des années 90 et au début des années 2000, les hivers devaient être de plus en plus doux et humides sur le nord de l'Europe, avec des inondations à la clé, et des tempêtes. Les simulations numériques appuyaient ces prévisions. Maintenant, sans qu'on sache vraiment pourquoi, changement de braquet. Et quid de la corrélation avec les variations de température globale ? Depuis 15 ans, celle-ci stagne à un haut niveau, donc il faut chercher ailleurs les changements de synoptique qui apparaissent plutôt conjoncturels.

Bref pour moi cet article constate mais n'explique rien.

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Un autre article traitant du sujet à lire ici :

http://www.lemonde.f...49280_3244.html

J'ai aussi entendu à peut près la même chose dans l'émission "la tête au carré" sur france inter cette semaine.

Là encore, je cite :"De récents travaux vont plus loin et suggèrent que la réduction de la banquise arctique, particulièrement marquée depuis 2007, facilite la formation de hautes pressions atmosphériques dans l'Arctique."

Les hautes pressions dans l'Arctique étant associées au froid (de basses couches), on se demande comment le lien peut être fait.

A moins qu'il parle de hautes pressions d'altitude, mais dans ce cas il y a de la distance entre ces hautes pressions (de haute altitude) et la banquise (située au niveau de la mer), alors quel est le lien physique entre les deux ? En Arctique, les inversions thermiques sont fortes et fréquentes entre l'air froid de basses couches et des flux d'air doux en altitude venus du sud.

Par ailleurs on mélange les échelles de temps : quel est le lien entre les minima de superficie de la banquise des dernières années et les AP plus fréquents en hiver ? Il se passe plusieurs mois entre le minimum (septembre) et l'hiver suivant ! La banquise est actuellement très étendue en Arctique, ce qui est normal puisqu'on est en fin d'hiver, donc les conditions sont bonnes pour qu'il y ait production d'air froid en basses couches. Précisons que le blocage actuel n'est pas constitué d'un AP immobile mais d'APs (au pluriel) renouvelés et mobiles (se dirigeant vers l'Europe). Bref je ne vois pas du tout le lien entre "la réduction de la banquise arctique" (qui relève de l'été) et "la formation de hautes pressions atmosphériques dans l'Arctique" (chaque AP se formant rapidement au-dessus de l'océan Arctique largement gelé à cette époque).

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Depuis hier les médias relaient un article qui met en cause le réchauffement climatique dans nos synoptiques actuelles.

L'article est consultable par ici >> http://www.ladepeche...climatique.html

Très intéressant en tout cas !

Le problème est que les médias... mettent toujours le réchauffement en cause de tels évènements (comme dans les années 90 les hivers plus chauds étaient soit disant du au réchauffement comme nous l'a rappelé anecdote, ou lors de la canicule de 2003 qu'on nous disait de même et qu'il doit avoir plus d'étés comme 2003 ou pour les secheresses ou les tempêtes... comme dans cet article par exemple : http://www.lefigaro....s.php?cmtpage=1 ).

De plus on a tout de même connu un printemps commençant ainsi même s'il faut reconnaitre que ce n'est pas courant.

Puis on nous dit : " "On observe le phénomène de réduction de la banquise en Arctique que depuis une quinzaine d'années et c'est un peu court pour conclure formellement" à un lien, argumente David Salas-y-Melia, chercheur en climatologie à Météo France" pourtant elle fond depuis au moins le début des années 79. C'est plutôt que sa fonte c'est accélérée depuis 15 ans ce qui est différent.

Williams

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Posté(e)
Marseille (13) (alt : 40m) et Gap (05) (alt : 780m)

Bref pour moi cet article constate mais n'explique rien.

Je suis un peu d'accord avec toi dans le sens où cet article n'apporte pas de réponse clair et ne donne pas la cause de ces anomalies mais l'article a au moins le mérite d'expliquer ce qu'il se passe dans notre hémisphère en employant des mots scientifiques plutôt poussés. D'habitude quand on lit des articles déstinés au grand public, on croit lire un livre pour enfant tellement les mots employés sont simple et au final l'explication perd toute sa valeur.

J'ai bien aimé cet article car il constate de façon poussée mais c'est sur qu'on reste un peu sur notre faim concernant les causes de tout ça. C'est tout de même mieux que de ne rien dire flowers.gif

Le problème est que les médias... mettent toujours le réchauffement en cause de tels évènements (comme dans les années 90 les hivers plus chauds étaient soit disant du au réchauffement comme nous l'a rappelé anecdote, ou lors de la canicule de 2003 qu'on nous disait de même et qu'il doit avoir plus d'étés comme 2003 ou pour les secheresses ou les tempêtes... comme dans cet article par exemple : http://www.lefigaro....s.php?cmtpage=1 ).

De plus on a tout de même connu un printemps commençant ainsi même s'il faut reconnaitre que ce n'est pas courant.

Puis on nous dit : " "On observe le phénomène de réduction de la banquise en Arctique que depuis une quinzaine d'années et c'est un peu court pour conclure formellement" à un lien, argumente David Salas-y-Melia, chercheur en climatologie à Météo France" pourtant elle fond depuis au moins le début des années 79. C'est plutôt que sa fonte c'est accélérée depuis 15 ans ce qui est différent.

Williams

Ok pour la première partie de ta phrase mais pour la suite ça se discute.

Car c'est vrai qu'à chaque fois qu'un phénomène extrême se produit, les médias ont tendance à toujours rejeter la faute sur le réchauffement climatique alors que ces phénomènes ont toujours existés. C'est vrai aussi que c'est devenu trop simple de faire ce raccourci sans chercher à savoir si cela s'est déjà produit et dans quels conditions.

Mais pour le coup ( et selon moi ), c'est la première fois dans notre époque moderne que l'on reconnait ouvertement que le réchauffement climatique existe bien et qu'il boulverse notre météo en pouvant avoir des effets inverses ! Car, jusqu'à il y a 2 ou 3 ans, il était impensable d'entendre dans les médias classique que le réchauffement pouvait induire un refroidissement de nos hivers. Aujourd'hui on semble avancer un peu vers cette hypothèse qui toutefois je te l'accorde demandera à être confirmé dans les années à venir.

Concernant la banquise, effectivement la fonte ne date pas d'hier mais en 1979 elle était plutôt faible et pouvait être associé à la variabilité naturel ou à un cycle. C'est vraiment depuis 15 ans que la fonte a pris des proportions exceptionnelles et c'est d'ailleurs depuis ce temps là qu'on en parle réellement. C'est peut être pour cela que la climatologue de MF a fais un " mauvais " raccourci si l'on peut dire.

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Ok pour la première partie de ta phrase mais pour la suite ça se discute.

Car c'est vrai qu'à chaque fois qu'un phénomène extrême se produit, les médias ont tendance à toujours rejeter la faute sur le réchauffement climatique alors que ces phénomènes ont toujours existés. C'est vrai aussi que c'est devenu trop simple de faire ce raccourci sans chercher à savoir si cela s'est déjà produit et dans quels conditions.

Mais pour le coup ( et selon moi ), c'est la première fois dans notre époque moderne que l'on reconnait ouvertement que le réchauffement climatique existe bien et qu'il boulverse notre météo en pouvant avoir des effets inverses ! Car, jusqu'à il y a 2 ou 3 ans, il était impensable d'entendre dans les médias classique que le réchauffement pouvait induire un refroidissement de nos hivers. Aujourd'hui on semble avancer un peu vers cette hypothèse qui toutefois je te l'accorde demandera à être confirmé dans les années à venir.

Oui comme tu dis on n’aurait pas cru il y a quelques années entendre les médias dire que le réchauffement pouvait induire à un refroidissement de nos hivers. Justement c'est par ce que les hivers s'étaient réchauffés et on ne pensait pas qu'ils allaient se refroidir.

Si dans les 90 une personne aurait dit que les hivers allaient se refroidir tout le monde allaient se moqué de celui-ci puisque les personnes dont surtout les médias voient le futur suivant comment cela est en train d'évoluer. Car après les hivers très froids 85, 86 et 87 on commençait à nous parler de refroidissement des hivers à cause de cela et l'inverse dans les années 90 à cause du réchauffement puis vu que les hivers c'étaient bien réchauffés. Et actuellement suite à ce qu'on nous dit c'est comme si on nous disait que les hivers vont se refroidir puisqu'on nous dit que la Terre va continuer de se réchauffer et la banquise va continuer à fondre et que c'est la cause de ces hivers qui deviennent plus froids qu'avant.

Donc 3 fois on a changé de voix dans ce qu'on nous dit sur le futur des hivers (froids ou chauds).

Williams

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Ce blocage semble se réalimenté pour ce début du mois d'avril ce qui est exceptionelle.

Allons nous vers un printemps exceptionellement frais?

Le dernier printemps assez frais date de 1996 il me semble.

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Posté(e)
Sainte-Sigolène (43, 820m )

De mon côté en tout cas, je trouve que les températures ne sont pas si froides que ça. Partant du principe que l'année dernière il a neigé à la fin du mois d'Avril, comme chaque années de toute façon sorcerer.gif

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De mon côté en tout cas, je trouve que les températures ne sont pas si froides que ça. Partant du principe que l'année dernière il a neigé à la fin du mois d'Avril, comme chaque années de toute façon sorcerer.gif

Attend un coup de froid passager n'est pas comparable à ce blocage qui dure depuis plusieurs semaines.

Dans le nord on a des température digne d'un mois de Janvier et ça n'est pas l'histoire d'un ou deux jours mais bien d'un mois et cela suite à un mois de février déjà bien froid.

Le sud du pays est exposé à une humidité permanante et un ensoleillement catastrophique pour un mois de Mars.

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Attend un coup de froid passager n'est pas comparable à ce blocage qui dure depuis plusieurs semaines.

Dans le nord on a des température digne d'un mois de Janvier et ça n'est pas l'histoire d'un ou deux jours mais bien d'un mois et cela suite à un mois de février déjà bien froid.

Le sud du pays est exposé à une humidité permanante et un ensoleillement catastrophique pour un mois de Mars.

Oui, exactement.Si l'on parle de records de températures, on ne trouvera pas grand chose au cours de cet hiver ; mieux, c'est l'un des hivers où la tnn a été la moins basse, au moins dans la moitié sud de la France depuis 2001 voir 1994.

Mais ce qui est extraordianire n'est pas là. Depuis le 10 janvier, hormis les 29/30 janvier et quelques jours début mars, on est systématiquement entre 3 et 7 voir parfois 9°C en dessous de la normale. La végétation accuse un retard extraordinaire pas vu depuis 40 ans au moins. (1ère fleur de cerisier notée chez moi depuis 1969, la première fois qu'il n'y a rien en mars...!)scared.gif

Quand à l'ensoleillement, il est déficitaire depuis octobre, avec janvier et mars carrement catastrophique...scared.gif

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Là encore, je cite :

"De récents travaux vont plus loin et suggèrent que la réduction de la banquise arctique, particulièrement marquée depuis 2007, facilite la formation de hautes pressions atmosphériques dans l'Arctique."

Les hautes pressions dans l'Arctique étant associées au froid (de basses couches), on se demande comment le lien peut être fait.

A moins qu'il parle de hautes pressions d'altitude, mais dans ce cas il y a de la distance entre ces hautes pressions (de haute altitude) et la banquise (située au niveau de la mer), alors quel est le lien physique entre les deux ? En Arctique, les inversions thermiques sont fortes et fréquentes entre l'air froid de basses couches et des flux d'air doux en altitude venus du sud.

Par ailleurs on mélange les échelles de temps : quel est le lien entre les minima de superficie de la banquise des dernières années et les AP plus fréquents en hiver ? Il se passe plusieurs mois entre le minimum (septembre) et l'hiver suivant ! La banquise est actuellement très étendue en Arctique, ce qui est normal puisqu'on est en fin d'hiver, donc les conditions sont bonnes pour qu'il y ait production d'air froid en basses couches. Précisons que le blocage actuel n'est pas constitué d'un AP immobile mais d'APs (au pluriel) renouvelés et mobiles (se dirigeant vers l'Europe). Bref je ne vois pas du tout le lien entre "la réduction de la banquise arctique" (qui relève de l'été) et "la formation de hautes pressions atmosphériques dans l'Arctique" (chaque AP se formant rapidement au-dessus de l'océan Arctique largement gelé à cette époque).

Je suis totalement d'accord avec vous sur vos deux commentaire .

Mais j'aimerai rajouter quelque chose que vous n'avez pas mis .

Je cite: "moins il y a de banquise arctique pour refléter les rayons du soleil, et plus la mer se réchauffe (et accélère, à son tour, la fonte de la banquise).

A l'automne, la chaleur emmagasinée est graduellement relâchée dans l'atmosphère, augmentant le taux d'humidité et la pression atmosphérique, et réduisant d'autant la différence de température entre l'Arctique et les latitudes plus basses.

Vortex

Cette situation modifie alors le ballet complexe qui se joue entre la mer et l'air, en l'occurrence l'Oscillation arctique et l'Oscillation nord-atlantique qui influencent directement le temps qu'il fait en Amérique du nord et en Europe.

L'un des effets est l'affaiblissement du vortex polaire, ce cyclone permanent situé à proximité du pôle, moins capable de retenir les masses d'air froid et humide en provenance de l'Arctique, qui se déversent ainsi sur des latitudes plus basses.

Cette phrase n'a ni queue ni tête , même si le taux d'humidité augmente dans l'atmosphère mais surtout dans troposphère , le vortex polaire ne sera pas touchée , le vortex polaire se situe en 20 et 50 km et à cette hauteur l'humidité s'y fait rare .

Le vortex polaire est très fort cette année et les masses d'air froide accumulée sont pharaonique , l'air froid est bel et bien stable avec un anticyclone boréal permanent sur l'arctique depuis novembre .

Plus aucun signe du réchauffement climatique depuis 15 ans , bizarrement c'est depuis de l'activité solaire est quasiment stable . L'on essaie d'assimiler tout au réchauffement climatique qui n'existe plus .

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Il y'a pourtant une autre explication plus simple aux blocages réccurents depuis 4 ans sur l'hemisphere nord. La faible activité solaire perturbe le jet polaire. Il y a déjà eu des études la dessus

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/climatologie-1/d/lactivite-solaire-pourrait-expliquer-les-hivers-froids-en-europe_23433/

Mais on préfère d'autres explications dans les médias plus conventionelles on va dire thumbdown.gif

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Posté(e)
Saint Leu La Foret (95), altitude 70 mètre.

Oui, exactement.

Si l'on parle de records de températures, on ne trouvera pas grand chose au cours de cet hiver ; mieux, c'est l'un des hivers où la tnn a été la moins basse, au moins dans la moitié sud de la France depuis 2001 voir 1994.

Mais ce qui est extraordianire n'est pas là. Depuis le 10 janvier, hormis les 29/30 janvier et quelques jours début mars, on est systématiquement entre 3 et 7 voir parfois 9°C en dessous de la normale. La végétation accuse un retard extraordinaire pas vu depuis 40 ans au moins. (1ère fleur de cerisier notée chez moi depuis 1969, la première fois qu'il n'y a rien en mars...!)scared.gif

Quand à l'ensoleillement, il est déficitaire depuis octobre, avec janvier et mars carrement catastrophique...scared.gif

En 1986 j'écrivais le temps qu'il faisait journalièrement et voici ce que j'écrivis le 21/04/1986 " Toujours pas le moindre bourgeons et aucune feuilles sur les arbres"Je me rappel que l'hiver 1985/86 avait été long et froid et avait commencé dés la fin du mois d'octobre 1985 avec un record de froid le 30/10/1985 au Bourget "tnn la plus basse depuis 1921", pour atteindre un premier paroxisme au mois de novembre qui fut soit dit en passant le plus froid depuis 1921 au Bourget, pour se relacher un peu au mois de décembre et janvier quoique entrecoupé de bon gros coup froid comme a la fin du mois de décembre 1985, puis a repris a la fin du mois de janvier 1986 pour se terminer au mois d'avril qui fut lui aussi le mois le plus froid depuis 1921 toujours au méme endroit en passant pas le mois de fevrier le plus froid depuis 1956 !

Il avait neigé au mois de novembre, decembre, janvier, fevrier, mars et avril.

Je pense que si l'on étudiait les cartes synoptiques de cette hiver la, on retrouverait la récurrence d'un blocage qui n'a fait que s'amplifier a partir du mois de fevrier et qui avait commencé au mois d'octobre 1985.

Apres tant de superlatifs la periode froide actuelle parait bien moins extraordinaire qu'elle n'y parait, et surtout pas si lointaine de la précédente.

Apres cette longue periode froide, l'été ne fut pas fameux 191769.gif

phil

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En réponse aux intervenants précédents qui se reconnaîtront, comment peut-on rebondir sur ce sujet avec des arguments aussi fallacieux ?

Je cite la "meilleure"sick.gif

.

Plus aucun signe du réchauffement climatique depuis 15 ans , bizarrement c'est depuis de l'activité solaire est quasiment stable . L'on essaie d'assimiler tout au réchauffement climatique qui n'existe plus .

Rabelais de nous rappelé que "l’ignorance est mère de tous les maux", et de très bien me remémorer l’édito de Jacques Siméon du n°55 de la revue la météorologie sur le bon usage du doute que je vous invite à lire.

Piqure de rappel indispensable pour ne pas m’obligez à vous citer Courteline sur sa vision de l’intelligence vs l’imbécilité.

Documentez-vous sur les lois fondamentales de la physique et de la dynamique de l’atmosphère, ce forum comporte une partie explication bien argumentée et accessible, mais depuis le temps je pense être dans l’illusion de convaincre le sceptique qui igore tout de la discipline qu’il tente de mettre en perspective (ou bien prouvez nous enfin le contraire).

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Posté(e)
Buhl-lorraine, Moselle ( 260 m )

En 1986 j'écrivais le temps qu'il faisait journalièrement et voici ce que j'écrivis le 21/04/1986 " Toujours pas le moindre bourgeons et aucune feuilles sur les arbres"

Je me rappel que l'hiver 1985/86 avait été long et froid et avait commencé dés la fin du mois d'octobre 1985 avec un record de froid le 30/10/1985 au Bourget "tnn la plus basse depuis 1921", pour atteindre un premier paroxisme au mois de novembre qui fut soit dit en passant le plus froid depuis 1921 au Bourget, pour se relacher un peu au mois de décembre et janvier quoique entrecoupé de bon gros coup froid comme a la fin du mois de décembre 1985, puis a repris a la fin du mois de janvier 1986 pour se terminer au mois d'avril qui fut lui aussi le mois le plus froid depuis 1921 toujours au méme endroit en passant pas le mois de fevrier le plus froid depuis 1956 !

Il avait neigé au mois de novembre, decembre, janvier, fevrier, mars et avril.

Je pense que si l'on étudiait les cartes synoptiques de cette hiver la, on retrouverait la récurrence d'un blocage qui n'a fait que s'amplifier a partir du mois de fevrier et qui avait commencé au mois d'octobre 1985.

Apres tant de superlatifs la periode froide actuelle parait bien moins extraordinaire qu'elle n'y parait, et surtout pas si lointaine de la précédente.

Apres cette longue periode froide, l'été ne fut pas fameux 191769.gif

phil

mon dieu, on parle de mars 1986 et pourtant mars 1986 est bien loin de mars 2013 en therme de froid vif et long sur la moitié nord de la France.

Indice de la NAO mars 1986: +1,7

Indice de l'AO: +1,9

enfin bref, je suis vraiment en désaccord avec vous et difficile de croire que la végétation était en retard à l'époque

surtout quand on voit cette situation:

Rrea00119860313.gif

On peut dire ce qui est mais les blocages nordiques ne se sont pas du tout mais alors du tout accentués au début du printemps 1986. Il a fallu attendre la fin de la première décade d'avril 1986 pour revoir le blocage nordique se réinstaller avec à la clé une descente polaire sur la France autour du 10 avril

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3 facteurs caractérisent le côté rare de cette situation :

1) La pente négative de la température entre la 1ère et la 2nde quinzaine du mois de mars. On a eu de la douceur, mais en 1ère décade.

2) Le caractère continu du froid (au nord) depuis bientot 1 mois (ça me rappelle le mois de froid continu entre mi-février et mi-mars 2005).

3) Le cumul de froid et de manque de soleil sur 3 mois, agrémenté d'épisodes neigeux mémorables.

En 1996, mars avait été froid mais sec et ensoleillé. Une vague de douceur avait eu lieu vers le 18 mars, permettant à la végétation de démarrer. Cette année, l'originalité de la situation est que le froid se concentre sur la période de démarrage de la végétation...

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Posté(e)
Buhl-lorraine, Moselle ( 260 m )

3 facteurs caractérisent le côté rare de cette situation :

1) La pente négative de la température entre la 1ère et la 2nde quinzaine du mois de mars. On a eu de la douceur, mais en 1ère décade.

2) Le caractère continu du froid (au nord) depuis bientot 1 mois (ça me rappelle le mois de froid continu entre mi-février et mi-mars 2005).

3) Le cumul de froid et de manque de soleil sur 3 mois, agrémenté d'épisodes neigeux mémorables.

En 1996, mars avait été froid mais sec et ensoleillé. Une vague de douceur avait eu lieu vers le 18 mars, permettant à la végétation de démarrer. Cette année, l'originalité de la situation est que le froid se concentre sur la période de démarrage de la végétation...

tu as entièrement tout dit et je suis completement d'accord avec tout ca. Il est vrai que c'est bien de rappeler que mars 1996 avait été très ensoleillé mais c'est également le cas de mars 1987, mars 1986 et l'incroyable mars 1984 et ses 9,6 mm à strasbourg. Ce mois de mars 2013 est très atypique car malgré le manque total d'ensoleillement, il a été sec tandis que les autres années cités au dessus, le soleil s'était montré généreusement
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Saint Leu La Foret (95), altitude 70 mètre.

mon dieu, on parle de mars 1986 et pourtant mars 1986 est bien loin de mars 2013 en therme de froid vif et long sur la moitié nord de la France.

Indice de la NAO mars 1986: +1,7

Indice de l'AO: +1,9

enfin bref, je suis vraiment en désaccord avec vous et difficile de croire que la végétation était en retard à l'époque

surtout quand on voit cette situation:

On peut dire ce qui est mais les blocages nordiques ne se sont pas du tout mais alors du tout accentués au début du printemps 1986. Il a fallu attendre la fin de la première décade d'avril 1986 pour revoir le blocage nordique se réinstaller avec à la clé une descente polaire sur la France autour du 10 avril

Je ne parle pas que du mois de mars 1986 sleeping.gif relis moi! mais de l'hiver 1985/86 mois d'octobre, novembre mars et avril inclus qui furent froid, bien plus froid que l'hiver de chochotte tongue.png que l'on vient de vivre... et en 1986 j'avais 19 ans et j'etais déjà un observateur assidu du temps qu'il faisait et je n'ai pas a me justifier du retard phènologique au 21/04/1986 que j'a annoté sur mon carnet tellement il m'avait surpris.Tu as choisi une carte qui n'est pas du tout représentatif de l'hiver que l'on a vécu a ce moment la, d'ailleurs le 13/3/1986 quelques jours après la fin de la tres longue vague de froid qui dura de fin janvier au 4/03/1986 il faisait pas bien chaud et tu le sais tres bien mais tu cherches a tromper ton mondes avec ton flux de SSE en omettant de dire qu'il faisait froid en basse couche ! il n'avais pas fait plus de 7°c ce jour dans une ambiance fraiche et brumeuse, puis les trois jours suivant furent tres doux avant le retour d'un temps bien plus froid dés le 20/03/1986, froid qui perdurera tout le mois d'avril 1986.

Je me fous des indices c'est le temps sensible qui m'interesse ! m'enfin si tu as les indices de octobre, novembre, décembre, janvier, fevrier et avril je suis curieux de les connaitres ?

A aucun moment la nature n'avait pas pu démarrer correctement car les periodes douces etaient bien trop courtes.

Ce que j'ai remarqué depuis 5 ans c'est surtout le retour de la neige ! on retrouve les quantités de neige que l'on observait dans les années 60... mais sans le froid ph34r.png bien plus que dans les années 80 car le froid n'est pas exceptionnel il a simplement permis de revenir a peu près a la moyenne de 1951-80 mais sur 5 ans, car si je prends les 5 dernières années j'obtiens 7 jours sans dégel en moyenne au Bourget, alors que la moyenne sur 30 ans était de 8 jours en 1951-80 et de 11 jours en 1941-70 ! "et de 15 jours en 1811-1840 w00t.gif " ces 7 jours en moyenne sur 5 ans sont encourageant et font bien mieux que les 3,7 jours de 1981-10.

Les derniers hivers a l'exception de l'hiver 2011/12 sont marqués par des conflits de masses d'air répétitifs et neigeux au nord de la Loire mais qui finissent rarement en vague de froid, d'ou un très faible nombres de jours sans degel, mais bon comme le phénomème est récent et de plus en plus insistant il est fort probable qu'une grande vague de froid soit en préparation tres rapidement.

Phil

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Posté(e)
Buhl-lorraine, Moselle ( 260 m )

Je ne parle pas que du mois de mars 1986 sleeping.gif relis moi! mais de l'hiver 1985/86 mois d'octobre, novembre mars et avril inclus qui furent froid, bien plus froid que l'hiver de chochotte tongue.png que l'on vient de vivre... et en 1986 j'avais 19 ans et j'etais déjà un observateur assidu du temps qu'il faisait et je n'ai pas a me justifier du retard phènologique au 21/04/1986 que j'a annoté sur mon carnet tellement il m'avait surpris.

Tu as choisi une carte qui n'est pas du tout représentatif de l'hiver que l'on a vécu a ce moment la, d'ailleurs le 13/3/1986 quelques jours après la fin de la tres longue vague de froid qui dura de fin janvier au 4/03/1986 il faisait pas bien chaud et tu le sais tres bien mais tu cherches a tromper ton mondes avec ton flux de SSE en omettant de dire qu'il faisait froid en basse couche ! il n'avais pas fait plus de 7°c ce jour dans une ambiance fraiche et brumeuse, puis les trois jours suivant furent tres doux avant le retour d'un temps bien plus froid dés le 20/03/1986, froid qui perdurera tout le mois d'avril 1986.

Je me fous des indices c'est le temps sensible qui m'interesse ! m'enfin si tu as les indices de octobre, novembre, décembre, janvier, fevrier et avril je suis curieux de les connaitres ?

A aucun moment la nature n'avait pas pu démarrer correctement car les periodes douces etaient bien trop courtes.

Ce que j'ai remarqué depuis 5 ans c'est surtout le retour de la neige ! on retrouve les quantités de neige que l'on observait dans les années 60... mais sans le froid ph34r.png bien plus que dans les années 80 car le froid n'est pas exceptionnel il a simplement permis de revenir a peu près a la moyenne de 1951-80 mais sur 5 ans, car si je prends les 5 dernières années j'obtiens 7 jours sans dégel en moyenne au Bourget, alors que la moyenne sur 30 ans était de 8 jours en 1951-80 et de 11 jours en 1941-70 ! "et de 15 jours en 1811-1840 w00t.gif " ces 7 jours en moyenne sur 5 ans sont encourageant et font bien mieux que les 3,7 jours de 1981-10.

Les derniers hivers a l'exception de l'hiver 2011/12 sont marqués par des conflits de masses d'air répétitifs et neigeux au nord de la Loire mais qui finissent rarement en vague de froid, d'ou un très faible nombres de jours sans degel, mais bon comme le phénomème est récent et de plus en plus insistant il est fort probable qu'une grande vague de froid soit en préparation tres rapidement.

Phil

l'hiver 1985/1986 il y a que février qui avait été glacial. Octobre 1985 fut très chaud, novembre 1985 très froid, décembre 1985 très doux ( surtout la première quinzaine avec des record de douceur en début du mois), janvier 1986 fut doux dans un grand quart sud-ouest et le sud-est mais froid essentiellement dans le nord-est à l'image de janvier 1996. Il y a donc que février 1986 qui a rattrapé rapidement l'excédent des deux mois précédents. Mars 1986 est loin d'être un mois froid. Enfin bref, je trouve que tu en fais trop un plat avec cet hiver 85/86 froid certes mais que grace à février
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