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acrid vintaquatre

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Tout ce qui a été posté par acrid vintaquatre

  1. Oui en effet je viens de voir qu'on avait 2 fois la même valeur Du coup pour Colmar le record est encore + largement battable !
  2. OK Merci ! Moi je suis encore à la version 2007 faudra que je vois si y'a moyen, en attendant je les ai fait sur Excel... Oui c'est une bonne méthode car les températures moyennes étant prises en compte dedans, des températures élevées comme cette année ont une incidence importante sur la sécheresse...
  3. Bon voilà j'ai moi aussi calculé l'indice d'aridité de 2011 chez moi et voilà ce que ça donne : Vous m'excuserez pour les quelques approximations pour les niveaux d'aridité n'ayant pas réussi à intégrer des graduations par 5 dans mes graphiques... Voilà la situation normale : Et à titre de comparaison voilà la situation en 2010 :
  4. Avec quel logiciel réalises-tu tes graphiques si ce n'est pas indiscret ?
  5. Et voici quelques clichés que j'ai retrouvé afin que chacun se rende mieux compte de la situation géographique de la région, bien que je pense que mes explications étaient relativement claires... Une vue imprenable sur la Cerdagne et les sommets du Capcir prise depuis les pistes de La Molina (Espagne) en direction du Nord-Est (Avril 2010) Toujours depuis les hauteurs de La Molina mais cette fois-ci en direction de l'Espagne (vers le Sud-Ouest), on voit bien les amas nuageux imposants au loin (Avril 2010) Le blocage nuageux dont je parlais que créé le col du Puymorens (photo prise en direction de la vallée de l'Ariège) (Juillet 2011) Encore une vue dégagée sur le plateau de la Cerdagne en direction du Nord, photo prise depuis la borne 504 qui délimite la frontière franco-espagnole (Avril 2006) Photo prise en direction du Nord-Est, au fond on peut voir les pistes de Font-Romeu, exposées plein sud (Avril 2006) Le Capcir au niveau de la commune de Bolquère, en direction du Sud (Avril 2006) La vallée de la Têt qui descend vers le Roussillon puis Perpignan vers l'Est (Avril 2006)
  6. Pour en revenir sur le cas du plateau de la Cerdagne, qui est en fait une vallée très élargie (environ 15 km de large), suffisamment élargie pour ne pas "subir" le cache-cache du soleil derrière les massifs environnants en hiver. Connaissant très bien la région depuis 15 ans j'apporte mes précisions personnelles : Géographiquement la Cerdagne est une "erreur administrative" si on veut. En fait la région était espagnole à l'origine mais il a été décidé arbitrairement que la moitié Est de la Cerdagne serait française pour je ne sais quelle raison. Résultat, cette région est géographiquement partie intégrante de l'Espagne si on considère les frontières naturelles, et administrativement elle est française. Le plateau est étalé en longueur dans le sens EST/OUEST. A l'Ouest du plateau il y a l'Espagne qui continue ce plateau (le plateau se transforme en vallée, descendant jusqu'à Barcelone), au Nord-Ouest il y a l'Andorre et la vallée de l'Ariège (derrière le col du Puymorens), au Nord la chaîne de sommets (où se trouve le Pic Carlit et contre laquelle est appuyé Font-Romeu donc exposé plein sud) séparant le plateau de la vallée de l'Aude, à l'Est il y a le Capcir et derrière le Capcir la vallée de la Têt qui descend vers le Roussillon et Perpignan, et enfin au Sud il y a la chaîne de sommets qui sépare du reste de l'Espagne A l'Est de ce plateau se trouve donc le massif du Capcir (Font-Romeu marquant la limite entre Cerdagne et Capcir). Le massif du Capcir a une altitude moyenne + élevée que la Cerdagne : 1500-1800 m pour le Capcir et 1100-1400 m pour la Cerdagne. Le Capcir fait donc en partie barrage aux perturbations méditerranéennes, ce qui explique que quasiment toutes les stations de ski de la région se trouvent sur le Capcir, qui a une altitude + élevée mais aussi davantage de neige puisque les perturbations méditerranéennes viennent s'y échouer. Quant à Mont-Louis, cette ville en hauteur délimite le "Haut Capcir" et la vallée de la Têt (très abrupte !). Je pense donc que sur l'Ouest de la Cerdagne on doit avoir des valeurs d'ensoleillement encore + importantes qu'à Mont-Louis, etc. Au Nord il y a donc le col du Puymorens qui a un effet encore + impressionnant sur le blocage des nuages et des perturbations venus de l'Ariège. Je m'explique : regardez donc cette vallée de face, 3 jours sur 4 vous verrez un amas nuageux impressionnant derrière le col de Puymorens alors que vous ne verrez que du ciel bleu autour de vous, dans 90 % des cas, ces nuages resteront derrière ce col, pauvres Ariégois ! (La vallée de l'Ariège est particulièrement sombre en + d'être très encaissée, surtout à la basse saison) Et enfin au Sud, une seconde chaîne montagneuse qui sépare la Cerdagne du reste de l'Espagne qui est souvent sous les nuages aussi (orages courants en été et brouillards en hiver). Côté climat (en dehors du critère de l'ensoleillement), la Cerdagne est un subtil mélange entre climat montagnard et climat méditerranéen, étant donné sa moyenne altitude. Si on veut résumer pour les températures, les nuits et les matinées sont montagnardes quelque soit la saison (bien fraîches) et les après-midis sont plutôt méditerranéennes même en hiver (par beau temps). En hiver ce sont de longues périodes ensoleillées (la moitié du temps ventées par la tramontane) entrecoupées par 1 ou 2 jours de neige. En été le temps dominant est : un ciel limpide et pas de vent le matin avec des températures qui grimpent très vite et puis quelques cumulus de beau temps se lèvent en début d'après-midi en même temps que la tramontane, qui, parfois, rafraîchit considérablement l'atmosphère ! Il n'y a pas si souvent que ça des orages sur le plateau, ceux ci se produisent surtout sur les hauteurs, mais quand il y en a on perd souvent une quinzaine de degrés en 1 ou 2 heures, des bons orages de montagne quoi ! Mais alors il y a un phénomène là-bas en été, qui est en fait rien de + que de l'effet de foehn, mais qui est impressionnant quand on connaît l'altitude du lieu : quand le vent de sud se lève (le vent qui redescend des sommets espagnols donc) on peut monter à 34-35 degrés sans problème alors qu'on est à 1200 m d'altitude tout de même !
  7. Si je ne me trompe pas, la "lumière directe" c'est en gros l'"ensoleillement direct" c'est à dire le nombre d'heures où le soleil brille sans aucun obstacle (nuages). Et dans le calcul total de l'ensoleillement on rajoute la "lumière diffuse" c'est celle qui est diffusée par le soleil à travers des nuages, qui dégage donc une puissance moindre. Avec cette lumière "diffuse" prise en compte dans les calculs, c'est assez courant qu'en été les capteurs enregistrent de l'ensoleillement alors que le soleil est derrière un cumulus (ce qui est assez courant en été dans l'après-midi...), mais si ce cumulus n'est pas très épais, le soleil étant puissant en été, il diffuse quand même de la lumière. Ce que je ne trouve pas très logique dans cette méthode de mesure, qui est celle de Météo France, c'est qu'en mesurant en quantité d'énergie reçue on se retrouve avec un ensoleillement surestimé en été et sous-estimé en hiver. J'ai expliqué le problème pour l'été, mais c'est valable à l'inverse dans le cas d'une belle journée ensoleillée d'hiver, lorsque le soleil descend dans l'horizon il devient trop peu puissant pour que l'ensoleillement soit pris en compte... Dans le cas d'Odeillo, coin que je connais très bien puisque j'y ai de la famille , je pense que l'ensoleillement direct très important pendant la période hivernale explique que le plateau Cerdan ait le double de Paris (le double pour de l'ensoleillement c'est quand même énorme). Il est très fréquent dans ce coin (sur le plateau, pas sur les sommets) qu'il n'y ait pas un seul petit nuage pendant 2 semaines entières en hiver, j'ai déjà vu ça plusieurs fois en vacances là-bas ! Par contre s'il se met à faire mauvais même une seule journée dans le mois, bah c'est la montagne donc c'est tempête de neige avec grosses rafales jusqu'en moyenne altitude (1000 m).
  8. Oui je me doute que ça doit te prendre du temps, déjà quand j'essaye de faire des comparatifs et de collecter des données pour un seul critère et pour une seule station ça me prend déjà un bout de temps ! Bon courage et je guetterai tes nouveaux ajouts
  9. Ça fait peur en effet Surtout quand on sait que l'Europe centrale était déjà touchée, comme nous au printemps, par la sécheresse...
  10. J'ai trouvé sur le site de Géo Portail une carte interactive de toutes les stations MF répertoriées avec les dates d'ouverture de ces stations, alors voilà pour ceux que cela intéresserait, afin de pouvoir établir des comparatifs de la valeur des statistiques de plusieurs stations. Je mettrais dans ma liste seulement les 73 stations disponibles sur le site climat de MF mais on trouve aussi toutes les autres stations. Ouverture avant 1940 : 1872 : Paris 1893 : Châteauroux 1895 : Mont Aigoual 1904 : Trappes 1920 : Bordeaux, Marignane, Montélimar 1921 : Nancy, Strasbourg, Abbeville, Chartres 1922 : Clermont-Ferrand 1924 : Perpignan 1929 : Toulouse, Metz 1933 : Saint-Quentin 1936 : Auxerre 1939 : Agen, Montpellier Ouverture entre 1940 et 1950 : 1940 : Grenoble 1941 : Vichy 1942 : Nice 1943 : Mâcon 1944 : Mont de Marsan, Tarbes, Dijon, Lille, Beauvais, Caen, Le Mans, Rennes, Cognac 1945 : Bourg Saint-Maurice, Bourges, Alençon, Nantes 1946 : Orléans, Lyon, Saint-Étienne, Nevers 1947 : Melun 1948 : Carcassonne, Orange Ouverture entre 1950 et 1970 : 1951 : Lorient 1953 : Biarritz 1954 : Cambrai, Saint-Auban 1959 : Tours 1961 : Gourdon 1964 : Millau 1968 : Toulon, Rouen, Évreux Ouverture après 1970 : 1973 : Limoges 1976 : Aurillac 1983 : Le Puy 1984 : La Roche sur Yon 1985 : Saint-Brieuc 1987 : Brive 1988 : Bergerac 1989 : Albi 1990 : Charleville Mézières 2000 : La Rochelle Pour la station de La Rochelle vu que les records sont antérieurs à la date d'ouverture, j'en conclue logiquement que la station existait déjà avant mais qu'elle a été déplacée à cette date.
  11. Hé je viens de remarquer un truc ! Si on rajoute 2011 aux 3 grandes années de sécheresse que j'ai cité précédemment (les autres années ont davantage connu des sécheresses "régionales"), on trouve une répartition chronologique presque logique : 1921 à 1953 : 32 ans 1953 à 1989 : 36 ans 1989 à 2011 : 22 ans Donc en moyenne une grande sécheresse tous les 30 ans. C'est le même phénomène que les grandes canicules : 1949, 1976 et 2003 (je crois qu'il y en a eu d'autres avant). Je ne sais pas si mon observation est pertinente professionnellement mais on observe quand même une récurrence chronologique des grands phénomènes nationales (pas à l'année près mais bon...). Je voudrais votre avis là dessus...
  12. Oui s'il ne pleut pas suffisamment cet hiver ça va être très tendu en 2012, surtout dans l'ouest. Ce que je peux dire de chez moi à Bordeaux c'est qu'au mois d'Octobre les autorités ont du relâcher de force de l'eau des lacs pyrénéens dans la Garonne pour qu'elle garde un niveau pas trop critique. Lors de ce relargage ils ont mesuré le niveau de la Garonne à Toulouse, et elle se trouvait à son + bas niveau depuis 1967. Le niveau de la Garonne ici est très bas depuis pas mal de mois déjà, et pourtant elle se remplit à marée haute lors des grandes marées, mais même dans ces moments là son niveau reste 3 à 4 m en dessous de la normale (on voit bien la délimitation sur les piliers des ponts). Quand je ne me limite pas à 2011 pour les cumuls pluviométriques j'observe une chose : depuis le 1er Juillet 2010, seuls Novembre 2010 et Août 2011 ont été au dessus de la normale ici. Et les mois déficitaires à + de 70 % se comptent sur les doigts des 2 mains : Juillet, Août et Septembre 2010, ainsi que Janvier, Avril, Mai, Juin et Septembre 2011 (et Novembre suit de près) Et encore, 2008 et 2009 avaient sauvé la mise (années bien humides, surtout 2008), parce qu'en regardant la décennie 2000, avant ces 2 années la sécheresse durait depuis 2003 !
  13. En termes de nombre de jours de pluie voilà les années qui cumulent pas mal de records : 1953 : 18 records 1989 : 16 records 1921 : 6 records 1949 : 4 records 1971, 1976, 2003 et 2005 : 3 records 1959, 1996 et 2007 : 2 records Et en termes de cumul total : 1953 : 18 records 1921 et 1989 : 7 records 1949 et 1976 : 6 records 1967 et 1985 : 5 records 2005 : 4 records 1967 : 3 records 2007 : 2 records - La (relative) mauvaise position de 1921 s'explique par le critère chronologique comme on en a discuté avant, beaucoup de stations n'ont ouvert qu'après. - 1953 est, décidément, une année de grande sécheresse, à peu près comparable à 2011. Quant à 1989 je crois qu'elle est prise comme référence en terme de sécheresse nationale par la plupart des médias météo, car au moins, à cette date, toutes les stations actuelles étaient ouvertes, c'est donc un bon outil de comparaison. - A chaque sécheresse naissante on nous rabâche le spectre de 1976, alors qu'au final, cette année là n'avait pas été si terrible (sur les 12 mois du moins), ce sont surtout les régions les + au nord qui avaient été touchées. - La plupart des années récurrentes ont connu des étés bien chauds il me semble (il faudrait vérifier), alors que 2011...Pas vraiment (un été normal et plutôt humide)... => 1921, 1953 et 1989 sont les 3 grandes années sur le podium. Et vous remarquerez quelque chose d'intéressant dans la répartition géographique de ces 3 grandes sécheresses, elles concernent à chaque fois davantage la moitié ouest ainsi que les régions centrales (jusqu'au centre-est), exactement comme en 2011. On peut donc quasiment en conclure que lors des grandes sécheresses d'ampleur nationale c'est l'ouest et le centre qui sont davantage touchés. Il faut croire que lors de ces 3 années s'est mis en place dans l'atmosphère les mêmes mécanismes qu'en 2011 : les systèmes dépressionnaires et anticycloniques ont circulé beaucoup + au nord que d’habitude entraînant un blocage de l'anticyclone des Açores sur l'Europe de l'Ouest et le passage du rail de perturbations s'est fait très au nord de l'Europe, en conclusion absence quasi permanente du flux d'ouest.
  14. Voilà donc comme promis les mêmes statistiques que dans mon précédent bilan mais cette fois-ci avec le nombre de jours de pluie : (cette fois-ci je les ai trié en ordre croissant pour que ce soit + clair /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> ) Même découpage géographique que dans le précédent bilan. Les stations en rouge sont en lice pour le record du nombre minimal de jours de pluie, les stations en orange sont en lice mais tellement proches du record qu'il ne sera à priori pas battu en 2011, sous réserve des surprises que peut nous réserver Décembre (ou pas) ! (en gros ceux où il y a moins de 10 jours d'écart entre 2011 et le record je les ai mis en orange, 10 jours étant à peu près la moyenne de jours de pluie de Décembre sur pas mal de régions...) SUD OUEST (Régions Aquitaine, Midi-Pyrénées et Poitou-Charentes) : Millau : 55 - 101 - 70 (2005) Albi : 61 - 106 - 80 (1989) Toulouse : 64 - 99 - 68 (1989) Agen : 69 - 112 - 72 (1953) La Rochelle : 70 - 116 - 81 (1989) Poitiers : 73 - 112 - 68 (1953) Bergerac : 77 - 116 - 72 (1989) Bordeaux : 80 - 128 - 78 (1921) Cognac : 81 - 120 - 78 (1989) Mont de Marsan : 83 - 126 - 82 (1953) Gourdon : 87 - 120 - 85 (1989) Biarritz : 95 - 144 - 99 (1989) Tarbes : 100 - 125 - 91 (1989) GRAND OUEST (Régions Bretagne, Pays de la Loire, Basse Normandie) : Rennes : 76 - 116 - 81 (1953) Angers : 76 - 109 - 71 (1953) Le Mans : 77 - 114 - 71 (1953) Saint-Brieuc : 79 - 139 - 101 (1996) Alençon : 81 - 121 - 81 (1953) Caen : 82 - 124 - 92 (1959) Nantes : 87 - 120 - 82 (1953) La Roche sur Yon : 89 - 122 - 88 (2003) Lorient : 91 - 133 - 91 (1953) Brest : 108 - 156 - 115 (1953) CENTRE (Régions Centre, Limousin, Auvergne) : Le Puy en Velay : 62 - 105 - 73 (1989) Clermont-Ferrand : 63 - 90 - 61 (1961) Chartres : 65 - 109 - 67 (1949) Tours : 66 - 113 - 87 (1989) Orléans : 72 - 113 - 70 (1953) Châteauroux : 78 - 115 - 79 (1945) Brive : 79 - 117 - 84 (1989) Limoges : 80 - 136 - 105 (1989) Bourges : 82 - 119 - 90 (1989) Vichy : 84 - 118 - 81 (1949) Aurillac : 98 - 135 - 96 (1989) NORD EST (Régions Alsace, Lorraine et Champagne-Ardennes) : Colmar : 73 - 104 - 77 (2003) Reims : 73 - 113 - 75 (1953) Troyes : 79 - 115 - 83 (1976) Strasbourg : 81 - 112 - 75 (1971) Metz : 92 - 123 - 81 (1953) Saint-Dizier : 92 - 133 - 95 (2003) Nancy : 93 - 123 - 87 (1953) Charleville-Mézières : 95 - 135 - 99 (1991) CENTRE EST (Régions Bourgogne, Franche-Comté et Rhône-Alpes) : Montélimar : 56 - 80 - 52 (2005) Saint-Étienne : 69 - 98 - 75 (1989) Lyon : 69 - 107 - 60 (1921) Bourg Saint-Maurice : 74 - 111 - 85 (1953) Grenoble : 75 - 110 - 81 (1971) Dijon : 79 - 115 - 84 (1964) Mâcon : 80 - 115 - 85 (1949) Auxerre : 81 - 119 - 76 (1964) Nevers : 85 - 124 - 89 (1953) Luxeuil : 90 - 140 - 94 (1953) Besançon : 93 - 140 - 99 (1921) NORD (Régions Haute-Normandie, Ile de France, Picardie et NPDC) : Paris : 68 - 111 - 60 (1921) Melun : 72 - 117 - 81 (1959) Beauvais : 74 - 117 - 80 (1976) Trappes : 75 - 119 - 67 (1921) Creil : 79 - 124 - 81 (1976) Cambrai : 80 - 123 - 84 (1959) Saint-Quentin : 81 - 123 - 84 (1953) Évreux : 83 - 115 - 88 (1996) Lille : 94 - 126 - 86 (1949) Abbeville : 98 - 126 - 75 (1921) Rouen : 100 - 132 - 94 (1971) MÉDITERRANÉE (Régions Languedoc-Roussillon et PACA) : Nice : 44 - 63 - 40 (1989) Marignane : 46 - 56 - 30 (2007) Toulon : 48 - 61 - 38 (2001) Montpellier : 48 - 60 - 36 (2007) Perpignan : 51 - 56 - 37 (1970) Orange : 54 - 69 - 41 (2005) Carcassonne : 61 - 92 - 59 (2006) Saint-Auban : 64 - 77 - 53 (1998) Mont Aigoual : 92 - 133 - 78 (1929) CONCLUSION : - Beaucoup de villes en lice pour battre leur record : Limoges, Tours et Saint-Brieuc en tête ! - Le constat est un peu différent que sur les cumuls en millimètres puisque le Sud Ouest compte assez peu de records (comparé au cumul en mm), tandis que le Grand Ouest et le Centre en comptent beaucoup. Pour le Sud Ouest j'expliquerai cela par un certain nombre de jours avec des petits cumuls (souvent inférieurs à 5 mm) essentiellement sur les mois de Juillet, Octobre et Novembre (observation personnelle pour chez moi à Bordeaux). - Aucune station n'est au dessus de sa moyenne cette fois-ci. - Les régions méditerranéennes connaissent également un déficit même si toutes les stations ont dépassé leurs records de cumul minimum. N.B : Décidément, 1953 était une année exceptionnelle ! Année la + récurrente en cumul comme en nombre de jours. Vous remarquerez également que 1921 est une année record presque imbattable en nombre de jours de pluie (Bordeaux, Lyon, Paris, Trappes et Abbeville)
  15. Oui je pense que certaines stations ne vont avoir aucun mal à battre leur propre record (je pense aux mêmes stations que celles que tu as citées...Et d'autres !). Si on rajoute au cumul de 2011 la pluviométrie moyenne de Décembre, qui est sur la plupart des régions un des mois les + humides de l'année, certaines stations auront encore un écart énorme par rapport à leur record : pour la plupart des villes que tu as cité il faudrait au moins 100 mm, voir carrément + pour certaines, pour ne pas battre les records ! C'est une bonne idée celle que tu viens de lancer, je vais m'y mettre je suis motivée ce soir alors je continue sur ma belle lancée Le constat sera à peu près le même je pense, sauf pour les régions méditerranéennes qui, finalement, ont reçu beaucoup de pluie en peu de jours...
  16. En tout cas on est dans du "jamais vu depuis 90 ans" comme j'ai dit dans un précédent post Sauf si Décembre est super humide, 2011 sera au moins 3ème devant 2005 (595 mm), qui repassera donc en 4ème place dans tous les cas... Et à "Sud-Ouest" (le journal régional) de nous informer dans un article que Bordeaux, Bergerac et Agen se situait à la mi-novembre au niveau de la pluviométrie de Séville...Je ne sais pas si c'était censé nous rassurer ou nous effrayer...
  17. Pour tout vous avouer ce travail de synthèse m'a pris quelques heures (3 heures et demi) aujourd'hui : 2 heures pour collecter toutes les données des 73 stations de MF sur leur site, une heure pour tout retranscrire ici et classer par région dans un ordre à peu près logique et enfin une demi-heure pour calculer les + gros déficits et écrire ma petite conclusion... Petite précision supplémentaire à mon classement des déficits : pour les régions Pays de la Loire, Limousin, Centre et une partie du Nord Est le déficit tourne entre 30 et 40 % (plutôt entre 35 et 40 %), ce qui est assez remarquable sur 11 mois quand même... Bon la seule chose que je trouve dommage pour tous ces records c'est que pour certaines villes l'ouverture de leur station est assez récente et les records sont donc + faciles à battre, en premier lieu la station de Saint-Brieuc qui a ouvert en 1985 je crois. Si on la compare à Bordeaux-Mérignac qui a ouvert en 1920 on se rend mieux compte du problème : pour Bordeaux de 1985 à 2011 l'année la + sèche est 2005 à ce jour avec 595 mm donc avec 412 mm en 2011 on l'aurait battu facilement aussi ! (Même si je suis d'accord pour dire que le cumul de Saint-Brieuc est exceptionnellement bas !)
  18. En fait je n'ai pas fait de classement à l'intérieur de chaque région j'ai mis toutes les stations MF en ordre alphabétique tout simplement mais c'est vrai que c'est mieux de les mettre dans l'ordre que tu as utilisé /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Quant au classement des + petits cumuls en valeur absolue, oui ils sont intéressants aussi, je pense qu'il faut garder les 2. Ton classement pour avoir une vue d'ensemble sur la France, et le mien pour avoir une idée de l'ampleur des déficits sur certaines régions. Le mien avait surtout pour but de faire ressortir le bilan quasi historique du sud-ouest. Dans les 2 cas on retrouve un quasi monopole de la moitié Ouest (seul Colmar ne s'y trouve pas et quand on sait que c'est une des villes les moins arrosées de France...).
  19. Pour compléter l'analyse faite par Alfeternale j'ai relevé les données des 73 stations de MF sur leur site "Climat" dont voilà le résultat : Pour chaque station vous trouverez donc le cumul pluviométrique au 1er Décembre 2011, puis la moyenne 1971-2000 pour une année entière, et enfin le record de faible pluviométrie avec l'année de ce record. J'ai découpé la France en 7 zones géographiques à peu près logiques pour constater les anomalies, certaines étant beaucoup + déficitaires que d'autres, je les ai donc classées de la + sèche à la - sèche (en nombre de stations présentant des records). Les stations apparaissant en rouge sont celles où 2011 est encore en lice pour le record de l'année la + sèche, même si pour nombre d'entre elles on s'approche du record et Décembre pourrait donc assez vite changer la donne SUD OUEST (Régions Aquitaine, Midi-Pyrénées et Poitou-Charentes) : Agen : 372 mm - 748 mm - 444 mm (1953) Albi : 466,2 mm - 760,6 mm - 557,2 mm (2006) Bergerac : 377,4 mm - 808,2 mm - 505,1 mm (1989) Biarritz : 805,3 mm - 1510 mm - 1056,6 mm (2006) Bordeaux : 412,7 mm - 984,2 mm - 444,9 mm (1921) Cognac : 473,7 mm - 791,4 mm - 436,1 mm (1953) Gourdon : 497,3 mm - 883,4 mm - 647,4 mm (2005) La Rochelle : 400,5 mm - 763,5 mm - 523,4 mm (1989) Millau : 385,1 mm - 778,5 mm - 429,8 mm (1967) Mont de Marsan : 554,1 mm - 983,1 mm - 531,4 mm (1953) Poitiers : 468 mm - 687,5 mm - 337,2 mm (1953) Tarbes : 873,7 mm - 1102,4 mm - 616,5 mm (1953) Toulouse : 382,1 mm - 668,5 mm - 377,8 mm (1967) GRAND OUEST (Régions Bretagne, Pays de la Loire, Basse Normandie) : Alençon : 463,4 mm - 738,4 mm - 498,2 mm (1953) Beaucouze : 425 mm - 646,7 mm - 437 mm (1953) Brest : 789 mm - 1144,5 mm - 712,1 mm (1953) Caen : 465,6 mm - 723,2 mm - 455 mm (1989) La Roche sur Yon : 562,4 mm - 884,3 mm - 579,8 mm (2005) Le Mans : 414,2 mm - 686,9 mm - 375,4 mm (1953) Lorient : 616,3 mm - 927,4 mm - 626,8 mm (1953) Nantes : 490,8 mm - 798,2 mm - 546,3 mm (1953) Rennes : 409,7 mm - 676,9 mm - 472,4 mm (1953) Saint-Brieuc : 294,8 mm - 738,6 mm - 499,5 mm (1989) CENTRE (Régions Centre, Limousin, Auvergne) : Aurillac : 650,6 mm - 1232,2 mm - 807,5 mm (1985) Bourges : 465,5 mm - 732,7 mm - 473,5 mm (1953) Brive : 533,7 mm - 917,6 mm - 648,6 mm (1989) Chartres : 446,2 mm - 598,3 mm - 353,3 mm (1953) Châteauroux : 506,6 mm - 737,7 mm - 448,2 mm (1921) Clermont-Ferrand : 471,1 mm - 591,7 mm - 353,4 mm (1991) Le Puy en Velay : 569,3 mm - 675 mm - 445,6 mm (1985) Limoges : 612,5 mm - 1048,5 mm - 721,2 mm (1989) Orléans : 413,7 mm - 635,8 mm - 413,3 mm (1990) Tours : 423,3 mm - 694,1 mm - 400,2 (2005) Vichy : 480,4 mm - 778 mm - 469,6 mm (1949) NORD EST (Régions Alsace, Lorraine et Champagne-Ardennes) : Charleville-Mézières : 580,1 mm - 936,6 mm - 651,6 mm (2005) Colmar : 375,6 mm - 577,5 mm - 392,6 mm (1949) Metz : 438,3 mm - 754,8 mm - 425 mm (1953) Nancy : 478,2 mm - 764,7 mm - 465,8 mm (1949) Reims : 421,3 mm - 617,8 mm - 307,7 mm (1953) Saint-Dizier : 529,3 mm - 857 mm - 548,2 mm (1956) Strasbourg : 452,5 mm - 631,4 mm - 392,6 mm (1949) Troyes : 435,5 mm - 653,4 mm - 466,3 mm (1976) CENTRE EST (Régions Bourgogne, Franche-Comté et Rhône-Alpes) : Auxerre : 466,6 mm - 702,1 mm - 400,6 mm (1964) Besançon : 709,4 mm - 1137,6 mm - 673,5 mm (1921) Bourg Saint-Maurice : 614,1 mm - 985,2 mm - 648,1 mm (1949) Dijon : 553,2 mm - 744,4 mm - 436,9 mm (1964) Grenoble : 787,2 mm - 965,1 mm - 628 mm (1997) Luxeuil : 692,5 mm - 1047,7 mm - 533,6 mm (1949) Lyon : 637,2 mm - 843 mm - 426,3 mm (1921) Mâcon : 569,8 mm - 839,8 mm - 535,6 mm (1953) Montélimar : 682,7 mm - 923,8 mm - 443,5 mm (1921) Nevers : 537,1 mm - 800,6 mm - 457,1 mm (1953) Saint-Étienne : 471,5 mm - 705,2 mm - 489,8 mm (1997) NORD (Régions Haute-Normandie, Ile de France, Picardie et NPDC) : Abbeville : 514,4 mm - 762 mm - 388,9 mm (1921) Beauvais : 415,4 mm - 673,5 mm - 394,8 mm (1976) Cambrai : 428,4 mm - 682,7 mm - 376,9 mm (1976) Creil : 466,3 mm - 689,4 mm - 439,4 mm (1976) Évreux : 441,8 mm - 611,6 mm - 386,8 mm (1976) Lille : 479,3 mm - 723,1 mm - 416,1 mm (1959) Melun : 461,6 mm - 677,6 mm - 377,3 mm (1953) Paris : 429,4 mm - 649,8 mm - 267,2 mm (1921) Rouen : 647,6 mm - 820,6 mm - 480,4 mm (1976) Saint-Quentin : 465,7 mm - 694,6 mm - 381,2 mm (1953) Trappes : 478,4 mm - 695,5 mm - 314,4 mm (1921) MÉDITERRANÉE (Régions Languedoc-Roussillon et PACA) : Carcassonne : 529,4 mm - 687,3 mm - 353,6 mm (1989) Marignane : 502,9 mm - 554,5 mm - 221,7 mm (1967) Mont Aigoual : 2181,6 mm - 2045,6 mm - 1123,6 mm (1985) et 4014,1 mm (1913) Montpellier : 641,2 mm - 654,5 mm - 310,8 mm (1985) Nice : 691 mm - 803,3 mm - 317,8 mm (2007) Orange : 566,1 mm - 722,4 mm - 415,6 mm (1967) Perpignan : 925 mm - 547 mm - 310,7 mm (1973) et 1340,1 mm (1932) Saint-Auban : 659,9 mm - 737,4 mm - 390 mm (1967) Toulon : 636,3 mm - 684,8 mm - 322 mm (2007) Les 10 stations de MF présentant les plus gros déficits (Attention les déficits sont calculés sur l'année entière donc ils diffèrent des déficits calculés sur 11 mois, c'est juste pour donner une idée ! Mais le classement serait à priori le même dans les 2 cas) : Saint-Brieuc (22) : - 60,1 % Bordeaux (33) : - 58,1 % Bergerac (24) : - 53,3 % Millau (12) : - 50,5 % Agen (47) : - 50,3 % La Rochelle (17) : - 47,5 % Aurillac (15) : - 47,2 % Biarritz (64) : - 46,7 % Gourdon (46) : - 43,7 % Mont de Marsan (40) : - 43,6 % CONCLUSION : - Seulement 2 stations de MF dépassent leur cumul annuel (elles apparaissent en vert avec leurs 2 records extrêmes). - Les régions méditerranéennes sont globalement proches de la normale, mais le nombre de jours de pluie, lui, est bien en dessous de la moyenne, phénomène directement imputable aux nombreux épisodes méditerranéens. - Le Nord, le Nord Est et le Centre Est enregistrent certes des déficits marqués, mais pour la plupart des stations on est loin des records de sécheresse (à quelques exceptions près), ceci est dû en grande partie à un été très humide, surtout pour les régions au nord de la Seine. - Toute la moitié Ouest ainsi qu'une partie du Massif Central sont proches des records de sécheresse et présentent les + gros déficits, la plupart du temps supérieurs à 35 %. - Mention spéciale au Sud Ouest qui compte 7 des 10 stations les + déficitaires de France (si on exclue Millau en la mettant avec Aurillac que je classe toutes 2 dans le Massif Central).
  20. Pour Bordeaux il faudrait un mois de Décembre bien sec pour que le record soit battu mais par contre il faudrait au contraire un mois de Décembre très humide pour que 2011 soit éjecté du podium ! Pour l'instant la médaille d'argent revient à 1953 avec 493,7 mm et la médaille de bronze à 2005 avec 595,8 mm. Si on ne bat pas 1921, 2011 pourra au moins se vanter d'être l'année la + sèche de ses 90 dernières années (à une année près donc !)
  21. Très beau travail toutes ces cartes ! On a enfin un site avec les moyennes 1981/2010, vu que tous les sites "officiels" (non non je ne vise pas MF ) ne se sont toujours pas mis à jour alors qu'on arrive en 2012 bientôt... Moi j'aime bien la carte sur le nombre de jours "gris" et je pense même que certains sites qui comparent les données climatiques des villes de France devraient prendre en compte cette donnée au combien importante surtout pour l'hiver ! Je m'explique : ces sites ayant pour but d'établir un comparatif la plupart du temps pour que le citoyen lambda puisse se faire une idée du ressenti qu'il aura s'il va dans telle ou telle ville, le nombre de jours "gris" (au même titre que l'ensoleillement) est beaucoup + représentatif du ressenti personnel que la pluviométrie moyenne ou même le nombre de jours de pluie dans une ville. Pour donner un exemple, étant expatriée de la région parisienne depuis quelques années déjà et installée sur Bordeaux, si on compare la pluviométrie ou le nombre de jours de pluie de ces 2 villes, Bordeaux n'apparaît pas vraiment comme une ville idyllique. Mais si on prend l'ensoleillement (quasiment 500 heures de +) et le nombre de jours gris (divisé par 2), là on se rend bien compte que le climat bordelais est largement + agréable que le climat parisien, quelque soit la saison ! Enfin tout ça pour dire que j'ai pu trouver des cartes intéressantes et quasiment impossibles à trouver ailleurs, donc ton site est maintenant dans mes favoris /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">
  22. 12 mm ce matin sur Bordeaux ça fait du bien ! Il n'avait pas autant plu (> 10 mm) depuis le 26 août (date du dernier orage avec 12,4 mm) ! Et si on parle de précipitations "efficaces" (donc en dehors de la période végétative) il n'avait pas plu + de 10 mm depuis le 27 février (10,5 mm)
  23. Températures quotidiennes sur la période Septembre-Octobre-Novembre : (Tx et Tn de l'automne 2011 par rapport à la Tmm de l'automne) N.B : On peut y voir que sur la première quinzaine de Novembre les Tn ont dépassé la Tmm d'un mois de Novembre ! Quant à la Tx elle n'est passé qu'un seul jour sur 91 en dessous de la Tm !
  24. Ensoleillement quotidien depuis le 1er janvier 2011 pour Bordeaux-Mérignac (arrêté au 30 Novembre) :
  25. Pour Bordeaux : Mois par mois : SEPTEMBRE : Txm : 25,5° (+ 1,8° d'excédent) Tnm : 14,9° (+ 2,4° d'excédent) Tmm : 20,2° (+ 2,1° d'excédent) Pluviométrie : 24,5 mm pour une normale de 90,3 mm soit un déficit de 73 % Ensoleillement: 220 h pour une moyenne de 183 h soit un excédent de 20 % OCTOBRE : Txm : 21,2° (+ 2,4° d'excédent) Tnm : 9,9° (+ 0,4° d'excédent) Tmm : 15,6° (+ 1,4° d'excédent) Pluviométrie : 39,7 mm pour une normale de 94 mm soit un déficit de 58 % Ensoleillement : 188 h pour une moyenne de 134h soit un excédent de 40 % NOVEMBRE : Txm : 16,4° (+ 3° d'excédent) Tnm : 9,7° (+ 4,2° d'excédent) Tmm : 13,1° (+ 3,6° d'excédent) Pluviométrie : 36,4 mm pour une normale de 106,8 mm soit un déficit de 66 % Ensoleillement : 121 h pour une moyenne de 91 h soit un excédent de 33 % Bilan global AUTOMNE 2011 : Txm : 21° (+ 2,4° d'excédent) Tnm : 11,5° (+ 2,3° d'excédent) Tmm : 16,3° (+ 2,3° d'excédent) Pluviométrie : 100,6 mm pour une normale de 291,1 mm soit un déficit de 65 % Ensoleillement : 529 h pour une moyenne de 408 h soit un excédent de 30 %
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