anecdote

Pour nous rafraîchir un peu la mémoire ou en guise de découverte, voici les températures journalières (mini/maxi) de 3 grandes vagues de froid à Paris : (valeurs arrondies au °C) Lisez lentement pour bien vous imprégner de l'événement... /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> Paris-Montsouris : Janvier 1985 : 02 : +2/+4 03 : -1/+2 04 : -1/+2 05 : -8/-5 06 : -10/-2 07 : -10/-7 08 : -12/-6 09 : -10/0 10 : -3/-1 11 : -4/-1 12 : -5/0 13 : -8/-4 14 : -13/-7 15 : -10/-6 16 : -13/-10 17 : -14/-1 18 : -5/+1 19 : -4/+1 20 : 0/+4 Février 1956 : 30 janvier : +5/+9 31 janvier : -6/+4 (maxi le matin) 01 : -12/-6 02 : -15/-8 03 : -10/0 04 : -3/+1 05 : -2/+6 06 : +1/+6 07 : -1/+2 08 : -1/+4 09 : -9/+4 (maxi le matin) 10 : -11/-3 11 : -11/-5 12 : -11/-2 13 : -7/+2 14 : -11/0 15 : -7/+2 16 : -1/+4 17 : -4/+1 18 : -9/-1 19 : -10/-4 20 : -9/-3 21 : -11/-4 22 : -9/0 23 : -11/-5 24 : -12/-1 25 : -8/+1 26 : -10/+1 27 : -7/+2 28 : -2/+6 29 : +5/+10 Hiver 1962-1963 : 22/12 : -1/+6 23/12 : -7/-4 24/12 : -8/-4 25/12 : -8/-6 26/12 : -7/-5 27/12 : -8/-5 28/12 : -11/-4 29/12 : -8/0 30/12 : -2/+6 31/12 : 0/+3 01/01 : +2/+3 02/01 : +2/+4 03/01 : +3/+8 04/01 : +2/+6 05/01 : +2/+4 06/01 : +1/+3 07/01 : 0/+1 08/01 : 0/+1 09/01 : -1/+2 10/01 : -3/-1 11/01 : -9/-4 12/01 : -10/-3 13/01 : -11/-2 14/01 : -3/+3 15/01 : 0/+2 16/01 : +1/+3 17/01 : -5/-3 18/01 : -9/-2 19/01 : -13/-2 20/01 : -10/+1 21/01 : -6/-1 22/01 : -8/-3 23/01 : -8/0 24/01 : -7/-4 25/01 : -9/-3 26/01 : -7/+2 27/01 : 0/+3 28/01 : -5/+2 29/01 : -1/0 30/01 : -5/-1 31/01 : -8/-4 01/02 : -8/-3 02/02 : -9/-3 03/02 : -9/-4 04/02 : -8/-3 05/02 : -10/+2 06/02 : -9/+4 07/02 : +1/+7 /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">/emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">/emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">

par contre, sans doute de petites chutes de neige à haute altitude pour les prochains jours dans les Alpes du nord...

Disons que je suis plus mesuré que Florent : je pense que nous aurons 2 ou 3 hivers très froids parmi les 5 hivers à venir.

Tout le monde a peur de la canicule, on ne parle que de cela mais on ne croit plus qu'il puisse faire -10°C, -15°C en France en hiver... F76 met en garde contre un hiver très froid, moi aussi mais évidemment ce n'est pas sûr. J'ai fait il y a quelques années une petite étude sur les écarts à la moyenne des températures moyennes mensuelles d'hiver au Bourget, avec la conclusion suivante : il y a plus de mois excédentaires que déficitaires, mais les déficits sont généralement plus prononcés que les excédents. Autrement dit, les hivers froids sont plus rares que les hivers doux, mais ils s'écartent plus de la moyenne que les hivers doux. Donc attention !

GD >> l'histoire est utile pour connaître le futur proche, les comparaisons ne sont pas interdites et souvent utiles. Le temps n'est pas dû au hasard pur !

D'après Guillaum Séchet, le pluviomètre de St Pierre de Chartreuse (Isère) serait aussi très mal placé car proche d'un toit dont il serait susceptible de recevoir l'eau de pluie...

Dans la nuit de dimanche à lundi, vu ce qu'il tombait sur le 62 et le 59, il fallait déclencher la vigilance orange ! Mieux vaut tard que pas du tout.

Rien ne vaut une bonne comparaison. On va se trouver dans une situation de type août 1995 : Temps de plus en plus beau et chaud dans l'ouest, surtout le nord-ouest, orages dans le sud-est (l'après-midi surtout), surtout sur les Alpes, le Jura, la Côte d'Azur et la Corse, avec pour ces régions des températures quasiment de saison, mais une nébulosité supérieure à la moyenne. Temps assez orageux sur le bassin méditerranéen central et occidental, avec quelques journées plus électriques que d'autres.

J'ajoute que certains régions de l'Eurasie ont connu parfois plus de 6°C de déficit au cours de mois d'hiver récents : grosse anomalie négative en décembre 2002 en Asie centrale (jusqu'à plus de 8°C de déficit ! comme si en France, la moyenne de janvier à Paris était de -4°C) (certes grosse anomalie chaude en Amérique du nord en même temps) décembre 2004 en Sibérie centrale et orientale février 2005 autour de la Mongolie (de mémoire) Bref on peut du jour au lendemain se taper un déficit de 4 ou 5°C en France sur 1 mois d'hiver. Ca donnerait une moyenne de janvier de -1°C à Paris par exemple ou de 4°C à Nice... Autre remarque : pour la neige en plaine, pas besoin de grands froids. Je signale juste que la moyenne de Paris en janvier est de 4°C environ donc la neige peut tomber facilement si la circulation atmosphérique est bien orientée. Gare au retour de bâton ! D'autant que j'ai l'impression que les gens du forum ne s'inquiètent pas trop des risques liés aux grands froids...

Je suis tout-à-fait d'accord avec Chri. Le mot "normal" n'a pas sa place en climatologie, il faut parler de "moyenne", ce terme désignant directement l'opération mathématique. Quand on dit aux gens "6°C au-dessus de la normal", ça les inquiète, et pour cause, ils trouvent cela "anormal" ! Alors bannissons ce mot "normales" pour le remplacer par "moyennes".

Au vu des prévisions pour les prochains jours, on voit bien que c'est à l'ouest que la sécheresse va s'accentuer. Pas de répit pour Poitou-Charentes et l'Aquitaine en particulier. Idem autour du golfe du Lion. En résumé, les régions les plus touchées par la sécheresse vont avoir le temps le plus sec dans les prochains jours tandis que celles qui sont moins affectées peuvent espérer d'autres averses. Donc le moins pire s'améliore tandis que le pire empire...

lds >> 1) 30 mm dans le Nord en quelques heures, c'est beaucoup pour la région et suffisamment rare pour lancer une vigilance orange. Peut-être qu'à Toulouse ils n'ont pas été impressionnés par ces 30 mm (il est vrai que le sud-ouest subit de plus violentes averses, et plus encore le sud-est). 2) Les orages étaient-ils si localisés que cela ?? On pourrait maintenir le système de vigilance actuelle mais il faut absolument une unité de surveillance météorologique (2 à 12 personnes selon la situation et donc le nombre de régions concernées) sur le pied de guerre quand il y a risque, et précisément, lds, quand on est à la "limite" de la vigilance orange. Ces personnes seraient régulièrement en contact avec les autorités et suivraient les phénomènes violents, déclenchant DE LEUR PROPRE GRE des VIGILANCES CANTONNALES. Le mieux ça serait d'avoir un multiplex téléphonique entre tous les observateurs MF concernés (ceux-ci habitant de préférence dans les départements concernés). La mission de service public c'est aussi cela, c'est être à pied d'oeuvre quand il le faut. Car l'impression actuelle est que MF ne fait pas assez d'efforts dans le suivi des observations et la transmission des informations aux autorités. Pour Roland-Garros, un gars de MF passe 15 jours à observer les moindres averses, alors pourquoi ne pas étendre ce système ? Maintenant comment prévenir les gens ? Notamment ceux de Lille à 7h du matin ? Eh bien par des sirènes en cas de danger imminent (qui retentissent tous les 1ers mercredi du mois). On les déclenche bien dans le Midi à l'approche d'incendies (et je parle en connaissance de cause !). MF n'est pas sûr de mettre des vigilances, hésite, bref mais devrait imposer à des observateurs départementaux de suivre la situation métérologique dans leur département et leur AUTORISER un déclenchement de vigilance orange départementale s'il le faut, avec des nuances cantonnales (plus de couleurs à définir, donc). La carte détaillée de ces vigilances doit être visible EN DIRECT par les autorités, surtout les pompiers, lesquels renforceraient leurs moyens le cas échéant. Le tout est de DECENTRALISER L'INFORMATION, de donner plus de RESPONSABILITES aux ingénieurs météo locaux. Bref il faut DECENTRALISER ! Vu les MOYENS de communication et d'observation actuels, le dernier raté est inacceptable !

Ah ben ça ! Sur la carte de 17h, il y a une bouffée de chaleur sur l'Allemagne !??? je comprends pas /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">

Regardez la bouffée de chaleur en Scandinavie : on enregistrait cet après-midi une pointe à 28°C sur la côte norvégienne. Plus fort qu'à Alexandrie (27°C), Athènes (26°C) et autant qu'à Alger (28°C), où il faisait frais (pour ces villes). Et plus chaud qu'à Paris (21°C), Berlin (13°C), Prague (10°C)... Stockholm et Oslo 25°C, Helsinki 26°C. http://www.wetterzentrale.de/pics/Reurmett.html

Je rappelerai tantôt les valeurs basses extrêmes qu'on peut avoir en hiver en France. Depuis le temps que ce n'est pas arrivé, il faut se rafraîchir la mémoire. On peut trembler car la vague de froid de la fin de l'hiver dernier n'était que peu de choses en matière de températures (hormis un jour ou deux). Or une "vraie" vague de froid de plein hiver est bien plus mordante. A bientôt pour de nouvelles anecdotes.

à cause du manque de réactivité de Météo-France et de la lenteur de la communication...

Pour le coup, le plus grave est qu'AUCUN département n'ai été mis en vigilance orange hier soir... et pourtant le front froid qui traversait alors le pays était suivi par un front secondaire plus rapide ("secondaire" mais très important du point de vue de la dynamique), ce qui a renforcé la perturbation.

ciel très sombre à l'ouest de Paris. Orages ?? /emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20">

06/07/1877 : 6°C à Paris 07-08/07/1877 : 8°C à Paris 04/07/1878 : 9°C à Paris 05/07/1879 : 8°C à Paris 21/07/1879 : max 16°C à Paris 16/07/1883 : 8°C à Paris 28/07/1883 : max 17°C à Paris 29/07/1886 : 8°C à Paris 14/07/1888 : 9°C à Paris 13/07/1895 : max 13.5°C à Châteauroux 23/07/1896 : 9°C à Paris 29/07/1896 : max 14.3°C à Besançon 02/07/1898 : 7°C à Paris 07/07/1898 : -1.8°C à Chamonix 15/07/1898 : 8°C à Paris 30/07/1898 : max 15.2°C à Besançon 31/07/1898 : 8°C à Paris 01/07/1906 : gelées au sol sur le nord-ouest, dégâts sur les cultures. Juillet 1907 : un mois automnal 02/07/1907 : max 12.3°C à Besançon 03/07/1907 : 6°C à Paris 12/07/1907 : 8°C à Paris, 5.4°C à Besançon Juillet 1909 : un mois très frais, pas plus de 25°C à Paris du 1er au 31. 12/07/1909 : 9°C à Paris Juillet 1910 : un mois automnal, pas plus de 27.5°C à Paris du 1er au 31. 03/07/1910 : max 16.4°C à Paris, neige à 1200 m en Haute-Loire 11/07/1910 : max 15.6°C à Paris 27/07/1910 : 5.1°C à Besançon 20/07/1912 : max 15.3°C à Paris Juillet 1913 : un mois automnal, rarement plus de 25°C sur le pays. 02/07/1913 : max 16.4°C à Paris 23/07/1913 : max 15°C à Paris et Besançon 24/07/1913 : max 14.7°C à Besançon 27/07/1914 : max 13.5°C à Besançon et 15°C à Paris 01/07/1917 : max 16°C à Châteauroux 10/07/1918 : 8°C à Paris Juillet 1919 : extrêmement frais en IDF, record. Les vents du nord sont omniprésents. 08/07/1919 : max 15.4°C à Paris 15/07/1919 : max 14.6°C à Paris 16/07/1919 : neige sur les sommets des Vosges Juillet 1920 : 8°C le 25, 7°C le 27, 8°C le 28, 9°C le 30 (à Paris). 19/07/1921 : 9.8°C au Cap Pertusato (Corse) 01/07/1922 : 7°C à Paris 13/07/1922 : 4.8°C à Bordeaux 17/07/1922 : max 13.2°C à Nancy 18/07/1922 : 2.8°C à Dijon 28/07/1923 : 6.4°C à Clermont-Ferrand 19/07/1924 : 6.6°C à Clermont-Ferrand 28/07/1924 : 6.4°C à Dijon, 10.2°C à Marignane 29/07/1924 : max 22°C à Marignane 03/07/1925 : max 14.1°C à Clermont-Ferrand 04/07/1925 : 11.2°C à Perpignan 05/07/1925 : 1°C à Clermont-Ferrand ! 09/07/1925 : max 14.8°C à Clermont-Ferrand 10/07/1925 : 1.6°C à Clermont-Ferrand 19/07/1925 : max 19°C à Bordeaux 24/07/1925 : 5°C à Nîmes 31/07/1925 : max 16°C à Nancy 12/07/1926 : max 13.2°C à Nancy 28/07/1926 : max 16.4°C à Nancy 29/07/1926 : max 15.2°C à Strasbourg 31/07/1926 : 9.8°C à Marignane, max 17°C à Paris 02/07/1927 : max 15.2°C à Châteauroux et 12.4°C à Nancy 09/07/1927 : max 16.6°C à Bordeaux 30/07/1928 : 0.9°C à Chartres ! 08/07/1929 : max 15.2°C à Nancy 09/07/1929 : 3.5°C au Bourget, 2°C à Trappes, 1.2°C à Reims ! 10/07/1929 : 10.6°C à Marignane 27/07/1929 : 4.9°C à Reims 12/07/1930 : 5.9°C à Strasbourg, max 15.7°C à Reims 13/07/1930 : 4.8°C à Bordeaux ??/07/1930 : 1.5°C à Pau ! 23/07/1930 : max 14°C à Clermont-Ferrand et 15.8°C à Lyon 24/07/1930 : max 18.7°C à Bordeaux et 17.6°C à Lyon 26/07/1930 : 6°C à Dijon 31/07/1930 : 7.6°C à Bordeaux 07/07/1931 : max 15.6°C à Strasbourg 14/07/1931 : max 19°C à Bordeaux 22/07/1931 : 8°C à Paris 23/07/1931 : 6.4°C à Bordeaux, 11°C à Marignane Juillet 1932 : que de fraîcheur sur les régions méditerranéennes ! Avec beaucoup de pluie en prime (141 mm à Marseille) ! 06/07/1932 : max 20.3°C à Perpignan 13/07/1932 : max 21°C à Perpignan 14/07/1932 : 11.8°C à Marignane 18/07/1932 : max 13.4°C à Châteauroux et 17°C à Bordeaux 22/07/1932 : max 21.9°C à Perpignan 24/07/1932 : 6.6°C à Châteauroux 25/07/1932 : 10.6°C à Marignane 26/07/1932 : max 21.7°C à Perpignan 27/07/1932 : 11.2°C à Marignane 29/07/1932 : 12°C à Marignane 13/07/1933 : 0.0°C au Mont Aigoual 29/07/1933 : 1.3°C à Abbeville 07/07/1935 : 10°C à Marignane 31/07/1935 : 5°C à Clermont-Ferrand 01/07/1936 : max 19.3°C à Perpignan 10/07/1936 : max 16.8°C à Bordeaux 11/07/1936 : 11.3°C à Marignane 12/07/1936 : 6°C à Bordeaux, 7.6°C à Paris, 9°C à Istres 26/07/1936 : max 16.4°C à Bordeaux 27/07/1936 : max 18.3°C à Lyon 01/07/1938 : max 16.1°C à Lyon 10/07/1938 : 6°C à Bordeaux 11/07/1938 : 5.2°C à Bordeaux 03/07/1939 : 10.2°C à Marignane 24/07/1939 : max 16.4°C à Paris 25/07/1939 : max 13.6°C à Strasbourg 26/07/1939 : 7.8°C à Lyon 12/07/1940 : 8.4°C à Lyon 06/07/1942 : 11.7°C à Marignane 12/07/1942 : max 15.8°C à Châteauroux 14/07/1942 : 5.8°C à Clermont-Ferrand 19/07/1942 : max 14°C à Paris 20/07/1942 : max 17.1°C à Lyon 08/07/1943 : max 14.9°C à Besançon 06/07/1944 : 12.3°C à Toulon 04/07/1945 : 6°C à Bordeaux 30/07/1945 : 6°C à Nancy 13/07/1946 : 11°C à Marignane 29/07/1946 : 6.3°C à Bordeaux Juillet 1948 : un mois très frais 01/07/1948 : max 13°C à Paris et Orléans 02/07/1948 : max 15.2°C à Clermont-Ferrand 03/07/1948 : 3.8°C à Clermont-Ferrand et 3.7°C à St Etienne 04/07/1948 : 1.6°C à Luxeuil, 7.8°C à Marignane 06/07/1948 : 6.2°C à Châteauroux, max 11.7°C à Besançon 05/07/1948 : max 14.5°C à Strasbourg 07/07/1948 : 6.4°C à Cognac, 6.6°C à Bordeaux 09/07/1948 : 5.1°C à Châteauroux 10/07/1948 : 4.9°C à Poitiers, 5.8°C à Nantes. Max 12.4°C à Nancy et de 14°C à Strasbourg. 11/07/1948 : max 15.2°C à Clermont-Ferrand 12/07/1948 : max 18°C à Bordeaux 14/07/1948 : max 14.2°C à Belfort 17/07/1948 : max 15.6°C à Rennes et 16.4°C à Châteauroux 20/07/1949 : 5.1°C à Bordeaux 21/07/1949 : 3°C à Luxeuil, 6.7°C à Strasbourg, 11°C à Marignane 31/07/1949 : 4.8°C à Luxeuil 01/07/1951 : 4°C au Touquet 13/07/1951 : max 12.4°C à Belfort, 15.4°C à Lyon 14/07/1951 : max 16.5°C à Paris 24/07/1951 : max 14°C à Reims 25/07/1951 : 8°C à Rennes, 8.9°C à Toulouse, max 14.3°C à Besançon 26/07/1951 : 8.5°C à Toulouse 03/07/1952 : max 15.4°C à Rennes 25/07/1952 : 4°C à Luxeuil 29/07/1952 : 3.2°C à Luxeuil, 3.9°C à St Etienne, 5.4°C à Clermont-Ferrand 30/07/1952 : 6.9°C à Bordeaux, 11°C à Marignane 31/07/1952 : 6.6°C à Nancy 03/07/1953 : max 18.9°C à Toulouse 09/07/1953 : max 19.1°C à Toulouse 11/07/1953 : gelées blanches en Normandie et en Bourgogne, 5.8°C à Clermont-Ferrand 13/07/1953 : 9°C à Orange Juillet 1954 : un mois très frais Au début du mois, les gelées blanchissent par endroits les campagnes normandes et champenoises. 01/07/1954 : 6.6°C à Dunkerque, max 5.6°C au Mont Aigoual 04/07/1954 : max 18.1°C à Toulouse 06/07/1954 : 7.5°C à Montélimar, 9°C à Ajaccio 08/07/1954 : 2.9°C à St Etienne, 3°C à Alençon et Nevers, 5°C à Bordeaux, 7.6°C à Toulouse, 8.8°C à Cannes, 10.2°C à Bastia. 09/07/1954 : 4.7°C à Clermont-Ferrand, 8.6°C à St Raphaël 17/07/1954 : 7.3°C à Bordeaux 20/07/1954 : 4°C à Reims, 10.3°C à Marignane 21/07/1954 : 4.6°C à Nancy 22/07/1954 : 7.2°C à Rennes 23/07/1954 : 8.2°C à Belle-Ile 24/07/1954 : 11.2°C à Marignane 11/07/1956 : max 12.6°C à Belfort, 13.7°C à Strasbourg 12/07/1956 : 8.8°C à Toulouse 16/07/1957 : max 16.4°C à Tours 22/07/1957 : max 16.7°C à St Etienne 02/07/1958 : 12.9°C à Perpignan 03/07/1958 : max 16.1°C à Bordeaux 08/07/1958 : max 18.1°C à Toulouse 16/07/1958 : max 22.3°C à Perpignan 17/07/1958 : 3.4°C à Dax 25/07/1958 : 6.2°C à Nancy 01/07/1960 : 0.8°C à Luxeuil (!), 3.6°C à Rouen, 5.8°C à Auxerre, neige à partir de 1200 m dans les Vosges ! 02/07/1960 : 1.8°C à Luxeuil, 3.4°C à Reims, 3.7°C à Nancy, 4.3°C à Colmar. 19/07/1960 : max 18.9°C à Toulouse 23/07/1960 : max 15.5°C à Châteauroux 24/07/1960 : 5.2°C à Reims 07/07/1961 : 4.9°C à Strasbourg 16/07/1961 : max 18.6°C à Bordeaux 17/07/1961 : max 18.4°C à Bordeaux 30/07/1961 : 4.9°C à Luxeuil, 6.1°C à Reims, 7.9°C à Rennes 01/07/1962 : 2°C à Nancy, et les campagnes de la Nièvre sont blanchies par le givre ! 04/07/1962 : max 16°C à Paris 05/07/1962 : 4.3°C à Reims, max 14.4°C à Clermont-Ferrand et 15.6°C à Lyon 06/07/1962 : 4.8°C à Besançon, 3.7°C à St Etienne 07/07/1962 : 4°C à Colmar, 4.7°C à Caen, 6.1°C à Lyon, 8.4°C à Montpellier 08/07/1962 : 4.3°C à Nancy 26/07/1963 : 7.9°C à Rennes 03/07/1964 : 3.7°C à Nancy 05/07/1964 : 3.4°C à Lille 06/07/1964 : 3.7°C à Nancy (à nouveau) Juillet 1965 : un mois très frais et peu ensoleillé 04/07/1965 : 8°C à Boulogne-sur-mer 05/07/1965 : 4°C à Orléans, 4.3°C à Tours, 6.6°C à Rennes, max 22.2°C à Marignane 06/07/1965 : 2.9°C à Bourg St Maurice, 7.3°C à Bordeaux 08/07/1965 : max 14.8°C à Reims 17/07/1965 : max 14.3°C à Paris (!) et 14.4°C à Besançon 18/07/1965 : 6°C à Brest 22/07/1965 : max 22°C à Marignane 26/07/1965 : max 17.2°C à Châteauroux 30/07/1965 : max 17°C à Paris Juillet 1966 : à nouveau, un mois très frais 07/07/1966 : max 15.7°C à Reims Du 17 au 22, la neige envahit les stations de sports d’hiver au-dessus de 1500 m. 17/07/1966 : max 15.1°C à Bourges 18/07/1966 : max 4.1°C au Mont Aigoual, 10.9°C à Belfort, 11.3°C à St Etienne, 12.4°C à Besançon, 14°C à Strasbourg et Lyon, 15°C à Montélimar, 18.9°C à Marignane. 19/07/1966 : max 12.8°C à Châteauroux, 13.3°C à Clermont-Ferrand, 13.5°C à Tours, 14°C à Nevers, 16°C à Lyon 20/07/1966 : max 17°C à Toulouse 21/07/1966 : max 16.9°C à Tours 22/07/1966 : max 16.3°C à Paris 26/07/1966 : 6.9°C à Bordeaux 29/07/1966 : 4.4°C à Nancy 03/07/1968 : 6.5°C à St Nazaire 04/07/1968 : 5.8°C à Dieppe 17/07/1968 : max 14°C à Grenoble, 15.6°C à Reims 19/07/1968 : 4.2°C à Aurillac 27/07/1968 : 4.3°C à St Etienne et Luxeuil 07/07/1969 : max 16.6°C à Paris et 19.7°C à Perpignan 08/07/1969 : 0.6°C au Mont Aigoual 10/07/1969 : 0.4°C au Mont Aigoual, 5.3°C à Tours, 6.8°C à Orly, 12°C à Nice, max 20.1°C à Marignane 30/07/1969 : max 18.3°C à Lyon 15/07/1970 : max 17.7°C à Lyon 16/07/1970 : 1.9°C au Mont Aigoual, max 14.4°C à Nancy, 16.7°C à Paris, 21.2°C à Marignane 17/07/1970 : max 16°C à Strasbourg 18/07/1970 : 2.4°C à Luxeuil, 2.8°C à Dijon, 3°C à St Etienne, 4.5°C à Besançon et 4.8°C à Grenoble St Geoirs 22/07/1970 : 6.7°C à Tours 02/07/1971 : 3.8°C à St Etienne 01/07/1972 : 2.9°C à St Etienne, 5.2°C à Dijon, 11°C à Perpignan 02/07/1972 : max 14°C à Alençon et 21°C à Marignane 11/07/1972 : 5.5°C à Rennes, 5.1°C à Tours 12/07/1972 : 9.2°C à Biarritz 28/07/1972 : 7°C à Tours 30/07/1972 : 5.7°C à St Etienne 17/07/1973 : 9.3°C à Carcassonne 21/07/1973 : max 18.3°C à Bordeaux 24/07/1973 : max 16.3°C à Bourges 26/07/1973 : max 15.9°C à Nancy 27/07/1973 : max 14°C à Belfort 29/07/1973 : max 16.4°C à Clermont-Ferrand 04/07/1974 : 5.4°C à Tours 17/07/1974 : max 20.4°C à Perpignan et 21.4°C à Marignane 19/07/1974 : 7°C à Tours 20/07/1974 : 5.9°C à Clermont-Ferrand, max 15.6°C à Nancy 26/07/1974 : 5°C à St Etienne et 7°C à Tours 01/07/1975 : 3°C à St Quentin (Aisne), 5.8°C à Bourges 02/07/1975 : 2.8°C à Aurillac, 4.5°C à Clermont-Ferrand, 5.8°C à Châteauroux 05/07/1975 : max 11°C à Aurillac et 15.3°C à Paris 26/07/1975 : 5.1°C à Colmar, 9.1°C à Paris 22/07/1976 : max 13.4°C à Nancy 25/07/1976 : 6.3°C à St Etienne 26/07/1976 : max 17°C à Strasbourg. Fraîcheur sur la Côte d’Azur, guère plus de 20°C. 16/07/1977 : 7.8°C à La Hague 25/07/1977 : max 17°C à Paris 26/07/1977 : max 6.4°C au Mont Aigoual, 15.7°C à Besançon et 17.7°C à Paris 28/07/1977 : max 18.3°C à Perpignan 29/07/1977 : max 14.2°C à St Etienne, 15.2°C à Paris, 16.4°C à Lyon, 20.1°C à Perpignan 30/07/1977 : max 16°C à Châteauroux, 18.7°C à Toulouse 31/07/1977 : max 21.7°C à Marignane 04/07/1978 : max 18.8°C à Marignane, neige à partir de 1900 m. 05/07/1978 : 0.9°C au Mont Aigoual, 10°C à Nîmes, max 13°C à Brest, 13.2°C à Belfort et 14°C à Rennes 06/07/1978 : max 15.2°C à Clermont-Ferrand, 17.1°C à Bordeaux 07/07/1978 : 1.2°C au Mont Aigoual, max 12.7°C à Belfort 08/07/1978 : 6°C à Montauban, 5.4°C à Chambéry 09/07/1978 : max 12.9°C à Belfort 31/07/1978 : max 16.5°C à Tours et 18.2°C à Toulouse 01/07/1979 : max 16.4°C à Clermont-Ferrand 02/07/1979 : 4.9°C à Evreux 03/07/1979 : 2.4°C à Aurillac 04/07/1979 : 3.7°C à Vichy 23/07/1979 : 5.3°C à Nancy Juillet 1980 : un mois exceptionnellement frais, et très peu ensoleillé (159 h à Paris). Neige particulièrement fréquente en haute montagne. 01/07/1980 : max 13°C à Rouen et 14.6°C à Paris, min 7.3°C à St Auban (04) 02/07/1980 : max 14°C à Luxeuil 03/07/1980 : 9.4°C à l’île de Batz 08/07/1980 : max 20.9°C à Perpignan 10/07/1980 : max 12°C à Reims et Belfort, et max 13°C à Lille 11/07/1980 : max 13.6°C à Luxeuil et 16.1°C à Reims 13/07/1980 : max 16.4°C à Paris, 15.1°C à Dijon, 14.2°C à Nancy, 13.2°C à Belfort 15/07/1980 : max 15.3°C à Reims 17/07/1980 : 2.9°C à Luxeuil, 4.1°C à Colmar, 4.2°C à Châteaudun 18/07/1980 : max 16°C à Reims 21/07/1980 : max 15.3°C à Nancy 22/07/1980 : 2.8°C à Luxeuil, 4.3°C à Metz, 4.4°C à Clermont-Ferrand, 7.9°C à Toulouse 23/07/1980 : 5.4°C à Colmar 01/07/1981 : 10.6°C à Calvi 02/07/1981 : max 15°C à Nantes Neige à partir de 1900 m. 18/07/1981 : max 20.3°C à Perpignan 19/07/1981 : max 13.2°C à Belfort et 21.5°C à Marignane 20/07/1981 : max 14.8°C à Luxeuil 23/07/1981 : max 20.3°C à Perpignan 25/07/1981 : max 17.1°C à Bourges et 18.1°C à Lyon 31/07/1981 : max 21.3°C à Perpignan 01/07/1984 : 4.9°C à Abbeville 04/07/1984 : 3°C à Troyes 05/07/1984 : 3.1°C à Aurillac 06/07/1984 : 6.2°C à Clermont-Ferrand 02/07/1986 : max 21.2°C à Perpignan 14/07/1986 : 6.5°C à Strasbourg 25/07/1986 : 8.4°C à Lyon 27/07/1987 : 8.3°C à Lyon, max 16°C à Strasbourg 03/07/1988 : max 22.2°C à Perpignan 15/07/1988 : max 14.8°C à Nancy, 16.1°C à Clermont-Ferrand et 21.9°C à Marignane 30/07/1988 : 4.4°C à Aurillac, 5.9°C à Clermont-Ferrand 15/07/1989 : 3.4°C à Reims 19/07/1989 : 5.6°C à Reims 02/07/1990 : max 15.2°C à Rennes 03/07/1990 : max 13.3°C à Belfort et 14.3°C à Strasbourg 04/07/1990 : 4°C au Bourget et 7.3°C à Auch (Gers) 11/07/1990 : 6.5°C à Brive-la-Gaillarde, 4.1°C à Reims 12/07/1990 : 10°C à Nice 25/07/1990 : 5.3°C à Reims 02/07/1991 : max 18.1°C à Toulouse 01/07/1992 : max 20°C à Nice 10/07/1992 : max 17.9°C à Toulouse 07/07/1993 : max 13°C à Poitiers et 14°C à Clermont-Ferrand, neige à partir de 1900 m. 10/07/1993 : max 14.3°C à St Etienne 11/07/1993 : 1.7°C à Charleville-Mézières 13/07/1993 : 4°C à Aurillac, 7.1°C à Bergerac (Dordogne) 07/07/1996 : max 12°C à Limoges, 12.2°C à Clermont-Ferrand, 13.8°C à Lyon et 15.2°C à Bordeaux 08/07/1996 : 6.5°C à Tours 09/07/1996 : 6.7°C à Strasbourg 02/07/1997 : max 16.4°C à Dax et 20.3°C au Luc (Var) 03/07/1997 : max 20.7°C à Marignane 24/07/1999 : 5.2°C à Clermont-Ferrand 09/07/2000 : max 14.9°C à Besançon 11/07/2000 : 0.4°C au Mont Aigoual, max 14°C à Caen et 14.4°C à Nancy 12/07/2000 : 6.3°C à Tours 13/07/2000 : max 16°C à Troyes 14/07/2000 : max 15.9°C à Besançon 15/07/2000 : max 16.3°C à Toulouse et 21°C à Ajaccio, neige en haute montagne 16/07/2000 : max 16.5°C à Clermont-Ferrand 17/07/2000 : 3.1°C à Aurillac, 4.7°C à Clermont-Ferrand, 7.6°C à Carpentras 13/07/2001 : max 15.4°C à Rennes 15/07/2001 : max 14.3°C à St Etienne et 14.6°C à Colmar 16/07/2001 : 4.6°C à Aurillac 18/07/2001 : max 16.7°C à Paris 21/07/2001 : 4.3°C à Aurillac 01/07/2002 : max 17°C à Paris 05/07/2002 : 3°C au Puy-en-Velay, max 16°C au Mans et 17.8°C à Bordeaux 14/07/2002 : max 20.9°C à Perpignan 15/07/2002 : max 19.7°C à Nice (sous la pluie) 16/07/2002 : 10.5°C à Antibes 09/07/2004 : 5.2°C à St Girons /emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20">

Pas de chaleur prévu en France jusqu'à samedi inclus selon GFS, hors Méditerranée.

exact, bravo !

Le préfet de Vendée : "Il est certain que la température a subi dans notre contrée des changements sensibles depuis 25 ans. Avant cette époque, les hivers étaient plus précoces, plus rudes et moins longs. Les gelées blanches se déclaraient à la Toussaint et parfois au mois d'octobre. Au mois de décembre et janvier, les gelées étaient fortes, mais en février, la température s'adoucissait rapidement, et à partir de mars, la végétation était rarement arrêtée par de mauvais froids. L'état des choses a changé : l'automne se prolonge jusqu'en décembre, accompagnée d'un temps sec et fort doux ; à la fin de décembre et au commencement de janvier, on découvre quelques jours de froid et de gelées peu vives auxquelles succèdent des pluies abondantes et un temps humide et froid qui se prolonge jusqu'au printemps." De quelle année date ce témoignage ? Le préfet de Maine-et-Loire : "Si la génération actuelle se plaint de variations subites de la température, si, forte d'une expérience de 25 ou 30 années, elle répète sans cesse que le cours des saisons a changé, que la grêle est plus fréquente et la neige plus rare et moins abondante qu'autrefois, oserons-nous conclure qu'il existera nécessairement une différence entre la température des siècles à venir et celle des siècles passés ? Nous admettrons au contraire avec réserve les plaintes que chaque génération adresse à celle qui s'élève et, comparant les 30 années qui viennent de s'écouler avec celles que de grandes catastrophes ont rendues fameuses, nous sommes convaincus que le département du Maine-et-Loire n'a pas éprouvé plus fréquemment qu'autrefois l'effet des grandes intempéries des saisons." De quelle année date ce témoignage ? Ces témoignages ont été évoqués dans un numéro de "La Météorologie". Quelle est l'année de la parution de ce numéro ? Bonne chance

SOS Météores Suite à de graves phénomènes météorologiques qui se sont abattus sur l'Europe occidentale depuis plusieurs mois, Mortimer vient à Paris pour rendre visite au professeur Labrousse, directeur de la météo nationale. Durant son enquête, Mortimer disparaît dans des circonstances étranges. Blake, venu lui prêter main forte, entreprend de le retrouver, et se retouve face à leur éternel ennemi : le Colonel Olrik ; celui-ci s'est mis au service d'une puissance étrangère, puissance qui a confié au professeur Miloch une curieuse mission : dérégler le climat de l'Europe occidentale pour en faciliter l'invasion. Heureusement, Mortimer parviendra à saboter l'installation au moment même où les bandits déclenchent l'attaque finale, et au moment où Blake et la police arrivent sur les lieux. La fin de la base secrète est apocalyptique... Sous-titrée Mortimer à Paris, l'histoire de Jacobs est étonnemment prémonitoire : en cette période de dérèglements météorologiques (la tempête de 1999, les inondations de 2001 et 2002, la canicule de 2003 ont marqué la fin du siècle dernier et le début du millénaire), la machine à dérégler le temps du Professeur Miloch semble être devenue réalité. "Nous venions à peine de nous installer à la campagne lorsque survint le rigoureux hiver de 1954. Il faisait si froid que les conduites d'eau gelaient dans le sol. Nous étions obligé de faire fondre la neige afin d'en tirer le liquide indispensable à la toilette, au nettoyage et même à la cuisine ! (..) C'est dans cette ambiance particulière que nous suivions à la radio les communiqués d'une météo de plus en plus pessimiste. Cette vague de froid déferlait, non seulement sur la Belgique et sur l'Europe, mais, semblait-il, sur le monde entier ! En parcourant les coupures de presse et les articles de revues de l'époque, je note en effet, entre 1954 et 1957 (et même au-delà), une suite de phénomènes météorologiques absolument anormaux : hivers trop froids, étés brûlants ou trempés. Vagues simultanées de sécheresse et de froid. Inondations catastrophiques. Ouragans. Typhons. Tornades. Or comme déjà en ce temps-là, Américains et Soviétiqes se livraient, en secret, à des expériences visant à modifier les climats, il n'en fallait pas plus pour déclencher l'imagination toujours en alerte d'un auteur de science fiction... Et c'est ainsi qu'est né S.O.S. Météores. " E. P. Jacobs - Un Opéra de Papier http://lebrunf9.free.fr/parisenbd/jacobs/meteores/ http://lebrunf9.free.fr/parisenbd/jacobs/m...s/mortimer.html http://lebrunf9.free.fr/parisenbd/jacobs/meteores/blake.html http://www.jlmartin.com/bm/bmg2.htm http://www.bulledair.com/index.php?rubriqu...blake_mortimer8 "Le célèbre dessinateur a réitéré en 1957 avec S.O.S. Météores. Il raconte lui-même dans son autobiographie, Un opéra de papier, les ennuis que lui valut la préparation minutieuse de cette BD. Après avoir achevé ses repérages sur le terrain, il a voulu les compléter par la consultation des météorologues professionnels, son scénario décrivant en fait une guerre climatique. Il a donc soumis son synopsis aux services concernés. Mais d’autres répondirent, rien de moins que la DST qui voulait savoir d’où il tirait ses renseignements. Sans le savoir, il avait rejoint par l’imagination un dossier sensible, alors en recherche dans les milieux militaires. Dans sa BD, le contrôle climatique s’opère à l’aide de “radars spéciaux”, donc par ondes. Il n’est pas inintéressant de constater que de très sérieux instituts de recherche occidentaux ont émis l’hypothèse que la sécheresse de 1976 en France et le froid anormal de l’hiver 76-77 aux USA avaient pu être provoqués par une expérimentation sur les ondes à extrêmement basse fréquence. Mais il a fallu attendre mars 1993 pour que la non moins sérieuse revue Science et Vie se fasse l’écho d’une partie de ces recherches dans un dossier sur les armes nouvelles. Même si les hypothèses de 1977 n’étaient pas entièrement exactes, le seul fait qu’elles aient été envisagées suggère une forme de prescience dans S.O.S. Météores." http://florence.ghibellini.free.fr/EMC/presc.html

Arrêtez de râler, voilà le retour d'un bon flux d'ouest QUE BEAUCOUP ATTENDAIENT DEPUIS LONGTEMPS SUR CE FORUM !

ben t'as pas bien choisi ton lieu de travail alors... /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20">