Flora

Quelques gouttes en fin de matinée, style dernier essorage. Après 5 semaines sans une goutte, bilan: 12mm depuis jeudi soir (7mm jeudi et vendredi matin, puis 5mm sous l'orage de vendredi à 13h30). Et encore une semaine sans rien, ... ça devient vraiment compliqué en ce début juin... 😣

J'aimerais que MF ne se contente pas d'une moyenne nationale pour émettre de tels résultats niveau pluvio, puisque nous avons un territoire métropolitain clairement coupé en deux depuis un mois. Ça ne va juste pas aider au niveau des restrictions, si l'on souhaite qu'elles soient dans une logique prudente.

Touffeur tropicale depuis 10h ce matin, et en augmentation. Première fois que je retrouve les ressentis humidex du Kansas chez moi, en nord 85, sud est 44 /sud ouest 49, en première décade de juin. Ça poisse sévère. Les draps collent. 79% d'humidité extérieure (sur station météo de base, bon marché, mal placée, et tout...) J'attends que le ciel se déchire aux matines. Pour l'instant, après 1h de pluie, il sanglote de temps à autre.

Pareil ici, évidemment. Précipitation faible à modérée. Parfait pour "ouvrir" la terre aux pluies plus drues qui ne vont pas manquer de suivre demain.

Très encourageant, ces présences, pour la richesse de la biodiversité de ton coin. Ton reportage très complet m'a fait du bien!! Et vu le temps de fou que tu a du y passer, un énorme merci à toi!

Merci pour cette source. Je ne savais pas, à l'époque, que cette même terminologie avait été déjà énoncée - bien que je ne puisse, ni ne veuille d'ailleurs, me rappeler de la date de mon post à ce sujet. Ce qui m'importe m'est essentiellement plus important: le fait de ne pas me sentir seule sur ce chantier😁 Ça fait tellement plaisir!!

Pour le nord, penser aux cotonéasters. Ça fleurit pour les abeilles et ça donne plein à manger aux oiseaux. Pas besoin d'eau, après une année d'installation. Les canicules, après cela, ils en ont rien à péter. Ça fait de l'ombre. Et ça se taille hyper facile, comme on veut. (C'était un communiqué contre les oliviers cinquantenaires arrachés du sud pour être vendus chez nous où l'été est chaud, mais où l'hiver reste un danger certain pour eux).

Qu'en est-il alors des constructions? Je suis nantaise, et pour ceux de cette ville, ils savent que les bâtiments du centre ville vers l'Erdre, s'enfoncent depuis plus de 30 ans. Nantes était appelée la Venise de l'ouest - et c'est bien le problème de toutes ces villes appelées la Venise de [point cardinal ici]. Bref, tout ça pour dire que, c'est clair: ce n'est pas survêtement de surface qui va faire la différence. Mais j'ai un poil halluciné sur le choix du matériau dans votre région, sur cette place pourtant renommée. Un minéral peu résistant au gel, ...à Nancy?? Bah... les PLU de ces dernières décades se ressemblent néanmoins. Nantes a couvert son lit de rivière de granit de Chine, dont la qualité est très médiocre avec ses fissures et sa facilité à fissurer, pendant que la seule carrière de granit de Bretagne se mourait, alors qu'elle proposait un granit de bien meilleure qualité... Tout cela pour couvrir une zone marécageuse, c'est clair, comme si en cachant la source, on allait pouvoir vivre différemment. Mais c'est tellement rien comparé aux PLU du sud, donnant l'autorisation de construire n'importe où, y compris dans les lits de rivières. Il est grand temps de légiférer les limites du pouvoir municipal dans le domaine de l'urbanisme. Depuis des années, trop de décisions locales sont largement trop ineptes, voire carrément dangereuses, et, nous le savons tous, l'intérêt public est ramassé derrière un intérêt très privé. Je proposerais un PLU à la cour des comptes, dont l'avis ne serait plus seulement consultatif, mais carrément obligataire.

Ou conséquence du gel puis dégel. Ou des deux, entre canicule et gel. La pierre de Croatie qui fait ces pavés y est sensible (famille du marbre, mais c'est un calcaire rempli de coquillages à la base...). https://dallage-pierre.com/pierre-de-croatie/

Même avis. Stress hydrique et défense naturelle contre l'évapo-transpiration. @slo mystère pour moi, alors... ici, je n'ai jamais vu de mammifère s'attaquer aux feuilles de tomate, justement à cause des alcaloïdes dont parlait @Mamma34. Toxique pour eux, je croyais. Mais vu les PP, tout est possible quand les animaux ont soif, j'imagine.

Si tes pieds sont jeunes 🦶, il s'agit très probablement du fameux couple escargots-limaces. S'ils sont plus avancés, et coriaces (ils mesurent plus de 50-60cm), là, c'est un mystère pour moi - à moins qu'ils n'aient été très affaiblis par une humidité fraîche et constante (beaucoup, beaucoup de PP chez toi ces derniers jours?)

Tu dois avoir chez toi pas mal d'abeilles sauvages, car ce diptère est le prédateur de leurs larves. Il s'agit d'Anthrax anthrax (rapport à la couleur et pas à la maladie hémorragique provoquant cette couleur chez les mammifères). https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Anthrax_anthrax Ici, on n'a pas vraiment chômé non plus lors de toutes ces semaines écourtées. Les 1ères tomates rougissent bien! Les greffes ayant bien pris en février, on a rempoté en intérieur jusqu'à début mai. Pas de gel tardif et une terre bien humide (jusqu'à maintenant où ça commence à méchamment sécher... la bise est la même partout). On a acheté des pots d'argile avec leurs soucoupes, en visant ceux dont la taille du trou de drainage correspondait à un bouchon de liège. Enterrés ainsi, remplis d'eau et couverts de leurs soucoupe, ils font à merveille office d'oyas à pas cher. Là, je viens de rentrer du boulot. Je me détends. L'eau coule et les grenouilles coassent gentiment. Le jardin, pour ma part, est un voyage. Chaque saison et chaque année différente, toujours changeante. Je peignais avant sur toile, je préfère largement maintenant le faire dans des plates-bandes, car je trouve cela moins vain - ou, disons plutôt que cela profite bien plus à tout un monde.

J'essayais un peu d'humour, mais ça devait être un peu sec... Merci encore pour ce site que je ne connaissais pas.

Source?

Oui, @marco44, je sais bien que c'est cher cette année. Mais par chez nous, la récolte de foin a été tellement tardive que les agriculteurs demandaient aux voisins s'ils en avaient pour pallier les 2 à 3 semaines restant avant récolte pour nourrir leur bétail. Résultat, ça s'est vendu plus cher ces derniers temps. Mais c'est fini. La botte est moins chère maintenant, et même de jour en jour. Le blême aussi, c'est qu'un round de foin, on ne peut pas le stocker au sec. On n'a rien pour... mais merci de signaler le bon prix; ça peut bien servir! @catlino, juste bravo! Ce n'est pas évident de faire changer le point de vue sur un jardin. Mais vous tenez le coup. Ici, j'ai arrêté de désherber à la main l'allée carrossable. Et j'ai laissé s'ensauvager la partie la moins visible du jardin (une butte et le long des haies). Le mari grince encore des dents sur les graviers (normal, quoi...😁). C'est compliqué de faire changer le point de vue de ce qui est considéré comme un "beau jardin". Tiens, du coup! QUESTION A TOUS: QU'ELLE EST VOTRE DEFINITION D'UN JARDIN? (Y'aura rien à gagner, vu que - indice - il n'y a pas de mauvaise réponse!)

Le paillage, en cette période, est délicat sur des plates-bandes déjà installées. En raison du manque d'humidité, il vaut mieux parier sur une valeur sûre: le foin. Et ça tombe bien: la récolte dans le nord ouest est tardive et vient de se faire. Tu peux donc aller sur le Bon Coin, il y aura de belles offres (on vient d'acheter la botte à 3€ sur un foin de l'année dernière- très bon pour la terre, et bon prix car impossible à donner aux bêtes. Pour le foin de cette année, compter 5 -6€ la botte.). Ceci dit, le terrain que tu occupes est en donc en friche depuis deux ans, ce qui est une très bonne nouvelle. Le plantain est signe de terre neutre et bien équilibrée. Le laitron indique une terre riche, rétenteuse d'eau. En bref, argileuse, compacte, plutôt humidifiée. (Je dirais: Une terre de Bretagne côté bord de mer, non?) A partir de ce constat, tu peux mettre du paillage organique qui va aider le travail des vers de terre pour aérer. Fumier de cheval à l'automne, avec broyat des coupes du jardin (tontes, branches, feuilles - du carbone, pour équilibrer l'azote du fumier). Le laiteron étant en plein floraison maintenant, je le mettrais au compost pour que ses graines brûlent à sa chaleur plutôt que de le disperser frais en paillage, en effet (encore une fois, comme toi, je me méfierais, je préférerais pour l'instant un paillage au foin, histoire de ne pas se laisser envahir l'année prochaine.) Le laiteron (famille des asteracées) t'indique néanmoins que tu peux planter de la salade, de l'estragon, et des artichauts. En ce moment, c'est compliqué de bonifier la terre, mais je conseille toujours de prendre le temps d'observer, de voir ce qui pousse et ce qui y vit - j'éviterais surtout d'intervenir avec un motoculteur qui va tasser une terre compacte encore plus. Il conviendrait plutôt de calculer la course du soleil aux équinoxes et aux solstices. De déterminer l'ombre et la lumière pour connaître le bon emplacement pour quelle plante en fonction de la durée d'ensoleillement. De dessiner tes plates-bandes et coins potagers (il vaut mieux les entremêler pour attirer les insectes bénéfiques). En revanche, à l'automne, ce sera le plus dur du travail: donner à manger au sol, et pas qu'un peu. Il vaut d'ailleurs mieux pailler sur minimum 20cm une partie de terre que d'étaler en trop fine couche en plus étendu. À cette période de l'année, dans ta région, tu pourras mettre du carbone à fond - ça en chiera, littéralement, de l'azote, avec les bactéries et vers de terre qui mangeront tout cela et qui le defèqueront. Le reste du terrain se fera d'année en année, petit à petit, en alternance ensuite. Si par hasard tu désires aller vite sur un bout, tu "lasagnes" (une couche de frais - azote, une couche de bois/herbe sèche -carbone) que tu recouvres de cartons/bâche et que tu arroses régulièrement si l'eau n'est pas un problème. En une saison, tu verras la différence (terre noircie, laissant tes doigts rentrer facilement). Voilà pour l'instant! N'hésite pas à revenir par ici pour poster ou commenter les observations que tu auras faites; ça nous aidera à mieux appréhender ton terrain et ta biodiversité pour conseiller - si besoin était. Mais surtout, bienvenue dans ton nouveau chez toi!

Intéressant. On peut aussi émettre une autre hypothèse: les buis sud ardèchois auraient-ils développé une défense contre la pyrale?

Sinon, sûre que vos déchets végétaux (cuisine, broyats frais, etc...) vont attirer autant les limaces que la bière. On les épand façon puzzle sur nos planches, et ça évite les dégâts sur les jeunes cultures. Mais c'est à renouveler tous les 2 à 3 jours s'il ne pleut pas (il faut que la chair reste tendre pour les attirer). Je parlais du phosphate ferrique, et surtout pas du methyldéhyde! Ce dernier est un tueur en série. A proscrire partout (vu que ça tue les prédateurs naturels, et que, par conséquent, bonne chance pour les faire revenir et garder l'équilibre dans le jardin...) Obligée de mettre, en revanche, le "Ferramol" autour de mes plantouilles de lupins ou même de cosmos, car même en nocturne, on n'arrive pas à retirer à la main toutes les limaces et escargots que ça attire. Ou sinon on ne dort plus. En cas d'attaque sévère sur des pousses à même pas deux feuilles, c'est là que nous, nous estimons ne pas avoir le choix. Mais c'est selon chacun, comme on voit, comme on peut.

Le phosphate ferrique, en granulés. Il bloque la digestion des limaces et escargots, se dissout dans la terre, sans danger pour le reste de la faune, à condition de ne l'utiliser que parcimonieusement. Il faut qu'il reste des gastéropodes pour continuer d'attirer leurs prédateurs, et même s'il se dégrade en molécules de rouille, je ne préfère pas qu'il s'accumule de trop dans mon sol. C'est ma parade, juste autour de mes semis et très jeunes plants attirant nos amis muqueux. J'en ai mis que 2 fois (1/semaine), et pense en remettre une dernière fois la semaine prochaine, mais je m'arrêterai là, les plants devant s'être renforcés suffisamment d'ici là. Sinon, coup de gueule et gros coup de blues. De nouveaux voisins sont arrivés. Aujourd'hui, ils ont fait abattre et broyer 6 grands arbres, qui se portaient parfaitement bien dans ce grand jardin. À quand de bonnes amendes pour ces dézinguages en pleine période de nidification? Quand les gens prendront-ils enfin conscience qu'il faut planter et non plus abattre? - je déprime.

L'éclate, c'est le vortex polaire. C'est plutôt cette éclate qu'il faudrait étudier plus finement afin de prévoir plus avant les conséquences. Mais quoi qu'il en soit, de ce côté-ci, ce printemps, ça va, en comparaison avec l'Alberta 😉. Hein?

@Matpo, je pense que le vent a été trop dessèchant pour tes cultures bien abritées... Nous avons commencé à sortir nos tomates il y a 12 jours, pour une moitié de journée chaque jour (Hervé rentre déjeuner pour cela - mais ça lui coûte beaucoup, tellement sa cantine a un chef de première ☺️) Nous avons eu néanmoins quelques frayeurs lors des vents d'Est la semaine dernière: les feuilles se sont asséchées tellement vite! Donc en cas de vent sensible, prévoir qu'un quart de journée dehors au début. En tout cas, c'est comme ça qu'on a désormais fait, pendant 5 jours, puis on est passé à 4 jours en demie journée, et on est à 2 jours maintenant de pleine journée. Replantage effectué pour les tomates les plus précoces (et il y en a! Les couvertures de survie ont vraiment fait la différence dans l'optimisation des leds! Aucun filage et une feuillage touffu tellement beaucoup plus précoce! On est dans la m..., à rempoter à fond et à sortir dehors pour renforcer... 😞) mais bon... c'est le jeu, hein, ma bonne Lucette ! Comme dis @boubou07, de toute façon, c'est tous les ans qu'on essaie de faire au mieux, et de pallier les difficultés rencontrées par ces subtropicales dans nos contrées, c'est clairement raccord avec ce que tu dis... Mais pas d'été sans tomates, ici. Ou alors, ce serait un tel changement de point de vue que c'en est juste impossible... Quoique... je réussis à faire accepter les gravillons de l'allée carossable avec des herbes folles (un bel habitat pour plein de plantes et d'insectes). Bref... Le combat continue... @hestia, comme les aquariums, plus le plan d'eau est petit, plus l'équilibre est délicat. Mais ô combien nécessaire dans chaque jardin! J'ai maintenant une mare de presque 3m³ depuis 3 ans. Je me suis pris la tête pour réguler les algues filamenteuses et celles qui sont moussantes. Pas de poisson (je refuse, tant qu'ils ne sont pas apportés par les plumes des volatiles d'eau sous forme d'œufs, mais il y a tout plein de grenouilles, têtards, de libellules). Donc plein de vie. J'ai un filtre, dont UV, qui fait le job, mais j'ai bien été dépassé par les algues avec l'été dernier. Sous conseil de mon aquariste du coin, j'ai fait un traitement anti-algue bio, suivi d'un apport de pierre de Champagne (qui rebasifie avec des minéraux calcaires). Cela permet de reminéraliser le fond, avec les déchets végétaux, et de favoriser autant l'oxygénation (acide + calcaire = rééquilibrage du PH) ainsi que la vie en profondeur (évitant ainsi l'eutrophisation). Contente, très contente du résultat: les libellules sont sorties faire leur nymphose, les grenouilles ont continué leurs chants pour appeler les femelles, les têtards de l'hiver ont développé leurs pattes, et les chats ou oiseaux ont poursuivi leurs bains et boissons sans aucun blême. L'eau est redevenue bien transparente, les élodées bien vertes. Les nénuphars lancent leurs feuilles au milieu des iris et massettes qui ont commence leurs hampes florales. Juste nickel!

Cela dépendra des intrans, évidemment, quant à la production agricole. Ils peuvent épandre de l'azote à gogo que ça ne sera de la continuité productive que sur très court terme - la pollution arrivant juste après dans les fleuves et les espaces littoraux. On a affaire à des milliers d'hectares sous les eaux depuis deux mois, des constructions en catastrophe de digues, sur des sols en giga-monocultures depuis des décennies. https://www.cnn.com/2023/03/12/us/california-atmospheric-river-flood-sunday/index.html Ici, les liens vers tous les chantiers de digues en court en Californie: https://www.spk.usace.army.mil/Missions/Civil-Works/Sacramento-Levee-Upgrades/ Je suis bretonne du nord Bretagne. Le phénomène des algues vertes... disons que je connais très bien. J'ai vécu en Chine, à Qingdao (Chine), pendant 4 ans, mon mari pendant 10 ans. Les algues vertes ont totalement envahi leurs plages, tout comme elles envahissent les nôtres. https://www.reuters.com/world/china/chinas-port-city-qingdao-suffers-worst-algae-infestation-2021-07-20/ La Californie n'est pas un territoire d'élevage, porcin en sus, mais les intrans ont bien leurs effets, surtout dans un milieu aussi délicat que cette extraordinaire frange de biodiversité pacifique. https://www.sfchronicle.com/climate/article/Reports-of-harmful-algal-blooms-are-rising-17233948.php Entre déliquescence de la couche arable, et profusion d'intrans qui seront rajoutés pour parvenir au même rendement, la question de la dégradation dangereuse des sols se pose carrément, ainsi que de la santé de la frange littorale. Je ne suis pas une fifille alertant sur la souffrance prochaine des 'ces pauvres petits lions de mer et autres pélicans', mais j'alerte sur la mort de tous ces canaris de mine. Ils sont les témoins autant que la preuve de notre propre destruction. Une telle arrivée d'eau en Californie, couplée à des réflexes agricoles "comme d'habitude", et des constructions de digues, ne promettent qu'une chose: la stérilisation et la pollution de toute cette frange pacifique des Etats-Unis, sous moins de 20 ans. Car elle me tient à cœur, cette région. Fan de John Steinbeck, je suis allée la visiter en profondeur. Maintenant, même en essayant d'être super optimiste, j'ai carrément peur. C'est en résumé, et désespérée, ce que j'essayais d'expliquer.

Parce que 20 années de sécheresse (historique, là) érodent considérablement les sols (la couche arable part en poussière au moindre coup de vent). Avec les flots continus des précipitations de cet hiver, le ruissellement achève la dégradation des horizons supérieurs du sol.

@ABO VOLOOn est bien à mille lieux des références connues depuis que les piscines existent, hein...?

Me trompe-je, ou n'est-on point en train se questionner durement sur les positionnements des régions du quadran sud-est dans un climat devenant majoritairement méditerranéen - en-dehors de la moyenne et haute altitude, évidemment? Ce que je veux dire, pour ne pas rentrer dans la polémique de telle région = tel climat et pas un autre, c'est plutôt ceci: quels arbres et arbustes sont en train de résister à l'assaut des nouvelles températures l'été, tout en préservant leur santé dans les températures moyennes de vos hivers? To be or not to be, that is the question. Survivre ou disparaître, quel végétal suit quelle course? Vous êtes malheureusement les pilotes. 😔