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Tout ce qui a été posté par florent76
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Pour ce qui concerne mes analyses, la méthode de calcul que j'emploie permet de penser à un été relativement frais, surtout à partir du mois de juillet. Je ne sais pas comment procèdent les autres prévisionnistes, même si le fait qui en arrivent au mêmes conclusions que moi peut sembler rassurant. Pour ma part, je rappelle que je procède à un calcul totalement personnel à partir uniquement de données solaires et des archives des données climatiques, en particulier celle de températures. J'ignore pour l'heure totalement tout autre aspect comme les interactions océans-atmosphère (que privilégient Météo-France) ainsi que tous les autres facteurs possibles. Mes calculs sont sous-tendus par une hypothèse théorique définissant des cycles climatiques définis à partir des cycles solaires. Il s'agit donc d'un modèle probabiliste "orienté", car dirigé vers des fenêtres climatiques bien précises et prédéfinies par le calcul. Cela donne théoriquement des résultats à hauteur de 65% pour une précision de 0,8° à l'échelle mensuelle. Cela me permet de mesurer ici le poids relatif de l'hypothèse solaire : ce facteur est bien est un des principaux levier du climat en France. Il reste beaucoup de travail afin de définir quels sont les autres facteurs et comment les intégrer pour permettre d'affiner la prévision météorologique à long terme. Florent.
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C'est aussi un peu le but... tu as remarqué aussi : ils sont entrés en hibernation... chuut... /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20"> D'autres sont peut-être migrateurs et seront partis dans l'hémisphère sud en quête de glace... /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> Bizarre espèce que celle là... /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> Ils repousseraient, paraît-il, en même temps et aussi vite que les champignons... Vivement la rentrée ! /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> (je ne croyais jamais dire ça un jour !) Mes calculs prévoient aussi (oui, je sais : encore !) un regain d'activité sur les forums à partir du mois de septembre. /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> Florent.
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En Normandie, le ciel est complétement blanchi par les cirrus et commence même à tirer sur le gris au sud : le soleil est encore visible, mais sa lumière est de moins en moins vive. La température a enfin repassé la barre des 13° ! On a eu jusqu'à 18° cet après-midi : on ne va pas en profiter longtemps... La bise ne désarme toujours pas malgré cela : le vent n'a pas encore tourné au sud même si l'air est notablement attiédi déjà. Florent.
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Non, ce n'est pas ce que l'on a le plus : on en a observé surtout début mars et maintenant. Autrement, on a surtout eu beaucoup de flux de nord cette année, en tout les cas, beaucoup plus que la normale. Les flux de sud doivent être bien représentés aussi, mais ils sont plus courants ces dernières années. C'est un bon signe que l'on ait ce flux d'est maintenant, rien de plus. C'est un indice pour l'hiver prochain, mais un seul : il va falloir que tout continue à aller dans le bon sens jusque là. Mon opinion basée sur l'expérience est que cela sera le cas (subjectif), mes calculs permettent de le penser (plus objectif), les marges d'incertitudes poussent néammoins à rester prudent au delà de tout ça (limites). A suivre... Florent.
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Sujet pour suivre les différents orages prévus pour éclater durant ces 6 jours, avec probablement le plus d'intensité les 13 et 16 mai. Premier jour aujourd'hui alors que l'air instable remonte peu à peu depuis hier à partir du sud de la France. Les échos radars font apparaitre des pluies intenses sur le sud du département du Rhône, le nord de l'Isère et sur le Maine-et-Loire, tandis que des pluies plus éparses ont lieu ailleurs de la Bretagne aux Alpes. Des commentaires des personnes intéressées : Y-a-t-il de l'orage là dessous ?? Florent.
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LOL ! /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> Et oui, je fais ce qui me plaît ! /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> Je retourne aux prévisions saisonnières, promis ! Florent.
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Je ne fais que répondre au question qui me sont posées. Désolé si mon travail s'inscrit aussi dans le présent. Nous sommes bien en train de parler de la situation actuelle depuis le début du sujet en donnant un peu de perspective à ton observation de flux d'est faisant penser à du mistral : ciel limpide et vent froid ne sont pas l'apanage de la vallée du Rhône : au nord de la France, cela s'appelle la Bise. Florent.
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Enfin, c'est encore loin d'être parfait et surtout à petite échelle : ce mois ci tout semble à peu près être là, sauf que les événements sont à chaque fois en avance sur ce que mon modèle a calculé et que j'ai tenté d'isoler au mieux... Entre l'incertitude des calculs et mes erreurs d'appréciations, il reste encore du boulot à ce niveau de finesse, sans compter les plantages à l'échelle mensuelle ! Disons que cela permet parfois de savoir au delà de l'écart mensuel à la norme à quels type de séquences météorologiques on pourrait avoir affaire même si c'est encore très mal réglé. Florent.
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Je comprends votre septicisme : rien n'est jamais sûr, surtout à très long terme comme nous l'avons vu en avril. J'explique simplement que malgré cela, tout va toujours dans le bon sens pour l'heure. Quand au flux actuel, ce n'est qu'un exemple qui est plus un bon indice que les choses suivent toujours leur cours actuellement qu'une assurance pour l'avenir et la fin de l'année en particulier. J'attendais une période fraiche avec typiquement ce type de flux à partir du 12 mai si vous consultez mes prévisions saisonnières : on l'a eu avec un peu d'avance certes, mais elle a bien été là... Wait and see ! Florent.
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On peut effectivement penser aux assureurs. Mais les biens étaient peut-être plus mal assurés auparavant. Il semble bien en tout cas que les catastrophes aient été plus nombreuses durant la décennie 1990, mais nous n'avons pas de recul pour établir une comparaison depuis un siècle ou deux dans le cadre des constats d'assurances et déclarations de sinistres. La meilleure approche est en effet de considérer les données climatiques de base et homogénéisées pour établir les faits. Florent.
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Semaine du 09/05/05 au 15/05/05
florent76 a répondu à un sujet de florent76 dans Evolution à plus long terme
Tout à fait d'accord, de toute manière, même pour ma zone, je n'ai jamais prévu un printemps sous les normes saisonnières, je l'envisageais même beaucoup plus chaud que cela me fiant à mes calculs. Attention de bien lire tous les termes : j'explique bien que l'on peut avoir de brusques et importants coups de chaleur (j'ai cité mi-mars et début mai), mais que l'on observerait de plus en plus par contre de longues périodes fraiches (pas forcément très froides). C'est bien la dynamique générale et les conditions synoptiques qui sont au delà de cela relativement fidèles à ce que j'attendais et c'est cela que je regarde ici et qui explique ces évolutions thermiques. Concernant la généralisation des situations, je pense que Genève située en en pleine zone montagneuse recèle des conditions beaucoup plus particulières que le bassin parisien pour lequel on peut considérer que les conditions ne sont pas trop différentes dans un rayon de 250 km. La montagne peut entrainer des effets de foenn, des bises, des pluies bien plus importantes qu'ailleurs... Ainsi, les prévisions que j'indique sont à considérer avec la plus grande précaution si tu souhaites les appliquer à ta zone et cela ne peut pas bien fonctionner dans le détail. J'ai déjà expliqué de maintes fois que les situations que je décrivais pouvait le plus être appliquée au bassin parisien et la Belgique. Si vous habitez dans toute autre zone, c'est à vous de faire les bons réglages, je ne suis pas responsable des décallages observés et inhérents à la distance et aux reliefs. Florent. -
En fait, tout les ingrédients sont déjà là pour le prochain hiver : imaginez les mêmes conditions synoptiques en décembre prochain ? Quelles seraient les températures à votre avis ?? Ces flux continentaux se feront probablement relativement oublier durant l'automne avant de revenir en force à la fin novembre. Wait and see ! Florent.
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Semaine du 09/05/05 au 15/05/05
florent76 a répondu à un sujet de florent76 dans Evolution à plus long terme
Au plus court, il influerait surtout sur 2005 et 2006. Ensuite, cela peut de prolonger mais pas forcément en toute saison : bien au contraire, on peut observer des saisons très chaudes, d'autres périodes s'inscrivant encore dans le froid. La réponse n'est donc pas toute faite, surtout que ces périodes s'inscrivent dans la persistance de flux méridiens apportant le plus souvent le froid, mais pouvant très vite entrainer des coups de chaleurs. Mais ces derniers ne dominent pas au coeur de la période fraiche. Florent. -
Bonjour Isabelle, Pour ma part, je ne pense pas qu'il y ait beaucoup plus de catastrophes climatiques qu'auparavant. La variabilité interranuelle est assez forte et la nature des catastrophes majoritaires tout aussi changeantes selon les périodes. On a eu récemment des années où ont dominé tornades et cyclones (1998-2000). Maintenant, j'ai l'impression que l'on voit plus de blizzards, tempêtes en zones tempérées et inondations traduisant plutôt un nombre accru de descentes d'air polaires sur plusieurs zones tempérées depuis 2003. Evolution qui devrait être tout aussi transitoire. Mais tout ceci n'est qu'une impression sans référence et comparaison comme l'explique très bien Kirkhammet. Cela nécessiterait une étude parfaitement exhaustive avec des critères précis afin d'éviter toute subjectivité dans le comptage des événements violents. Florent.
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Semaine du 09/05/05 au 15/05/05
florent76 a répondu à un sujet de florent76 dans Evolution à plus long terme
Très bien vu Kirkhammet... En effet, pas de chaleur au préalable et pourtant des orages pouvant être dévastateurs ensuite. La France du Petit Age glaciaire connaissait bien ces conditions climatiques, tout comme les années 1960 et 70 dans une moindre mesure. L'année 2005 ouvrant je le pense sur des périodes plus froides climatiquement remets au goût du jour des situations synoptiques oubliées depuis 15 ans. C'est une évolution d'origine solaire (causé par la résonnance des cycles et non par le prochain minima solaire en particulier) qui ne remet peut-être pas en cause un réchauffement global éventuel, mais qui pour quelques dizaines de mois va introduire un climat plus froid en Europe comme cela a été le cas depuis des siècles dans tous les contextes climatiques possibles (optimum climatique comme age glaciaire). Les conséquences sont maximales en période froide : des hivers à niveau de froid avec une période de retour séculaire peuvent atteindre la France. En période chaude comme actuellement, les effets sont moindres, mais nous allons tout de même voir une sérieuse différence en Europe avec la période antérieure à 2004. Tout ce préambule pour en venir au jours prochains dont la situation s'inscrit parfaitement, comme toute cette année, dans cette logique de refroidissement provisoire et cyclique à venir que j'annonce sur ce site depuis plus de 3 ans. Les orages pourraient être violents et grêleux et je maintiens que 2005 est une année à risque fort pour les destructions importantes dûes aux orages, à la grêle et éventuellement aux tornades. Tout cela dans une ambiance souvent fraiche du printemps à la fin de l'été, même si il pourra faire très chaud pendant de courtes périodes (déjà deux exemples : mi-mars et début mai). Ce climat déboucherait normalement à la fin de l'année sur le premier hiver rude du siècle en Europe, comparable au moins à 1985, englaçant nos sols pour plusieurs semaines. Florent. -
Impact des phenomenes meteo violents...
florent76 a répondu à un sujet de Ed. dans Météo, environnement et société
Un climat plus chaud serait également de mon avis sur une majorité de contrées du globe bénéfique. Seules zones défavorisées : - les zones méditerranéennes repoussées vers le nord et se désertifiant là où elles siégaient jusque là. - les zones côtières soumises éventuellement à une augmentation du niveau des mers. Pour toutes les autres zones, l'effet est très bénéfique, permettant partout à la végétation de gagner du terrain. Pour la nature le bilan est positif. Certes, si on considère l'espèce humaine qui vit pour moitié dans les zones qui seront les plus défavorisées, le bilan est calamiteux. Un tel réchauffement climatique engendrerait nécessairement d'importantes migrations humaines comme animales d'ailleurs et vers le nord dans l'hémisphère nord. Un point important tout de même : ce qui est décrit ici sont les effets d'un réchauffement climatique arrivé à son terme, c'est à dire stabilisé à un niveau de températures supérieur. Pour en arriver là, il faut passer par une époque de transition climatique et là tout est possible : on peut s'attendre à des phénomènes violents étant donné que les contrastes thermiques risquent d'être accrus durant cette période. Cela serait imperceptible si ce changement se produit sur 1000 ans ; si il devait intervenir sur 100 ans, alors les effets seront tout autres et à vrai dire encore inconnus. Beaucoup d'incertitudes, alors que nous ne savons toujours pas jusqu'à où pourrait aller le réchauffement climatique observé depuis 15 ans. Florent. -
Impact des phenomenes meteo violents...
florent76 a répondu à un sujet de Ed. dans Météo, environnement et société
L'évolution des zones climatiques est finalement logique et assez simple à comprendre : - Si on a un refroidissement, on a extension des zones polaires vers l'équateur, entrainant toutes les autres zones avec elles et réduisant la zone équatoriale à une étendue minimale autour de l'équateur. - Si on a un réchauffement, on a une extension de la zone équatoriale, réduisant cette fois fortement les zones polaires. Dans le cas d'un réchauffement de 3°C, si on considère l'hémisphère nord : - la zone équatoriale gagnerait du terrain vers le nord tandis que les alizés faibliraient : les pluies augmenteraient dans la zone tropicale cantonnant peu à peu la zone désertique au nord du Sahara. Mais avec la translation des zones climatiques vers le nord, la zone méditerranéenne serait beaucoup plus sèche et ensoleillée, tandis que des canicules pourraient effectivement plus souvent affecter l'Europe continentale plus au nord. Heureusement protégée par les massifs pyrénéen et alpin, les plaines européennes conserveront un arrosage suffisant et relativement semblable sauf peut-être au sud (Aquitaine), mais dans un climat beaucoup plus chaud. Les hivers seraient notablement plus doux en moyenne, la zone tempérée gagnant aussi vers le nord, la Scandinavie aurait un climat beaucoup plus agréable. En zone polaire enfin, l'englacement pourrait de limiter à l'hiver. Le point le plus néfaste d'un réchauffement réside donc dans le déplacement de la zone désertique subtropicale vers le nord, soit du bassin méditerranéen au nord du Sahara. L'Afrique tropicale serait très avantagée car bénéficiant de bonnes saisons des pluies permettant la culture. L'Europe du nord sera avantagée aussi avec une période de gel réduite permettant là aussi l'extension des cultures. Ce scénario s'est joué cela fait 8000 ans, rien n'est encore certain et permet d'être sûr que c'est ce qui nous attends dans 100 à 200 ans. Florent. -
Semaine du 16/05/05 au 22/05/05.
florent76 a répondu à un sujet de Jean-Michel10 dans Evolution à plus long terme
Profitons bien du soleil au nord de la France, car le temps déjà singulièrement frais pour la saison va devenir de plus en plus pourri à partir de vendredi. Une amélioration serait possible au milieu de la semaine prochaine... On va assister au passage d'une perturbation incluant quelques orages dans la masse associée à une hausse des températures. Nous allons passer sans transition d'un air sec et presque froid à une douceur de saison humide. Point positif : de bonnes pluies dont les sols ont besoin. Mais dès le week-end, le mercure va repartir à la baisse avec un temps toujours aussi humide mais en plus frais : pourri en d'autre terme. A noter dans cette année la relative faiblesse des températures minimales qui risque fort d'être une constante en 2005. Faiblesse des minimales qui pourraient trouver leur point d'orgue à la fin de l'année en touchant aux records de froids. Mais c'est une autre histoire et encore loin de nous. Wait and see ! Florent. -
Semaine du 09/05/05 au 15/05/05
florent76 a répondu à un sujet de florent76 dans Evolution à plus long terme
C'est précisément ce qui est prévu dans la continuité de cette année 2005 : vous pouvez consulter les prévisions pour les prochains mois dans le forum prévisions saisonnières. (à voir directement en cliquant sur le premier des liens en bas de ce message).Florent. -
Semaine du 09/05/05 au 15/05/05
florent76 a répondu à un sujet de florent76 dans Evolution à plus long terme
Truisme. Toute année voit des phénomènes violents de ce genre.Effectivement, mais localisés et d'ampleur limité le plus souvent. Le risque de ravages étendus sur de grandes superficie ou/et avec une intensité très importante est plus fort cette année. je comprends pas.Tout phénomène violent nécessite des constrates thermiques maximum qui n'auront pas lieu cette fois sur le nord. Néammoins, on pourrait aller jusqu'à des orages déjà relativement forts. Truisme aussi. Le risque d'orage violent est évidemment maximal en été, les stats le montrent.Oui, il est bon de rappeler que le risque que j'évoque n'est pas forcément pour toute suite, mais que nous entrons bien petit à petit dans la période à risque. Interprétation abusive. La "résistance" est en fait une alimentation en air froid plus importante en Europe depuis le début de l'année. On ne peut pas en tirer quoi que ce soit pour l'avenir proche. L'air froid actuel peut être balayé en 48 h et laisser place à une longue période chaude. Et à quoi cela sert-il de faire de la prévision saisonnière ? Mes calculs indiquent précisément que l'alimentation en air froid va continuer d'être régulièrement plus importante que la normale sur l'Europe, même si il peut être rapidement balayé . Florent. -
Semaine du 09/05/05 au 15/05/05
florent76 a répondu à un sujet de florent76 dans Evolution à plus long terme
Ce mois de mai est en tout cas un équilibre entre poussées chaudes et humides et descentes froides : la configuration reste totalement et plus que jamais méridienne. GFS avait très bien vu le froid qui domine les petits matins du nord de l'hexagone depuis plus d'une semaine ; on peut donc effectivement craindre que l'on approche les gelées pour le 17 mai. En attendant, nouvelle poussée chaude à partir de demain, mais beaucoup moins intense que la dernière qui avait fait exploser quelques records les 30 avril et 1er mai. Néammoins, même effets : temps d'orages généralisés du SO au NE du pays vendredi 13 et samedi 14 mai. Je réitère mes conseils de prudence : cette année 2005 pourrait voir à un moment ou à un autre des phénomènes violents rares (grêlées, tornades). Les archives du passé pour des années similaires le prouvent et la situation synoptique très méridienne offre tous les ingrédients pour cela : possibilité de remontée chaude et humide avec air glacial en altitude pour une instabilité maximale. Le SO est en première ligne, le Nord du pays : de la Normandie à l'ouest, à la Lorraine à l'est selon la trajectoire des lignes orageuses. Cette fois, le nord devrait être à l'abri car la remontée chaude n'est pas suffisante. La danger sera maximal en juillet et août. La résistance de l'air froid sur l'Europe n'augure rien de bon pour notre été 2005. Florent. -
Et bien non ! Ce n'est pas pour ce soir. C'était portrait d'expert : productrice de plantes aromatiques. Cela ne dure pas 5 minutes, mais 30 secondes chrono ! /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> Florent.
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Merci jt75 et bien sûr Meteor... Tu confirmes bien ce que je pensais et qui était que c'était la marée qui était mesurée ici d'où l'utilisation d'un coefficient au cube. Maintenant, je ne sais pas si cela constitue ou non une force importante, mais on peut constater que les conclusions de JPD sont très troublantes. Non seulement la période de révolution de Jupiter autour du soleil correspond presque à la durée moyenne du cycle solaire, mais en plus, la régularité des cycles solaires semble bien être soumise au rythme imposé par la syzygie des 3 planètes ayant le plus de force de marée sur l'astre du jour : Vénus, la Terre et Jupiter. Quand on voit l'effet des marées, la régulation de la durée du jour et de l'axe de rotation provoquées par la Lune sur la Terre, pourquoi ces planètes ne pourraient elles pas forcer la mécanique solaire lorsqu'elles allient leurs forces ensemble ? Tes calculs seraient très intéressant pour mesurer leur impact relatif sur le soleil. Florent.
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En guise de pistes, plusieurs sites qui disent que : L'attraction gravitationnelle d'un point sur un autre varie avec la distance r selon la loi bien connue en 1/r2, l’attraction différentielle de marée varie en 1/r3. http://membres.lycos.fr/vinaro/maree/mareefin.html http://www.enseeiht.fr/hmf/travaux/CD0001/.../6/fon_corp.htm http://perso.wanadoo.fr/olivier.granier/me...univ/marees.htm Texte passionnant qui explique aussi les effets de marées planétaires, et qui indique en plus de possibles phénomènes de résonances, prolongeant les effets de la marée dans le temps. Si on veut comprendre les travaux de Jean-Pierre Desmoulins, je pense que c'est de cette manière qu'il faut appréhender les choses. Florent.
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Voici où j'avais pu en arriver par rapport à ce problème de formule M/R3 : De ce lien, je crois avoir tiré quelque chose d'essentiel pour une énigme qui nous a occupé cet automne. Tout part d'un calcul sur l'effet des marées sur un point. Calculer l'effet de marée ne reviendrait pas à calculer les effets de la gravitation (ou potentiel gravitationnel http://www.cours.polymtl.ca/glq3201/Gravimetrie/node5.html), mais ceux de la gravitation différentielle... Et cela ferait toute la différence ! Voici la présentation : GRAVITATION DIFFERENTIELLE Marées Considérons un satellite (masse m, à une distance d) qui exerce une influence gravitationnelle sur une planète (masse M, rayon r). Prenons l'exemple de la Terre. On peut représenter les accélérations différentielles par rapport à O (référentiel de la Terre) en A (point à la surface de la Terre face à la Lune) et en B (point à l'opposé). Constante gravitationnelle : G= 6.67.10-11Nm2kg2. Les points A, O et B sont plongés dans le champ de gravitation du satellite (Lune) tels que : aA= Gm/(d-r)2, a0= Gm/d2, aB= Gm/(d+r)2 Les points A, O et B sont des points matériels, ils seront soumis à des accélérations différentes aA> a0> aB. Si du point O (correspondant au référentiel de la Terre qui est pensée rigide ici) on observe un point matériel A (par exemple une goutte d’eau de l’océan), alors celui-ci est soumis à une accélération par rapport à O, dite accélération différentielle: δ aA/O = aA - a0 = Gm/(d-r)2 - Gm/d2 ≈ - 2Gmr/d3 [rôle de la rotation - rotation de la planète sur elle-même : les marées se superposent à l’ellipsoïde de rotation => pas d’effet sur l’amplitude des marées; - rotation du satellite/planète autour du centre de gravité commun : le satellite provoque une translation sur le centre de masse de la planète mais (au premier ordre) ne transfère aucun moment angulaire => pas d’effet sur l’amplitude des marées.] Le système Terre/Lune Le raisonnement ci-dessus montre que le champ d’accélération différentielle est au maximum suivant l’axe Terre/Lune. Donc c’est suivant cet axe que l’eau va s’accumuler le plus en formant deux "bourrelets d’eau" : les marées. On peut ramener cela au système Terre/Planètes. Jean-Pierre Desmoulins calcule bien des coefficients de marées planétaires et pas autre chose quand il écrit : "The tidal coefficients of all planets, which give the amplitude of the tide that they bring on the Sun's surface, are related to the mass divided by the cube of the mean distance to the Sun (radius D)" = "Les coefficients de marée de toutes les planètes, qui donnent l'amplitude de la marée qu'elles apportent sur la surface du soleil, sont liés à la masse (M) divisée par le cube de la distance moyenne au soleil (rayon D)". La formule qui nous a fait tant nous interroger : M/D3 ne ressemble t-elle pas à celle de l'accélération différentielle calculée plus haut : - 2Gmr/d3 ??? La distance est bien posée au cube dans les deux cas. Les propos de Cyrilleb sur Astrosurf http://www.astrosurf.com/ubb/Forum1/HTML/000949.html confirment bien que le calcul du barycentre et celui des marées planétaires n'est pas le même : A moins que ce soit autre chose comme le suggère le site de Jean-Pierre Desmoulins (http://perso.wanadoo.fr/jpdesm/sunspots/) pour qui c'est en tout cas la loi en 1/R3 qu'il faut prendre en compte. La question avait été reposée plus tard en ces termes sur le forum d'Astrosurf http://www.astrosurf.com/ubb/Forum1/HTML/000949.html sans aucun résultat. Peut-être pourrais-tu déceler la réponse que nous cherchons dans tout cela, Meteor ? Florent.
