florent76

Voila qui est passionnant Torrent : j'ignorais cette étude. Je vais étudier précisément les configurations des planètes intérieures afin de voir quelles saisons de quelles années on retrouve des conditions similaires à celle de l'été 2003, je dispose de toutes les données nécessaires. Peut-être une nouvelle piste et le moyen d'établir un calendrier prévisionnel du climat à encore plus long terme que je ne tente de le faire actuellement. Florent.

Lunatic, voici les fluctuations du thermomètre que mes calculs réalisés au mois de septembre dernier prévoyaient et prévoient dans le détail : - baisse autour du 13/02 ; (notre descente froide) - hausse autour du 18/02 ; (le tout petit redoux de la fin de semaine) - baisse autour du 21/02 ; (la prochaine descente froide) - hausse autour du 25/02 - petite baisse autour du 27/02 - hausse plus nette autour du 3/03 - baisse autour du 6/03 Les trois premières étapes sont vérifiées comme l'avaient été les descentes froides du 15 et du 23 janvier. Toutefois, à la fin janvier, le froid a duré plus longtemps que prévu ce qui me fait douter fortement que la hausse du mercure prévue faiblarde vers le 25/02 soit réalisée : je verrai plus volontiers le mercure rester bas jusqu'à la hausse prévue autour du 3/03. Ou alors, les modèles vont revirer et nous allons effectivement avoir plus de douceur dès la fin février. En tout les cas, tu le comprends : c'est plutôt à une hausse du thermomètre que je m'attends dans les premiers jours de mars, mais il est vrai que la température devrait diminuer assez vite derrière vers le 6/03 par cause d'une configuration que je ne saisie pas clairement encore si mon calendrier continue à se révéler exact. Florent. Lunatic,Je ne sais pas si tu as vu ma réponse à ta question... voila de quoi faire. Il est à noter que GFS voit aussi un redoux début mars. Qu'en penses-tu et quelles évolutions possibles peut-on attendre à ton avis à partir de tes analyses et des éléments que je t'apporte ?? Florent.

Je n'ai pas dit que les GES ne modifiaient pas le climat. Mais, qu'ils soient devenus le premier facteur de modification du climat reste à démontrer encore. Dans tous les cas, cela n'apporte pas modifications cycliques au climat et c'est ça que j'étudie. Si les GES influent, ce sera linéairement à la hausse tant l'évolution sera rapide selon le GIEC.Florent.

Avec la descente froide, j'ai déjà un écart à prévoir de -0,3° à Nancy vers le 22. Paris ne devrait en être très loin : si sa température rejoint au final l'écart nul, ma prévision sera assez correcte sur un mois avec une erreur inférieure au dégré et bonne dans le détail puisque les refroidissements (dont j'ai en plus bien identifié la nature, à savoir des ondulations) ont été prévues en temps et en heure au jour près ! Le bilan avait été très moyen en janvier, voire mauvais en décembre mais cette fois et sans vouloir être présomptueux, si il faut déjà faire un bilan, tu trouveras peu de modèles saisonniers qui auront aussi fait encore mieux que ça sur le mois de février même si le résultat te semble moyen. On ne peut pas tout demander aux modèles saisonniers. Et le mien est assez particulier dans cette catégorie, presque expérimental car basé sur un calcul à partir de séries climatiques que l'on peut établir longtemps à l'avance sans faire aucun réglage à partir de données récentes autres que solaires. Et même ces données solaires sont calculables dans les grandes lignes au moins quelques dizaines de mois à l'avance. Je pourrais sans doute encore améliorer grandement les performances de mon modèle en considérant les évolutions récentes de divers paramètres (mer, glace...). Je ne le fais pas pour l'heure, juste pour démontrer également qu'à partir du seul soleil et de son cycle, on peut faire des prévisions saisonnières très acceptables et que les autres paramètres souvent considérés en premier par les modélisateurs ne sont en réalité que du réglage fin, ou encore des conséquences et non des causes. Cela peut donner des résultats de faire des modèles basées sur des conséquences primaires ou secondes qui vont logiquement mais pas toujours dans le même sens, mais c'est tellement plus efficace de s'attaquer directement aux causes : on fait déjà ainsi bien plus que les 3/4 du travail et sans faire de très abondants calculs croisant des dizaines de facteurs. La seule grande cause des variations climatiques à l'échelle des temps historiques est le soleil. Florent.

En attendant, notre premier épisode neigeux en cours depuis dimanche se termine tout doucement... Encore quelques centimètres de neige à attendre surtout sur le Massif Central et les Pyrénées aujourd'hui. Ailleurs quelques flocons ça et là, rien de rare. Vous allez pouvoir prendre des photos, mesurer vos cumuls et les inscrire dans le forum observations en attendant la prochaine tournée de neige prévue à partir de samedi. Florent.

ou au petit bonheur la France...Le dernier scénario (16/02-00h) voit une dépression secondaire se creuser mardi sur l'ouest. La dépression principale s'enfoncerait sur l'Allemagne. Les énormes quantités de neige vues par le scénario d'hier 12h ne sont plus vue pour le moment, mais la situation reste bien dépressionnaire pour le début de semaine. Nous n'avons donc plus autant de neige sur toute la France, mais GFS semble de plus en plus montrer que les côtes de la Manche peuvent s'attendre à un bon coup de neige lundi et mardi. La Bretagne et les pays de Loire, lundi d'abord, puis le Nord et la Normandie dans une tempête de neige avec forts vents de NE dans la nuit de lundi à mardi. Cependant, les quantités restent modestes : jamais plus de 5 à 10 cm et souvent moins. Le coeur de la dépression n'est pas du tout fixé encore, et nous avons affaire là à un artéfact secondaire. A voir au prochain run... Florent.

Lunatic, voici les fluctuations du thermomètre que mes calculs réalisés au mois de septembre dernier prévoyaient et prévoient dans le détail : - baisse autour du 13/02 ; (notre descente froide) - hausse autour du 18/02 ; (le tout petit redoux de la fin de semaine) - baisse autour du 21/02 ; (la prochaine descente froide) - hausse autour du 25/02 - petite baisse autour du 27/02 - hausse plus nette autour du 3/03 - baisse autour du 6/03 Les trois premières étapes sont vérifiées comme l'avaient été les descentes froides du 15 et du 23 janvier. Toutefois, à la fin janvier, le froid a duré plus longtemps que prévu ce qui me fait douter fortement que la hausse du mercure prévue faiblarde vers le 25/02 soit réalisée : je verrai plus volontiers le mercure rester bas jusqu'à la hausse prévue autour du 3/03. Ou alors, les modèles vont revirer et nous allons effectivement avoir plus de douceur dès la fin février. En tout les cas, tu le comprends : c'est plutôt à une hausse du thermomètre que je m'attends dans les premiers jours de mars, mais il est vrai que la température devrait diminuer assez vite derrière vers le 6/03 par cause d'une configuration que je ne saisie pas clairement encore si mon calendrier continue à se révéler exact. Florent.

Merci Cumulonimbus capitallus incus... Je suppose que c'est à moi que tu posais cette question : As-tu déjà pu lire cette page du site Infoclimat très bien faite : Les modèles numériques de prévision Je n'en connais pas beaucoup plus pour ma part. Quand à mes analyses saisonnières et modèles personnels, ils sont basés sur des calculs sur une somme d'observations climatiques précises liés à une étude définie des cycles solaires. Rien à voir donc avec les usines à gaz que sont les modèles numériques professionnel, mon travail est plutôt une recherche du niveau "universitaire". Il aboutit à des conclusions suffisamment intéressantes pour que de l'observation, je puisse en déduire de la prévision avec les résultats plus ou moins bons que tout le monde connait. Ai-je répondu à ta question ? Florent.

Par exemple, les modèles, ces mêmes modèles qui voient notre anticyclone prendre la route de l'océan arctique, revoient en fin d'échéance un anticyclone sur la péninsule ibérique... Qui sait comment il va évoluer ou il sera et quels flux cela va nous valoir ? Sans compter que c'est encore très loin. Florent.

Je suis bien d'accord avec Js13120. La remontée très au nord de l'AA est ok... pour l'isolement de haute pressions au nord de la Scandinavie, je demande encore à voir : c'est la semaine prochaine et c'est encore loin... Cela me semble encore un peu fragile et ne remet pas forcément en cause le retour ultérieur de la douceur que je calcule pour début mars. Voyant déjà ce qu'il en est de notre tempête de neige de lundi, après on verra si l'AA s'enfuit au nord, encore ensuite sur quoi on débouche qui pourrait ne pas être exactement ce à quoi vous pensez car interviendront d'autres ingrédients plus au sud et que vous ne connaissez même pas encore. Florent.

J'ai bien remarqué... cela dit je pense qu'un nouvel AA va apparaitre au SW de l'Europe d'une manière ou d'une autre... Au mois de mars, on pourrait aller de flux WSW en flux de NNW. C'est encore difficile à dire, mais une transition semble bien s'effectuer à la fin de mois de février. Pour la première fois depuis très longtemps, nous n'avons plus d'AA sur l'Atlantique. Si cela se réalise vraiment, Cela va t-il durer ? Je le répète : je travaille sur des données thermiques et il ne m'est pas toujours facile de comprendre la situation isobarique qui va avec. J'ai bien compris la logique qui a prévalu cet hiver, je ne suis pas convaincu que ce soit très différent au printemps : c'est la position des centres d'action qui va bouger, mais je pense que l'on aura toujours un AA en jeu. Florent.

Ca va être difficile d'être patient sur ce coup là... En tous les cas, selon mes calculs en prévision saisonnière, rien ne s'oppose à un tel scénario : la descente froide du 21 février était d'ailleurs bien vue, comme la précédente le 13 février dernier. Seules leurs intensités n'est pas facilement calculable à l'avance. Et je pense que l'hiver n'a pas encore dit son dernier mot : le mois de mars pourrait reserver encore quelques surprises en montagne, voire peut-être même en plaine cette année et que j'ai daté depuis longtemps. A voir bientôt dans mon analyse prévisionnelle pour mars 2005. Florent.

C'est un peu ça dans l'idée Noisette... Nous sommes à la veille d'une série d'hivers froids, dont un principal et particulièrement glacial, l'an prochain si tout va bien selon mes calculs. Florent.

La position de la dépression sera déterminante et n'est pas encore fixée : je suis d'accord. On risque encore une cruelle désillusion... enfin, on aura pas tout perdu, parce que quoi qu'il arrive : il va neiger ! En tout cas, même si il ne se réalise pas, ça vaut le coup de mettre ce run en lumière... c'est une des situations qu'un amateur de neige peut rêver de mieux ! Florent.

C'est juste un jour après... lundi ! Dans deux jours, nous seront fixés. Même si c'est pas la tempête de neige, c'est du plus gros qu'en ce début de semaine... Ce sent très bon tout ça, croyez moi. On en reparlera d'ici la fin de semaine quand nous aurons des éléments tangibles. Merci pour tes éclaircissements Joe15. Florent.

C'est bien ce que j'ai noté et c'est pour cela que je parle de prévision provisoire... Je préviens que c'est vu ce soir, j'ai jamais dit que c'était du tout cuit ! Cette prévision peut encore basculer vers autre chose, comme c'est le cas ce soir dans la tempête de neige... Même si le dernier run n'était pas aussi extrême, il promettait déjà d'avoir sur les régions du centre-ouest des 2 à 5 cm par endroit tant les averses étaient nombreuses. Alors n'importe comment, je suis preneur, c'est du tout bon et du tout blanc qui nous attends ! Florent.

Nota : prévision provisoire pour le 21 février : J'avais annoncé des averses de neige encore plus soutenues et sur tout le pays y compris l'Ouest sont à attendre lundi 21 et mardi 22 ensuite. Au vu du dernier run de GFS (15/02-12h), je viens de faire une mise à jour d'importance. Jusqu'à dimanche, en gros pas de changement. Mais Lundi 21 se prépare peut-être quelque chose d'énorme... Le dernier run de GFS place la depression en plein sur la France lundi, avec des températures de -10° à 850 hPa et -40° à 500 hPa. Si cela est maintenue, nous allons tous nous en souvenir : Tempête de neige sur la France, à commencer par les côtes de la Manche qui reverraient leurs congères, même en Bretagne je pense, 10 à 20 cm de neige bien souvent sur toutes les régions l'ouest : plus généralement, des quantités de neige pas relevées en plaine depuis 20 ans sur l'ouest et tout le pays. A suivre et A CONFIRMER... Florent.

Ce sont les précipitations qui pourraient faire défaut, même si elles restent possibles sur Lyon. En tout cas, avec -1° prévu, même avec l'îlot de chaleur, la moindre chute de neige devrait tenir dans le coin. Encore faut-il qu'il neige cette nuit, je ne connais pas suffisamment le climat local pour le dire. C'est le Massif Central qui va être concerné. Florent.

C'est en zone limite... des averses de neige sont probables, mais moins fortes que sur toutes les zones plus à l'ouest. Cela ne m'étonnerait guère si Lyon est blanchie demain matin. Florent.

Vigilance NEIGE pour la nuit prochaine : Département du Nord 62-80-76-14 : averses de neige le long des côtes de la Manche septentrionale pouvant tenir au sol du Boulonnais, en passant par le Pays de Caux (où les quantités pourront atteindre 1 à 3 cm) et jusqu'au Calvados. Départements du Grand NE (Champagne, Lorraine, Bourgogne) : chutes de neige faibles, mais surtout VERGLAS. Départements 67-68-90-25-39 : chutes de neige modérées en début de nuit et plus durables sur les plateaux du Jura. Départements du Massif Central et Morvan 71-21-42-07-63-43-15 : Chutes de neiges toujours modérés - conditions très difficiles étant données les quantitées déjà accumulées. Départements des Pyrénées 65-31-09 : La montée vers Andorre est toujours à oublier : les conditions resteront extrêmement périlleuses jusqu'à demain midi en altitude. -------------------------------------------------------------------------------------- Analyse à partir du run de GFS 15/02-06h Notre descente froide est bien installé et la dépression qui l'occupe se comble peu à peu s'équilibrant avec les masses d'air environnante. Les chutes de neige faiblissent tandis que les gelées s'intensifient avec la moindre nébulosité. Seulement à partir de vendredi, une nouvelle dépression jusque là bloquée entre Groenland et Spitberg va entrer dans ce couloir de froid tout préparé pour elle et venir semer de nouveau de blancs flocons en Europe. Mercredi 16, Possibilité de faibles chutes de neiges éparses parrallément aux côtes de la Manche du Boulonnais au Perche, en passant par le Pays de Caux. Les intensités significatives seraient à relever avec les retours d'est sur l'Alsace, le Jura, le Massif Central et toujours les Pyrénées centrales. Au sud de la méditerranée, poursuite de chutes de neige importantes sur la montagne algérienne débutées dans la nuit de lundi à mardi. Jeudi 17, Dernières chutes de neige sur le Massif Central surtout, moindre dans les Pyrénées. Dans la nuit de jeudi à vendredi, quelques flocons possibles sur la Picardie et la Normandie en marge d'un petit front associé à un redoux bien éphémère qui va tenter de rentrer par l'ouest le lendemain. En attendant, c'est la nuit la plus froide à l'est d'une ligne Lille-Bordeaux avec des températures comprises entre -4 et -10°. Vendredi 18, le flux a tourné au NW, mais le front se désagrège sur le nord-ouest tandis que la journée reste froide à l'est. Quelques petits flocons ou gouttes de pluies sur le bassin parisien, pas grand chose de plus. Samedi 19, dès minuit, une bande pluvieuse associée à la dépression originaire du Spitberg entre par le NW avec des pluies faibles à modérées. En fin de nuit, il pleut de la Touraine au Bassin parisien, il neige plus à l'est où les précipitations sont plus abondantes : c'est le "redoux". Neige possible en Champagne, plus abondante dans les Ardennes. A la mi journée, ce front va s'écraser sur les reliefs de l'est et le Massif Central où il donne quelques centimètres supplémentaires jusqu'à très basse altitude, neige fondue en plaine. Les pyrénées seront touchés en soirée. Gros cumuls sur le massif vosgien et du Jura. A l'arrière du front, le vent tourne au NNW et souffle en tempête sur les côtes de la Manche de la Bretagne au Pas de Calais. Un nouvelle zone de précipitations entre déjà par la Belgique à la mi-journée et va concerner tout le Bassin parisien de la Normandie jusqu'au plateau lorrain. Pluie, mêlée de neige parfois et plus fort cumuls de pluie sur la Picardie, puis Paris en fin de journée. A l'arrière de ce front pluvieux, c'est le retour du froid. En milieu de nuit cette zone de forte pluie se transformera peu à peu en neige en gagnant le sud. Les derniers flocons à l'arrière pourront blanchir tout le nord de la France, mais vaudront de forts cumuls sur le Morvan, les hauteurs de l'Allier et bientôt l'Auvergne. Dans la nuit poursuite de fortes chutes de neige sur le Jura gagnant le Rhône-Alpes et la Savoie. Dimanche 20, En matinée, les fortes chutes de neige se poursuivrent sur le Jura, le Rhône Alpes et la Savoie. Il neige aussi sur le Massif Central et les Pyrénées. Fortes chutes de neige associées à un nouveau front venu du nord durant l'après-midi sur les reliefs de l'est Ardennes, Vosges et Jura et en plaine en Alsace, Lorraine et Franche Comté. A partir de la fin d'après-midi, averses de neige sur l'ouest, en particulier sur la Bretagne et le Poitou. Dans la nuit, faibles chutes de neige sur tout l'ouest, y compris les zones proches de l'Atlantique. Plus forts cumuls sur le Cotentin, la Bretagne, les Landes et les Pyrénées atlantiques. Chutes de neige importantes aussi sur le nord, la Picardie et se poursuivant dans l'est sur tous les massifs et en plaine. Les jours suivants, des averses de neige encore plus soutenues et sur tout le pays y compris l'Ouest sont à attendre lundi 21 et mardi 22 ensuite. Le dernier run de GFS place la depression en plein sur la France lundi, avec des températures de -10° à 850 hPa et -40° à 500 hPa. Si cela est maintenue, nous allons tous nous en souvenir : tempête de neige sur les côtes de la Manche, même en Bretagne je pense, 10 à 20 cm de neige bien souvent sur toutes les régions l'ouest : plus généralement, des quantités de neige pas relevées en plaine depuis 20 ans sur l'ouest et tout le pays. Florent.

Joli nom de lieu... merci pour cette précision toponymique. Pour la semaine prochaine, ce serait un peu juste... pour l'heure, je pense que la limite pluie-neige serait située un peu plus haut... mais qui sait avec l'isothermie et des précipitations très fortes. Je te conseille de profiter de ces épisodes neigeux à répétitions en Algérie pour bien relever quelles ont été les limites pluie-neige en fonction de la ligne 528 ou de l'isotherme 0° à 850 hPa. Tu connais bien mieux le terrain que nous et cela pourrait te permettre de mieux savoir à l'avenir et de prévoir les occurences réellement favorables à la neige pour ta zone géographique. Florent.

Des plateaux si tu préfères... je ne connais pas l'Algérie, mais je pense qu'entre la côte et l'Atlas qui ouvre sur le Sahara, on doit avoir plusieurs zones de plateaux d'altitudes plus ou moins élevés. Florent.

PAS DE GROSSE VAGUE DE FROID cet hiver en France en effet... j'ai annoncé la couleur dès le mois de novembre et cela est confirmé au bilan. Tout le froid que nous avons eu nous a été apporté par flux de nord neigeux ou par inversion sous cloche anticyclonique centrée sur la méditerranée au début de l'hiver. Si vous espérez une vrai vague de froid, ce devrait être pour l'hiver prochain, au pire celui d'après : ce serait imminent. Vous vous rendrez vite compte que ce n'est pas si amusant à vivre et que la neige n'est pas forcément plus abondante. Mais c'est bien le retour des configurations vues en 1985, 1963 ou 1956 et tout aussi persistantes que je vous promets. Florent.

Les plaines qui sont situées au dessus de 500 m. C'est limite, mais pour le moment, la ligne 528 qui signale en gros la zone où les chutes de neige sont possible entre de quelques centaines de km sur l'Algérie. Mais, Pierro a raison, c'est encore à confirmer, je ne voudrais pas te donner de faux espoirs. Précipitations du 22/02 à 6h Florent.

Je suis d'accord avec toi Virgile, mais les reliefs algériens sont assez élevés : le Massif Tellien de l'Algérois à la Kabylie et au Constantinois compte plusieurs sommets à plus de 2000 m relativement proches des côtes. Si la neige ne tombe pas sur les côtes ou à très basse altitude comme fin janvier, puis ces jours ci ; de très fortes précipitations sont prévues à partir du 22 février pour l'heure qui devraient être neigeuse sur l'est de l'Algérie et l'arrière pays d'Alger dès 500 m. Le flux de nord dominant cet hiver oppose clairement les côtes algériennes sur-abondamment arrosées et exceptionnellement enneigées à la côte d'Azur desséchée en cette fin de saison. Florent.