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Nouvelle-Zélande - Record mensuel de froid
achazare a répondu à un sujet de florent76 dans Océanie et Pacifique
Encore un truc de journaliste, en quoi un refroidissement local à l' échelle de la planète est il "incompatible" avec le RC ? Il fait un peu plus chaud alors c'est le RC Il fait un peu plus froid alors y a pas de RC... Peufff...! -
A bon, et pourquoi ca devrait durer ?
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Sur que non, mais le charbon et la biomasse ( brulée et non renouvelée) risque fort de prendre le relais suite à la disparition progressive des ressources en pétrole et gaz...
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Parceque vous êtes certains de ce que donnera 2, 3 ou 4°C sur la biosphère malheureusement personne ne le sais... Les scénarios sont basés essentiellement sur des prévisions de croissances des GES par les activités humaines. Pour penser que le scénario B1 soit plus probable que les autres il faudrait pouvoir s'assurer que nous ferons le nécessaire (ou que nous seront contraint par des raisons physiques) à limiter nos émissions GES à un certain niveau... Vous remarquerez la faible fourchette (~1°C) des scénarios, avez vous besoin de plus de précision pour constatez que le problème n'est pas les prévisions climatiques mais la consommation de fossiles ? Le resserrement de la fourchette vient essentiellement de l'élimination de scénarios juger trop extrémistes en GES...
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On passe de +1.5°C / +6°C à +2°C / +4.5°C avec une probabilité 95% de monter à +3°C. Je dirais qu'on resserre la fourchette, on files vers l'inconnue des conséquences de + 3°C avant la fin du siècle... L'IPCC n'a jamais prévu 6m pour la fin de ce siècle... et elle a resserré sa prévision de hauteur, on aura dans les 50cm....
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Minitax à écrit : Ce que je vois, c'est que la température moyenne en France est de 10°C, celle à l'équateur 26°C soit un écart de 16°C. Les gens à l'équateur ne sont pas mort de chaud que je sache. Et puis s'ils sont si malheureux avec la chaleur, je me demande pourquoi les gens du Nord ne pensent qu'à y passer leur vacances ou leur retraite. Par ailleurs, la différence de température entre l'été et l'hiver en France est de plus de 15°C. On peut supporter une fluctuation de température de 15°C en 6 mois et on serait dans la cata juste parce que l'internationale alarmiste a décrété qu'une hausse supérieure à 2°C en 1 siècle serait forcément catastrophique ? C'est une évidence Minitax, que quel que soit les changements climatiques, leur amplitude, leur vitesse, cela n'affecte en rien les écosystèmes de qui ne nous sommes pas dépendant. Si sur 1 siècle le climat redevient glaciaire avec 1km de glace sur la Grande Bretagne, cela ne posera pas de problème, juste une petite adaptation (pneu neige, doudoune, chauffage) sera nécessaire.
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Situation exceptionelle au CANADA
achazare a répondu à un sujet de olivierchampagne dans Amérique du Nord
http://www.meteo.org/archives/hist02.htm Il parle du jour le plus froid mais pas de vague de froid.... -
Situation exceptionelle au CANADA
achazare a répondu à un sujet de olivierchampagne dans Amérique du Nord
Comment ca bien vu, une tendance sur une ville ne prouve rien. Même si elles avaient augmenté cela ne prouverai pas le RC.... -
Situation exceptionelle au CANADA
achazare a répondu à un sujet de olivierchampagne dans Amérique du Nord
Ben non... une anormalité isolé ne fait pas une tendance, même si elle est extrême. Maintenant tout laisse penser que ce genre d'anormalité va aller en augmentant... -
Situation exceptionelle au CANADA
achazare a répondu à un sujet de olivierchampagne dans Amérique du Nord
à Quebec ou au Quebec ?, parceque pour la ville de Quebec c'est statistiquement sans interêt pour tirer des conclusions dans un sens ou un autre....... -
Situation exceptionelle au CANADA
achazare a répondu à un sujet de olivierchampagne dans Amérique du Nord
Parce que le RC ne peut pas influencer El Nino et les conditions NAO ? -
Situation exceptionelle au CANADA
achazare a répondu à un sujet de olivierchampagne dans Amérique du Nord
La question est de savoir si un hiver froid est "normal" au Canada Quelle est la probabilité d'avoir deux hivers doux consécutifs au Canada ? -
Il ne faut pas confondre des constations ponctuelles dans le temps (depuis 1975) et l'espace (la France) et une tendance climatique globale (le monde) à long terme.
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Le changements climatique, notion qui me semble plus pertinente que le RC...
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Si danger il y a dans le CC (et pas le RC), c'est bien sa pente, qui pourrait nous amener en 100ans vers ce que l'humanité à déjà connu mais sur des milliers d'années...
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1. Connaissant très bien le CERN, cette experience est un serpent de mer depuis des années, il semble que l'on finisse par la voir un jour (2010?), mais cela ne prouve pas que Svensmark ait raison. 2. Il me semble que des elements montrant les deux hypotheses se verifient aujourd'hui (canicle --> baisse de la capture, hausse CO2 --> croissance accelerée des plantes)
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Je vais quand même pas noter quand c'est bon !
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Ce n'est pas l'avis des climatologues....
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Quelle hausse des T pour un changement "dangereux" ?
achazare a répondu à un sujet de charles.muller dans Archives
+3W/m-2 sur toute la terre en moyenne peut il donc donner cette répartition régionale avec +60W/m2 ? -
Quelle hausse des T pour un changement "dangereux" ?
achazare a répondu à un sujet de charles.muller dans Archives
Les 3W/m-2 c'est pas en moyenne sur tout le globe ? alord que les 60W/m-2 c'est sur une portion de la surface terrestre durant une periode de l'année ? Est vraiment comparable ? -
Quelle hausse des T pour un changement "dangereux" ?
achazare a répondu à un sujet de charles.muller dans Archives
Selon vous quel sont les problèmes techniques rencontrés dans le développement de la fusion et de la surgénération ? Selon vous quelle place devra occuper dans le futur le surgénération ou la fusion pour représenter plus de quelques % de la consommation finale d'énergie comme aujourd’hui ? -
Remontée des températures sur les massifs
achazare a répondu à un sujet de Cyclonus dans Prévisions à court et moyen terme
40cm ca donne quoi damé ? 10cm ? -
L'hiver dans les Alpes du Nord
achazare a répondu à un sujet de guillaume1 dans Evolution à plus long terme
l'enneigement n'a pas l'air super epais non ? -
La voiture ne disparaîtra pas, et il existe des solutions pour la rendre "écologique". C'est le niveau d'usage actuel qui n'est pas tenable. je rejoint ce que vous dites sur votre dernier paragraphe, l'usage va et doit changer. Pour connaître les niveaux de remplacement que pourront offrir les technologies actuelles ou futures, il existe sur le web, bon nombre d'info sur le sujet...Wikipedia est pas mal fait... E
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Des solutions existent, mais pour résoudre quel problème. Si l'on parle du celui qui menace la croissance de la demande en énergie, alors il n'y a pas de solutions pour prolonger celle ci. Cela ne veut pas dire que tout est fichu et qu'il n'existe aucun avenir. Les solutions passent par sobriété, les ER, et des nouvelles technologies simples et efficaces (centrale à cogénération, à cycles combinés etc...) Connaissant un peu la partie concernant les materiaux, il n'existe aucune piste actuellement pour trouver celui-ci. je cite Wikipedia qui résume bien la situation: Problèmes scientifiques et techniques Le Prix Nobel de Physique japonais Masatoshi Koshiba exprime des réserves au vu des problèmes posés par les neutrons rapides : « dans ITER, la réaction de fusion produit des neutrons de grande énergie, de 14 MeV (mégaélectronvolts), niveau jamais atteint encore. […] Si les scientifiques ont déjà fait l'expérience de la manipulation de neutrons de faible énergie, ces neutrons de 14 MeV sont tout à fait nouveaux et personne à l'heure actuelle ne sait comment les manipuler (...) S'ils doivent remplacer les absorbeurs tous les six mois, cela entraînera un arrêt des opérations qui se traduira en un surcoût de l'énergie » réf. nécessaire. Richard Majeski[4] et ses collaborateurs ont publié[5] une méthode permettant de supporter le flux des neutrons. Cette méthode consiste en une première barrière de lithium liquide avec pour but de protéger la seconde barrière, qui elle est solide. Cette méthode a été expérimentée avec succès sur le réacteur d'essai Current Drive Experiment-Upgrade (CDX-U) du laboratoire PPPL[6] de l'Université de Princeton. Les performances du réacteur ont également été améliorées, la tension pour maintenir le courant dans le plasma a été divisée par quatre [7] [8]. Pierre-Gilles de Gennes affirme que le changement d’échelle entre les prototypes existants et ITER n’est pas maîtrisé et qu’on n’a aucune preuve qu’il pourra même fournir de l’énergie : « connaissant assez bien les métaux supraconducteurs, je sais qu’ils sont extraordinairement fragiles. Alors, croire que des bobinages supraconducteurs servant à confiner le plasma, soumis à des flux de neutrons rapides comparables à une bombe H, auront la capacité de résister pendant toute la durée de vie d’un tel réacteur (dix à vingt ans), me paraît fou » [9]. Critiques Certaines critiques du projet ITER soutiennent que l'on ne parviendra jamais à produire de l'énergie de façon industrielle avec la fusion nucléaire. Le projet de recherche ITER serait donc un moyen de financer indirectement l'industrie nucléaire. Les chercheurs André Gsponer et Jean-Pierre Hurni affirment qu'ITER serait une bonne affaire pour les militaires : une fois ITER opérationnel, il y aurait sur le site de Cadarache en permanence 2 kg de tritium avec un flux annuel de 1.2 kg environ, c’est à dire de quoi alimenter un arsenal de plusieurs centaines de têtes nucléaires dopées au tritium [10]. D'autres opposants dénoncent ITER pour des raisons techniques, sans remettre en cause le bien fondé de la fusion nucléaire comme source d'énergie de l'avenir. L'ancien ministre de la Recherche, Claude Allègre, réprouve « un projet de prestige » qui « offre peu de chances de réussite » [11]. Selon Pierre-Gilles de Gennes, Prix Nobel de physique en 1991, « le projet ITER a été soutenu par Bruxelles pour des raisons d'image politique (...) un réacteur de fusion, c'est à la fois Superphénix et La Hague au même endroit » [12]. En tant qu'ancien ingénieur du CEA, il a de nombreuses réticences vis-à-vis du réacteur expérimental ITER et les multiples difficultés du projet comme l'instabilité des plasmas, les fuites thermiques et la fragilité des métaux supraconducteurs. Des physiciens, bien que favorables à l'énergie nucléaire, estiment qu'il est prématuré de construire ITER alors que des « verrous technologiques » n'ont pas été levés : « On nous annonce que l'on va mettre le Soleil en boîte. La formule est jolie. Le problème, c'est que l'on ne sait pas fabriquer la boîte », observe le physicien Sébastien Balibar, de l'École normale supérieure [13]. D'autres critiques remettent en cause le choix du site de Cadarache, en raison du risque sismique : Cadarache est situé sur la faille d'Aix-en-Provence - Durance, la plus active de France. Le site proposé par le Japon était encore plus sensible d'un point de vue sismique. Critiques des objectifs d'ITER * La présence de plusieurs kilos de tritium, matière nécessaire à la confection des bombes thermonucléaires. Bien que la technologie des bombes H soit très complexe et totalement différente de celle d'ITER, la production de tritium ferait courir un risque de prolifération des armes nucléaires [10]. Cependant, la relative « facilité » de produire une bombe atomique, et le peu d'intérêt stratégique à posséder une bombe H relativisent ce risque. La technologie nécessaire à la fabrication d'une bombe H est en effet sans commune mesure avec celle requise pour une « bombe A ». * Le tritium est un élément radioactif de période courte, mais son danger vient du fait que lorsqu'il est libéré accidentellement, il s'insinue partout, ce qui crée un risque d'accident du travail grave. La quantité maximale de tritium prévue dans les stockages « à long terme » entre deux essais se monte à 1000 g. citation nécessaire * La détérioration rapide de la chambre de confinement, évoquée ci-dessus par le professeur Masatoshi Koshiba, imposerait des remplacements réguliers et produirait une quantité importante de déchets radioactifs. * Investissement considérable, particulièrement au dépend d'autres axes de recherche pour la maîtrise de la fusion nucléaire. La fusion magnétique est cependant la technique la plus avancée actuellement.citation nécessaire Critique de la faisabilité d'ITER D'après les physiciens Sébastien Balibar, Yves Pomeau et Jacques Treiner [14], la mise en œuvre d'un réacteur à fusion à l'échelle industrielle suppose de résoudre préalablement trois problèmes : * maîtrise des réactions de fusion, particulièrement d'une réaction auto-entretenue ; * production massive de tritium ; * invention d'un matériau résistant aux flux de neutrons (produits par la fusion) pour les enceintes de confinement. Le tokamak ITER ne s'attaque qu'au premier problème. L'installation International Fusion Materials Irradiation Facility a été incluse dans le projet pour l'étude de la résistance des matériaux aux neutrons de 14 MeV. Certaines critiques portent sur l'intérêt pour la France d'investir un tel budget (735 M€ au total) dans un programme de recherche qui ne portera ses fruits que dans quelques dizaines d'années. De nombreux projets visant les énergies renouvelables ou des programmes d'économies d'énergie auraient pu être financés.