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	Moi, j'adore le le froid et surtout les chutes de neiges Je déteste la chaleur
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	  Le dégel du permafrost est enclenchéol_bugs a répondu à un sujet de Alain Coustou dans Climatologie Je suis persuadé que votre livre est très intéressant.Mais je ne pense pas l'acheter pour la raison suivante : Je connais grosso modo vos conclusions qui me semble extrèmement pessimiste (même si vous les justifiez), je n'ai pas envie de me déprimer, même si j'ai conscience des énormes efforts que nous devons faire. Je ne peux pas vivre en me disant que mes enfants n'ont peut être qu'un avenir très limité.
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	A surveiller la pluviométrie dans les zones désertiques.Si la tendance se poursuit, il faudra voir s'il y a un lien avec le réchauffement. En dehors des puits de carbone terrestre, j'ai lu plusieurs fois que les potentiels les plus importants se trouvent dans les océans.
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	Le sahara reverdit ?Tu peux nous en dire un peu plus, d'où proviennent tes informations ?
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	Bonjour, Certains instituts de recherche réfléchissent à créer des puits de Carbonne pour faire face au réchauffement. Mais si la terre se réchauffe et le taux de CO2 également, il me semble avoir entendu que les végétaux croissent plus vite. Les Algues et le planctons pourraient se dévelloper dans des eaux plus chaudes. Si les zones glacées polaire sont libérées des glaces et on un climat plus clément, de grandes zones pourraient se recouvrir d'un tissus végétal ou de forêts. J'ai également souvent entendu dire sur ce forum que dans une période plus chaude, le désert était recouvert d'un forêt. Tout ça réuni pourrait constituer des puits de carbone importants qui pourraient atténuer l'augmentation de la concentration en CO2. Je ne sais pas si tout ceci est pris en compte dans les modèles mais il me semble que c'est un paramètre à ne pas écarter (pour peu qu'on puisse le quantifier).
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	  Le dégel du permafrost est enclenchéol_bugs a répondu à un sujet de Alain Coustou dans Climatologie A l'époque, nous sortions d'un époque glacaire, donc je suppose que le permafrost allait bien plus au sud et était donc bien plus étendu que maintenant.J'ai donc l'impression que les surfaces de permafrost qui n'ont pas été inondés et qui ont dégazé devaient être quand même considérable.
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	"Le moteur en serait certainement d'origine géothermique (la chaleur qui monte des profondeurs du globe). " On a eu des exemples de formation de lacs sous glacière dans les Alpes ces dernières année mais causés par le réchauffement. Ces lacs se sont formés rapidemment en quelques années maximum. Mais il est vrai que ces "petits lacs" ne sont pas comparable à des lacs sous glacière comme celui qui s'est déversé il y a 10000 ans. Vers le début du siècle on a quand même eu la fameuse catastrophe de St Gervais du à l'écoulement d'un lac sous glacière du à la rupture des la paroi du glacier. sur http://www.saintgervaislesbains.fr/historique.htm : 1892 : la catastrophe du 12 juillet 1892 stoppe brutalement cette prospérité. Une coulée de lave détruit le bâtiment et fait plus de 200 victimes. À l'origine de cette catastrophe, une poche d'eau accumulée sous le glacier de Tête Rousse qui se rompt dans la nuit du 12 juillet 1892, emprunte la combe de Bionnasset, détruit en partie le village de Bionnay, avant de s'enfoncer dans la gorge du Bon Nant. L'établissement thermal qui se trouve au pied de la gorge est emporté par la force de la coulée de lave de boue et de rochers. Notons au passage que ce glacier est purgé chaque année au moyen d'une galerie creusée sous le glacier par les services du RTM pour empêcher le retour d'un tel événement.
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	  Le dégel du permafrost est enclenchéol_bugs a répondu à un sujet de Alain Coustou dans Climatologie J'avais écrit un post sur la formation d'un lac sous-glacière. /index.php?showtopic=10483'>Post Je parlais notamment d'un article qui explique une brusque montée des eaux il y a 10 000 ans, qui serait du à la formation d'un immense lac sous glacière puis à la rupture d'une de ses parois. Pensez vous que la montée des eaux dont vous parlez soit liée à ce lac sous glacière ?
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	Je viens de lire un article sur l'énorme déverssement d'eau qu'il y aurait eu il y a 10000 ans. Il aurait été du à la formation d'un lac sous glacière et à la rupture d'une des paroies. Voici la question que je me pose (sans avoir beaucoup d'élements de réponses) : la formation d'un lac sous glacière est elle compatible avec un réchauffement lent. Est-il possible qu'un lac sous-glacière grandisse durant des milliers d'années ? Je me disais que selon la réponse on pourrait démontrer que un réchauffement rapide a déjà eu lieu dans le passé. article
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	  Crise mondiale après 2015 ??ol_bugs a répondu à un sujet de florent76 dans Météo, environnement et société Bonjour, Le but de se post n'est pas de discuter du bien fondé du protocole de Kyoto (bien que je trouve que ce soit une bonne chose de faire un premier pas dans la bonne direction et de montrer un exemple). Ce que je me demande, c'est est ce que les effort consentis par les pays signataire du protocole de Kyoto conduisent réellement à une baisse des émissions de CO2. Lorsque que la consommation d'un pays en pétrole baisse, il me semble que logiquement la demande baisse et donc le prix du baril baisse. Si le prix du baril baisse, dans les autres pays, les prix atractifs incitent à utiliser du pétrol plutôt qu'une autre énergie, il est plus facile de faire le plein, les voyages en avions sont moins chers. Tout cela fait que la production de pétrole reste la même et donc les émissions en CO2 ne diminuent pas. Je me demande même si le protocole de Kyoto n'aurait pas permis aux USA d'avoir un pétrole un peu moins cher ? Si cela était vrai, ça voudrai dire que tous les efforts que nous pouvons faire individuellement ne servent à rien au niveau des émissions de CO2, tant que l'effort ne sera pas mondiale. Si il y a des personnes qui s'y connaissent en économies, qu'en pensez-vous ?
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	  Le dégel du permafrost est enclenchéol_bugs a répondu à un sujet de Alain Coustou dans Climatologie S'il en reste encore (des descendants)!S'il arrivait que les clathartes de méthanes de l'artique soient destabilisés, quand je relis la théorie de M. Coustou, je me pose sérieusement la question de savoir si l'Homme arrivera à s'adapter et à survivre.
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	Justement, en ce moment, il ne me semble pas que nous soyons dans le cas d'un épisode El nino, ce qui rend ces records de T° encore plus inquiétants.
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	sur www.weatheronline.co.uk, tu peux avoir une idée des T° et des hauteurs de pluie qu'il est tombé sur les principales villes d'Europe.
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	Et bien, que des mauvaises nouvelles en ce qui concerne le climat en ce moment... Ce qui est inquiétant, c'est que ça doit faire 3 ans que nous avons passé le maximum solaire et la T° Continue de monter. Même si l'inertie terrestre fait qu'il faut attendre un certain temps pour que la T° baisse après le maximum solaire, ça fait quand même bientôt 3 ans et la T° ne se stabilise même pas. Ce qui tendrai à montrer une influence minime du soleil. /emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20">
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	  Le dégel du permafrost est enclenchéol_bugs a répondu à un sujet de Alain Coustou dans Climatologie Ce qui me choque, c'est que cette information qui est peut être très grâve n'a été relayée que par quelques journaux, je n'ai rien entendu à la télé ni à la radio. Je pense que la popupation est très mal informé et ne réalise pas l'ampleur que pourrait prendre le réchauffement. Tout ce qu'on entend régulièrement sur les conséquences du réchauffement, c'est : il y aura des canicules plus souvent, plus de sécheresses et des hivers plus doux... Si ce n'était que ça, ce ne serait pas si grâve.
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	C'est vrai que c'est vraiment inquiétant, D'un autre côté si cette théorie de l'assombrissement de la terre est vrai, malgré tout ça veut dire que nous savons comment l'assombrir si la T° devenait trop haute. Il y aura peut être la possibilité d'envoyer dans l'athmospère des composés moins nocif et qui permettront d'assombrir au moins autant dans le futur... Ne sombrons pas dans le pessimisme... /emoticons/ph34r@2x.png 2x" width="20" height="20">
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	Bonjour, Si comme le prévoient beaucoup de climatologues, la montée des océans inonde de grandes surfaces comme par ex le delta du Bengladesh, l'albédo de la terre devrait être modifié. Il me semble que sur des surfaces inondées, la terre devrait renvoyer plus de lumière vers l'espace (corrigez moi si je me trompe). Pensez vous que ces inondations puissent ralentir durablement le réchauffement ou que l'effet sera négligeable ?
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	  Le dégel du permafrost est enclenchéol_bugs a répondu à un sujet de Alain Coustou dans Climatologie C'est très inquiétant ! Voici un article de libre belgique: Dégel Malgré tout, voici quelques avis issus de cet article pour relativiser tout ça : Pour Gauthier Chapelle, conseiller scientifique de la Fondation polaire internationale, la fonte du permafrost «était une nouvelle attendue» et la question du méthane a déjà été évoquée dans plusieurs rapports internationaux. «Mais il n'existe pas d'unanimité scientifique quant à savoir si cela a un effet global négatif ou non sur le réchauffement. Certes, la fonte de la glace va relâcher du méthane dans l'atmosphère, mais les tourbières qui apparaissent vont aussi permettre, en se réchauffant, une croissance plus importante de la végétation. Et cette végétation contribue quant à elle à capter du CO2 . Tous ces phénomènes sont très complexes». Professeur de climatologie à l'Université de Liège, Michel Erpicum estime pour sa part que la fonte du permafrost est effectivement la conséquence du réchauffement rapide que nous connaissons actuellement mais, nuance-t-il, «ce réchauffement est un phénomène qui se manifeste par paliers».«Le réchauffement climatique est conditionné par deux types de causes : d'une part, des causes liées aux activités humaines et, d'autre part, des causes naturelles irrégulières que l'on ne s'explique pas encore bien. Il est un fait acquis que l'amplification du réchauffement climatique est liée en partie aux causes anthropiques qui s'amplifient de façon continue, mais je pense que l'accélération particulière de ce phénomène constatée depuis une quinzaine d'années ne restera pas aussi soutenue. Elle est due aux causes naturelles qui sont actuellement dans un cycle élevé. Ces dernières vont toutefois se tasser et le rythme actuel du réchauffement devrait ralentir et se stabiliser, avant de recommencer à s'accélérer dans quelques années.» De la même manière, estime-t-il, la fonte du permafrost devrait donc aussi être freinée et avec elle le risque de voir d'importantes quantités de méthane libérées dans l'atmosphère.
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	Kirkammet, comme d'habitude croit tout savoir et se permet de donner des leçons aux autres alors que ses affirmations sont souvent aussi farfelues que inintéressante. Je pense que finalement il n'y pas mieux que ses interventions pour décridibiliser les gens qui s'opposent au réchauffement. J'espère simplement qu'il ne dégoutera pas les gens qui écrivent des choses intéressantes comme M. Coustou (même s'ils doivent accepter la critique).
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	Tu devrai aller voir sur le site www.weatheronline.co.uk
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	" J'avais en particulier prévu deux périodes exceptionellemnt chaudes, la première au tout début de juillet (à une semaine près) " Début juillet à 1 semaine près, ça signifie une période de 3 semaines. Sur 3 semaines en plein été, il ne faut pas s'éttonner qu'on est au moins une période de grosse chaleur ! Pour août nous verrons bien.
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	  Etat de la banquise en mi juillet 2005ol_bugs a répondu à un sujet de Alain Coustou dans Climatologie Ca fait plusieurs années que je regarde régulièrement la carte d'anomalie SST. Je constate chaque année des grosses anomalies dans les régions artiques, je n'ai pas l'impression que cette année soit exceptionnelle au niveau des anomalies par rapport aux annnées précédentes en été. Mais ce n'est qu'une impression.
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	  Etat de la banquise en mi juillet 2005ol_bugs a répondu à un sujet de Alain Coustou dans Climatologie Ca fait un moment que je me demande ce que représente réellement la carte d'anomalie SST que nous montre El Nino. Est-ce l'anomalie par rapport à la T° moyenne à la même saison ou par rapport à la T° moyenne annuelle ? Je pose cette question car chaque été, on a de grosses anomalie positives dans l'hémisphère nord qui disparaissent à l'automne et en hiver.
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	Bonjour, Quand je regarde les archives de Wettercentrale, je remarque l'été 1998 avec quasiment plus de zones < 0° sur GFS 850 hpa. Je pense nottamment au 23juillet : Avez vous des infos pour cette années au niveau des pôles ? Cette année a-t-elle été exceptionnelle dans les régions nordiques ? QUand je les compare à aujourd'hui et à ce qui est prévu pour les 9 prochains jours, on est vraiment très loin de cette situation. Le mois de juillet 2005 serait il plus froid que la normale au niveau des pôles ?
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	C'est un paradoxe. La limitation des rejets de particules dans l'atmosphère par les industries et les moyens de transport pourrait ne pas avoir d'effet modérateur sur le réchauffement climatique. Au contraire. Selon des chercheurs allemands et britanniques, qui publient leurs travaux dans la revue Nature du jeudi 30 juin, l'assainissement de l'air  s'il ne s'accompagne pas d'une importante réduction des émissions de dioxyde de carbone (CO2)  pourrait nettement aggraver la situation. Et contribuer à une élévation de température supérieure d'environ 2 ºC à la fourchette actuellement prévue par le Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (GIEC). Cette fourchette est de 1,4 ºC à 5,8 ºC à l'horizon 2100. La nouvelle étude envisage une augmentation maximale de la température moyenne de 7,8 ºC. Comment ? "Nous sommes certains que les petites poussières  ou aérosols  en suspension dans l'atmosphère réfléchissent une part du rayonnement solaire , mais nous ignorons dans quelle exacte mesure, explique Hervé Le Treut, directeur de recherche au Laboratoire de météorologie dynamique. Jusqu'à présent, il est vraisemblable que la présence de ces aérosols dans l'atmosphère terrestre a contribué à contrebalancer l'effet de serre" par une sorte d'effet parasol. Les processus naturels et les activités humaines émettent chaque jour dans l'atmosphère plusieurs millions de tonnes d'aérosols. D'origine naturelle (volcans, déserts, embruns marins) ou humaine et liées à la combustion (fumées d'industries, gaz d'échappement, poussières issues des feux agricoles), ces particules et gouttelettes réfléchissent directement la lumière du soleil. Leur présence modifie également la structure des nuages de la haute atmosphère et augmente leur indice de réflexion du rayonnement. L'effet des aérosols a été pressenti pour la première fois, en 1783, par le physicien Benjamin Franklin, après une importante éruption volcanique en Islande. Le savant nota l'apparition la même année d'un "brouillard sec" sur la France et formula l'hypothèse qu'il pouvait être à l'origine de l'hiver polaire que l'Hexagone connut cette année-là. En 1991, l'éruption du mont Pinatubo, aux Philippines, projeta de telles quantités de poussières volcaniques dans l'atmosphère que la température moyenne à la surface de la Terre diminua de 0,5 ºC. "La réduction des émissions de particules est un objectif important et légitime d'un point de vue de santé publique, mais il est à peu près sûr qu'elle aura des conséquences négatives sur le réchauffement", poursuit M. Le Treut. Or Meinrat Andreae, du Max Planck Institute for Chemistry (Allemagne), Chris Jones, du Met Office (Grande-Bretagne), et leurs collègues expliquent, dans Nature , que tous les scénarios d'évolution de l'atmosphère montrent qu'aux alentours de 2050 "l'émission d'aérosols sera inférieure ou égale au niveau actuel". Vraisemblablement inférieure, puisque les scientifiques revoient à la baisse leurs "prévisions sur les émissions d'aérosols, à mesure que la Chine et les pays émergents introduisent des technologies plus propres et ce plus rapidement que cela était prévu voilà seulement dix ans" . Patrick Chazette, spécialiste du bilan radiatif au Laboratoire des sciences du climat et de l'environnement (CEA/CNRS) de Gif-sur-Yvette (Essonne), émet quelques réserves sur cette modélisation. "La science des aérosols est très compliquée et, faute de données de terrain, nous manquons encore de recul pour avoir une vision précise de leurs effets à long terme." En effet, les modèles utilisés sont globaux et ne fournissent qu'une estimation moyenne sur l'ensemble de la planète. "Or les effets des aérosols sont très régiona ux" , précise le chercheur. Par ailleurs, les modèles "travaillent sur une seule taille de particule à la fois". Pourtant, "les aérosols d'origine humaine sont de plus petite taille - inférieure au micron  que ceux générés par la nature, et représentent 10 % de l'ensemble", précise encore M. Chazette. Ils joueront un rôle important dans les prochaines décennies, car les émissions d'origine naturelle sont peu susceptibles de changements. En raison de leur petite taille, ils servent aussi de noyaux de condensation, qui contribuent à la formation de nuages donnant peu de pluies, car ces particules sont très légères. "A terme, cela peut diminuer la quantité des précipitations. Et aussi réduire l'efficacité des productions agricoles. Un effet déjà constaté en Chine et en In de" , ajoute M. Chazette. Quelle que soit leur origine, naturelle ou humaine, l'action des aérosols complique les modèles climatiques. De quoi ajouter encore à l'incertitude sur les prévisions intégrant non seulement l'augmentation de l'effet de serre mais aussi les projections sur les futurs modèles économiques de développement. "Une chose est sûre : l'espèce humaine a autant déstabilisé le système atmosphérique en cent cinquante ans que la nature en quinze mille ans" , souligne M. Chazette. Stéphane Foucart et Christiane Galus Article paru dans l'édition du 01.07.05

